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    Environmental differences between sites control the diet and nutrition of the carnivorous plant Drosera rotundifolia

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    Background and aims: Carnivorous plants are sensitive to small changes in resource availability, but few previous studies have examined how differences in nutrient and prey availability affect investment in and the benefit of carnivory. We studied the impact of site-level differences in resource availability on ecophysiological traits of carnivory for Drosera rotundifolia L. Methods: We measured prey availability, investment in carnivory (leaf stickiness), prey capture and diet of plants growing in two bogs with differences in N deposition and plant available N: Cors Fochno (0.62 g m−2 yr.−1, 353 μg l−1), Whixall Moss (1.37 g m−2 yr.−1, 1505 μg l−1). The total N amount per plant and the contributions of prey/root N to the plants’ N budget were calculated using a single isotope natural abundance method. Results: Plants at Whixall Moss invested less in carnivory, were less likely to capture prey, and were less reliant on prey-derived N (25.5% compared with 49.4%). Actual prey capture did not differ between sites. Diet composition differed – Cors Fochno plants captured 62% greater proportions of Diptera. Conclusions: Our results show site-level differences in plant diet and nutrition consistent with differences in resource availability. Similarity in actual prey capture may be explained by differences in leaf stickiness and prey abundance

    Les observateurs

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    Pollution lumineuse; Pollution lumineuse et sécuritéroutière; Des nouvelles de notre observatoire de Nandri

    Les observateurs - 03/2017

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    À l’œil nu - Une autoroute pour satellites géostationnaires - Marathons Messie

    La régionalisation de l'économie européenne

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    Toute discussion scientifique des problèmes régionaux de la Communauté Economique Européenne requiert d'abord une définition rigoureuse de la région dans un espace économique et mérite une réflexion théorique préalable. L'analyste qui s'interroge sur la nature profonde de la réalité régionale se trouve placé devant deux familles de définitions. D'une part, la géographie traditionnelle s'attache à diviser l'espace concret en unités individualisées à partir d'un critère d'homogénéité. Ses hésitations quant au choix de ce critère nourrissent depuis deux siècles les discussions sur la description des régions. D'autre part, la géographie quantitative moderne etl'analyse économique spatiale proposent, non une définition formelle, mais une théorie de la région économique. Celle-ci est inspirée par les travaux déjà anciens, mais fondamentaux, de CHRISTALLER [ 2 ] et de LOSCH [ 7 ] qui suscitent jusqu'à nos jours une très volumineuse littérature. Au travers de discussions spécialisées, les apports durables tendent à former un véritable archétype, connu sous le nom de théorie des places centrales. Les régionséconomiques sont assimilées à des systèmes de réseaux d'aires de marchés dont l'ordonnancement est tel que l'existence de secteurs "riches en villes" et "pauvres en villes" assure à l'équilibre la minimisation de la longueur des réseaux de transport et celle du volume du trafic. De plus, la hiérarchie bien connue des hexagones emboités implique que les centres de même dimension sont équidistants
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