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    Perspectiva comparada : medidas de conciliación de la universidad de Lausanne para el personal académico y el personal de la administración y servicios

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    A Suïssa, com a molts països europeus, el tema de la conciliació de la vida laboral i familiar ha pres gran importància durant aquesta última dècada. No obstant, l'objectiu principal de les polítiques sobre conciliació no és la repartició diferent del treball assalariat i domèstic entre les parelles, de manera que la doble jornada no continuï sent essencialment femenina, sinó que la meta d'aquestes mesures són només l'increment del treball femení. No hi ha un qüestionament del model dominant de carrera laboral, definit pel treballador masculí, ni l'atribució del treball domèstic i de cura de persones, treball femení. La taxa general d'activitat laboral femenina a Suïssa se situa pròxima a la dels països escandinaus, però aquesta posició ve determinada, sobretot, pel fet que més de la meitat de les dones ocupades treballen a temps parcial. Les treballadores de la Universitat de Lausanne estan emparades per una filosofia general de les universitats suïsses de la igualtat d'oportunitats. Tanmateix, les mesures adoptades condueixen a les dones a adaptar-se al model dominant [masculí] de carrera laboral i experimentar una "doble jornada", o a convertir-se en treballadores de segona categoria (a temps parcial) i carregar amb la totalitat de les tasques domèstico-familiars

    Gendered Variations in the experience of Ageing at Work in Switzerland

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    Purpose– The purpose of this paper is to examine the gendered processes of ageing at work in Switzerland, a country already characterised by particularly high employment rates for seniors of both sexes, and where the notion of “active ageing” has recently appeared on the policy agenda. The study illustrates the mechanisms through which men and women accumulate dis-/advantage across the life course, and the influence that critical events in different life domains have on the conditions under which they prepare the transition to retirement.Design/methodology/approach– The data used in the paper were collected with a mixed methods approach, including secondary statistical data analysis, expert interviews (with human resource and line managers), company case studies and 63-biographical interviews with male and female seniors employed in three different sectors (food distribution, health, transport) of the Swiss labour market. The interview guide covered issues relating directly to the employment histories and working conditions of the over 50s, but also enabled respondents to reflect on the influence of past or recent events in their private lives on their experiences of ageing at work (and vice versa).Findings– The study shows that, in the Swiss context, ageing at work is a social experience, that is profoundly marked by societal-level normative “gender scripts” and by the gendered nature of major life-course transitions. However, rather than producing a clear distinction between the experiences of men on the one hand and women on the other, studying the accumulation of dis-/advantages (Dannefer, 2009) enables us to elaborate a more nuanced typology, mapping the Swiss experience of ageing at work according to four alternative ideal-type models: confident, resentful, determined and distressed.Social implications– In a context characterised by prolonged life expectancy and restricted welfare budgets, a clearer understanding of the conditions under which men and women make decisions about the continuation, interruption or adaptation of their professional activities (and care commitments) in the second half of their adult lives has clear implications, both for patterns of “active ageing” and for gender equality.Originality/value– The paper sheds new light on the gendered variations in the experience of ageing at work in the Swiss context; it examines the implications of the dis-/advantages accumulated by different categories of men and women during various transitions in the employment and family spheres on their autonomy, well-being and satisfaction during this critical period of their adult lives.</jats:sec

    A propos de la ségrégation professionnelle : étude sociologique du travail féminin auprès de l'administration cantonale vaudoise

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    La ségrégation professionnelle horizontale et verticale selon le sexe est l'un des traits dominants du marché du travail: les femmes et les hommes exercent rarement le même type d'activité ou la même fonction. L'objectif de la recherche réalisée dans le cadre de mon mémoire de licence est de cerner les mécanismes sociaux qui contribuent au maintien de la division hiérarchique du travail entre les sexes. L'enquête a été menée au sein d'une administration cantonale et combine une étude de la politique de gestion du personnel et de trajectoires d'activité professionnelle d'employé·e·s et de cadres des deux sexes (« employé d'administration » est une fonction féminisée, celle d'« adjoint » est majoritairement occupée par des hommes). Elle met en évidence l'influence des rapports sociaux de sexe dans la production des différences de sexe. L'étude du système de classification des fonctions, de promotion et de formation continue met au jour la manière dont les stéréotypes de sexe et les représentations de rôles de sexe structurent la politique de gestion du personnel. Il ressort que les « employées » interviewées ont un niveau de formation supérieur à celui de leurs homologues masculins. Par ailleurs, la mobilité professionnelle est régie par des logiques différentes : les femmes rapportent avoir demandé une promotion alors que les hommes disent avoir été promus par les supérieurs. L'analyse des trajectoires d'activité montre que les « employé·e·s » n'accomplissent pas le même type de tâches, les femmes sont cantonnées à un travail de secrétariat alors que les hommes assument des tâches diversifiées, ce qui se répercute ensuite sur le type de cours de formation continue suivis. Mais surtout la mobilité spatiale et l'autonomie féminines sont moindres. « Employée» n'est donc pas le féminin d'«employé». La fonction d'« adjoint » comprend l'exercice de responsabilités diverses, notamment la direction et l'encadrement de personnel administratif. Pourtant, les « adjointes » sont exclues des fonctions de direction - où se prennent les décisions - et quasi exclues des fonctions d'encadrement hiérarchique importantes. Par ailleurs, les dossiers en mains masculines concernent davantage des questions économiques, financières ou techniques, ceux des femmes des dimensions juridique et sociale. Enfin, les « adjointes » connaissent un avancement de carrière plus lent que leurs collègues de sexe masculin
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