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    Les crues de type cévenol : recherches sur le versant sud du Mont-Lozère (France)

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    1 tableau ; 5 figuresInternational audienceLes bassins versants du Mont-Lozère reçoivent des précipitations abondantes (2000 mm/an en moyenne). Mais leurs sols, sur granite, ont des vitesses de filtration très élevées. Les crues les plus violentes se produisent donc lors d'épisodes particulièrement pluvieux – de type "cévenol" – qui provoquent le débordement des nappes. Dans ces conditions, le rôle tampon du couvert végétal se révèle modeste. Pour expliquer la brutalité des montées de crue, l'hypothèse a été émise que l'engorgement en eau se propageait du haut vers le bas des versants, les crues se déclenchant lorsque les zones actives entraient en relation avec le réseau hydrographique. Cette hypothèse est examinée à la lumière des caractères morphologiques du bassin versant qui a servi de cadre à sa formulation. L'étude présente en outre les recherches qui ont été récemment entamées pour préciser les modalités de la genèse des crues

    Les crues de type cévenol : recherches sur le versant sud du Mont-Lozère (France)

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    1 tableau ; 5 figuresInternational audienceLes bassins versants du Mont-Lozère reçoivent des précipitations abondantes (2000 mm/an en moyenne). Mais leurs sols, sur granite, ont des vitesses de filtration très élevées. Les crues les plus violentes se produisent donc lors d'épisodes particulièrement pluvieux – de type "cévenol" – qui provoquent le débordement des nappes. Dans ces conditions, le rôle tampon du couvert végétal se révèle modeste. Pour expliquer la brutalité des montées de crue, l'hypothèse a été émise que l'engorgement en eau se propageait du haut vers le bas des versants, les crues se déclenchant lorsque les zones actives entraient en relation avec le réseau hydrographique. Cette hypothèse est examinée à la lumière des caractères morphologiques du bassin versant qui a servi de cadre à sa formulation. L'étude présente en outre les recherches qui ont été récemment entamées pour préciser les modalités de la genèse des crues

    Water table elevation controls on soil nitrogen cycling in riparian wetlands along a European climatic gradient

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    International audienceRiparian zones have long been considered as nitrate sinks in landscapes. Yet, riparian zones are also known to be very productive ecosystems with a high rate of nitrogen cycling. A key factor regulating processes in the N cycle in these zones is groundwater table fluctuation, which controls aerobic/anaerobic conditions in the soil. Nitrification and denitrification, key processes regulating plant productivity and nitrogen buffering capacities are strictly aerobic and anaerobic processes, respectively. In this study we compared the effects of these factors on the nitrogen cycling in riparian zones under different climatic conditions and N loading at the European scale. No significant differences in nitrification and denitrification rates were found either between climatic regions or between vegetation types. On the other hand, water table elevation turned out to be the prime determinant of the N dynamics and its end product. Three consistent water table thresholds were identified. In sites where the water table level is within -10 cm of the soil surface, ammonification is the main process and ammonium accumulates in the topsoils. Average water tables between -10 and -30 cm favour denitrification and therefore reduce the nitrogen availability in soils. In drier sites, that is, water table level below -30 cm, nitrate accumulates as a result of high net nitrification. At these latter sites, denitrification only occurs in fine textured soils probably triggered by rainfall events. Such a threshold could be used to provide a proxy to translate the consequences of stream flow regime change to nitrogen cycling in riparian zones and consequently, to potential changes in nitrogen mitigation
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