35 research outputs found

    Relict tropical fish fauna in Central Sahara

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    Une révision taxinomique des espèces de poissons récoltées dans le Sahara a permis de dresser une liste actualisée prenant en compte les connaissances récentes. Il apparaît que la plupart des espèces collectées dans les petites collections d'eau sont des populations reliques d'espèces largement répandues dans les bassins hydrographiques voisins, à l'exception de #Barbus apleurogramma$ qui pourrait être un vestige d'une faune plus ancienne. La distribution actuelle est discutée, à la lumière des données sur l'extension supposée des bassins hydrographiques durant l'Holocène. (Résumé d'auteur

    Régénération de la suberaie tunisienne : état des lieux, contraintes et avancées techniques

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    Alors que la situation des suberaies tunisiennes est extrêmement inquiétante, avec une perte de la moitié de sa surface en 80 ans, la régénération naturelle est pratiquement inexistante. C’est pourquoi les services forestiers tunisiens ont mis en place des essais proposant d’autres techniques de reconstitution artificielle, notamment la plantation. Leur réussite est toutefois fortement liée aux conditions climatiques et aux activités humaines

    Conservation Status and Abundance of the Crowned Sifaka (Propithecus coronatus)

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    The crowned sifaka (Propithecus coronatus) is Endangered. It has a large but highly fragmented distribution; its known range extends from the Betsiboka River in the north of Madagascar, to the Mahavavy River in the north-west, and down to the Tsiribihina River in the south-west. The species lives in forest habitats that are highly and increasingly fragmented and are continuously suffering perturbations and destruction. In order to carry out effective conservation measures targeting P. coronatus, its conservation status needs to be updated so that measures can be taken before anthropogenic or natural environmental changes lead to the extirpation of the species in most of its forests. We (i) identified forest fragments where the species is still present and (ii) using the line-transect “Distance” sampling method, estimated the population size and density in the principal remaining forest fragments in the northern part of its range, including both protected and unprotected areas. We visited most of the forests in the northern part of its range in order to update the current area of occupancy, and to rate the state of its forests using a qualitative “forest quality index.” Our survey results have shown that (i) a large number of forests have disappeared or decreased in size in the last 10 years, and (ii) population densities vary considerably among forest fragments (ranging from 49 to 309 individuals per km²), with some very high densities in forests located along the Mahavavy River and in the Antrema area. Their abundance in the area surveyed is likely to be between 4,226 and 36,672 individuals, and most probably above 10,000. It is difficult to extrapolate from these estimates to the total abundance across the species’ entire range, but we estimate that it is likely to be large, probably between 130,000 and 220,000 individuals. Unfortunately, many field observations suggest that its populations continue to decline at a high rate due to habitat loss and hunting, and we argue for the re-evaluation of the conservation status from Endangered A2cd to Endangered A4acd, and the need to survey the rest of the range of P.coronatus.FCT grant: (SFRH/BD/64875/2009), Institut Français de la Biodiversité, Programme Biodiversité de l’Océan Indien (ref.CD-AOOI-07-003), the GDRI Madagascar, the "Laboratoire d’Excellence" (LABEX) entitled TULIP: (ANR -10-LABX-41), Instituto Gulbenkian de Ciência, “Optimus Alive!” Biodiversity grant, University of Mahajanga, Département de Biologie Animale et Ecologie, Fanamby NGO

    Etude coproscopique du régime alimentaire d'une population d'ours bruns (Ursus arctos) réintroduite dans les Pyrénées (1996-1999)

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    Intégrée dans le cadre du suivi de la population d'ours brun introduite entre 1996 et 1997 dans les Pyrénées, cette étude du régime alimentaire est basée sur l'analyse de 89 laissées récoltées entre 1996 et 1999. Des facteurs correctifs (correction factors) prenant en compte les différences de digestibilité existant entre les aliments sont utilisés pour traiter les données issues de la reconnaissance microscopique des éléments figurés. Ils permettent d'établir la tendance carnivore marquée du régime alimentaire de l'ours brun. Animal omnivore, il possède néanmoins un comportement végétarien développé dont l'importance croît tout au long de l'année pour devenir majoritaire en automne. Cette saisonnalité dans le choix des ressources consommées semble prendre en compte leur disponibilité et leur abondance, mais toujours dans le sens d'une optimisation du bilan énergétique. Ce phénomène trouve vraisemblablement sa justification dans les contraintes liées à la stratégie hibernatoire retenue par l'ours brun pour faire face au manque de ressources alimentaires hivernales
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