986 research outputs found
The Combination of Paradoxical, Uncertain, and Imprecise Sources of Information based on DSmT and Neutro-Fuzzy Inference
The management and combination of uncertain, imprecise, fuzzy and even
paradoxical or high conflicting sources of information has always been, and
still remains today, of primal importance for the development of reliable
modern information systems involving artificial reasoning. In this chapter, we
present a survey of our recent theory of plausible and paradoxical reasoning,
known as Dezert-Smarandache Theory (DSmT) in the literature, developed for
dealing with imprecise, uncertain and paradoxical sources of information. We
focus our presentation here rather on the foundations of DSmT, and on the two
important new rules of combination, than on browsing specific applications of
DSmT available in literature. Several simple examples are given throughout the
presentation to show the efficiency and the generality of this new approach.
The last part of this chapter concerns the presentation of the neutrosophic
logic, the neutro-fuzzy inference and its connection with DSmT. Fuzzy logic and
neutrosophic logic are useful tools in decision making after fusioning the
information using the DSm hybrid rule of combination of masses.Comment: 20 page
Canonical extensions and ultraproducts of polarities
J{\'o}nsson and Tarski's notion of the perfect extension of a Boolean algebra
with operators has evolved into an extensive theory of canonical extensions of
lattice-based algebras. After reviewing this evolution we make two
contributions. First it is shown that the failure of a variety of algebras to
be closed under canonical extensions is witnessed by a particular one of its
free algebras. The size of the set of generators of this algebra can be made a
function of a collection of varieties and is a kind of Hanf number for
canonical closure. Secondly we study the complete lattice of stable subsets of
a polarity structure, and show that if a class of polarities is closed under
ultraproducts, then its stable set lattices generate a variety that is closed
under canonical extensions. This generalises an earlier result of the author
about generation of canonically closed varieties of Boolean algebras with
operators, which was in turn an abstraction of the result that a first-order
definable class of Kripke frames determines a modal logic that is valid in its
so-called canonical frames
Extended Nonstandard Neutrosophic Logic, Set, and Probability Based on Extended Nonstandard Analysis
We extend for the second time the nonstandard analysis by adding the left monad closed to the right, and right monad closed to the left, while besides the pierced binad (we introduced in 1998) we add now the unpierced binad—all these in order to close the newly extended nonstandard space under nonstandard addition, nonstandard subtraction, nonstandard multiplication,
nonstandard division, and nonstandard power operations
The Logic of Contingent Work and Overwork
In this article, I draw on institutional theory to propose that a macro-societal market logic is shaping our understanding of the workplace trends of contingent work and overwork. This logic, in combination with specific societal changes, affects how workers experience such trends. Yet paradoxically, the market logic can be used to both support and oppose the trends, resulting in a conceptual stalemate. Research implications are discussed.Dans cet essai, je fais un emprunt Ă la thĂ©orie institutionnelle pour soutenir que la logique d’un marchĂ© macro-social, associĂ© Ă des changements structurels particuliers, est en train de façonner notre comprĂ©hension et notre expĂ©rience des tendances dans le monde du travail eu Ă©gard au travail en sus des heures rĂ©gulières et au travail temporaire ou occasionnel. Ce dernier reprĂ©sente en gĂ©nĂ©ral une forme d’emploi atypique qui est de courte pĂ©riode, instable et qui dĂ©pend des besoins changeants des employeurs (Kalleberg, 2000; Connelly et Gallagher, 2004). Le surtemps se traduit habituellement en termes de salariĂ©s travaillant au-delĂ de 40 heures par semaine (e.g., Bunting, 2004) dans des formes d’emplois standards ou non. Les deux amĂ©nagements de travail ont Ă©tĂ© conçus et analysĂ©s en termes de pressions Ă©conomiques associĂ©es Ă la mobilitĂ© du capital et Ă la mondialisation (Becker et Gerhart, 1996), lĂ oĂą les pressions de la concurrence Ă laquelle les entreprises font face se sont produites sur le lieu du travail, contribuant ainsi Ă la montĂ©e du travail temporaire ou du surtemps. Encore que notre comprĂ©hension de ces tendances a Ă©tĂ© façonnĂ©e par ce cadrage Ă©conomique, qui survient quand ces enjeux sont analysĂ©s Ă travers la lentille d’une logique macro-sociĂ©tale.Les raisonnements institutionnels sont faits de croyances, de normes et de valeurs qui guident la rĂ©flexion, les dĂ©cisions et le comportement (Thornton et Ocasio, 2008; Greenwood et Hinings, 2006; Lounsbury, 2007; Reay et Hinings, 2005). Ces logiques peuvent entrer en conflit les unes avec les autres ou encore se contredirent et elles peuvent ĂŞtre envisagĂ©es selon une hiĂ©rarchie institutionnelle, oĂą des institutions de second ordre et des raisonnements sont logĂ©s dans des institutions et des logiques de premier ordre. Dans les sociĂ©tĂ©s occidentales dĂ©veloppĂ©es, les institutions macro-sociales et les logiques reprĂ©sentent le sommet de la hiĂ©rarchie institutionnelle. Friedland et Alford (1991) ont identifiĂ© les institutions de haut niveau de l’occident contemporain capitaliste comme Ă©tant le marchĂ© libre, l’état bureaucratique, la dĂ©mocratie, la famille nuclĂ©aire et la religion judĂ©o-chrĂ©tienne. Pour ma part, je vais plus loin en dĂ©finissant la logique macro-sociale du marchĂ© comme une logique d’un marchĂ© capitaliste caractĂ©risĂ©e par une vision Ă©conomique nĂ©o-libĂ©rale. Une preuve abondante laisse croire que la logique macro-sociĂ©tale du marchĂ© est inhĂ©rente Ă un large Ă©ventail de secteurs (par exemple, les publications, la justice, les soins de santĂ©, etc.), ce qui signifie que des logiques de niveau secondaire finissent par trouver leur empreinte dans une logique macro-sociale du marchĂ© et perdent ainsi leur caractère distinctif. Je soutiens qu’une logique macro-sociale du marchĂ© a Ă©galement Ă©tĂ© assimilĂ©e Ă un nombre d’enjeux au plan de l’emploi, incluant les tendances du travail temporaire et du surtemps.Au mĂŞme moment, les effets associĂ©s Ă ces deux tendances du travail sont façonnĂ©s par une convergence d’évènements qui ont restructurĂ© un environnement social plus vaste au cours des dĂ©cennies rĂ©centes. Par exemple, l’effet du travail occasionnel et du travail en surtemps sur la personne se retrouve en grande partie dans le conflit travail-famille. Quand ces deux formes de travail ont pu dans le passĂ© ĂŞtre conciliĂ©es avec des exigences familiales (par exemple, le soin des enfants, le soin des plus âgĂ©s, l’entretien du mĂ©nage et l’attention accordĂ©e aux relations sociales), ces dernières Ă©taient accaparĂ©es par les femmes ne faisant pas partie de la main-d’oeuvre active, alors qu’aujourd’hui les femmes participent en grand nombre au marchĂ© du travail. Cependant, ces types d’emploi continuent Ă ĂŞtre ainsi qualifiĂ©s comme si quelqu’un Ă la maison devait s’occuper de ce cĂ´tĂ© familial de la vie (Bailyn, Drago et Kochan, 2002), en dĂ©pit de l’augmentation du nombre de couples poursuivant une double carrière, des unions entre personnes qui doivent vivre sĂ©parĂ©ment Ă cause de leur travail ou qui doivent effectuer un long trajet pour s’y rendre, et en dĂ©pit de la sous-traitance de certains travaux domestiques.Et parce que les logiques macro-sociales en viennent Ă structurer nos dĂ©finitions mĂŞme des problèmes et des opportunitĂ©s, une logique du marchĂ© qualifie des manières d’agir et des rĂ©sultats de « bons » ou de « mauvais » Ă la lumière de croyances, de normes et de valeurs associĂ©es au concept de marchĂ©. En ce qui concerne le travail temporaire et le surtemps, d’une manière paradoxale, la logique du marchĂ© peut ĂŞtre retenue pour soutenir l’une ou l’autre de ces formes, lĂ oĂą le travail temporaire et le surtemps deviennent des problèmes organisationnels qui doivent trouver une solution ou encore des occasions qui doivent ĂŞtre saisies en autant qu’ils facilitent ou qu’ils empĂŞchent la rĂ©alisation d’objectifs organisationnels. Par exemple, selon la logique du marchĂ©, le travail en surtemps peut ĂŞtre une de ces occasions : la production de biens ou de services peut ĂŞtre accrue tout en utilisant moins de ressources et il peut ĂŞtre moins onĂ©reux pour une entreprise d’accroĂ®tre les heures de travail de personnes Ă son emploi que d’engager du personnel additionnel. Encore que selon cette logique du marchĂ©, on s’attend aussi Ă ce qu’un salariĂ© soit efficace et productif (un argument contre le surtemps puisque ce dernier peut contribuer au stress et Ă l’épuisement professionnel, ce qui en retour diminue l’efficacitĂ© et la productivitĂ©). En ce qui concerne le travail temporaire, selon la logique du marchĂ©, les pertes peuvent ĂŞtre minimisĂ©es (un argument en faveur du travail temporaire, qui permettrait d’éliminer une relâche des activitĂ©s par un recours Ă une main-d’oeuvre flexible, laquelle augmenterait la flexibilitĂ© de l’organisation et permettrait Ă cette dernière d’être concurrentielle dans un marchĂ© mondial). Également, quoique le conflit travail-famille puisse s’accroĂ®tre avec le recours au travail temporaire et au surtemps, selon la logique du marchĂ©, il est typiquement perçu comme un problème individuel plutĂ´t que de groupe ou d’unitĂ©, laissant aux travailleurs le soin de rĂ©gler leurs propres problèmes.Cependant, lorsque la logique du marchĂ© appliquĂ©e aux enjeux tels que le travail temporaire et le surtemps devient attrayante en termes d’hypothèses simplifiĂ©es, elle devient aussi problĂ©matique pour la mĂŞme raison. Le fait d’encadrer ces tendances dans les paramètres d’une logique du marchĂ© fait en sorte qu’un glissement se produit : ce qui dans le passĂ© prenait une valeur intrinsèque prend aujourd’hui une valeur extrinsèque; la logique du marchĂ© dĂ©place les valeurs non mercantiles : ce qui auparavant Ă©tait reconnu comme une fin en soi (par exemple, la santĂ© des travailleurs) devient un moyen pour l’atteinte d’une nouvelle fin en termes d’avantage concurrentiel. Une logique du marchĂ© limite alors notre capacitĂ© de saisir, d’apprĂ©cier et d’analyser les effets du travail temporaire et du surtemps dans des termes qui ne renvoient pas au marchĂ©, lĂ oĂą justement se trouvent les effets les plus Ă©tendus. Tel que Kalleberg (1995 : 1211) le rĂ©sume, « le danger… se prĂ©sente quand des idĂ©es Ă caractère Ă©conomique sont partagĂ©es sans faire l’objet d’une critique par des chercheurs; le point vue de l’économie ne fait pas seulement ajouter une perspective aux questions posĂ©es (notre recherche), mais encore il vient effectivement redĂ©finir ces questions… et ainsi supplante des questions posĂ©es auparavant par des chercheurs ».En este artĂculo, recurrimos a la teorĂa institucional para proponer que una lĂłgica macro-societal de mercado está modelando nuestra comprensiĂłn de las tendencias de trabajo eventual y trabajo excesivo en los medios laborales. Esta lĂłgica, en combinaciĂłn con los cambios sociales especĂficos, afectan la manera cĂłmo los trabajadores experimentan estas tendencias. Sin embargo y paradoxalmente, la lĂłgica de mercado puede ser utilizada para apoyar o para rechazar estas tendencias, lo que lleva a un impase conceptual. Las implicaciones para la investigaciĂłn son discutidas
Episodes in Model-Theoretic Xenology: Rationals as Positive Integers in R#
Meyer and Mortensen’s Alien Intruder Theorem includes the extraor- dinary observation that the rationals can be extended to a model of the relevant arithmetic R♯, thereby serving as integers themselves. Al- though the mysteriousness of this observation is acknowledged, little is done to explain why such rationals-as-integers exist or how they operate. In this paper, we show that Meyer and Mortensen’s models can be identified with a class of ultraproducts of finite models of R♯, providing insights into some of the more mysterious phenomena of the rational models
- …