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    Renal and Neurologic Effects of Cadmium, Lead, Mercury, and Arsenic in Children: Evidence of Early Effects and Multiple Interactions at Environmental Exposure Levels

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    Lead, cadmium, mercury, and arsenic are common environmental pollutants in industrialized countries, but their combined impact on children’s health is little known. We studied their effects on two main targets, the renal and dopaminergic systems, in > 800 children during a cross-sectional European survey. Control and exposed children were recruited from those living around historical nonferrous smelters in France, the Czech Republic, and Poland. Children provided blood and urine samples for the determination of the metals and sensitive renal or neurologic biomarkers. Serum concentrations of creatinine, cystatin C, and β(2)-microglobulin were negatively correlated with blood lead levels (PbB), suggesting an early renal hyperfiltration that averaged 7% in the upper quartile of PbB levels (> 55 μg/L; mean, 78.4 μg/L). The urinary excretion of retinol-binding protein, Clara cell protein, and N-acetyl-β-d-glucosaminidase was associated mainly with cadmium levels in blood or urine and with urinary mercury. All four metals influenced the dopaminergic markers serum prolactin and urinary homovanillic acid, with complex interactions brought to light. Heavy metals polluting the environment can cause subtle effects on children’s renal and dopaminergic systems without clear evidence of a threshold, which reinforces the need to control and regulate potential sources of contamination by heavy metals

    Development of a Questionnaire for the Search for Occupational Causes in Patients with Non-Hodgkin Lymphoma: The RHELYPRO Study

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    Non-Hodgkin lymphoma (NHL), multiple myeloma and chronic lymphocytic leukemia are possibly related to environmental and/or occupational exposure. The primary objective of this study was to develop a questionnaire for screening patients with these blood disorders who might benefit from a specialized consultation for possible recognition of the disease as an occupational disease. The study included 205 subjects (male gender, 67.3%; mean age, 60 years; NHL, 78.5%). The questionnaire performed very satisfactorily in identifying the exposures most frequently retained by experts for their potential involvement in the occurrence of NHL. Its sensitivity and specificity in relation to the final expertise were 96% and 96% for trichloroethylene, 85% and 82% for benzene, 78% and 87% for solvents other than trichloroethylene and dichloromethane, 87% and 95% for pesticides, respectively. Overall, 15% of the subjects were invited to ask National Social Insurance for compensation as occupational disease. These declarations concerned exposure to pesticides (64%), solvents (trichloroethylene: 29%; benzene: 18%; other than chlorinated solvents: 18%) and sometimes multiple exposures. In conclusion, this questionnaire appears as a useful tool to identify NHL patients for a specialized consultation, in order to ask for compensation for occupational disease

    Évaluation de l exposition au 2-phénoxyéthanol en aquaculture marine

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    L'amiante (est-il responsable d'autres cancers que le mésothéliome et le cancer bronchopulmonaire ?)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Addiction et milieu professionnel

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    Surveillance médicale des salariés exposés au manganèse

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Conduites addictives en milieu professionnel : aspects réglementaires

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    Est-il raisonnable de confier des vies humaines à un sujet en état d'ivresse ou sous l'emprise de stupéfiants ou de médicaments agissant sur le système nerveux ? L'entreprise est directement concernée par les conduites addictives. Le médecin du travail doit agir dans le cadre de l'hygiène et de la sécurité en s'appuyant sur des bases juridiques tout en respectant la déontologie. Cette dernière est claire, l'aspect juridique l'est moins mais certainement suffisant pour agir. La responsabilité du médecin est engagée. Il doit tout mettre en oeuvre pour prévenir et faire cesser immédiatement une situation faisant encourir un danger particulier au salarié, à ses collègues de travail, à la collectivité et à l'environnement. Les dispositions légales sont les suivantes : Le Code Pénal (loi sur les stupéfiants du 31/13/1970), le Code de la Santé Publique (Art. L. 623 à L. 630), le Code de Déontologie (secret professionnel), le Code du Travail : si le dépistage des substances toxicomanogènes n'est pas précisé, le médecin dispose de nombreux moyens pour répondre : que ce soit dans son rôle de conseiller (article R. 241-41) ou dans la procédure d'aptitude (article R. 241-48 à 51). Le médecin du travail peut agir face au problème de la toxico-manie (circulaire n° 90/13 du 9 juillet 1990), le Code des Transports (délivrance du permis de conduire) : L'arrêté du 7/05/97 (JO du 29/05/97) fixe la liste des incapacités physiques incompatibles avec l'obtention ou le maintien du permis de conduire. Depuis le décret du 27 août 2001 et l'arrêté du 5 septembre 2001, la recherche de stupéfiants doit être pratiquée sur les conducteurs impliqués dans un accident mortel. L'article 21 de la loi du 15 novembre 2001 relative à la sécurité quotidienne souligne le fait que les officiers de police judiciaire peuvent également faire procéder à cette recherche en cas d'accident corporel. En pratique, il existe des droits et limites. La toxicomanie multiplie le risque de troubles du comportement, d'absentéisme, d'accident, de baisse de la vigilance. Dans le cadre des missions du médecin du travail, le dépistage éventuel des «dépendances» en entreprise ne doit pas conduire à une sélection, mais doit se placer dans une démarche de prévention. Le règlement intérieur doit rappeler l'interdiction de détention et d'usage de substances illicites au sein de l'entreprise et l'obligation de respecter les examens exigés par le médecin du travail, notamment pour les postes à risque. Il est indispensable d' adopter au sein de l'entreprise une attitude cohérente et une très large concertation avec la direction, les délégués du personnel et les CHS-CT. Il faut multiplier les campagnes d'information et créer des cellules de prévention. Le médecin traitant est régulièrement confronté à la toxicomanie, il se doit de la prendre en charge. Le médecin du travail a le devoir de s'intéresser à ce phénomène dont les conséquences sont multiples pour la santé et la sécurité de l'individu, de l'entreprise et de la collectivité

    Résultats d'un dépistage du saturnisme infantile autour d'un site industriel

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Facteurs de risque professionnels et environnementaux des lymphomes malins non Hodgkiniens (synthèse des données)

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    Impact de facteurs professionnels sur le spermogramme

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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