11 research outputs found

    Surveillance biologique des piscines. I. - Aspect général. Données bactériologiques, virologiques et mycologiques

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    Un bassin de natation étant en quelque sorte une "baignoire collective", les risques de contamination microbiologique (par bactéries, virus, champignons, parasites) ne sont pas négligeables. Les contrôles microbiologiques de l'eau (en profondeur et en surface) comportent les tests bactériologiques courants (les streptocoques fécaux semblent particulièrement intéressants) associés à la recherche des germes pathogènes (Staphylocoques, Ps. aeruginosa...), dont la présence est à craindre dans le "film superficiel" qui, de par sa constitution, les protège de l'action du désinfectant ; les nombreux résultats obtenus montrent que c'est à ce niveau que la pollution est maximale. Toutefois, il convient de ne pas se limiter à ces seules recherches mais de développer les examens virologiques, mycologiques et parasitologiques

    Perception par l'usager des facteurs d'environnement à l'intérieur des établissements de natation ouverts au public à Paris

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    A l'heure actuelle, il existe peu de données rendant compte de l'opinion des baigneurs quant à la qualité de l'environnement des piscines qu'ils fréquentent. Il en est de même de l'évaluation de la fréquence de certaines affections cutanées, oculaires et ORL susceptibles d'être contractées dans ce type d'établissement. Devant cette situation, le Laboratoire d'Hygiène de la Ville de Paris a réalisé, en préalable à une étude épidémiologique indispensable, une enquête dont le plan de sondage a été établi par l'Observatoire Régional de la Santé d'Ile-de-France. La base de sondage est constituée par 28 piscines municipales de la Ville de Paris correspondant à plus de 6 000 entrées par semaine. Le critère de stratification retenu est l'ancienneté des établissements. Le tirage au sort a conservé un échantillon de 14 établissements et, sur une période de deux mois et demi (mi-avril début juillet 1988), 955 baigneurs ont été interrogés. Les principales rubriques abordées dans le questionnaire concernent la fréquence et la durée du bain, les motivations de l'usager dans le choix d'un établissement, les sensations de gêne éprouvées et liées à l'environnement du bassin (aération, température, odeur, bruit, éclairage) ainsi que les troubles cutanés et oculaires attribués à la fréquentation de ce type d'installation. Cette enquête vise à mieux connaître les réactions favorables ou défavorables de l'usager et plus particulièrement les "nuisances" réellement ressenties. Celles-ci permettront peut être de définir, à la suite d'une approche épidémiologique et en complément des contrôles sanitaires réglementaires, de nouveaux critères d'évaluation de la qualité globale des établissements de natation

    Qualité bactériologique des eaux distribuées dans l'habitat à Paris en 1984

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    L'expérience acquise depuis plus de dix ans à Paris, très certainement en France, est fondée sur le contrôle sanitaire systématique de très nombreux points d'eau dans l'habitat (1605) et des bâtiments publics (45), sur la vérification systématique de la qualité des eaux avant la mise en service des immeubles neufs rénovés en totalité (1708), enfin sur l'étude analytique et technique des doléances formulées par les usagers (657). Ces divers types d'interventions ont permis, par l'étude de la flore bactérienne dominante des échantillons «contaminés», de déterminer l'origine présumée contaminants observés (fécale, non strictement fécale, hydro tellurique), de éventuellement les causes techniques et/ou sanitaires de ces contaminations donc de contribuer à l'amélioration de la conception et de l'entretien des réseaux intérieurs des immeubles (tuyauteries, bâches de surpression, ballons, dispositifs de protection, post-traitements, appareils ménagers...). Dans cet esprit, de Legionella, encore difficile (226 échantillons analysés), constitue un témoin de déficiences techniques des circuits de distribution et de systèmes de traitement d'air

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    Preferred Fourth-Line Pharmacotherapy for Resistant Hypertension: Are We There Yet?

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    © 2017, Springer Science+Business Media New York. Resistant hypertension (RH) is defined as blood pressure (BP) that remains above target levels despite adherence to at least three different antihypertensive medications, typically including a diuretic. Epidemiological studies estimate that RH is increasing in prevalence, and is associated with detrimental health outcomes. The pathophysiology underlying RH is complex, involving multiple, overlapping contributors including activation of the renin-angiotensin aldosterone system and the sympathetic nervous system, volume overload, endothelial dysfunction, behavioural and lifestyle factors. Hypertension guidelines currently recommend specific pharmacotherapy for 1st, 2nd and 3rd-line treatment, however no specific fourth-line pharmacotherapy is provided for those with RH. Rather, five different antihypertensive drug classes are generally suggested as possible alternatives, including: mineralocorticoid receptor antagonists, a1-adrenergic antagonists, a2-adrenergic agonists, ß-blockers, and peripheral vasodilators. Each of these drug classes vary in their efficacy, tolerability and safety profile. This review summarises the available data on each of these drug classes as a potential fourth-line drug and reveals a lack of robust clinical evidence for preferred use of most of these classes in the setting of RH. Moreover, there is a lack of direct comparative trials that could assist in identifying a preferred fourth-line pharmacologic approach and in providing evidence for hypertensive guidelines for adequate treatment of RH
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