9,528 research outputs found

    Managing in Turbulent Times: The Corporate Responsibility Imperative

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    The theme of this meeting is "Managing in Turbulent Times" and, indeed, these are rocky times for managers of corporations. Enron, Woldcom, Arthur Anderson and now Nortel - the scandals keep coming in rapid order. Real world events have given Hollywood lots of material to work with and with the end of the cold war business has become the movie industry's new villain of choice. In five currently playing movies - the new version of The Manchurian Candidate, I Robot, The Bourne Conspiracy, Spiderman Two and even Catwoman - the corporation is the bad guy. There probably are not too many idealistic kids out there daydreaming about being corporate managers when they grow up. The corporation was originally invented by governments as a way to get useful things done on the cheap. If the wealth of the kingdom will be increased by developing the North American fur trade, why not let private investors organize the project and take the risks by giving them the incentive of greatly increasing their own person wealth

    The Doctrine of the Sanctuary in the Seventh-day Adventist Church: Three Approaches

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    This investigation studies the Adventist theology of the sanctuary as it found expression in the writings of Uriah Smith (1832-1903), Albion Fox Ballenger (1861-1921), and Milian Lauritz Andreasen (1876-1962). Not only does the selection of these three figures make it possible to deal with the subject of the sanctuary, but it also provides a good opportunity to observe certain important developments in the understanding of the sanctuary doctrine within the Adventist church, because of the strategic place each figure occupied in Adventism, historically and theologically. The study attempts not only to describe the sanctuary theology of the three figures, but also to provide interpretation and evaluation informed by the particular theological outlook of the respective figures. Chapter I points out that Smith, though he appreciated the doctrine of the sanctuary for its own sake, nevertheless used it to support and defend what to him were even more fundamental theological concerns. Three such concerns are identified: (1) the salvation-historical significance of 1844, (2) the perpetuity of the decalogue and the Sabbath, and (3) the imminence of the parousia. The perception of such underlying concerns contributes to a better grasp of Smith\u27s approach to the doctrine. It also aids in the identification of certain theological weaknesses. Chapter II shows that what motivated Ballenger was a basic concern for righteousness by faith and Christian assurance, undergirded by a strong evangelist orientation. It was this concern which led him to a radical revision of the historical Adventist understanding of the doctrine of the sanctuary. This reinterpretation provides positive insights into the doctrine, but also proves unsound in some of its basic assumptions and conclusions. Chapter III makes clear that in those aspects of the doctrine which he emphasized, Andreasen, too, was motivated by an overriding theological concern--a concern for the sinless perfection of an eschatological Remnant. Emphasizing a three-phase process of atonement, he suggested that it was the third phase occurring in the most holy place of the heavenly sanctuary which effected the perfecting of the saints. Andreasen\u27s position, though basically traditional, shows several departures from Uriah Smith, mostly on non-major points. At the same time, Andreasen echoes Ballenger at many points. But while it would be possible to combine the views of Smith and Andreasen into a coherent Adventist theology of the sanctuary, the position of Ballenger represents too radical a departure to be included in such a merger. The dissertation concludes that, bearing in mind the passage of time and a changed cultural setting, a contemporary Adventist approach to the doctrine of the sanctuary might benefit from some modifications in terms of method, language, and content. In addition, some of the major facets of the doctrine (for example the investigative judgment, the relationship of the cross to the antitypical day of atonement) may need to be expressed with greater theological precision. Moreover, Adventism may need to develop a greater degree of theological confidence in its approach to the subject so as to assure a climate conducive to new approaches, as well as a serious, critical appraisal of problems still outstanding

    2. Theology of Questions on Doctrine: Issues Surrounding the Nature of Christ and the Atonement

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    Pape

    The Press in a Black Robe

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    The Press in a Black Robe

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    Toward a More Competent Labour Force: A Training Levy Scheme for Canada

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    Une des principales recommandations de la Commission sur les congés éducatifs et la productivité (instituée par Travail-Canada en 1978 et dont le Rapport a été remis en octobre 1979) consiste à imposer à l'industrie canadienne un prélèvement égal à un demi de un pour cent de la liste de paie annuelle. Toute entreprise qui ne consacrerait pas cette somme à la formation professionnelle en remettrait la différence au gouvernement. Par ailleurs, les entreprises qui l'utiliseraient à cette fin bénéficieraient d'un abattement d'impôt supérieur à l'argent ainsi dépensé. C'est la politique du bâton et de la carotte: on pénalise les entreprises qui n'assument pas leurs responsabilités; on récompense celles qui les acceptent.Pourquoi une telle mesure? Comment peut-elle fonctionner? Quel en est le coût? Que peut-elle accomplir?D'abord, pourquoi une contribution de l'industrie à un tel projet? La capacité de production d'une économie dépend de plusieurs facteurs, mais l'un des plus importants est la compétence de la main-d'oeuvre. Beaucoup d'études ont permis de constater que l'éducation favorise la croissance économique et la productivité. Et ceci s'impose au Canada parce que la grande majorité des adultes n'ont pas reçu une formation professionnelle systématique à l'école primaire et secondaire, celle-ci étant repoussée au niveau post-secondaire. Bien plus, l'enseignement post-secondaire est loin d'être toujours orienté vers la formation professionnelle. On peut même affirmer que la moitié des diplômés des universités ne travaillent pas dans des emplois découlant de la discipline qu'ils ont choisie.Puisque la plupart des canadiens n'ont pas reçu de formation professionnelle, il faut faire en sorte que l'industrie prenne la relève, mais les faits démontrent que l'industrie n'offre que peu d'occasions aux individus d'acquérir les connaissances nécessaires pour qu'ils soient pleinement efficaces dans le monde du travail actuel. L'enquête effectuée par la Commission en 1978 a révélé que vingt pour cent à peine des entreprises favorisent la formation, que quinze pour cent des employés y participent et qu'ils n'y consacrent en moyenne que sept jours. Même si beaucoup d'adultes souhaitent acquérir une meilleure formation, de nombreuses barrières de temps, de coût et d'éloignement leur en rendent l'accès difficile. Les gens de la classe moyenne, déjà engagés dans des carrières intéressantes, en profitent tandis que ceux qui en auraient le plus besoin sont les derniers à y participer. D'autre part, le gouvernement dépense 600 millions par année, mais le programme ne répond pas aux attentes.Résultat de cet état de choses: il y a un manque chronique de travailleurs qualifiés; les cadres des entreprises se font rares; les changements technologiques forcent une partie de la main-d'oeuvre à se retirer du marché du travail; dans l'ensemble, les travailleurs canadiens ne sont pas satisfaits de leurs chances de promotion et, finalement, le manque de formation pose des problèmes de discrimination et de productivité.Dans les circonstances, la prescription d'un impôt à l'industrie aux fins d'éducation est la meilleure façon de corriger la situation actuelle, et cela pour plusieurs raisons. Les porte-parole de l'industrie se sont déclarés mécontents de l'enseignement secondaire tel qu'il est présentement donné. L'impôt leur fournirait le moyen d'obtenir des institutions d'enseignement des programmes qui répondent mieux à leurs besoins et les inciterait à investir dans le développement des ressources humaines. L'impôt aurait pour effet de répartir également sur tous le fardeau de la formation. Ce système permettrait de combiner les études scolaires et la formation en industrie.Comment un tel projet peut-il fonctionner? D'une part, le gouvernement fédéral pourrait unilatéralement augmenter le fardeau des taxes des entreprises jusqu'à une somme égale à un demi de un pour cent de leur liste de paie, tout en leur permettant de déduire plus de cent pour cent des montants qu'elles auraient consacrés aux fins d'éducation si le taux de un demi de un pour cent est atteint. Chaque province pourrait voter une loi dans le même sens. En effet, la législation concurrente est désirable à la fois parce que l'éducation relève de la compétence des provinces et parce qu'il se peut qu'une province en particulier, si elle agissait de sa seule initiative, puisse hésiter à établir un nouvel impôt, de peur de placer dans une situation désavantageuse les entreprises qui se trouvent sur son territoire.Une fois l'impôt établi, une grande firme pourrait entrer en contact avec une université ou un collège des environs et mettre au point un programme d'études qui serait en quelque sorte taillé sur mesure pour répondre à ses besoins en formation de main-d'oeuvre. Les entreprises de plus petites dimensions pourraient également se regrouper dans le même but.D'autre part, les employeurs déduiraient non seulement les dépenses relatives à la formation, mais aussi le coût de la rémunération de ceux qui obtiennent congé pour suivre des cours. Les employés suivraient ces cours à raison de deux semaines à l'automne et ils auraient entre-temps des travaux à faire à la maison. Le principal objectif de cet impôt est d'encourager le développement de programmes d'études appropriés.Ceci, cependant, ne veut pas dire qu'on négligerait pour autant la formation en usine, car il se trouvera toujours des travailleurs qui seront dans l'impossibilité de suivre des cours.Quel serait le coût d'un pareil projet?En 1978, le total des revenus tirés du travail au Canada s'établissait approximativement à 130milliardsdont130 milliards dont 27 milliards pour les entreprises sans but lucratif. Étant donné que ce prélèvement est assimilable à un impôt qui ne s'appliquerait qu'au secteur privé, cela représenterait environ 515millions.Onpeutespeˊrer,toutefois,qu′unprojetsuppleˊmentaireseraitmisaupointquiobligeraitlesecteurpublicaˋassumersapartderesponsabiliteˊenmatieˋred′eˊducation,cequipermettraitd′arriveraˋunesommeglobaled′aˋpeupreˋs515 millions. On peut espérer, toutefois, qu'un projet supplémentaire serait mis au point qui obligerait le secteur public à assumer sa part de responsabilité en matière d'éducation, ce qui permettrait d'arriver à une somme globale d'à peu près 650 millions par année. Le prélèvement fonctionnerait au départ comme une nouvelle taxe, mais la mesure stipulerait que si lesemployeurs dépensent aux fins d'éducation un demi de un pour cent de leur liste de paie, leur revenu imposable serait abaissé de cent vingt pour cent de la somme qu'ils auraient déboursée.Si l'industrie consacrait à la formation la somme totale du prélèvement, il lui en coûterait 412millionsetlapartdel′Eˊtatseraitde412 millions et la part de l'État serait de 103 millions. La réaction initiale du gouvernement et des employeurs est de trouver le projet trop onéreux. Une enquête récente a révélé que l'absentéisme coûte 21millionschaquejour,soit21 millions chaque jour, soit 5 milliards par année. En regard de ce chiffre, $515 millions est une somme minime. Une réduction de dix pour cent de l'absentéisme rembourserait le coût du projet et il y aurait bien d'autres motifs pour démontrer que le fardeau financier est beaucoup moins lourd qu'il n'y paraît de prime abord, d'autant plus que plus de soixante pour cent du coût à absorber par les employeurs consisterait en du temps perdu qui ne se traduirait pas nécessairement par une baisse de la production.Que peut-on accomplir grâce à ce système? À long terme, cette mesure permettrait d'avoir une économie davantage orientée vers les valeurs de l'éducation, d'ouvrir de nouvelles carrières aux jeunes et aux femmes, de mettre fin au manque chronique de travailleurs qualifiés, de favoriser la formation d'un corps de dirigeants plus compétents et, finalement, de faire réaliser à la productivité un bond marqué.Pour conclure, il faut souligner que, s'il était judicieusement appliqué, non seulement ce programme serait-il payant en lui-même, mais il rapporterait aussi des dividendes aux individus, à l'industrie et à l'économie dans son ensemble.A Commission of Inquiry on Educational Leave and Productivity recommended the establishment of a training levy scheme in Canada. In this paper the author discusses why such a scheme is necessary, how it might work, what it might cost, and what it would accomplish

    The Federal Government and Tripartism

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    Depuis la deuxième guerre mondiale, la plupart des pays occidentaux ont établi un système de prise de décision tripartite qui regroupe les syndicats, les associations d'employeurs et l'État en vue de rechercher un consensus en matière de politique économique et sociale. Ce système est fondé sur la conviction que la structure et le processus de prise de décision est un facteur décisif dans la poursuite des objectifs socio-économiques. Sans l'appui du monde du travail et du milieu des affaires, l'action unilatérale de l'État, se fondant sur la seule théorie économique, ne peut guère être fructueuse. Les pays d'Europe qui ont instauré des systèmes tripartites (notamment le Danemark, la Norvège, la Suède, la Hollande et la Belgique) ont mieux réussi durant la dernière décennie que les États-Unis et le Canada où le tripartisme est sous-développé.Apparemment, le gouvernement fédéral canadien se rend compte de la désirabi-lité de s'orienter vers une politique de consensus comme le laissent entendre les déclarations des ministres et du premier ministre lui-même. Le gouvernement fédéral n'a pas voulu cependant prendre les mesures nécessaires pour instituer un système tripartite efficace. Dans de tels systèmes qui fonctionnent bien, l'État négocie fondamentalement la politique socio-économique avec les principaux représentants du monde du travail et du milieu des affaires et il s'engage à mener à bonne fin les décisions consensuelles qui résultent du processus de négociation. Le gouvernement canadien, toutefois, refuse de négocier avec les syndicats et les associations d'employeurs et veut absolument que tout processus de recherche d'un consensus soit multipartite et de nature consultative. De plus, il refuse de s'engager à mettre en vigueur quelque décision consensuelle. En règle générale, il consulte les différents groupes d'intéressés mais, par la suite, il applique des politiques qui, le plus souvent qu'autrement, ignorent au lieu d'incorporer les points de vue qui ont été exprimés. À cause de la répugnance du gouvernement à faire des concessions valables et à poursuivre une action efficace, on retrouve dans le monde du travail et le milieu des affaires la conviction que l'État ne désire pas sincèrement réaliser de consensus, mais plutôt les consulter en vue d'obtenir leur acquiescement à ses projets déjà arrêtés.En outre de la volonté du gouvernement de s'en tenir à un multipartisme consultatif et à son insistance, effectivement fausse, à affirmer que « la Couronne ne négocie pas », il y a plusieurs autres aspects du contexte canadien qui militent contre un tripartisme efficace.Le monde du travail et le milieu des affaires sont divisés et on trouve beaucoup de réticence à l'intérieur de ces groupes à donner aux organisations centrales le mandat de négocier la politique socio-économique. Nombre de sujets importants exigent par ailleurs la coopération fédérale-provinciale pour qu'on puisse passer aux actes.Pour ces motifs, il n'est nullement certain qu'un tripartisme efficace en résulterait, même si le gouvernement acceptait de négocier de bonne foi avec les représentants des organismes centraux des salariés et des employeurs. À moins que l'on ne s'entende pour le faire, cependant, il n'y a véritablement aucune chance qu'un tel système puisse être institué. Si l'affirmation selon laquelle le consensus du monde du travail, du milieu des affaires et de l'État est juste, tel qu'incite à le penser l'expérience de plusieurs pays occidentaux, le Canada est peut-être mûr pour des jours difficiles.Some of the most highly developed tripartite Systems have been established in the Scandinavian countries, in Holland and in Belgium. The difficulties in implementing such a System in Canada are examined

    Competing Paradigms in Industrial Relations

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    En dépit d'étude conceptuelles et théoriques, la discipline des relations professionnelles continue à demeurer un domaine ambigu. D'une part, on utilise cette expression pour signifier un univers empirique de phénomènes et, d'autre part, pour désigner la discipline qui étudie ces phénomènes. Malheureusement, on ne s'entend pas, règle générale, sur le contenu de cet univers ou sur la nature de ce domaine d'étude.Certains estiment que l'univers des phénomènes en matière de relations professionnelles consiste essentiellement à traiter des questions syndicales et de la négociation collective. Tandis que, pour d'autres, il comprend tous les aspects des rapports du travail. Un inventaire des publications qui traitent de relations professionnelles indique que, objectivement, c'est la définition la plus large qui décrit le mieux la nature de cette discipline. Toutefois, les auteurs de manuels englobent rarement tout le domaine des relations professionnelles. En associant relations de travail, syndicats et négociation collective, ils perpétuent la confusion.Le premier objectif des théoriciens en relations du travail a été d'intégrer des traditions conceptuelles et théoriques variées en un tout cohérent, mais il n'en a découlé aucune tradition de recherche unifiée. Au contraire, en tant que discipline, les relations professionnelles continuent à consister en plusieurs courants de pensée et de recherche plus ou moins distincts. On a soutenu que l'intégration n'a pas abouti parce que les normes et les hypothèses des principales traditions de recherche qui ont étudié l'univers des relations du travail sont contradictoires et fortement opposées les unes aux autres.L'école du marché du travail et l'école sociale sont de types déductifs. On ne voit dans le monde du travail et du patronat que des abstractions: dans le premier cas, l'intérêt personnel d'individu; dans le deuxième cas, l'intérêt personnel de classes. L'école du marché du travail considère que les acteurs sont motivés par des objectifs économiques, alors que les théoriciens politiques attribuent le comportement des acteurs à la volonté de prendre le pouvoir et de s'y maintenir. Sur le plan normatif, les tenants de l'école du marché du travail jugent par rapport au critère de l'efficacité du marché, tandis que la norme de l'école politique est la justice sociale.Le patronat et les institutions d'enseignement sont surtout de type inductif. L'objectif de l'école du patronat n'est pas d'expliquer les relations patronales-ouvrières, mais plutôt de découvrir les moyens d'accroître la productivité du travail. Pour atteindre cette fin, les tenants de cette tradition ont procédé à des recherches intensives sur la nature du comportement humain au travail et tiré le portrait d'un travailleur aux agissements complexes qui s'oppose à la fois àl’homo economicus fort simple que l'on rencontre dans le courant de pensée du marché du travail et à laclasse ouvrière des courants de la pensée politique.À l'origine, les institutions d'enseignement ont mis l'accent sur la réaction (principalement une réaction collective) des travailleurs face au capitalisme. La recherche sur ce point a débouché sur un intérêt prédominant pour la négociation collective. Au point de vue normatif, les professeurs en institution soutiennent que la négociation collective est une forme de démocratie qui est compatible avec l'efficacité du marché (l'objectif normatif de l'école du marché du travail), la justice sociale (les objectifs normatifs des marxistes) et la productivité du travail (l'objectif normatif de théoriciens du patronat). En général, les professeurs en institution ont accordé leur appui aux politiques gouvernementales de la négociation collective. Au contraire, les autres écoles se sont montrées, soit hostiles, soit, au mieux, indifférentes à la négociation collective.Depuis la deuxième guerre mondiale, une cinquième école a commencé à se former qui est fondée sur le concept de système de relations du travail. À cause de problèmes conceptuels et théoriques en relations avec les spécifications de l'idée de système, ces traditions ne se sont pas développées sans à-coups. Toutefois, des travaux conceptuels récents ont dégagé un ensemble de principes qui devraient permettre le développement d'une tradition cohérente de recherche parmi ceux qui considèrent les relations professionnelles comme leur premier centre d'intérêt.En se basant sur des travaux récents, on soutient qu'on devrait concevoir les systèmes de relations professionnelles selon une approche distincte et séparée de l'étude de l'univers des relations industrielles plutôt que comme une synthèse des courants de pensée traditionnels. Considéré dans la perspective systémique, le rôle des relations professionnelles est d'identifier et de décrire la structure et le processus des relations entre le travail (sous ses aspects individuel et collectif), les employeurs et l'État dans des entreprises, des industries et des pays différents. Au lieu d'être jugé en fonction d'un seul critère majeur (c'est-à-dire l'efficacité du marché, la productivité des travailleurs, la justice sociale ou la démocratie industrielle), la tâche des chercheurs est de répartir les aménagements des systèmes de relations industrielles en fonction des buts poursuivis par les divers acteurs. Pour ceux qui considèrent que leur rôle est de comprendre, d'expliquer, de prévoir et de contrôler les relations entre le travail, le patronat et l'État, cette façon de procéder devrait être supérieure aux autres.Despite the statute which the field of industrial relations has achieved, many essential issues regarding its nature and purpose continue to be controversial. There has emerged no universally accepted definition of the term industrial relations. The author at-tempts to demonstrate that the failure is the result of underlying conceptual structure of the field
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