56 research outputs found

    Managing indoor air quality to protect occupant health

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    Deterioration in indoor air quality can lead to various diseases linked to the growth of microorganisms or the presence of pollutants and allergens. Other collective non-specific symptoms affecting various bodily functions (ENT, ocular, respiratory, dermal, neurological) can occur in a building, then disappear when the people affected leave the building. In both cases, a medical and environmental investigation may identify clinical aspects and search for sources of pollution or faults in the ventilation system. The audit results and interpretation of the observed concentrations compared with reference values may provide information to help understand the problems encountered. Various tools are currently available to control and assess indoor air quality during the construction or renovation of a building, and while it is operational. Three main categories may be identified: 1/ preventative measures taking account of sources of pollution from both inside and outside the building and the ventilation system, 2/ protocols for measuring various parameters on at the delivery stage and in operation, and 3/ measurement tools providing continuous information on indoor air quality

    Dépistage et prévention de l'intoxication saturnine des jeunes enfants

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    20. Les maladies liées à l’eau

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    Si les maladies transmises par l’eau sont un lourd fardeau pour de nombreux pays pauvres, les pays économiquement développés y sont aussi confrontés (cf. I.8). Entre 1991 et 2002, 73 épidémies ayant entraîné 415 496 cas de maladies liées à l’eau, sont survenues aux États-Unis. Les données de 14 pays de l’Union européenne font état de 354 épidémies sur la période 2000-2007, à l’origine de 47 617 cas de maladies. Leur nombre réel est probablement très supérieur à ce qui est rapporté, les petite..

    Étude de l’efficacité anti-bactérienne d’une fontaine réfrigérante à traitement ultra-violet au point d’usage

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    Les fontaines réfrigérantes, fréquemment utilisées dans les bureaux, entreprises, et établissements de santé, délivrent une eau de boisson fraîche, désaltérante, sans goût de chlore. Malgré les traitements répétés de nettoyage et de désinfection, les fontaines classiques ne permettent pas toujours de fournir une eau de qualité bactériologique constante et sont parfois soumises à des épisodes récurrents de contamination. Le système FireWall UVC, intégré au point d’usage de la fontaine, détruit, lors de l’écoulement de l’eau, les micro-organismes présents dans l’eau et ceux contaminant le robinet afin de prévenir la rétro- contamination du tube verseur. Une étude, réalisée durant 5 jours, sur une fontaine installée dans dix établissements, a démontré l’efficacité anti-bactérienne du système FireWall UVC dans 99,1 % des échantillons d’eau analysés en amont et en aval de la fontaine ainsi que la permanence de la désinfection au cours du temps et la maîtrise du risque de rétro-contamination. Elle confirme les essais effectués en laboratoire après inoculation bactérienne, notamment après stagnation d’eau et après rétro-contamination du point d’usage. Le système Firewall UVC permet ainsi d’obtenir la qualité bactériologique recommandée pour l’eau de boisson, en particulier dans les établissements hébergeant des personnes vulnérables

    Bacteriological quality of water from watercoolers

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    Drinking watercoolers are point of use or bottled watercoolers. Point of use watercoolers should be regularly cleaned and disinfected and in operation, filter moving six-monthly. Elevated counts of Heterotrophic Plate Count (HPC) bacteria and Pseudomonas often show a water supply network contamination and insufficient maintenance or use of the watercooler. Hazard Analysis Critical Control Point (HACCP) method is used for water quality control in packaging and handling of bottled watercooler. Elevated HPC counts are in relation with normal evolution of a bottled water. The presence of other microorganisms may be in relation with the process of bottle cleaning/disinfection

    Santé-environnement. Quinze ans de politiques publiques

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    Santé et environnement : que recouvrent ces mots très généraux ? Ce n’est que récemment qu’ils ont été associés à travers une démarche scientifique, alors que l’homme a toujours été dépendant de son environnement, qu’il l’a toujours largement modifié, et que le lien entre milieu et pathologie avait déjà été établi par la médecine hippocratique. C’est seulement en 1994, à la conférence d’Helsinki, que l’OMS définit la « santé environnementale » en incluant à la fois « les facteurs, physiques, chimiques, biologiques, sociaux, psychosociaux et esthétiques de notre environnement » et les « pratiques de gestion, de résorption, de contrôle et de prévention des facteurs environnementaux susceptibles d’affecter la santé des générations actuelles et futures ».Il aura pourtant fallu attendre dix ans pour que la France mette en œuvre le premier plan santé-environnement (2004-2009), renouvelé depuis tous les cinq ans et décliné en plans régionaux santé-environnement. Quels rôles ont joué ces plans dans un domaine particulièrement complexe où, à la différence des comportements individuels pouvant affecter la santé (tabac, alcool, surpoids, sédentarité), qui sont bien pris en compte par des politiques publiques ciblées, la santé environnementale concerne de très nombreux risques subis par l’ensemble ou une partie de la population et souvent difficiles à caractériser ?Ce dossier spécial de la revue ADSP, coordonné par Daniel BLEY, Francelyne MARANO, Fabien SQUINAZI, à la suite d’un rapport du HCSP réalisé à la demande des ministères de la Santé et de la Transition écologique, a pour but de proposer un panorama de l’évolution des risques environnementaux pour la santé, avérés ou suspectés, au cours des quinze dernières années et de l’impact des politiques publiques sur leur réduction. Nous faisons un état des lieux sur plusieurs domaines : les polluants atmosphériques, l’environnement intérieur, les risques émergents, les produits chimiques dans l’eau, l’alimentation et les produits de consommation.L’évolution de la perception du public au cours des deux dernières décennies sera présentée. Le rôle des collectivités territoriales est mis en avant car il a été déterminant dans la prise de conscience et l’acculturation du public, et de très nombreuses initiatives locales et régionales se sont développées. Nous dressons un panorama des différentes institutions qui œuvrent dans le champ santé environnement et nous nous interrogeons sur leur capacité d’action, et donnons la parole aux plusieurs auteurs, scientifiques et acteurs du domaine.Cependant, il reste beaucoup à faire : si certains domaines se sont nettement améliorés, d’autres stagnent et des propositions d’évolution sont présentées.https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Adsp?clef=118

    Water distribution systems inside buildings: influence of “repeated treatments” on the ability of three materials to promote microbial growth

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    The main objective of this study was to evaluate the influence of “repeated treatments”, performed on three materials, on the potential of these materials to promote microbial growth. These three materials; copper, CPVC and a variety of PEX, are widely used in water distribution systems inside buildings. These materials were tested as new and in a degraded condition; achieved by treating the material 120 times with a succession of cleaning and disinfection procedures typical of those applied to distribution systems inside buildings (in terms of products, durations and concentrations) and representative of the service life of a system that suffers from contamination problems. The test method is the project European standard CEN TC164/WG3/AHG3 (Biomass Production Potential – BPP – Enhancement of Microbial Growth) and is based on the determination of the concentration of active biomass in the water phase and on the material, by assaying the microbial adenosine triphosphate (ATP), under so-called “semi-dynamic” conditions. The three materials studied differed significantly from each other in terms of their ability to promote microbial growth. Consequently, the promotion of microbial growth was found to be dependent on the type of material. The highest level of growth was observed for PEX (1520 pg ATP/cm2) with much lower levels for CPVC and copper (35 pg ATP/cm2 and 11 pg ATP/cm2 respectively). These tests also revealed the absence of any impact of the repeated treatments, performed on these three materials, on their ability to form biofilms (similar ATP content per cm2 for new and “treated” material), even though the treatments were observed to have slightly attacked the surfaces of the CPVC, PEX and copper materials. These repeated treatments probably do not modify the properties of the materials with regards to the ability of the micro-organisms to attach and proliferate. This study considered to a very limited extent the structural changes induced by the ageing of the materials under actual conditions of use: surface condition, scaling phenomena and corrosion. Tests under dynamic conditions, in pilot systems, which represent more closely the actual conditions in which the materials are used, could be conducted and the results compared with those obtained with the BPP test, for an optimal understanding of the risks of uncontrolled development of biofilms, relating to the properties of the materials

    Santé-environnement : quinze ans de politiques publiques

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    International audienceLe Haut Conseil de la santé publique a organisé le 11 janvier 2023 un séminaire dans lequel ont été présentés les thèmes majeurs de cette l'analyse menée par le Haut Conseil de la santé publique, des trois premières générations du Plan national santé-environnement (PNSE) qui se sont succédé depuis 2004. et de leurs déclinaisons dans les PRSE.Ces travaux ont fait l’objet d’un rapport coordonné par Daniel Bley (anthropologue biologiste) et Francelyne Marano (écotoxicologue), membres du HCSP.L’objectif était de porter un regard sur quinze ans de leur mise en œuvre et de leur déclinaison dans les PRSE (plans régionaux) en faisant ressortir les facteurs et leviers de changement des actions sélectionnées, les progrès accomplis mais aussi les freins rencontrés, afin de dégager des enjeux prioritaires pour le futur dans le domaine santé-environnement.Les polluants atmosphériques, l’environnement intérieur, les perturbateurs endocriniens, les nanomatériaux, les ondes électromagnétiques, les produits chimiques dans l’eau, l’alimentation et les produits de consommation ont-ils un impact sur la santé ? Quelles évolutions depuis quinze ans ? Quelles perceptions des risques de santé environnementale par les populations ?Pour une Stratégie nationale santé environnementDans le cadre de son évaluation des PNSE 1, 2 et 3, le HCSP a formulé 16 recommandations générales qui mettentl’accent sur la nécessité de développer les connaissances sur les effets sanitaires et l’évolution de la perception par lapopulation des risques liés à l’environnement. Ces recommandations intègrent à la fois les dimensions politiquestelles que la nécessité de mettre en place une Stratégie nationale santé-environnement interministérielleen accordant une valeur juridique et un financement dédié aux plans et en renforçant la coopérationentre agences. Elles proposent aussi d’accorder une place plus importante aux territoires en renforçantles modalités de gouvernance des PRSE (Plans Régionaux Santé Environnement) et des financements qui y sont associés. Elles insistent enfin sur l’urgence de mettre en œuvre une formation des professionnels et de sensibiliser le grand public aux problématiques santé-environnement avec, entre autres, la création d’une Journée nationale santé-environnement.Les interventions à ce séminaire sont mises en ligne sur le site du HCSP.https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=1268Lire aussi dans les avis et rapports : Évaluation globale des Plans nationaux santé – environnement (2004-2019) du 18 mars 2022Lire aussi dans la revue adsp : adsp n° 120 : Santé-environnement : quinze ans de politiques publique

    Creation and testing of the Domiscore—a tool to characterize the impact of housing on health and well-being

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    Abstract Background Despite evidence of the major impact housing carries on health, many individuals still live in unhealthy dwellings. In France, the Domiscore has been proposed as a tool to assess the quality of dwellings with regard to their health impact, to allow for a better detection of unsafe housing and to improve dwellings. The aim of this paper is to present the method used to construct the Domiscore and test its relevance and usability. Methods The Domiscore grid, inspired by the Nutriscore, consists of 46 variables—such as air quality, light or outdoor view. Each variable is scored on a four-point scale using in situ observation, mandatory diagnostics and open access data. The sum of each variable’s score results in an overall risk score for the dwelling. The Domiscore was tested in two phases. During the first testing phase, 11 real estate professionals, health professionals and social workers used the Domiscore for on-site visits in different geographic areas of France. They then participated in a semi-structured qualitative interview. The second phase consisted in a public consultation with diverse stakeholders such as public authorities, housing activists and social workers, using an online survey to collect their opinions on the Domiscore’s relevance, understandability and usability. Results The Domiscore was tested on 28 homes. Variables completion rates were high irrespective of tester profile for all home visits (91%, SD = 4.7%). The mean time needed to fill in the grid was 1.5 h. The public consultation returned 151 responses. The Domiscore was deemed easy to understand, relevant, and rather easy to fill out. Most participants found the Domiscore useful for information gathering, awareness raising, detecting at-risk situations and agreed that it could contribute to enhance housing conditions. Its length was noted, although the inclusion of additional variables was also suggested. Conclusions The results of this study suggest that the Domiscore is accessible to housing specialists and other professionals for the evaluation of a dwelling’s health impacts and the standardized detection of dangerous situations. The testing process allowed for improvements in the grid and training materials for future users
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