22 research outputs found
Constraints of SME in West Africa: the case of CĂ´te d'Ivoire after the crisis
Small and medium enterprises are key factors of economic development developing countries. It is crucial to identify the major constraints they face. This paper is interested in the constraints experienced by small and medium enterprises in Côte d’Ivoire from a collection of original data. An ordered probit analysis coupled with a Directed Acyclic Graph (DAG) show that the constraints on sales growth, as perceived by managers, differ according to the characteristics of the company. Also, improved water supply and a user friendly building licensing policy would allow companies to increase their profitability. Furthermore, a deterioration of access to finance entails a significant drop in business sales. Our analysis confirmed the interrelationship between various constraints. Thus, a business climate marked by political instability and insecurity inevitably affects corruption. Also, political stability, reform in tax policy and absence of corruption are likely to improve the financial conditions of companies and promote the growth of business sales. Thus, all the reforms undertaken by the government of Côte d'Ivoire to improve the business climate must take into account the characteristics of companies as well as the interrelationship between the various obstacles they encounter
Productivity and business performance: apprasail of SME in Côte d’Ivoire
This paper proposes a nonparametric analysis of the performance of companies in Côte d’Ivoire. The study focuses, initially, on the determination of technical efficiency scores using the Data Envelopment Analysis method (DEA), and econometric modeling the type tobit to determine the factors associated with technical efficiency companies. Our results do not support the conclusion of the technical efficiency of enterprises. Only 12 companies of 727 or 1.67% of our sample companies have reached their production frontier. Among the explanations of business productivity business characteristics (size, nature of business), financial factors (debt burden) and environmental factors (labor movement, strikes and social unrest) predict the level of productivity of firms
Droit foncier, productivité et investissement dans l'agriculture : cas du café en Côte d'Ivoire
The debate on the issue of land rights and its impact on investment and agricultural productivity still divides economic experts and agricultural statistics. While some agree that the
link is positive, the effects are often difficult to measure, it is sometimes not only due to the difficulty of measuring the land rights and investment, but also to the econometric method used. In the African context, particularly the cultivation of coffee in CĂ´te d'Ivoire, estimated by instrumental variables from the method
GMM shows the existence of a strong link between land rights, investment and productivity. The direction of this relationship depends on the type of right held by the operators. Plantations acquired through inheritance are subject to less investment and productivity, while those that have been acquired by purchase experiencing levels of investment and high productivity. These links are supported by the fact that the contact
public extension, membership in a farmers' organization, the amount of agricultural labor, improve the incentive to invest or productivity.
Le débat sur la question du droit foncier et de son influence sur l'investissement et la productivité agricole divise encore les spécialistes de l'économie et la statistique agricole. Si certains s'accordent à dire que le
lien est positif, les effets sont souvent difficilement mesurables ; cela est parfois dû non seulement à la difficulté de mesure du droit foncier et de l'investissement, mais aussi à la méthode économétrique utilisée. Dans le contexte africain, en particulier celui de la culture du café en Côte d'Ivoire, une estimation par les variables instrumentales à partir de la méthode des
moments généralisés montre l'existence d'un lien solide entre droit foncier, investissement et productivité. Le sens de ce lien dépend du type de droit détenu par les exploitants. Les plantations acquises par héritage font l'objet de moins d'investissement et de productivité, alors que celles qui ont été acquises par achat connaissent des niveaux d'investissement et de productivité élevés. Ces liens sont soutenus par le fait que le contact avec les
vulgarisateurs publics, l'adhésion à une organisation paysanne, la quantité de main d'oeuvre agricole, améliorent l'incitation à investir ou la productivité
Droit foncier, productivité et investissement dans l'agriculture : cas du café en Côte d'Ivoire
The debate on the issue of land rights and its impact on investment and agricultural productivity still divides economic experts and agricultural statistics. While some agree that the
link is positive, the effects are often difficult to measure, it is sometimes not only due to the difficulty of measuring the land rights and investment, but also to the econometric method used. In the African context, particularly the cultivation of coffee in CĂ´te d'Ivoire, estimated by instrumental variables from the method
GMM shows the existence of a strong link between land rights, investment and productivity. The direction of this relationship depends on the type of right held by the operators. Plantations acquired through inheritance are subject to less investment and productivity, while those that have been acquired by purchase experiencing levels of investment and high productivity. These links are supported by the fact that the contact
public extension, membership in a farmers' organization, the amount of agricultural labor, improve the incentive to invest or productivity.
Le débat sur la question du droit foncier et de son influence sur l'investissement et la productivité agricole divise encore les spécialistes de l'économie et la statistique agricole. Si certains s'accordent à dire que le
lien est positif, les effets sont souvent difficilement mesurables ; cela est parfois dû non seulement à la difficulté de mesure du droit foncier et de l'investissement, mais aussi à la méthode économétrique utilisée. Dans le contexte africain, en particulier celui de la culture du café en Côte d'Ivoire, une estimation par les variables instrumentales à partir de la méthode des
moments généralisés montre l'existence d'un lien solide entre droit foncier, investissement et productivité. Le sens de ce lien dépend du type de droit détenu par les exploitants. Les plantations acquises par héritage font l'objet de moins d'investissement et de productivité, alors que celles qui ont été acquises par achat connaissent des niveaux d'investissement et de productivité élevés. Ces liens sont soutenus par le fait que le contact avec les
vulgarisateurs publics, l'adhésion à une organisation paysanne, la quantité de main d'oeuvre agricole, améliorent l'incitation à investir ou la productivité
Déforestation, migrations, saturation et réformes foncières: La Côte d’Ivoire entre résilience rurale et litiges fonciers
In the tropics, land transactions remain today carried out within the framework of custom and therefore constitute uncompleted sales, which it is often argued hinders investment and rural economic resilience. The Ivory Coast is no exception to the rule. Nevertheless, the absence of proper land titles has not prevented the Ivory Coast from becoming the first world producer of cocoa. This paper shows how the process of colonization of the land by internal and foreign migrants, encouraged and supported by the Ivorian State since independence, has led to the persual of an
agrarian transition where small-holding migrants with the most fragile land tenure status take seriously the influence of the life cycle of tree crops when planning various types of investments for their land. Moreover, they tend, ceteris paribus, to invest more resources into their fields and
to set up good agronomic practices. If this settlement dynamic enabled rural communities to steer towards a resilient agriculture, the absence of clearly defined property rights along with demographic pressure and
land saturation has however led to a Malthusian crisis, curbing the green
revolution.
En dépit des nombreuses lois promulguées, depuis l'État colonial en 1935 jusqu'à l'État indépendant en 1998, le droit coutumier qui ne bénéficie plus d'aucune protection juridique, et sa gestion collective et informelle du foncier rural fait de la résistance. En 2009, 98% des transactions foncières s'effectuent toujours dans le cadre de la coutume et constituent pour beaucoup d'entre elles des "ventes inachevées." L'absence de titres de propriété n'a pourtant pas empêché la Côte d'Ivoire de devenir le premier producteur mondial de cacao. Cette étude montre comment le processus de déforestation et de colonisation de la terre par des migrants allochtones et allogènes encouragés et soutenus par l'État ivoirien depuis son indépendance, a engagé le pays dans une transition agraire en incitant les paysans au statut foncier le plus fragile, à investir et à mettre en oeuvre les bonnes pratiques agronomiques. L'absence de droits de propriété clairement définis associée à la pression démographique et à la saturation foncière ont cependant favorisé l'émergence de conflits fonciers. Les litiges fonciers sont-ils la seule réponse à la pression démographique ou, au contraire, la saturation foncière que cette dynamique de peuplement engendre, permet-elle aux sociétés rurales de s'orienter vers une résilience agricole synonyme d'intensification et d'accroissement de la production agricole
Déforestation, migrations, saturation et réformes foncières: La Côte d’Ivoire entre résilience rurale et litiges fonciers
In the tropics, land transactions remain today carried out within the framework of custom and therefore constitute uncompleted sales, which it is often argued hinders investment and rural economic resilience. The Ivory Coast is no exception to the rule. Nevertheless, the absence of proper land titles has not prevented the Ivory Coast from becoming the first world producer of cocoa. This paper shows how the process of colonization of the land by internal and foreign migrants, encouraged and supported by the Ivorian State since independence, has led to the persual of an
agrarian transition where small-holding migrants with the most fragile land tenure status take seriously the influence of the life cycle of tree crops when planning various types of investments for their land. Moreover, they tend, ceteris paribus, to invest more resources into their fields and
to set up good agronomic practices. If this settlement dynamic enabled rural communities to steer towards a resilient agriculture, the absence of clearly defined property rights along with demographic pressure and
land saturation has however led to a Malthusian crisis, curbing the green
revolution.
En dépit des nombreuses lois promulguées, depuis l'État colonial en 1935 jusqu'à l'État indépendant en 1998, le droit coutumier qui ne bénéficie plus d'aucune protection juridique, et sa gestion collective et informelle du foncier rural fait de la résistance. En 2009, 98% des transactions foncières s'effectuent toujours dans le cadre de la coutume et constituent pour beaucoup d'entre elles des "ventes inachevées." L'absence de titres de propriété n'a pourtant pas empêché la Côte d'Ivoire de devenir le premier producteur mondial de cacao. Cette étude montre comment le processus de déforestation et de colonisation de la terre par des migrants allochtones et allogènes encouragés et soutenus par l'État ivoirien depuis son indépendance, a engagé le pays dans une transition agraire en incitant les paysans au statut foncier le plus fragile, à investir et à mettre en oeuvre les bonnes pratiques agronomiques. L'absence de droits de propriété clairement définis associée à la pression démographique et à la saturation foncière ont cependant favorisé l'émergence de conflits fonciers. Les litiges fonciers sont-ils la seule réponse à la pression démographique ou, au contraire, la saturation foncière que cette dynamique de peuplement engendre, permet-elle aux sociétés rurales de s'orienter vers une résilience agricole synonyme d'intensification et d'accroissement de la production agricole
Diversite et Abondance Relative des Oiseaux d’Eau du Parc National de la Comoe, Cote d’Ivoire
Les oiseaux d’eau constituent une des composantes remarquables de la faune aquatique. Cependant, elle est mal connue dans le nord du pays tout comme, au PNC qui héberge pourtant de nombreuses espèces d’oiseaux. Ce présent travail a pour but d’apporter pour la première fois des données aussi bien qualitatives que quantitatives sur les oiseaux d’eau du PNC en vue d’améliorer les connaissances sur cette catégorie de l’avifaune pour une meilleure gestion de ces oiseaux. Un inventaire ornithologique été mené de septembre 2017 à août 2019 au parc national de la Comoé sur les oiseaux d’eau dans trois différents types d’habitats (les mares, le fleuve Comoé et les savanes). Pour sa réalisation, la méthode des points d’écoute et des marches lentes marquées d’arrêts le long de la Comoé et de ces principaux affluents ont été préférées. À l’issu de nos inventaires 47 espèces d’oiseaux d’eau appartenant à 18 familles ont été inventoriées. Les non-passériformes avec 42 espèces représentent 89,36% de la richesse spécifique. Au niveau des familles, celle des Ardeidae représente 23,81% de la richesse spécifique totale avec 10 espèces. Au titre des abondances 2660 individus ont été observés sur l’ensemble de nos sites. Le Héron garde-bœuf Bubulcus ibis (570 individus, 21,43%) et l’Ombrette africaine Scopus umbretta (193individus, 07,26%) sont les espèces comptant les plus grands effectifs des oiseaux d’eau. Les espèces d'oiseaux d'eau ont plus fréquentés le parc entre octobre et avril et les abondances les plus importantes se situent entre décembre et mars. Seule la Cigogne épiscopale Ciconia episcopus est considérée comme vulnérable selon l’UICN (2022).
Waterbirds are a remarkable component of the aquatic fauna. However, it is poorly known in the north of Ivory Coast, as well as in the Comoé National Park, which is home to many bird species. The aim of this study is to provide for the first time qualitative and quantitative data on waterbirds in the Comoé National Park in order to improve knowledge of this category of avifauna for a better management of these birds. An ornithological inventory was conducted from September 2017 to August 2019 in the Comoé National Park on waterbirds in three different types of habitats (ponds, the Comoé River and savannahs). The method of count points and slow walks with stops along the Comoé River and its main tributaries were preferred. At the end of our surveys 47 species of waterbirds belonging to 18 families were inventoried. The non-passeriformes with 42 species represent 89.36% of the species richness. In terms of families, the Ardeidae family represents 23.81% of the total species richness with 10 species. In terms of abundance, 2660 individuals were observed on all our sites. The Cattle Egret Bubulcus ibis (570 individuals, 21.43%) and the Hamerkop Scopus umbretta (193 individuals, 07.26%) are the species with the highest numbers of waterbirds. Waterbird species visited the park most between October and April, with the highest abundances between December and March. Only the Woolly-Necked stork Ciconia episcopus is considered near threatened according to the IUCN (2022)
Diversité et Abondance Relative des Oiseaux d’Eau du Parc National de la Comoé, Côte d’Ivoire
Les oiseaux d’eau constituent une des composantes remarquables de la faune aquatique. Cependant, les oiseaux d’eau du nord de la Côte d’Ivoire et en particulier ceux du Parc National de la Comoé sont méconnus. L’objectif de ce travail est d’améliorer les connaissances de cette avifaune pour une meilleure gestion de ces espèces. Ces améliorations reposent sur des données qualitatives et quantitatives. Un inventaire ornithologique a été mené de septembre 2017 à août 2019 au Parc national de la Comoé sur les oiseaux d’eau dans trois différents types d’habitats (les mares, les forêts galeries et les savanes). Pour sa réalisation, la méthode des points d’écoute et des marches lentes marquées d’arrêts le long de la Comoé et de ces principaux affluents ont été appliquées. À l’issu de ces inventaires, 47 espèces d’oiseaux d’eau appartenant à 18 familles ont été inventoriées. Les non-Passériformes avec 42 espèces représentent 89,36% de la richesse spécifique. Au niveau des familles, celle des Ardeidae représente 23,81% de la richesse spécifique totale avec 10 espèces. Ce sont 2685 individus qui ont été observés sur l’ensemble de des sites. Le Héron garde-bœuf Bubulcus ibis (570 individus, 21,23%) et l’Ombrette africaine Scopus umbretta (193 individus, 07,19%) sont les espèces comptant les plus grands effectifs des oiseaux d’eau. Les espèces d'oiseaux d'eau ont plus fréquenté le parc en saison sèche (octobre et avril) et les abondances les plus importantes se situent entre décembre et mars. Au titre de l’utilisation des habitats par les oiseaux d’eau, il s’observe une préférence de ces derniers pour les forêts galeries. Seule la Cigogne épiscopale Ciconia episcopus est considérée comme proche de la menace selon l’UICN (2022).
Waterbirds are a remarkable component of aquatic fauna. However, little is known about the waterbirds of northern Côte d'Ivoire, and in particular those of the Comoé National Park. The aim of this work is to improve knowledge of this avifauna in order to improve the management of these species. These improvements are based on qualitative and quantitative data. An ornithological survey was carried out from September 2017 to August 2019 in the Comoé National Park on waterbirds in three different types of habitats (ponds, gallery forests, and savannahs). The method used was count points and slow walks with stops along the Comoé and its main tributaries. As a result of these surveys, 47 species of waterbirds belonging to 18 families were inventoried. The non-Passeriformes, with 42 species, accounted for 89.36% of the species richness. In terms of families, the Ardeidae family represented 23.81% of the total species richness, with 10 species. A total of 2,685 individuals were observed at all the sites. The Cattle Egret Bubulcus ibis (570 individuals, 21.23%) and the Hamerkop Scopus umbretta (193 individuals, 07.19%) were the species with the highest numbers of waterbirds. Waterbird species visited the park most during the dry season (October and April), with the greatest abundance between December and March. In terms of habitat use by waterbirds, there is a preference for gallery forests. Only the Woolly-Necked stork Ciconia episcopus is considered to be close to threatened according to the IUCN (2022)
Diversite et Abondance Relative des Oiseaux d’Eau du Parc National de la Comoe, Cote d’Ivoire
Les oiseaux d’eau constituent une des composantes remarquables de la faune aquatique. Cependant, elle est mal connue dans le nord du pays tout comme, au PNC qui héberge pourtant de nombreuses espèces d’oiseaux. Ce présent travail a pour but d’apporter pour la première fois des données aussi bien qualitatives que quantitatives sur les oiseaux d’eau du PNC en vue d’améliorer les connaissances sur cette catégorie de l’avifaune pour une meilleure gestion de ces oiseaux. Un inventaire ornithologique été mené de septembre 2017 à août 2019 au parc national de la Comoé sur les oiseaux d’eau dans trois différents types d’habitats (les mares, le fleuve Comoé et les savanes). Pour sa réalisation, la méthode des points d’écoute et des marches lentes marquées d’arrêts le long de la Comoé et de ces principaux affluents ont été préférées. À l’issu de nos inventaires 47 espèces d’oiseaux d’eau appartenant à 18 familles ont été inventoriées. Les non-passériformes avec 42 espèces représentent 89,36% de la richesse spécifique. Au niveau des familles, celle des Ardeidae représente 23,81% de la richesse spécifique totale avec 10 espèces. Au titre des abondances 2660 individus ont été observés sur l’ensemble de nos sites. Le Héron garde-bœuf Bubulcus ibis (570 individus, 21,43%) et l’Ombrette africaine Scopus umbretta (193individus, 07,26%) sont les espèces comptant les plus grands effectifs des oiseaux d’eau. Les espèces d'oiseaux d'eau ont plus fréquentés le parc entre octobre et avril et les abondances les plus importantes se situent entre décembre et mars. Seule la Cigogne épiscopale Ciconia episcopus est considérée comme vulnérable selon l’UICN (2022).
Waterbirds are a remarkable component of the aquatic fauna. However, it is poorly known in the north of Ivory Coast, as well as in the Comoé National Park, which is home to many bird species. The aim of this study is to provide for the first time qualitative and quantitative data on waterbirds in the Comoé National Park in order to improve knowledge of this category of avifauna for a better management of these birds. An ornithological inventory was conducted from September 2017 to August 2019 in the Comoé National Park on waterbirds in three different types of habitats (ponds, the Comoé River and savannahs). The method of count points and slow walks with stops along the Comoé River and its main tributaries were preferred. At the end of our surveys 47 species of waterbirds belonging to 18 families were inventoried. The non-passeriformes with 42 species represent 89.36% of the species richness. In terms of families, the Ardeidae family represents 23.81% of the total species richness with 10 species. In terms of abundance, 2660 individuals were observed on all our sites. The Cattle Egret Bubulcus ibis (570 individuals, 21.43%) and the Hamerkop Scopus umbretta (193 individuals, 07.26%) are the species with the highest numbers of waterbirds. Waterbird species visited the park most between October and April, with the highest abundances between December and March. Only the Woolly-Necked stork Ciconia episcopus is considered near threatened according to the IUCN (2022)
Effet de Différentes Doses d’Engrais Minéraux sur le Rendement de deux Variétés de Patate Douce [Ipomoea batatas (L) Lam] à Bouaké, Centre de la Côte d'Ivoire
L'étude a été conduite sur deux campagnes (2015/2016 et 2016/2017) afin d’évaluer l’effet de l’apport d’engrais minéraux (NPK 15-15-15 et 12-22- 22) sur le rendement de deux variétés de patate douce à Bouaké. L’essai a été conduit selon un dispositif expérimental split-plot comportant deux variétés de patate douce (Tib-440060 et Irene) et cinq niveaux de fertilisation (0, 200, 300, 400, 500 kg/ha) en trois répétitions. Les résultats ont montré que les engrais minéraux ont eu un effet positif sur les composantes du rendement des racines tubéreuses. Les résultats de l'étude ont également montré que l'apport d'engrais minéraux n’a pas modifié les paramètres organoleptiques mesurés à savoir le goût, l’aspect, la cuisson et la contenance en eau de la patate douce. La variété Irene semble plus s’accommoder à la fertilisation minérale par rapport à la variété Tib-440060.
The study was conducted over two seasons (2015/2016 and 2016/2017) to assess the effect of mineral fertilizer inputs (NPK 15-15-15 and 12-22-22) on the yield of two sweet potato varieties in Bouaké. The test was conducted using a split-plot experimental design with two varieties of sweet potato (Tib-440060 and Irene) and five levels of fertilization (0, 200, 300, 400, 400, 500 kg/ha) in three repetitions. The results showed that mineral fertilizers had a positive effect on the yield components of tuberous roots. The results of the study also showed that the use of mineral fertilizers did not modify the organoleptic parameters measured, namely the taste, appearance, cooking and water content of the sweet potato. Irene variety seems to be more suited to mineral fertilization than the Tib-440060 variety