5 research outputs found

    Short Communication: Is Ethanol-Based Hand Sanitizer Involved in Acute Pancreatitis after Excessive Disinfection?—An Evaluation with the Use of PBPK Model

    Get PDF
    An occupational physician reported to the French Health Products Safety Agency (Afssaps) a case of adverse effect of acute pancreatitis (AP) in a teaching nurse, after multiple demonstrations with ethanol-based hand sanitizers (EBHSs) used in a classroom with defective mechanical ventilation. It was suggested by the occupational physician that the exposure to ethanol may have produced a significant blood ethanol concentration and subsequently the AP. In order to verify if the confinement situation due to defective mechanical ventilation could increase the systemic exposure to ethanol via inhalation route, a physiologically based pharmacokinetic (PBPK) modeling was used to predict ethanol blood levels. Under the worst case scenario, the simulation by PBPK modeling showed that the maximum blood ethanol concentration which can be predicted of 5.9 mg/l is of the same order of magnitude to endogenous ethanol concentration (mean = 1.1 mg/L; median = 0.4 mg/L; range = 0–35 mg/L) in nondrinker humans (Al-Awadhi et al., 2004). The present study does not support the likelihood that EBHS leads to an increase in systemic ethanol concentration high enough to provoke an acute pancreatitis

    Sécurité des protections pour incontinence

    No full text
    Les protections pour incontinence sont des dispositifs mĂ©dicaux (DM). En France, l’évaluation desdispositifs mĂ©dicaux est conduite par l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et desproduits de santĂ© (ANSM).L’Anses a instruit deux saisines relatives Ă  l’évaluation de la sĂ©curitĂ© de produits de consommationsimilaire : les protections intimes et les couches Ă  usage unique pour bĂ©bĂ©. Dans le cadre de cesexpertises, une analyse bibliographique a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e pour identifier les substances chimiquesprĂ©occupantes susceptibles d’ĂȘtre retrouvĂ©es, mĂȘme Ă  l’état de traces, dans ces produits, ainsiqu’une Ă©valuation quantitative de risques sanitaires Ă©ventuels liĂ©s aux substances dĂ©tectĂ©es ouquantifiĂ©es dans ces produits (Anses, 2018 et 2019).La composition et les procĂ©dĂ©s de fabrication Ă©tant similaires entre les protections pourincontinence, les couches pour bĂ©bĂ© et les protections intimes fĂ©minines, la Direction GĂ©nĂ©rale dela SantĂ© (DGS) et la Direction GĂ©nĂ©rale de la Concurrence, de la Consommation et de larĂ©pression des fraudes (DGCCRF) ont jugĂ© pertinent de saisir l’Anses, en plus de l’ANSM, afind’évaluer les risques Ă©ventuels liĂ©s au port de protections pour incontinence

    Sécurité des protections pour incontinence

    No full text
    Les protections pour incontinence sont des dispositifs mĂ©dicaux (DM). En France, l’évaluation desdispositifs mĂ©dicaux est conduite par l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et desproduits de santĂ© (ANSM).L’Anses a instruit deux saisines relatives Ă  l’évaluation de la sĂ©curitĂ© de produits de consommationsimilaire : les protections intimes et les couches Ă  usage unique pour bĂ©bĂ©. Dans le cadre de cesexpertises, une analyse bibliographique a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e pour identifier les substances chimiquesprĂ©occupantes susceptibles d’ĂȘtre retrouvĂ©es, mĂȘme Ă  l’état de traces, dans ces produits, ainsiqu’une Ă©valuation quantitative de risques sanitaires Ă©ventuels liĂ©s aux substances dĂ©tectĂ©es ouquantifiĂ©es dans ces produits (Anses, 2018 et 2019).La composition et les procĂ©dĂ©s de fabrication Ă©tant similaires entre les protections pourincontinence, les couches pour bĂ©bĂ© et les protections intimes fĂ©minines, la Direction GĂ©nĂ©rale dela SantĂ© (DGS) et la Direction GĂ©nĂ©rale de la Concurrence, de la Consommation et de larĂ©pression des fraudes (DGCCRF) ont jugĂ© pertinent de saisir l’Anses, en plus de l’ANSM, afind’évaluer les risques Ă©ventuels liĂ©s au port de protections pour incontinence

    Sécurité des protections pour incontinence

    No full text
    Les protections pour incontinence sont des dispositifs mĂ©dicaux (DM). En France, l’évaluation desdispositifs mĂ©dicaux est conduite par l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et desproduits de santĂ© (ANSM).L’Anses a instruit deux saisines relatives Ă  l’évaluation de la sĂ©curitĂ© de produits de consommationsimilaire : les protections intimes et les couches Ă  usage unique pour bĂ©bĂ©. Dans le cadre de cesexpertises, une analyse bibliographique a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e pour identifier les substances chimiquesprĂ©occupantes susceptibles d’ĂȘtre retrouvĂ©es, mĂȘme Ă  l’état de traces, dans ces produits, ainsiqu’une Ă©valuation quantitative de risques sanitaires Ă©ventuels liĂ©s aux substances dĂ©tectĂ©es ouquantifiĂ©es dans ces produits (Anses, 2018 et 2019).La composition et les procĂ©dĂ©s de fabrication Ă©tant similaires entre les protections pourincontinence, les couches pour bĂ©bĂ© et les protections intimes fĂ©minines, la Direction GĂ©nĂ©rale dela SantĂ© (DGS) et la Direction GĂ©nĂ©rale de la Concurrence, de la Consommation et de larĂ©pression des fraudes (DGCCRF) ont jugĂ© pertinent de saisir l’Anses, en plus de l’ANSM, afind’évaluer les risques Ă©ventuels liĂ©s au port de protections pour incontinence

    Sécurité des protections pour incontinence

    No full text
    Les protections pour incontinence sont des dispositifs mĂ©dicaux (DM). En France, l’évaluation desdispositifs mĂ©dicaux est conduite par l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et desproduits de santĂ© (ANSM).L’Anses a instruit deux saisines relatives Ă  l’évaluation de la sĂ©curitĂ© de produits de consommationsimilaire : les protections intimes et les couches Ă  usage unique pour bĂ©bĂ©. Dans le cadre de cesexpertises, une analyse bibliographique a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e pour identifier les substances chimiquesprĂ©occupantes susceptibles d’ĂȘtre retrouvĂ©es, mĂȘme Ă  l’état de traces, dans ces produits, ainsiqu’une Ă©valuation quantitative de risques sanitaires Ă©ventuels liĂ©s aux substances dĂ©tectĂ©es ouquantifiĂ©es dans ces produits (Anses, 2018 et 2019).La composition et les procĂ©dĂ©s de fabrication Ă©tant similaires entre les protections pourincontinence, les couches pour bĂ©bĂ© et les protections intimes fĂ©minines, la Direction GĂ©nĂ©rale dela SantĂ© (DGS) et la Direction GĂ©nĂ©rale de la Concurrence, de la Consommation et de larĂ©pression des fraudes (DGCCRF) ont jugĂ© pertinent de saisir l’Anses, en plus de l’ANSM, afind’évaluer les risques Ă©ventuels liĂ©s au port de protections pour incontinence
    corecore