35 research outputs found
Étudiant(e)s de niveau collégial ayant des incapacités College students with disabilities
"La présente recherche a été subventionnée par le Ministère de l'éducation dans le cadre du Programme d'aide à la recherche sur l'enseignement et l'apprentissage (PAREA)"Titre de l'écran-titre (visionné le 8 déc. 2006)Également disponible en version papierBibliogr
Aquaresponsabilité municipale. Rapport final de l’audit de la Ville de Québec sur l’eau
L'aquaresponsabilité est un concept qui englobe toutes les actions qu'une ville devrait entreprendre pour assurer une saine gestion de ses ressources en eau. Ces actions assureront la pérennité de la ressource tout en permettant un partage équitable et une utilisation rationnelle. Fondamentalement, l’aquaresponsabilité est une démarche de développement durable qui s’inscrit dans un contexte de gestion intégrée des ressources en eau.
Ce rapport présente les résultats de l’audit de la Ville de Québec sur l’aquaresponsabilité municipale. Comme en témoignent les différents constats que nous avons réalisés au cours de cet audit, on peut souligner dans un premier temps que la Ville de Québec : déploie des efforts importants pour réaliser une gestion rationnelle de l’eau sur son territoire; a réalisé des efforts financiers significatifs pour améliorer les infrastructures et ainsi réduire le déficit accumulé en ce qui a trait à leur détérioration; a le souci de respecter les normes et tous les règlements en vigueur tant pour l’eau potable que pour le traitement des eaux usées; met en place des mécanismes pour communiquer avec ses citoyens; et, finalement, a clairement indiqué sa vision concernant la gestion de l’eau.
La gestion de l’eau demeure une opération complexe pour une municipalité, qui requiert une continuité d’actions à court, moyen et long termes. La fourniture d’une eau potable de qualité, le traitement des eaux usées satisfaisant les normes de rejet, le transport des eaux potable, pluviales et usées, la protection des ressources et l’accessibilité à l’eau, entre autres, impliquent de nombreuses opérations et de nombreux intervenants.
Une ville aquaresponsable a le devoir d’exceller dans tous les aspects de la gestion de l’eau. Il va de soi qu’il s’agit là d’un objectif ultime vers lequel une ville doit tendre. On doit souligner, à la lumière des constats que nous avons réalisés au cours de cet audit, que la Ville de Québec doit, dans un processus d’amélioration continue, corriger certaines lacunes et perfectionner certaines de ses façons de faire. Nous avons donc choisi, parmi l’ensemble des recommandations que nous avons émises pour chacun des éléments de l’audit, celles qui à notre avis permettraient à la Ville à la fois de maintenir sa performance et de l’accroître le plus rapidement possible dans les domaines où il y a place à amélioration. Ces recommandations ne sont pas données par ordre de priorité. À notre avis, elles sont aussi importantes l’une que l’autre. Ainsi, la Ville doit :
1. Déployer les ressources et actions nécessaires pour effectuer des bilans de consommation en eau réalistes, en vue d’améliorer la connaissance des différents types de consommation, d’améliorer la connaissance des pertes réelles et de prioriser les interventions afin de faciliter une gestion durable.
2. Revoir la méthode d’estimation du coût de l’eau et la facturation pour les consommateurs industriels, commerciaux et institutionnels (ICI).
3. Évaluer de façon précise l’état des diverses infrastructures d’eau afin d’être en mesure de planifier les besoins financiers pour en assurer la pérennité.
4. Maintenir un niveau suffisant d’investissements liés à l’entretien, à la réhabilitation et au remplacement des infrastructures, en tenant compte de l’impact des changements climatiques.
5. Regrouper dans un seul système l’ensemble des données sur les infrastructures d’eau, de façon à faciliter l’accès, la mise à jour et l’exploitation des informations concernant l’état et la valeur des infrastructures, en vue d’une meilleure planification des budgets requis pour l’entretien, l’opération, la réhabilitation et le remplacement de ces infrastructures.
6. Poursuivre, dans l’esprit de la politique actuelle de la Ville, le déploiement des mécanismes d’information aux citoyens, particulièrement en ce qui concerne les économies d’eau potable, et améliorer le système de gestion des plaintes.
7. Définir un ensemble d’indicateurs sur la gestion de l’eau en lien avec la base de données mentionnée ci-haut, lesquels serviraient en temps réel de tableau de bord pour la gestion de l’eau.
8. Mettre en place une politique intégrée de gestion des risques, qui comprend l’identification des risques, les mesures de prévention et d’atténuation, et les protocoles d’intervention.
9. Prioriser la formation et la qualification des employés, compte tenu des nombreux départs à la retraite. La transmission du savoir et de l’expertise des anciens doit être assurée par un programme de transition adapté.
10. Mettre en place un contrôle de qualité pour vérifier et harmoniser les travaux réalisés par les Divisions des travaux publics des Arrondissements.
11. Poursuivre les projets d’amélioration dans tous les aspects de la gestion de la neige et de la glace (façons de faire, intégration des technologies, impacts environnementaux, etc.).
12. Accroître la contribution et la participation de la Ville dans la gestion intégrée de l’eau par bassin versant, afin de s’assurer que la planification de l'utilisation du territoire contribue à protéger la qualité des ressources en eau et des écosystèmes aquatiques
Marques d’abrasion glacielles en milieu littoral hudsonien, Québec subarctique
Les plates-formes rocheuses littorales, dans toute région jadis occupée par les glaciers, portent nécessairement les traces d’une double activité glaciaire et glacielle. En Jamésie et en Hudsonie québécoises, des marques d’abrasion glacielles se superposent souvent aux formes glaciaires, en les recoupant entre autres, pour créer ainsi un véritable casse-tête pour l’observateur non averti, en particulier lorsque les directions de celles-là se multiplient, ce qui est surtout le cas. Ces marques dues à la glace flottante abondent sur les rivages basaltiques de la Grande île et des Manitounouc, en mer d’Hudson, où nous les avons levées; elles sont exceptionnelles par leur dimension, leur abondance et leur direction. Elles retiennent particulièrement l’attention lorsqu’on les rencontre sur d’anciens rivages, maintenant exondés, notamment ceux de la mer de Tyrrell et même du lac glaciaire Barlow-Ojibouai.Coastal rock-platforms, in any area once covered by glaciers, necessarily bear the marks of both glacial ice and drift ice. In the James Bay and Hudson Bay areas, Québec, drift ice marks are often found superimposed on glacial forms, intersecting them in various manners as well as running parallel to them, and become a real puzzle to the unexperienced observer, especially when the former face different directions, as is most often the case. These marks due to drift ice occur in great number on the basaltic shores of the Manitounouc Islands and of Long Island, in Hudson Bay, where we surveyed them. They are exceptional by their size as well as by their quantity and their direction. They are particularly remarkable on ancient shores, now emerged, especially those of the Tyrrell Sea and even those of glacial lake Barlow-Ojibway
Lysimetric study for environmental impact assessment of a treated soil
International audienc
ORP-assisted phytoremediation of hydrocarbon contaminated sediments
International audienceOn-site running waters are often sources of diffuse contamination around industrial sites that need to be treated to prevent detrimental effect to the adjacent environment. Settling process, such as sedimentary channels, is one way to limit pollutant spreading. However, in these specific media, pollution may accumulate and sediments become depositories of toxic substances. This project deals with the management of a sedimentary channel highly contaminated by hydrocarbons with the additional difficulty of proposing a solution preserving the nearby environment located within a Natural resource protection area. The aims of the treatment were i) to prevent contaminants mobility by degradation and/or stabilization and ii) to preserve the natural resources of the site. Among remediation process, phytoremediation is an all-encompassing term that includes a variety of techniques and strategies using higher plants that lead to contaminant degradation, removal, or immobilization, by removing contaminant sources, breaking exposure pathways between the source(s) and receptor(s). Furthermore, phytoremediation can be considering as a landscaping action within the global management of the site. Since anaerobic conditions of the sediment compartment is unfavorable to plant growth and organic compounds biodegradation, we proposed a new approach combining phytoremediation and the use of a calcium peroxide (CaO2) amendment to serve as an oxygen release product (ORP) in order to promote aerobic biodegradation and plant growth. Two experiments under controlled conditions in laboratory were performed: i) batch in vitro tests without plant in order to assess reactivity of the sediment with different ORP (ORP: IXPER75C, Solvay) levels and ii) plant growth assays with five selected species. The batch in vitro test showed a strong ORP-effect on physico-chemical parameters, with increasing pH and decreasing redox potential. Only the highest level of ORP enabled hydrocarbons degradation but resulted also in detrimental pH values for both microorganisms’ activity. pH increasing could also lead to strong negative effect on plant growth. Hydrocarbon dissipation was mainly attributed to oxidative processes. Lab plant growth experiments, with moderate levels of ORP to limit excessive pH increase, did not lead to any significant variation of hydrocarbon concentration. However, most of the tested species seemed to overcome the sediment detrimental growth conditions, confirming the phytoremediation feasibility for in situ application. Furthermore, ORP addition improved plant growth especially for Thalia dealbata and Scirpus lacustris. The absence of significant change in hydrocarbon content in sediments could be explained by the recalcitrant nature of the pollution a relative short term experiment. Organic chemistry characterization (GC analysis) revealed that hydrocarbon signature was marked by a large UCM (unresolved complex mixture) signal revealing an already aged and biologically stable pollution. Plant cover establishment should remain an asset in preventing sediment transfer, therefore insuring pollution stabilization, and in preserving the neighboring ecosystem
Lysimetric study of a treated soil for environmental risk assessment of the residual contamination
Lysimetric study of a treated soil for environmental risk assessment of the residual contamination. 2. Lysimeter Workshop for Global Change Research: Biological Processes and the Environmental Fate of Pollutant
Lysimetric study of a treated soil for environmental risk assessment of the residual contamination
Lysimetric study of a treated soil for environmental risk assessment of the residual contamination. 2. Lysimeter Workshop for Global Change Research: Biological Processes and the Environmental Fate of Pollutant