36 research outputs found

    Vidéo-ethnographie des usages de Gallica : une exploration au plus près de l’activité

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    Cette étude s’ancre dans un projet associant plusieurs modalités d’enquête (entretiens, questionnaire en ligne, vidéo-ethnographie) pour mieux appréhender les publics en ligne. Cette approche vidéo-ethnographique permet de documenter l’usage de Gallica d\u27une façon tout à fait inédite, dans la mesure où les personnes sont invitées à reconstituer leurs raisonnements, à expliciter à chaque instant quels étaient leurs buts

    « Je pars d’un sujet, je rebondis sur un autre » Pratiques et usages des publics de Gallica

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    Le projet « Mettre en ligne le patrimoine : transformation des usages, évolution des savoirs ? » porté par la BnF, le labex Obvil et Télécom ParisTech, vise à une meilleure connaissance des publics et des usages des collections patrimoniales numérisées. Il s’inscrit dans le cadre du partenariat de recherche entre la BnF et Télécom ParisTech, le Bibli-Lab, et dans le prolongement d’une réflexion sur la manière d’étudier usages et utilisateurs dans le monde numérique (Beaudouin et Denis, 2014). Cette recherche est centrée sur les usages de Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF. Elle est également soucieuse de resituer le plus large spectre possible des usages de Gallica dans leur contexte, en intégrant une consultation ouverte à d’autres sources documentaires disponibles en ligne ou hors ligne, et en essayant de cerner la place qu’occupe la consultation dans le cours de l’activité de l’individ

    La part typographique. Pour une anthropologie de la page imprimée. Premières balises

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    Il s'agit ici de retracer les prémices d'une réflexion explorant les formes du sens, et particulièrement celle de l'image imprimée que tout texte génère. Ainsi j'exposerai quelle production signifiante cette « captation mentale » impose au déchiffrement des contenus et intentions de l'auteur. Il conviendra de préciser d'abord les présupposés motivant une telle recherche, interrogeant « la mise en page et l'usage typographique dans l'écrit poétique moderne ». Ce dégagement permettra de souligner ensuite la valence possible existant entre ces points d'ancrage et nombre de questions de communication visuelle ou de ce que j'appelle une « lecture écrite ». C'est pourquoi, à l'aune de ce récapitulatif, divers prolongements d'études se dessineront en termes d'« écrit d'écran ». Voilà ainsi présentés plusieurs des terrains d'investigation de ce que recouvre désormais l'appellation de « part typographique ». Cette mise en perspective vise par ailleurs à présenter les « acteurs-partenaires » d'un nouveau cadre d'échange, coopératif par définition, et à faire dialoguer en un unique espace graphique, linguistique et sémiotique : « auteur-scripteur », « lecteur-spectateur », et « technicien- informateur ». Autant de notions qui porteront l'analyse comparée des « pages- feuillet » et des « pages-écran » ; ces dernières indiquant déjà, et à juste titre, la topographie d'un lieu que l'on appelle aujourd'hui moins couramment « bureau » que « poste de travail ».Garron Isabelle. La part typographique. Pour une anthropologie de la page imprimée. Premières balises. In: Communication et langages, n°134, 4ème trimestre 2002. Dossier : L'image du texte. pp. 59-74

    L'Ă©conomie des Ă©critures sur le Web

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    Filtrage sémantique, de l'annotation à la navigation textuelle

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