30 research outputs found
Identifying Math and Reading Difficulties of Multilingual Children: Effects of Different Cut-offs and Reference Groups
Extensive research is available on language acquisition and the acquisition of mathematical skills in early childhood. But more recently, research has turned to the question of the influence of specific language aspects on acquisition of mathematical skills. This anthology combines current findings and theories from various disciplines such as (neuro-)psychology, linguistics, didactics and anthropology
Ultralight vector dark matter search using data from the KAGRA O3GK run
Among the various candidates for dark matter (DM), ultralight vector DM can be probed by laser interferometric gravitational wave detectors through the measurement of oscillating length changes in the arm cavities. In this context, KAGRA has a unique feature due to differing compositions of its mirrors, enhancing the signal of vector DM in the length change in the auxiliary channels. Here we present the result of a search for U(1)BâL gauge boson DM using the KAGRA data from auxiliary length channels during the first joint observation run together with GEO600. By applying our search pipeline, which takes into account the stochastic nature of ultralight DM, upper bounds on the coupling strength between the U(1)BâL gauge boson and ordinary matter are obtained for a range of DM masses. While our constraints are less stringent than those derived from previous experiments, this study demonstrates the applicability of our method to the lower-mass vector DM search, which is made difficult in this measurement by the short observation time compared to the auto-correlation time scale of DM
La directive europĂ©enne relative Ă lâĂ©valuation et Ă la gestion des risques dâinondation â la reprĂ©sentation des inondations : des exigences du texte Ă la mise en Ćuvre en France
La Directive européenne 2007/60/CE du 23 octobre 2007 relative
Ă lâĂ©valuation et la gestion des risques dâinondation
est entrée en vigueur le 26 novembre 2007. Elle pose un cadre
pour lâĂ©valuation et la gestion des risques dâinondation
en Europe visant de réduire les conséquences négatives
des inondations sur la santé humaine, les biens, dont le patrimoine
culturel, les activitĂ©s Ă©conomiques et lâenvironnement.
Elle invite les Etats membres à procéder en trois
Ă©tapes successives :
âą une Ă©valuation prĂ©liminaire des risques dâinondation,
suivie de la sélection de territoires présentant un
risque important dâinondation et pour lesquels les deux Ă©tapes
suivantes sont Ă mener ;
âą une cartographie des surfaces inondables et une cartographie
des risques dâinondation ;
âą des plans de gestion des risques dâinondation en particulier
notamment les objectifs de gestion des risques dâinondation
que lâEtat membre se fixe et les mesures dĂ©cidĂ©es
pour les atteindre.
En dehors de ces contraintes concernant le contenu et le calendrier,
les Etats membres sont libres de définir les méthodologies
pour mener les réalisations exigées. Cette latitude
concerne notamment les formats de représentation, les échelles,
les périodes de retour associées aux scénarios
de cartographie, les paramÚtres de crue à présenter,
les Ă©lĂ©ments dâenjeux Ă reprĂ©senter
et leur mode de reprĂ©sentation, etcâŠ
La France procĂšde Ă la transposition du texte selon
des orientations mises au point avec attention, et Ă la mise
en Ćuvre avec la mise au point de mĂ©thodologies pour
une réalisation au rendu homogÚne sur tout le territoire
La logique de la lĂ©gislation : Les diffĂ©rents usages de lâhydromĂ©trie
La science hydromĂ©trie, qui sâattache Ă mesurer les dĂ©bits des cours dâeau, est Ă distinguer, et est complĂ©mentaire, de lâhydrologie (science de lâeau, lien entre prĂ©cipitation et Ă©coulement) et de lâhydraulique (qui sâintĂ©resse Ă lâĂ©coulement dans un rĂ©seau). LâhydromĂ©trie consiste dâabord Ă mesurer les dĂ©bits et hauteurs dâeau sur les cours dâeau, mais aussi Ă traiter les donnĂ©es ainsi obtenues et Ă les constituer en bases de donnĂ©es. Ces mesures sont essentielles pour lâexercice de lâactivitĂ© des diffĂ©rents utilisateurs que sont : lâadministration (pour la prĂ©vention du risque inondation et pour lâexercice de police administrative), les gestionnaires dâouvrages hydrauliques, ou les bureaux dâĂ©tude. Ces utilisateurs ont besoin de donnĂ©es de qualitĂ©, soit diffusĂ©es en continu, soit disponibles en temps diffĂ©rĂ©, soit encore produites ponctuellement. La Directive cadre sur lâeau a donnĂ© obligation dâĂ©valuation de lâĂ©tat Ă©cologique de rĂ©fĂ©rence sur les cours dâeau. Pour ce faire les donnĂ©es hydromĂ©triques (de dĂ©bit) sont nĂ©cessaires. La prĂ©vision des crues est un utilisateur majeur de lâhydromĂ©trie. La prĂ©vision des crues a Ă©tĂ© re-organisĂ©e en France Ă partir de 2002, pour sâappuyer aujourdâhui sur 22 services de prĂ©vision des crues (SPC) et un service central dâhydromĂ©tĂ©orologie et dâappui Ă la prĂ©vision des inondations (SCHAPI). Le rĂ©seau SPC-SCHAPI met en oeuvre la procĂ©dure de vigilance crues (opĂ©rationnelle depuis juillet 2006) qui consiste Ă produire bi-quotidiennement une carte de vigilance crues et le cas Ă©chĂ©ant des bulletins de suivi locaux et nationaux. Ces Ă©lĂ©ments sâaccompagnent de donnĂ©es mesurĂ©es en temps rĂ©el de dĂ©bits et de hauteur dâeau sur les cours dâeau surveillĂ©s. La mission des SPC est, en outre, de gĂ©rer le rĂ©seau de mesures hydromĂ©trie sur leur territoire, et de capitaliser les informations sur les inondations. La gestion des donnĂ©es au niveau national et la coordination technique (dont la bancarisation) sont de la responsabilitĂ© du SCHAPI. Dâautre part lâEtat surveille la situation hydrologique de la France et anticipe, Ă partir des informations dâhydromĂ©trie recueillies et traitĂ©es, les mesures de restriction dâeau notamment. La police de lâeau, exercĂ©e par les services de police de lâeau, portant notamment sur les rejets et prĂ©lĂšvements, mais aussi sur la vĂ©rification du dimensionnement des ouvrages et sur le respect des rĂšglements dâeau, utilise Ă©galement les mesures dâhydromĂ©trie. Les gestionnaires dâouvrage, quant Ă eux, sont utilisateurs de donnĂ©es en temps rĂ©el ou diffĂ©rĂ© leur permettant de gĂ©rer les manĆuvres dâouvrage. Enfin, les bureaux dâĂ©tude utilisent les donnĂ©es dâhydromĂ©trie pour la conception des ouvrages, des Ă©tudes gĂ©nĂ©rales ou la modĂ©lisation en lien avec la conception dâouvrage. Ces donnĂ©es mesurĂ©es ne sont rĂ©ellement utiles que si elles sont fiables et facilement accessibles. Le systĂšme dâinformation sur lâeau a cette vocation : rĂ©pondre aux besoins des parties prenantes en matiĂšre dâinformation environnementale publique dans le domaine de lâeau. La mise Ă disposition des donnĂ©es pour les diffĂ©rents utilisateurs est assurĂ©e par deux types de bases de donnĂ©es : la banque HYDRO, accessible aux organismes oeuvrant dans le domaine de la gestion ou lâĂ©tude des cours dâeau, et la Base de donnĂ©es temps rĂ©el (utile au rĂ©seau SPC-SCHAPI). Le rĂ©seau dâhydromĂ©trie et lâorganisation de son fonctionnement ont Ă©tĂ© re-organisĂ©s rĂ©cemment par la Direction de lâeau. Cette rĂ©forme visait Ă prendre mieux en compte les diffĂ©rents besoins en donnĂ©es dâhydromĂ©trie et Ă optimiser lâusage du rĂ©seau disponible. AprĂšs validation des schĂ©mas de rĂ©organisation en 2007, la rĂ©forme est en cours de mise en oeuvre ; elle a permis de constituer une hydromĂ©trie unifiĂ©e pour rĂ©pondre aux diffĂ©rents besoins.Martini FrĂ©dĂ©rique, Boulogne CĂ©cile. La logique de la lĂ©gislation : Les diffĂ©rents usages de lâhydromĂ©trie. In: Mesures Hydrologiques et Incertitudes en HydromĂ©trie et QualitĂ© de lâeau. Paris, 1 et 2 avril 2008. 2008