736 research outputs found

    Evidence Based Care for Iraqi, Kurdish, and Syrian Asylum Seekers and Refugees of the Syrian Civil War: A Systematic Review

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    A systematic review of literature reporting on the prevalence of assessment measures, treatments, and biomarkers used in the diagnosis and treatment of PTSD in Iraqi, Kurdish, and Syrian refugees was undertaken. A search of medical, psychological, and sociological databases was conducted on all relevant literature published between January 2011 and March 2016. Seventeen manuscripts met the study inclusion criteria. Seven assessment measures were used in more than one study, four of which were clinically administered (Vivo checklist of war, detention, and torture; Clinically Administered PTSD Scale (CAPS); Mini International Neuropsychiatric Interview; and Hamilton Depression Scale) and three of which were self-report measures (Harvard Trauma Questionnaire (HTQ); Hopkins Symptom Checklist-25 (HSCL-25); Post Migrational Living Difficulties (PMLD). Two studies reported on psychological treatment, both of which administered Narrative Exposure Therapy (NET); no other systematic psychological treatments were identified. Several biomarkers were investigated but only in a single study each, including MRI of lateral prefrontal regions, right inferior parietal cortex, and bilateral isthmus of the cingulate, EEG event-related potentials, hypercortisolemia, and elevated heart rate. Based on these findings, we advocate the use of the HTQ, HSCL-25 and PMLD to exclude PTSD non-cases, and the CAPS for diagnosis of PTSD in Iraqi, Kurdish, and Syrian refugees in Canada. We further suggest NET as the psychological treatment currently with the strongest evidence-base in this population. Finally, we advocate continued research into biomarkers as a means of improving and objectifying psychological assessment and treatment of PTSD in Canadian refugee populations

    Systèmes de croyance Niomankas et gestion des ressources naturelles de mangroves

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    peer reviewedLe concept de «savoirs endogènes» constitue actuellement l’un des axes majeurs de la réflexion autour de la problématique de la conservation de la biodiversité. En effet, on se rend de plus en plus compte que l’activité de conservation de la diversité biologique, qui met à contribution les organisations locales, les structures étatiques et les ONG environnementales, ne peut pas seulement s’appuyer sur les connaissances scientifiques. La réflexion autour des savoirs écologiques locaux (Technical Ecological Knowledge [TEK]), et leur valorisation, apparaît comme une solution pour une gestion durable et viable des écosystèmes marins et côtiers, en particulier pour les forêts de mangrove du Siné-Saloum. Au Sénégal, l’ensemble du littoral subit depuis plusieurs décennies les effets de la désertification. Les initiatives se multiplient dans la Réserve de la Biosphère du Delta du Saloum [1]*** (RBDS) pour réhabiliter les écosystèmes côtiers. Il serait intéressant de voir quels peuvent être les apports des savoirs locaux, ceux des Niominka et Socé, dans la dynamique globale de conservation de la biodiversité écologique. Au moment où des plans de gestion de la mangrove [2] sont en train d’être conçus, il serait bon d’intégrer les savoirs écologiques endogènes dans le processus de leur conception et de mise en œuvre. En effet, dans le jeu des interactions entre communautés locales et ONG, donc intervenants extérieurs, il peut arriver que des réactions de rejet se manifestent. S’il en est ainsi, c’est parce que les ONG sont parfois porteuses d’initiatives qui ne tiennent pas compte des manières de penser, des rapports qui lient la nature aux populations autochtones, des systèmes de conception, de représentation et d’occupation de l’espace ou d’appropriation des ressources. Chez les Niominkas du Siné-Saloum, il existe des croyances et perceptions qui ont eu un impact positif sur la protection de l’environnement. Selon l’anthropologue sénégalais Massaer Diallo [3], «si ce que l’on appelle aujourd’hui “le respect de l’environnement” et la “gestion durable des ressources naturelles” a des cas équivalents dans des cultures et sociétés dites traditionnelles (régies par des logiques endogènes et anciennes), c’est parce que ces dernières étaient fondées sur une conception, des règles et valeurs qui impliquaient voire édictaient un rapport harmonieux ou équilibré avec la nature (physique, animale et végétale)». En voici quelques illustrations. La sacralisation de Jiffa, Péthiamak, chez les Sérères de Djilor, fait que ces sites — même si ce n’était pas l’objectif recherché — sont aujourd’hui les moins agressés dans la communauté rurale [4]. L’injonction du génie protecteur du Loog, Laga ndong, de ne parler que le sérère dans la zone de pêche Niamokine — dans un pays où l’écrasante majorité parle wolof — a favorisé le contrôle du bolong par les Niominkas et la limitation de l’exploitation de ses ressources aux autochtones. De plus, l’islamisation des sociétés traditionnelles sérères a introduit un rapport de type nouveau entre l’homme et la nature parce que le fait de couper un arbre ou tout simplement des feuilles d’arbres sans en avoir besoin est associé à un péché. Celui qui abuse de la ressource végétale est selon le Coran un pécheur. En planter, c’est attirer la miséricorde divine sur soi, dit-on dans le texte sacré des musulmans. Ces représentations religieuses ont donc des incidences sur l’équilibre de la nature. Les savoirs écologiques locaux présentent un intérêt bien particulier mais il faut se garder de faire de l’ethnologisme. Et puis, il y a chez les Niominka une forte croyance selon laquelle la mangrove est un don de Dieu. Par conséquent, la pérennité des ressources qu’elle génère est garantie par une divinité. Quelle est la place de ces croyances dans le processus de désintégration des forêts de mangrove dans le Siné et le Saloum? Le présent article tente de fournir des éléments d’appréciation sur la place des savoirs locaux dans la conservation de la diversité biologique chez les communautés Niominka de la RBDS

    Étude préliminaire sur l'incorporation de liants dans un aliment composé pour poisson d'élevage en Côte d'Ivoire

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    Artificial feeding constitutes a very important aspect for intensive fish culture. Then, the physical properties, particularly water stability of feed, wider influence the fish production. By trying to find some answers to these problems, a preliminary study on water stability has been conducted at the LAYO aquaculture research station. This work consisted in incorporating different types of binders available in tropical countries in fish pellets of 3.5 mm and 6.0 mm diameters in order to identify an efficient binder allowing the improvement of the water stability of feed. From this experiment, it comes out that the use of wheat flour (A1) gives excellent quality pellets followed by cassava flour residue (A3). Moreover, this study shows that it exists an influence of the diameter on the crumbling of the pellets

    An on-farm study of Striga as constraint to improved sorghum cultivar production in Mali

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    Sorghum (Sorghum bicolor) is the most important food crop in savanna areas of the West and Central Africa (WCA) region, including Mali, where grain yield averaged 0.71 t in 1999 (FAO 2001). Improved caudatum sorghum cultivars have not been widely adopted in Mali (Yapi and Debrah 1998). However, some of these cultivars such as ICSV 1063 and ICSV 1079 were introduced in the Kolokani area (about 130 km north of Bamako) by Catholic missionaries in the late 1980s. They have since spread and are being cultivated under the name “Gadiabani” by many farmers in over 100 villages (SEPD 1995)

    Identification des usages de Sclerocarya birrea (A. Rich) hoscht dans la zone du Ferlo (Senegal) et evaluation du potentiel biochimique et nutritionnel de son fruit

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    Le prunier d’Afrique ou Sclerocarya birrea est un arbre fruitier de la famille des Anacardiaceae, qui fournit aux populations des fruits consommables pendant la période de soudure. Bien que présente dans les régions à climat soudano-sahélien du Sénégal, sa zone de prédilection demeure le Ferlo. Elle y fait l’objet de réhabilitation dans la mise en place du programme de l’Union Africaine dite de la muraille verte. Malheureusement, peu d’études scientifiques n’ont encore fait mention de la composition nutritive des fruits issus de cette zone. Dans le cadre de la reconstitution du couvert végétal des zones arides, la connaissance des relations entre l’homme et son milieu s’avère importante. Ainsi, la présente étude est entreprise dans le but de connaître les usages de Sclerocarya birrea et les potentialités qu’offre son fruit. Des enquêtes ethnobotaniques ont permis de recueillir les connaissances sur les usages de l’espèce dans la zone du Ferlo (Sénégal). Des échantillons de fruits mûrs récoltés ont été analysés grâce à des techniques de dosages normalisés et conventionnelles. Les résultats révèlent que les populations du Ferlo connaissent bien S. birrea, dont l’usage médicinal est de loin le plus important (79%). En usage médicinal, les organes végétaux les plus utilisés sont les écorces et les feuilles. Les résultats obtenus sur la pulpe du fruit montrent qu'elle constitue une bonne source en vitamine C, en sucres, en Calcium, Magnésium, Potassium, Sodium et en Polyphénols totaux. L'huile de l'amande présente des caractéristiques qui dans l'ensemble restent dans la norme admise pour les huiles alimentaires. Ces résultats sont marqués par une forte variabilité de la composition physico-chimique qui semble être liées aux variations des conditions édaphiques et climatiques. Il ressort de cette analyse que le fruit de S. birrea constitue une excellente source de nutriments et peut valablement combler certaines carences nutritionnelles des populations autochtones. Par ailleurs, le fruit présente aussi des potentialités de transformation et de conservation qui doivent être explorées.Mots clés:  Sclerocarya birrea, fruits, usages, valeurs nutritionnelles, polyphénols, vitamine C, variabilité, FerloEnglish AbstractThe present study was undertaken to know the uses and some nutritional potentials of Sclerocarya birrea. The African plum tree called Sclerocarya birrea is a fruit tree of the Anacardiaceae family, which provides populations some consumable fruits during the lean season. Although it is present in Sudano-Sahelian regions of Senegal, its favorite repartition zone is the Ferlo. Sclerocarya birrea is being rehabilitated in the framework of the implementation of the African Union program called the “Green Wall”. Unfortunately, no scientific studies have mentioned the nutritional content of fruits coming from this area. In the context of the reconstitution of the vegetation cover, knowledge of the relations between man and his environment is important. Thus, the present study is undertaken with the aim of knowing the uses of Sclerocarya birrea and its fruits attibutes. According to that, ethnobotanical surveys have gathered knowledge on the species' uses in the Ferlo area (Senegal). Samples of ripe fruits harvested were analyzed using standard and conventional assay techniques. The results revealed that the populations of the Ferlo are well acquainted with Sclerocarya birrea and that its medicinal use is by far the most important (79%). In medicinal use, the most commonly used plant organs are barks and leaves. The results obtained on the pulp of the fruit showed that it is a good source of vitamin C, sugars, Calcium, Magnesium, Potassium, Sodium and total polyphenols. The almond oil has characteristics that remain within the accepted food standards. These results are marked by a high variability in the physicochemical composition, which appears to be linked to variations in edaphic and climatic conditions. The analysis shows that the fruit of Sclerocarya birrea is an excellent source of nutrients and can validly fill certain nutritional deficiencies of indigenous peoples. The fruit also has potential for transformation that needs to be explored.Keywords: Sclerocarya birrea, fruits, uses, nutritional values, polyphenols, vitamin C, variability, Ferl

    Combined on-farm effect of plot size and sorghum genotype on sorghum panicle-feeding bug infestation in Mali

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    The reaction of four sorghum cultivars to panicle-feeding bugs was assessed in small (15 m2) and large (0.5–1.0 ha) plots for 2 years in three villages of the Kolokani region (Mali). The aim was to explain the somewhat contradictory earlier observations of pest infestation and damage in small experimental plots (on-station and on-farm) as well as in farmers’ field surveys. Irrespective of the plot size, the local guinea sorghum cultivar Bibalawili was consistently the least infested and damaged, followed by bug-resistant compact-headed cv Malisor 84-7, whereas the improved caudatum cultivar Gadiabani, which had been disseminated for nearly a decade in the region, and the improved hybrid ICSH 89002, were the most heavily damaged. When located along the border of large plots of a susceptible cultivar, small plots of the four cultivars overall were less infested and damaged than when located along the border of plots of resistant cultivars. However, they were more infested and damaged when located in the centre of large plots of susceptible cultivars than when they were in the centre of resistant cultivar plots. In large plots, bug populations and damage decreased from the border to the centre. These results suggest that, in addition to the mere plot size, plant breeders should take the genotypic environment of their experimental plots into account, namely the vicinity of large plots of pest-susceptible or -resistant cultivars, and the position of the test plots (border or centre) relative to these large plots

    Qualité microbiologique des tranches de mangues (Mangifera indica L.) vendues à Dakar (Sénégal)

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    La mangue, principal fruit du Sénégal, est transformée en tranches et vendue en sachets dans les rues de Dakar. Ce produit est sensible aux altérations microbiennes faute de technologies de conservation adaptées au contexte local. Ce travail propose une évaluation de la qualité  microbiologique du produit et de son impact sur la santé des  consommateurs. Pour cette étude, 3 répétitions d’échantillons par vendeur ont été prélevées chez quatorze vendeurs de cinq quartiers (Médina, Fann, Habitats Loyers Modernes ou HLM, Grand Yoff et Guédiawaye). Ensuite, des analyses ont été menées pour la recherche de la flore mésophile aérobie totale, de coliformes, d’entérobactéries et d’Escherichia coli présomptifs. Les résultats montrent une forte pollution des échantillons en flore totale sauf pour l’échantillon V3 (vendeur 3) des HLM et une charge élevée en coliformes et en Escherichia coli (> 103 UFC/g). D’autres entérobactéries comme Enterobacter agglomerans, Enterobacter amnigenus, Serrati  rubidaea et Klebsiella pneumoniae sont retrouvées respectivement dans les échantillons V2 de Médina, V1 de Fann, V1 et V2 Guédiawaye. Ces bactéries ne présentent pas de risques sur la santé publique mais rendent le produit impropre à la consommation. Cette étude nécessite une expansion aux autres quartiers pour mieux veiller sur la santé des consommateurs.Mots clés: Evaluation, qualité, microbiologie, mangues, santé des consommateurs, Dakar

    Pratiques Biosecuritaires Appliquees En Pisciculture Dans Trois Regions De La Côte D’ivoire

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    Une enquête a été réalisée sur les pratiques biosécuritaires dans des fermes piscicoles de 3 régions de la Côte d'Ivoire (Régions des lagunes, Agneby et Sud comoé). Le but est de décrire les pratiques réelles des pisciculteurs en matière de biosécurité et de donner une typologie des fermes piscicoles de ces régions. Vingt quatre variables biosécuritaires ont été retenues et la méthode de "boule de neige" a été utilisée. Les travaux ont été réalisés de mars à août 2011. Les mesures de la biosécurité ont été appliquées dans les fermes piscicoles, enquêtées de différentes manières avec de fortes proportions de pratiques non recommandées. Les analyses multivariées (Analyses Factorielles des Correspondances Multiples et la Classification Ascendante Hiérarchique) réalisées ont indiqué deux grandes catégories de ferme piscicole dont chacune se subdivise en deux sous-groupes, avec des groupes composés d'au moins une ferme issue de chacune des 3 régions.Mots clés: Pisciculture, pratiques de biosécurité, Côte d'IvoireAn study was carried out on biosecurity practices in fish farming in the regions of Côte d'Ivoire (Regions of Lagoon, Agneby and Sud comoé). The study aims to describe practices of biosecurity measures and to give a typology of fish farming of these regions according to biosecurity practices applied. Inquiries were carried out in three regions according to the "snowball" method from March to August 2011. Practices of biosecurity measures in fish farming varied from one fish farm to another with a high frequency of bad practices. Multivariate analysis classified shown two great groups of fish farming with two subgroups each. Group was composed of at least one fish farm from each of the 3 regions
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