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    Décision collaborative dans les systèmes distribués : application à la e-maintenance

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    Depuis leur apparition, les Technologies d'Information et de Communication (TIC) ont intégré et fait évoluer les modes de travail des entreprises, avec les notions de e-service, de travail collaboratif, d'organisations distribuées et de mutualisation des connaissances. Nous considérons cette intégration des TIC à la fonction maintenance, activité clé de la performance des entreprises, largement pénétrée par ces technologies avec, par exemple, les concepts de e-maintenance. Nos objectifs sont d'analyser les processus décisionnels collaboratifs et l'influence des TIC sur ceux-ci et de proposer les moyens d'évaluer les performances d'un service de maintenance supporté par les TIC. La modélisation du problème revêt un aspect multidomaine, multivue et multiacteur et l'évaluation des performances est multicritère. Nous proposons, tout d'abord, une modélisation des situations de e-maintenance en nous appuyant sur la représentation des processus et en utilisant le formalisme objet, afin de mettre en évidence les composants clés des activités de e-maintenance et l'influence des TIC. Ensuite, nous étudions les activités de décision collaborative en analysant la logique de regroupement de centres de décision, supports des décisions et nous caractérisons les ressources immatérielles engagées. Enfin, nous proposons un cadre d'évaluation des performances des activités de e-maintenance et des modèles de représentation permettant de simuler des configurations d'engagement de ces ressources et de guider les choix d'organisation afférents

    Savoirs déroutés (Les)

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    Notre époque vit un paradoxe : d\u27un côté une crise de confiance dans les savoirs constitués, de l\u27autre un formidable appétit de connaissances, aiguisé par le développement du numérique. La qualité et la puissance des réseaux informatiques, avec la variété presque infinie de leurs contenus et de leurs formes, ne changent pas seulement les modalités de construction et d\u27accès au savoir, elles renforcent dans toute notre société une exigence générale d\u27intelligence, de choix informé. Scientifiques, experts, juristes, médecins... et aussi enseignants, journalistes, documentalistes, bibliothécaires, archivistes, éditeurs, spécialistes de l\u27information, qui ont chacun dans leur domaine la responsabilité de gérer les savoirs, doivent-ils alors redéfinir leur place et réviser leurs outils ? Sommes-nous à la fin d\u27un cycle ? Nos pratiques de construction, de transmission et de communication des connaissances, nos catégories d\u27analyse des techniques mémorielles, pédagogiques ou juridiques seront-elles refaçonnées ? Nos modèles d\u27édition ou de bibliothèque, nos outils d\u27échange d\u27informations dans le travail et entre les entreprises, seront-ils tous réinventés ? Ou, au contraire pouvons-nous nous appuyer sur les savoir-faire connus pour comprendre et gérer le changement ? Ce livre rend compte des contributions et des débats des journées professionnelles de la Biennale du savoir, tenues fin janvier 2000 à Lyon. Elles réunissaient plus de soixante spécialistes nationaux et internationaux et six cents participants

    Les politiques et actions internationales de solidarité numérique à l'épreuve de la diffusion des TIC en Afrique de l'Ouest : bilan et perspectives

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    The World Summit on the Information Society (Geneva 2003 and Tunis 2005) advocated the digital solidarity as a solution to end inequalities in access to information and communication technologies (ICT) between developed and developing countries. Following the Summit, two institutional mechanisms (the World Digital Solidarity Fund and the World Digital Solidarity Agency) have been created. These institutions were designed to contribute to reducing the digital divide by promoting widespread access to ICT through international programs specifically targeting African countries. This thesis analyzes the effects of international digital solidarity policies and programs in Africa. It examines specifically the conditions for mobilizing human, financial and technological resources for the participation of African countries in the information society. It also argues that this new approach of North-South cooperation in the field of ICT does not really break with traditional technical assistance projects. The thesis also reveals gaps between the objectives announced by international policies and the actions that have been carried out in West Africa countries in bridging the digital divide.Le Sommet mondial sur la société de l’information (Genève 2003 et Tunis 2005) a préconisé la solidarité numérique comme solution pour mettre fin aux inégalités d’accès aux technologies de l’information et de la communication (TIC) entre les pays industrialisés et les pays en développement. A l’issue de ce Sommet, deux mécanismes institutionnels, à savoir le Fonds mondial et l’Agence mondiale de solidarité numérique, ont vu le jour. Ces institutions s’étaient fixées pour objectif de contribuer à la réduction de la fracture numérique en promouvant l’accès généralisé aux TIC à travers des programmes et des projets internationaux ciblant en particulier les pays africains. Cette thèse analyse les effets des politiques et actions internationales menées dans le domaine de la solidarité numérique. Elle étudie notamment les conditions de la mobilisation des ressources humaines, financières et technologiques nécessaires pour que la solidarité numérique institutionnelle soit un instrument au service de la participation du continent africain dans la société de l’information. Il s’agit également de montrer que cette nouvelle approche de coopération Nord-Sud dans le domaine des TIC n’est pas véritablement en rupture avec les schémas traditionnels d’assistanat et d’aide publique au développement. La thèse révèle également l’existence des écarts et des décalages entre les objectifs annoncés par les politiques internationales de solidarité numérique et les actions qui ont concrètement été réalisées sur le terrain, aux niveaux national et local, dans les pays d’Afrique de l’Ouest

    Les technologies de l'information et de la communication (TIC) (facteurs de développement humain)

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    La présente étude essaie de répondre au questionnement : les technologies de l information et de la communication (TIC), contribueraient-elles à la création d emplois au Maroc et lesquels emplois généreraient-ils des revenus assez suffisants pour permettre aux acteurs TIC les uns, de se prendre en charge pour leurs besoins essentiels (nourriture, habillement, logement décent, soins) et pour d autres de mener une vie meilleure (se marier, avoir son propre logement, une sécurité sociale , un moyen de transport, l accès aux loisirs, pouvoir économiser). En prenant en considération d une part, le niveau de vie de la grande majorité et d autre part la culture sociale et religieuse des marocains, la notion de développement humain se réduit principalement à l amélioration matérielle des conditions de vie. Pour vérifier l hypothèse, une enquête a été effectuée dans la région de Méknès-Tafilalet au Maroc. Cette étude, basée sur les données de 239 sondés par questionnaire exerçant dans 113 entreprises (téléboutiques, cybercafés, centres d appel, opérateurs, l administration publique) et sur les interviews et les témoignages de 24 utilisateurs) a révélé que, sur le plan économique, les activités TIC luttent contre le chômage en procurant de l emploi même à ceux qui n ont aucune formation dans le domaine et permettent l accès aux différents indices de la hiérarchie de développement humain et ce proportionnellement aux niveaux de qualification. Sur le plan social, les services rendus par les TIC (téléphonie et internet de proximité, transmission des événements sportifs et politiques, réseaux sociaux, guichets automatiques, services de la e-administration, et de la e-gouvernance ) ont apporté une grande satisfaction aux utilisateurs. Cependant, l étude a révélé que les TIC ont aussi des impacts négatifs sur la société (perte d emplois, réduction de revenus, délinquance, cybercriminalité, ) et sur l environnement.This study tries to answer the question: the information technology and communication (ICT) to help they create jobs in Morocco and which jobs they generate income sufficient enough to allow the ICT actors some, take responsibility for their basic needs (food, clothing, housing, health care) and for others to live a better life (getting married, having its own housing, social security, means of transport, access to leisure, to save). Taking into account the one hand, the standard of living of the majority and secondly the social and religious culture of Morocco, the concept of human development is reduced mainly to improve material conditions of life. To test the hypothesis, a survey was carried out in the Départment of Meknes-Tafilalet in Morocco. This study, based on data from 239 respondents throught questionnaire practicing in 113 companies (phone shops, cafes, call centers, operators, public administration) and on interviews and testimonies from 24 users) showed that the economic, ICT activities struggle against unemployment by providing employment even those who have no training in the field and provide access to various indices of the hierarchy of human development and in proportion to the level of qualification. On the social services provided by ICT (Internet, telephony, and nearby transmission of sports events and political, social networks, ATM services, e-government and e-governance ...) have made a great user satisfaction. However, the study revealed that ICT also have negative impacts on society (cybercrime, job loss, reduction in income..) and on the environment.NANTERRE-PARIS10-Bib. élec. (920509901) / SudocSudocFranceF
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