73 research outputs found

    Lack of dietary polyunsaturated fatty acids causes synapse dysfunction in the drosophila visual system

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    Polyunsaturated fatty acids (PUFAs) are essential nutrients for animals and necessary for the normal functioning of the nervous system. A lack of PUFAs can result from the consumption of a deficient diet or genetic factors, which impact PUFA uptake and metabolism. Both can cause synaptic dysfunction, which is associated with numerous disorders. However, there is a knowledge gap linking these neuronal dysfunctions and their underlying molecular mechanisms. Because of its genetic manipulability and its easy, fast, and cheap breeding, Drosophila melanogaster has emerged as an excellent model organism for genetic screens, helping to identify the genetic bases of such events. As a first step towards the understanding of PUFA implications in Drosophila synaptic physiology we designed a breeding medium containing only very low amounts of PUFAs. We then used the fly’s visual system, a well-established model for studying signal transmission and neurological disorders, to measure the effects of a PUFA deficiency on synaptic function. Using both visual performance and eye electrophysiology, we found that PUFA deficiency strongly affected synaptic transmission in the fly’s visual system. These defects were rescued by diets containing omega-3 or omega-6 PUFAs alone or in combination. In summary, manipulating PUFA contents in the fly’s diet was powerful to investigate the role of these nutrients on the fly´s visual synaptic function. This study aims at showing how the first visual synapse of Drosophila can serve as a simple model to study the effects of PUFAs on synapse function. A similar approach could be further used to screen for genetic factors underlying the molecular mechanisms of synaptic dysfunctions associated with altered PUFA levels

    Fruity means sexy for drosophila

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    absen

    La médaille de bronze du CNRS pour Yaël Grosjean

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    National audienc

    Goût et drosophiles

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    Depuis votre arrivée à Dijon, qu’est ce qui a changé dans votre travail ? « Après ma thèse à l’université de Bourgogne et deux post-doc et demi à l’étranger, j’ai pu profiter de l’obtention d’un poste de chercheur au CNRS pour revenir à Dijon, et poursuivre mon travail au sein de l’UMR CSGA. L’obtention d’une subvention ANR jeune chercheur ainsi qu’un financement européen « ERC » m’ont permis de continuer mes travaux sur l’olfaction, dans la droite lignée de ce que j’avais découvert lors de mes post-doc : à savoir comment sont perçues les odeurs et comment ces informations sont traitées dans le cerveau ? Avec deux approches : rôle des cellules gliales (des cellules entourant les neurones) sur le contrôle de l’activité des centres nerveux chimio-sensoriels impliqués dans la perception des odeurs ; et rôle des odeurs issues de la nourriture sur le comportement des drosophiles (système olfactif et rôle des ligands et des récepteurs). Mon métier a ainsi un peu changé, j’ai pu recruter et je suis devenu progressivement manager d’équipe »

    Ecologie chimique : le langage de la nature

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    Ouvrage collectif rédigé par des chercheurs issus de laboratoires CNRS ou associés, publié par le cherche midi, en partenariat avec le CNRS. Ce livre grand public dévoile les secrets d'une science encore récente : l'écologie chimique ou l'art de décrypter le langage chimique qui nous environne.Les odeurs font partie de notre vie quotidienne... La majorité des espèces, y compris les hommes, échangent entre elles à l'aide de molécules et de signaux chimiques. Reproduction, alimentation, défense... Dans toutes ces fonctions, la communication chimique est de très loin le mode de communication le plus utilisé dans le monde vivant ! Ce livre fascinant permet de découvrir les secrets de cette science qui étudie, selon une approche interdisciplinaire (chimie, biologie, éthologie, génomique, etc.), les interactions entre les organismes entre eux et avec leur environnement, via des molécules complexes d'une grande diversité. Une cinquantaine de spécialistes, issus de laboratoires CNRS ou associés, présentent dans cet ouvrage les différentes facettes de cette " chimio-diversité ". Ils nous aident ainsi à interpréter ce langage de la nature qui façonne les interactions indispensables au fonctionnement et à la préservation des écosystèmes terrestres ou aquatiques

    Un aphrodisiaque pour les mouches : les arômes fruités

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    CNRS. Presse - Communiqués de PresseDes odeurs de nourriture servent d'aphrodisiaques pour les drosophiles (ou mouches du vinaigre). Une équipe européenne menée par des chercheurs CNRS du Centre des sciences du goût et de l'alimentation (CNRS/Université de Bourgogne/INRA) révèle un nouveau mécanisme de perception olfactive : les mouches mâles utilisent une odeur issue des fruits qu'ils consomment, pour stimuler leur appétit sexuel. Ces travaux sont publiés en ligne le 28 septembre 2011 dans la revue Nature

    Analysis of two not yet described member of the SLC7 family of amino acid antiporters in Drosophila melanogaster

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    Analysis of two not yet described member of the SLC7 family of amino acid antiporters in Drosophila melanogaster. 16. rencontre du Club de neurobiologie des invertébré
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