34 research outputs found

    The Chikungunya Epidemic on La Réunion Island in 2005–2006: A Cost-of-Illness Study

    Get PDF
    For a long time, studies of chikungunya virus infection have been neglected, but since its resurgence in the south-western Indian Ocean and on La Réunion Island, this disease has been paid greater amounts of attention. The economic and social impacts of chikungunya epidemics are poorly documented, including in developed countries. This study estimated the cost-of-illness associated with the 2005–2006 chikungunya epidemics on La Réunion Island, a French overseas department with an economy and health care system of a developed country. “Cost-of-illness” studies measure the amount that would have been saved in the absence of a disease. We found that the epidemic incurred substantial medical expenses estimated at €43.9 million, of which 60% were attributable to direct medical costs related, in particular, to expenditure on medical consultations (47%), hospitalization (32%) and drugs (19%). The costs related to care in ambulatory and hospitalized cases were €90 and €2000 per case, respectively. This study provides the basic inputs for conducting cost-effectiveness and cost-benefit evaluations of chikungunya prevention strategies

    Etat du paludisme à Mayotte et de la prise en charge hospitalière en 2012 et 2013

    No full text
    Cette étude décrit la prise en charge des patients atteints de paludisme qui ont consulté au Centre hospitalier de Mayotte à Mamoudzou, hors des dispensaires satellites. Il s agit d une étude rétrospective menée de janvier 2012 à octobre 2012 puis de façon prospective de novembre 2012 à avril 2013. Cinquante-six patients ont été inclus avec les critères suivants : frottis et/ou une goutte épaisse positive et une consultation au Centre hospitalier de Mayotte à Mamoudzou, enfants et adultes compris. Pour chaque patient, ont été recueillies : données de base, données épidémiologiques, données de dépistage, données médicales et biologiques. On retrouve 7 cas autochtones et 43 cas importés (6 cas non déterminés). L âge moyen était de26 ans +- 19,4, sex ratio (M/F) 0,93. Il est mis en évidence des pics d inclusion après les vacances scolaires. Il n y a pas d augmentation des cas pendant la saison des pluies. L augmentation des cas ne dépend plus du climat. Trente patients ont été hospitalisés dont 11 en service de réanimation. Une patiente est décédée. Le paludisme autochtone devient rare à Mayotte l île. Il est mis en évidence une diminution de la morbi-mortalité associée à des hospitalisations moins fréquentes et moins longues. Un protocole a été mis en place selon les dernières recommandations internationales.BORDEAUX1-Bib.electronique (335229901) / SudocSudocFranceF

    Bilan de la 1ére année d'activité de l'hospitalisation à domicile à la Réunion

    No full text
    REIMS-BU Santé (514542104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Méningites à éosinophiles et angiostrongyloïdose à Mayotte

    No full text
    INTRODUCTION : L'infection par Angiostrongylus cantonensis est la principale cause de méningite à éosinophiles. Dans l'océan Indien, la maladie s'exprime sous forme sporadique ou de cas groupés. Le pronostic chez l'enfant est habituellement péjoratif. Nous rapportons une série de cas pédiatriques diagnostiqués entre novembre 2006 et janvier 2010 à Myotte, un territoire français situé dans l'Archipel des Comores. METHODES : Les niveaux de diagnostic comprenaient des critères présomptifs cliniques : hypotonie, syndrome méningé, notion d'exposition, ainsi que des critères biologiques : éosinophilie sanguine ou dans le LCR. Le diagnostic était affirmé par la présence d'anticorps spécifiques d'A. cantonensis dans le sérum ou le LCR. RESULTATS : Huit patients autochtones, âgé de 7 à 12 mois, ont été étudiés. La maladie a été systématiquement révélée pendant la saison humide. L'expression clinique inaugurale associait de la fièvre et une hypotonie. Cinq patients ont développé une méningo-encéphalite et cinq présentaient un tableau abdominal aigu. L'hyperéosinophilie sanguine ou dans le LCR était constante. mais parfois nitialement absente. Elle doit donc être recherchée en cours d'évolution. Tous les patients ont bénéficié de ponctions lombaires soustractives, 6 ont reçu une corticothérapie, 3 un traitement par albendazole. Le pronostic reste réservé : 2 patients sont décédés, 3 sont porteurs de séquelles neurologiques invalidantes, 3 ont eu une évolution favorable. CONCLUSION : A Mayotte, le diagnostic d'angiostrongyloidose doit être évoqué chez le nourrisson en présence d'une méningite à éosinophiles. L'infection est transmise chez l'enfant par contact oral avec l'escargot géant vecteur, cependant le recours à la médecine traditionnelle doit être recherché comme cause de contamination. La place des traitements antiparasitaires n'est pas clairement définie. Les mesures d'éducation sont essentielles pour la prévention de cette maladie grave à la prise en charge difficile.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    La réémergence de la dengue à la Réunion en 2004

    No full text
    SAINT DENIS/REUNION-Droit Lettre (974112101) / SudocSTRASBOURG-Medecine (674822101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Epidémiologie de la brûlure à Mayotte

    No full text
    INTRODUCTION : Mayotte est récemment devenue un département français, isolé au milieu du Canal du Mozambique. Plus de 200 000 personnes habitent cette île de 375 km2 où le circuit de prise en charge de la brûlure est bien défini. Il y est donc possible de recueillir de façon exhaustive les données épidémiologiques concernant les brûlures graves afin d'élaborer des actions de prévention utiles et évaluables. METHODES : Etude prospective descriptive pendant 8 mois, incluant tous les patients à l'arrivée dans le Service des Brûlés du Centre Hospitalier de Mayotte. Les données démographiques, circonstancielles et diagnostiques sont analysées et comparées. RESULTATS : 139 patients consécutifs inclus, ratio H/F = 1,17, âge moyen = 10,8 ans ; médiane = 4 ans (75 % des cas ont moins de 15 ans). L'incidence calculée des brûlés hospitalisés à Mayotte est quatre fois celle de la métropole (62 vs 14/100 000 habitants). La surface cutanée brûlée moyenne est de 7,8 %. Les brûlures sont, pour 85 % des cas, dues à des accidents domestiques. Les liquides de cuisson et la cuisine au sol sont incriminés respectivement dans 64 % et 46 % des cas. Les brûlures par flamme représentent 21 % des cas mais restent la première cause chez l'adulte. Les appareils de cuisson ou d'éclairage au pétrole gazéifié (réchaud, lampe) sont retrouvés dans 66 % d'entre elles. CONCLUSION : Cette étude a permis de confirmer une impression admise par tous : le nombre important de jeunes enfants atteints de brûlures. Cependant, de nouveaux éléments sont identifiés ; c'est le cas des systèmes de cuisson ou d'éclairage au pétrole. Une prévention ciblée devrait pouvoir être organisée autour de deux axes principaux : prévention active sur l'aménagement du domicile et les habitudes culturelles néfastes ; prévention passive portant sur la réglementation normative des matériels importés dangereux. Mayotte dispose de nombreux atouts pour tester l'efficacité d'un programme de prévention de la brûlure à l'échelon d'une communauté.BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF

    Conseils aux voyageurs réunionnais

    No full text
    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Manifestations hépatiques graves au cours de l'infection par le virus chikungunya pendant l'épidémie de 2005-2006 à l'île de La Réunion

    No full text
    POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
    corecore