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Vaginale cytologie bij de teef: een miskende techniek?
Vaginale cytologie bij de teef is gemakkelijk uit te voeren in de praktijk, de staalname is vrij eenvoudig en het is een relatief goedkope techniek met vele toepassingsmogelijkheden. Doordat de resultaten bovendien snel beschikbaar zijn, kan het praktijkdierenartsen helpen bij het beoordelen en het opvolgen van het cyclusstadium van een teef. Vaginale cytologie kan ook voor andere doeleinden gebruikt worden, zoals het voorspellen van het exacte partustijdstip, het bevestigen van een (ongewenste) dekking en het vaststellen van vaginitis, verlengde loopsheid, ovarieel restsyndroom, problemen post partum of vaginale neoplasie. Het optimale moment van dekking of inseminatie kan niet met vaginale cytologie bepaald worden en dient te worden uitgevoerd door middel van vaginoscopie en/of progesteronbepaling
Evaluation de la prise en charge des femmes de plus de 30 ans avec un diagnostic de L-SIL du col de l'utérus en vigueur depuis 2009 au CHUV
Introduction : Les lésions malpighiennes intraépithéliales de bas grade (LSIL) sont un diagnostic rencontré fréquemment lors des frottis de dépistage du cancer du col utérin. Leur prise en charge reste controversée. Au CHUV, avant 2009, un test HPV était effectué chez toutes les femmes avec un diagnostic de L-SIL et seules les patientes avec un test HPV positif pour les hauts risques (HR) étaient adressées en colposcopie. Actuellement, suivant les guidelines européennes de 2006, l'attitude est de faire une colposcopie à toutes les patientes avec un diagnostic initial de L-SIL, sans faire préalablement un test HPV. Cette démarche semble efficiente chez les jeunes patientes, mais pas chez les plus de 30 ans chez qui la prévalence de tests HPV HR positifs est inférieure. Plus de 40% des femmes de plus de 30 ans seraient référées inutilement en colposcopie car elles ne seraient pas infectées par un HPV HR et n'auraient pas de risque d'évolution de leur L-SIL vers une lésion de haut grade.
Buts : Comparer les deux différentes prises en charge des femmes de plus de 30 ans présentant un diagnostic de L-SIL, soit celle qui était en vigueur au CHUV avant 2009 et la prise en charge actuelle. Etudier le rÎle et l'utilité du test HPV et de la colposcopie dans le suivi de ces femmes.
Méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective, monocentrique. Nous avons étudié le dossier de toutes les femmes de plus de 30 ans ayant eu une cytologie avec un diagnostic initial de L-SIL du col de l'utérus au CHUV entre le 01.01.09 et le 31.12.10, soit 61 patientes.
Résultats : Parmi les 61 femmes inclues dans notre étude 60 ont eu un test HPV effectué lors du diagnostic de L-SIL, dont seuls 29 (48,33%) étaient positifs pour les hauts risques. Comparé aux femmes avec test HPV négatif pour HR, les femmes positives pour HPV HR ont eu un taux inférieur d'évolution spontanément résolutive de leur lésion et un taux supérieur de conisation ou vaporisation du col. Cinq des femmes inclues dans l'étude ont eu une évolution de leurs lésions vers une pathologie plus avancée, dont 4 vers un CIN2 et 1 vers un CIN3. Ces cinq cas étaient positifs pour HPV HR.
Conclusion : Les nouvelles guidelines en vigueur au CHUV concernant la prise en charge des femmes avec diagnostic de L-SIL n'Ă©taient pas encore appliquĂ©es en 2010, en effet le test HPV a Ă©tĂ© effectuĂ© chez presque la totalitĂ© de ces patientes. Ces nouvelles guidelines ne semblent pas ĂȘtre applicables aux femmes de plus de 30 ans, chez qui la prĂ©valence du HPV HR est infĂ©rieure, et qui risquent alors de subir des examens complĂ©mentaires invasifs, sans qu'il y ait de rĂ©el bĂ©nĂ©fice sur le pronostic de leur pathologie
Aspects Ă©pidĂ©miologiques, cliniques, cytologiques et immunophĂ©notypiques des leucĂ©mies aiguĂ«s chez les enfants: expĂ©rience du laboratoire dâhĂ©matologie du Centre Hospitalier Universitaire IBN Sina
Lâobjectif de ce travail Ă©tait de dĂ©crire les caractĂ©ristiques épidĂ©miologiques, cytologiques et immunophĂ©notypiques des leucĂ©mies aigues (LA) chez les enfants diagnostiquĂ©s au Centre Hospitalo-universitaire (CHU) Ibn Sina et de dĂ©terminer aussi la concordance entre les rĂ©sultats de la cytologie Ă ceux de lâimmunophĂ©notypage. Il sâagit dâune Ă©tude transversale rĂ©alisĂ©e au laboratoire dâhĂ©matologie du CHU Ibn Sina entre Juin 2012 et Mai 2014. Parmi 104 cas de LA diagnostiquĂ©s, 52% Ă©taient des garçons avec un sex-ratio H/F= 1,32 et lâĂąge mĂ©dian de 5,7 ans. La rĂ©partition des diffĂ©rents types de LA Ă©tait : LA lymphoĂŻde (LAL) (74%), LA myĂ©loĂŻde(LAM) (20,2%), LA biphĂ©notypique(LAB) (65,8%). Parmi les LAL ,78% ont Ă©tĂ© classĂ© LAL B et 22% comme LALT. Les signes cliniques Ă©taient principalement prĂ©sentĂ©s par le syndrome tumoral (73,1%),la fiĂšvre (61%) et syndrome hĂ©morragique (50%).Les anomalies de lâhĂ©mogrammeles plus frĂ©quents Ă©taient : thrombopĂ©nie (89,4%), anĂ©mie (86,5%), hyperleucocytose (79,8%).Le taux des blastes pĂ©riphĂ©rique et mĂ©dullaires Ă©tait statistiquement Ă©levĂ© pour LAL que pour LAM et LAB (p<0,001). Le taux de rechute et de mortalitĂ© Ă©tait respectivement de 21,2% et16, 3%.Le taux de concordance entre les rĂ©sultats de la cytologie et ceux de lâimmunophĂ©notypage Ă©tait de 92,7% pour LAL et de 82,6% pour LAM. Le diagnostic des LA se base toujours en premier sur la cytologie. LâimmunophĂ©notypage nous a permis de faire une meilleure distinction entre les leucĂ©mies aiguĂ«s. La prise en charge des LA pĂ©diatriques est un problĂšme majeur qui nĂ©cessite les centres spĂ©cialisĂ©s.Pan African Medical Journal 2016; 2
Cytologie du frottis conjonctival chez les carnivores domestiques : étude rétrospective de 206 cas (2000-2002)
La cytologie des frottis conjonctivaux, rĂ©alisĂ©s Ă la cytobrosse, de 206 carnivores domestiques fait l'objet d'une Ă©tude rĂ©trospective. 139 chiens et 67 chats ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s en consultation Ă l'Ecole Nationale VĂ©tĂ©rinaire de Toulouse de 2000 Ă 2002. Le but de l'Ă©tude est de vĂ©rifier l'intĂ©rĂȘt de la cytologie conjonctivale et de comparer les rĂ©sultats cytologiques obtenus Ă ceux de la littĂ©rature.
Dans cette étude, la corrélation entre hypothÚse clinique et conclusion cytologique est de 75% chez le chien et 85% chez le chat. La cytologie conjonctivale est diagnostique dans un faible nombre de cas, est un mauvais moyen d'apprécier les déficits lacrymaux mais peut en identifier la cause.
La cytologie conjonctivale prĂ©sente surtout l'intĂ©rĂȘt de confirmer ou de contredire une hypothĂšse clinique.
Quelques Ă©lĂ©ments nouveaux semblent ĂȘtre observĂ©s par rapport Ă la littĂ©rature. Chez le chien, lors de Maladie de CarrĂ©, la cytologie est, dans les formes aigues et chroniques, un moyen diagnostic par la mise en Ă©vidence des inclusions de Lentz. Chez le chat, l'herpĂšs virose semple frĂ©quemment associĂ©e Ă une simple hyperplasie conjonctivale sans signe d'inflammation.
Dans de nombreux cas, la cytologie conjonctivale reste insuffisante et doit ĂȘtre suivie d'autres examens complĂ©mentaires
Analyse de la fertilité des vaches laitiÚres Holstein «Repeat Breeder»
Lâimportance de la problĂ©matique des vaches laitiĂšres non gestantes avec multiples insĂ©minations (âș 3) communĂ©ment appelĂ©es « Repeat Breeder » (RB), au QuĂ©bec, repose sur deux facteurs: son incidence et son impact Ă©conomique. Actuellement, lâincidence du syndrome RB au QuĂ©bec est de ± 25% (Rapport annuel, juin 2008, www.dsahr.ca). Les pertes monĂ©taires associĂ©es Ă ce problĂšme proviennent des frais vĂ©tĂ©rinaires et dâinsĂ©mination, de la diminution de productivitĂ© ainsi que des pertes en lien avec la rĂ©forme involontaire. Afin dâavoir de meilleures connaissances sur ce syndrome, nous devons connaĂźtre les facteurs de risques gĂ©nĂ©raux impliquĂ©s et ensuite explorer la condition individuelle de ces vaches problĂšmes.
Dans la premiĂšre partie de ce mĂ©moire, une banque de donnĂ©es informatisĂ©es rĂ©pertoriant 418 383 lactations fut analysĂ©e. Lâobjectif de ce projet de recherche Ă©tait dâĂ©valuer lâimpact des problĂšmes reproducteurs post-partum et lâeffet du nombre de lactations comme facteurs de risques de la vache Repeat Breeder. Lâanalyse a permis dâĂ©tablir la dystocie comme Ă©tant la condition ayant le plus de consĂ©quences sur la fertilitĂ© future. Dâautres facteurs de risques Ă savoir le nombre de lactations influencent le pronostic reproducteur.
La deuxiĂšme partie de ce mĂ©moire consistait Ă explorer, Ă lâaide dâoutils cliniques, la condition individuelle des vaches RB. Une Ă©tude cohorte fut menĂ©e sur des vaches Holstein en fin de pĂ©riode dâattente volontaire au jour 7 du cycle oestral. Les tests cliniques Ă©tudiĂ©s furent la vaginoscopie, lâexamen transrectal, lâultrasonographie du systĂšme reproducteur, la prĂ©sence dâestĂ©rases leucocytaires, la bactĂ©riologie et la biochimie du liquide utĂ©rin, la cytologie endomĂ©triale et le profil de progestĂ©rone sĂ©rique. Les rĂ©sultats de ces tests cliniques dĂ©voilent que lâexamen bactĂ©riologique du liquide utĂ©rin est rĂ©vĂ©lateur du statut reproducteur futur.Two factors underlie the Repeat Breeder (RB) concerns in Quebec: its incidence and economic impact. Currently RB incidence in Quebec is of ± 25% (yearly Report, June 2008, www.dsahr.ca). Monetary losses related to the RB are the result of veterinary expenses and insemination, loss of productivity and the involuntary culling. In order to have a better knowledge of this syndrome, one must understand the general risk factors involved and then explore the individual condition of these problem cows.
The goal of the first part of the project was to assess the impact of the postpartum reproductive problems and the effect of the lactation number as risk factors of the Repeat Breeder cow. A computerized data bank listing 418 383 lactations was analyzed. The analysis established dystocia as being the condition with the most consequences on future fertility. Other risk factors namely the number of lactations influence the reproductive prognosis as well.
The second part of the research was to explore the individual condition of the RB using clinical tools. A cohort study was conducted on Holstein cows at the end of the voluntary waiting period on day 7 of the oestrous cycle. The clinical tests studied were vaginoscopy, trans-rectal examination, ultrasonography of the reproductive system, presence of leukocyte esterase, bacteriology and biochemistry of uterine fluid, endometrial cytology and serum progesterone profile. The results of these clinical tests reveal that the bacteriological analysis of uterine fluid is indicative of future reproductive status
Actualités sur le dépistage et la prévention des infections à VPH dans le cadre des cancers du col utérin [Current developments in uterine cervical carcinoma prevention and screening]
The causality between the HPV infection and the carcinoma of the uterine cervix is demonstrated. The benefits of the prophylactic HPV vaccine are emerging in the general population. This vaccine has no evident general side effect. So it is proposed for young women and young men. The commercialization of a nonavalent vaccine will increase its preventive activity. Already, international societies recommend using the HPV test for cervical carcinoma screening in replacement of the cytology in women more than 30-35 years old. In case of negative test, the interval between screenings can be increase until 5 years. In case of positive test, the cervical cytology is used for the triage, but other tests are under development. Due to the vaccine efficacy, the future modalities and the cost/benefits ratio of the screening should be questioned
Fine-needle aspiration biopsy: its Use in orbital tumors
Fifteen orbital tumors have been evaluated with the fine-needle aspiration biopsy (FNAB) technique. The best indication for FNAB is supposed malignant orbital disease. The technique has not been helpful in tumors or inflammatory disease with a high fibrous content. Lesions that are suspected of being pseudotumors are not recommended for FNAB since, even in histologic sections, they are notoriously difficult to distinguish from well-differentiated lymphocytic malignant lymphoma. Benign encapsulated tumors should not be subjected to FNAB
Atlas comparatif d'histologie et de cytologie des tissus sains chez le chat
Peu de donnĂ©es sont actuellement disponibles sur la cytologie normale du chat sain. Cette Ă©tude a eu pour but de rĂ©aliser une banque de lames et de photographies de cytologie et d'histologie de tissus sains chez le chat. Elle est composĂ©e de trois volets : un manuscrit, un Cd-rom regroupant l'ensemble des photographies sous forme d'atlas, et les boĂźtes de lames histologiques et cytologiques. Le manuscrit expose le travail effectuĂ© avec la description comparĂ©e histologique et cytologique d'un organe en particulier, le pancrĂ©as. Pour le pancrĂ©as, mĂȘme si l'histologie est plus complĂšte pour dĂ©crire les diffĂ©rents composants tissulaires et leurs rapports architecturaux, la cytologie s avĂšre riche et concordante avec l'histologie. La cytologie est donc intĂ©ressante dans l'exploration des affections pancrĂ©atiques du chat, frĂ©quentes dans cette espĂšce. De plus, la cytoponction est avantageuse de par son innocuitĂ© et sa prĂ©cision. Cette Ă©tude a permis de faire le point sur la cytologie des tissus sains et d apprĂ©cier la qualitĂ© de cette technique pour chacun des organes prĂ©levĂ©s
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