9 research outputs found

    Greenland Snow Evidence of Large Scale Atmospheric Contamination for Platinum, Palladium, and Rhodium

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    Since 1976 in the United States, Canada, and Japan, and later in other countries, the exhaust system of gasoline powered cars has been equipped with catalytic converters containing Pt and/or Pd and/or Rh. This has resulted in a very significant decrease in urban air pollution for various chemical species such as NOx, CO, and hydrocarbons. There has however been concern that their ever increasing use might lead to Platinum Group Metals (PGMs) becoming widely dispersed in the environment. From the analysis of Pt, Pd, and Rh in central Greenland recent snow and ancient ice using the ultrasensitive inductively coupled plasma sector field mass spectrometry technique, we show here that the concentrations of these metals in snow dated from the mid 1990s are indeed 40−120 times higher than in ice dated from 7000 years ago. The fact that such an increase is observed far away from populated areas at a high altitude location indicates there is now a large scale contamination of the troposphere of the Northern Hemisphere for PGMs. Pt/Rh mass ratio in the most recent snow samples is close to the same ratio documented for catalytic converter exhausts in a recent study, which suggests that a large fraction of the recent increase for Pt and Rh might originate from automobile catalytic converters

    Dépôts de métaux lourds sur le manteau neigeux alpin français : cartographie de flux et identification des sources ; impact de la météorologie et du relief

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    Within the framework of the Geneva Convention on long range transboundary pollution, the aim of this work is to propose heavy metal deposition map in the French Alps. To achieve that, ail the snowy precipitation from two consecutive winters (97-98 and 98-99) have been collected in 15 medium altitude sites (-2000m) located in remote areas of the Alps. We've then transposed the snow heavy metal concentrations into metal fluxes deposited for the time period concerned. Beyond this map-making work, this study is devoted to identify the metal sources, trying in particular to discriminate regional and long rang transport sources. To do so, we've used lead isotopic systematic, together with air masses back trajectories leading to the snow events. Two particular cases were developed. In the first one, snow and aerosols samples were collected at the same place to characterize the air/snow transfer. The second one shows the metals spatial distribution, as a function of altitude, and identify the valleys' emissions influence on metal deposition. The principals results of this work show that heavy metal deposition in the Alps is mainly influenced by its massive relief, which is the first real barrier to air masses coming from Atlantic. It turns out that pollutants are not coming from long range atmospheric transport but rather from regional sources (Rhone-Alpes region and Italy). This study also brings out that lead from automobile emissions is now negligible compared to industrial emissions, due to the increasing use of unleaded petro!.Dans l'optique de fournir un cadre scientifique aux politiques de réduction des émissions de polluants atmosphériques (Convention de Genève sur la pollution transfrontière et à longue distance) ce travail se propose d'établir une cartographie de dépôts de métaux lourds dans le massif alpin français. Pour ce faire, l'intégralité des précipitations neigeuses de deux hivers consécutifs (97-98 et 98-99) a été prélevée dans 15 sites de moyenne altitude (-2000m) du massif alpin, isolés de toute source de pollution locale. Nous avons ensuite transcris les concentrations de métaux dans la neige en flux de métal déposé pour la période concernée. Au delà de ce travail de cartographie, cette étude s'attache également à identifier les sources de métaux déposés dans le manteau neigeux, en essayant notamment de discriminer les sources régionales des sources issues d'un transport à longue distance. Pour ce faire, la démarche de l'analyse isotopique du plomb a été utilisée, en parallèle avec une analyse des trajectographies de masses d'air conduisant aux précipitations neigeuses sur les sites de prélèvement. Deux études de cas particuliers ont été développées. La première s'est attachée à caractériser le transfert air-neige, en collectant parallèlement des échantillons de neige et des filtres atmosphériques. La deuxième a permis de suivre la distribution spatiale des métaux en fonction de l'altitude et d'identifier ainsi l'influence des émissions de la vallée sur le dépôt. Les principaux résultats de ce travail montrent que le dépôt de métaux lourds dans le massif alpin est principalement gouverné par l'important relief de ce dernier, qui constitue le premier véritable obstacle aux perturbations d'origine atlantique, majoritaires en Europe en période hivernale. Les polluants s'avèrent avoir une origine plutôt régionale (Région RhôneAlpes et Italie) qu'issue d'un transport longue distance, ce qui est mis en évidence grâce à la composition isotopique du plomb. La détermination de cette signature fait également ressortir la contribution négligeable des émissions automobiles au plomb atmosphérique total, reflétant l'utilisation croissante de l'essence "sans plomb"

    Dépôts de métaux lourds sur le manteau neigeux alpin français : cartographie de flux et identification des sources ; impact de la météorologie et du relief

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    Within the framework of the Geneva Convention on long range transboundary pollution, the aim of this work is to propose heavy metal deposition map in the French Alps. To achieve that, ail the snowy precipitation from two consecutive winters (97-98 and 98-99) have been collected in 15 medium altitude sites (-2000m) located in remote areas of the Alps. We've then transposed the snow heavy metal concentrations into metal fluxes deposited for the time period concerned. Beyond this map-making work, this study is devoted to identify the metal sources, trying in particular to discriminate regional and long rang transport sources. To do so, we've used lead isotopic systematic, together with air masses back trajectories leading to the snow events. Two particular cases were developed. In the first one, snow and aerosols samples were collected at the same place to characterize the air/snow transfer. The second one shows the metals spatial distribution, as a function of altitude, and identify the valleys' emissions influence on metal deposition. The principals results of this work show that heavy metal deposition in the Alps is mainly influenced by its massive relief, which is the first real barrier to air masses coming from Atlantic. It turns out that pollutants are not coming from long range atmospheric transport but rather from regional sources (Rhone-Alpes region and Italy). This study also brings out that lead from automobile emissions is now negligible compared to industrial emissions, due to the increasing use of unleaded petro!.Dans l'optique de fournir un cadre scientifique aux politiques de réduction des émissions de polluants atmosphériques (Convention de Genève sur la pollution transfrontière et à longue distance) ce travail se propose d'établir une cartographie de dépôts de métaux lourds dans le massif alpin français. Pour ce faire, l'intégralité des précipitations neigeuses de deux hivers consécutifs (97-98 et 98-99) a été prélevée dans 15 sites de moyenne altitude (-2000m) du massif alpin, isolés de toute source de pollution locale. Nous avons ensuite transcris les concentrations de métaux dans la neige en flux de métal déposé pour la période concernée. Au delà de ce travail de cartographie, cette étude s'attache également à identifier les sources de métaux déposés dans le manteau neigeux, en essayant notamment de discriminer les sources régionales des sources issues d'un transport à longue distance. Pour ce faire, la démarche de l'analyse isotopique du plomb a été utilisée, en parallèle avec une analyse des trajectographies de masses d'air conduisant aux précipitations neigeuses sur les sites de prélèvement. Deux études de cas particuliers ont été développées. La première s'est attachée à caractériser le transfert air-neige, en collectant parallèlement des échantillons de neige et des filtres atmosphériques. La deuxième a permis de suivre la distribution spatiale des métaux en fonction de l'altitude et d'identifier ainsi l'influence des émissions de la vallée sur le dépôt. Les principaux résultats de ce travail montrent que le dépôt de métaux lourds dans le massif alpin est principalement gouverné par l'important relief de ce dernier, qui constitue le premier véritable obstacle aux perturbations d'origine atlantique, majoritaires en Europe en période hivernale. Les polluants s'avèrent avoir une origine plutôt régionale (Région RhôneAlpes et Italie) qu'issue d'un transport longue distance, ce qui est mis en évidence grâce à la composition isotopique du plomb. La détermination de cette signature fait également ressortir la contribution négligeable des émissions automobiles au plomb atmosphérique total, reflétant l'utilisation croissante de l'essence "sans plomb"

    Les myopathies auto-immunes

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    Les myopathies peuvent être primaires ou secondaires selon que la myopathie soit d'origine inconnue ou qu'elle soit la conséquence d'une autre pathologie. Dans le cadre des myopathies auto-immunes, on retiendra la dermatomyosite, la polymyosite, la myosite à inclusions, la myopathie nécrosante auto-immune ainsi que les myopathies de chevauchement. Ces dernières sont secondaires à des maladies du système. Alors que plusieurs classifications des myopathies sont disponibles depuis 1975, ces dernières ont subi de profonds changements avec les nouvelles avancées techniques et notamment la découverte de nouveaux biomarqueurs immuns. Ainsi, les auto-anticorps participent alors au diagnostic, qu'ils soient spécifiques ou associés, et font donc parties intégrantes des nouvelles classifications disponibles. En affinant le diagnostic posé, ces classifications ont également pour rôle de permettre une prise en charge plus adaptée voire même spécifique selon le type de myopathie. Les progrès touchent également les thérapeutiques puisque de nouvelles biothérapies ont vu le jour récemment offrant une bonne tolérance et une meilleure efficacitéLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    De l’(id)entité textuelle au cours du Moyen Âge tardif (XIIIe-XVe siècle)

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    International audienceLe présent ouvrage analyse la textualité médiévale, et surtout la manière traditionnelle de l’envisager comme un ensemble d’entités textuelles singulières. La priorité est accordée à l’examen de textes dont la circulation fut dynamique et qui, en conséquence, ont subi lors de leur diffusion des transformations de contenu, de forme ou de langue qui parfois confinent à la création d’œuvres nouvelles. Il s’agit d’établir dans quelle mesure il est légitime de considérer ces manifestations textuelles comme une seule œuvre ; puis de déterminer comment les auteurs, les copistes et les lecteurs de la fin du Moyen Âge percevaient les copies innovantes, les réécritures et les traductions
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