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    Quantification de la surcharge hépatique en fer et en graisse à 3 Tesla

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    Evaluer la quantification conjointe des surcharges hépatiques en fer et graisse à 3T en comparaison à la biopsie hépatique. 105 patients ont été explorés en IRM 3T avec une séquence écho de gradient (antenne corps, TR=120ms, FA=20), avec 11 TE, multiples de 1,15 ms sur Achieva (Philips) et de 1,23 ms sur Verio (Siemens). Le rapport du signal du foie sur muscle (F/M) avec définition d'un algorithme et le T2* ont été calculés. La fraction graisseuse (FG) a été calculée selon trois méthodes, sans ou avec correction par le T2*. Ces données ont été corrélées aux données de la biopsie. 66 patients présentaient une surcharge en fer et 37 une stéatose >20%. Il existait une forte corrélation linéaire entre l'algorithme F/M et la CHF (R2=0,94). La corrélation exponentielle entre le T2* et la CHF (R2=0,87) montrait une saturation au-delà de 200 mol/g. La FG était mieux corrélée à l'histologie (R2=0,75) après correction par le T2* et après exclusion des CHF>150 mol/g (R2=0,84). Une séquence unique multi-échos permet la quantification conjointe des surcharges hépatiques en fer et graisse.RENNES1-BU Santé (352382103) / SudocSudocFranceF

    Quantification de la surcharge hépatique en fer à 3T avec évaluation conjointe de la stéatose (faisabilité technique et premiers résultats)

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    Faisabilité et premiers résultats de la quantification des surcharges en fer et en graisse à 3T, par EG à TE croissants et multi-écho. Matériels et méthodes : 52 patients, 18 sur IRM Siemens et 34 sur Philips par séquence Dixon In/Out-Phase, séquence à 6 TE croissants et une séquence multi-échos. Calcul des rapports foie/muscle, du T2* et de la fraction graisseuse. Résultats et discussion : Rapport foie/muscle inutilisable sur Philips (inhomogénéités de B1). Corrélation foie/muscle et CHF sur Siemens (exponentielle décroissante), mais effectif trop faible. Pour les CHF < 100 mol/g, corrélation linéaire T2*/CHF. Pour les fortes surcharges, pas de corrélation (saturation). La qualification de la stéatose est influencée par la présence de fer et doit tenir compte du T2*. Bonne corrélation FG/stéatose par multi-échos. Conclusion : Pour de faibles CHF, bonne corrélation T2*/CHF et FG/stéatose par multi-échos. À 3T saturation du signal plus précoce et pour des concentrations plus faibles qu'à 1,5T.Feasability and first results of iron overload and fat quantification at 3T, by EG with increasing TEs and multi-echoes. Materials and methods : 52 patients, 18 on Siemens MRI and 34 on Philips by Dixon In/Out-Phase, 6 increasing TEs and multi-echoes sequences. Calcul of liver/muscle ratio, T2* and fat fraction. Results and discussion : liver/muscle ration unuseful on Philips (B1 inhomogeneities). Correlation liver/muscle and CHF on Siemens (exponential curve), but two small cohort. Strong correlation T2*/HIC for HIC < 100 mol/g. No correlation for major overload (saturation). Fat quantification influenced by iron and T2*. Good correlation FG/steatosis by multi-echoes. Conclusion : For small HIC, good correlation T2*/CHF and FG/steatosis and liver/muscle ratio on multi-echoes. At 3T earliest saturation for smaller concentration of iron than at 1.5T.RENNES1-BU Santé (352382103) / SudocSudocFranceF

    Approche quantitative de la concentration hépatique en fer et en graisse par IRM avec utilisation de séquences multi-échos

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    RENNES1-BU Santé (352382103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    ECHO-ENDOSCOPIE VERSUS IMAGERIE PAR RESONANCE MAGNETIQUE DANS LES SUSPICIONS DE TUMEURS PANCREATIQUES

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    RENNES1-BU Santé (352382103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Quantification du fer et de la graisse hépatiques en IRM à 1.5T (évaluation comparative de séquences monoécho et multiécho)

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    Résumé: Objetctifs: Comparer sur une large série de patients la quantification du fer et de la graisse hépatiques avec des séquences monoécho ou IPOP et une seule séquence multiécho. Patients et Méthodes: 534 patients ont été analysés dans cette étude rétrospective à 1,5T comportant 6 séquences en écho de gradient en apnée: 4 avec un TE croissant, une séquence IPOP et enfin une séquence avec 10 échos, multiples de 2,38ms. Plus estimations de la concentration hépatique en fer (CHF) ont été obtenues à partir du rapport foie/muscle et du calcul du T2*. De même, plusieurs valeurs de la fraction graisseuse hépatique (FGH) ont été calculées, avec la méthode Dixon sur 2 points, sur 3 points et corrigée par le calcul du T2*. Résultats: La moyenne des différences des CHF estimées entre la méthode de référence, basée sur 4 séquences, et la même méthode utilisant la séquence multiécho est de -2,8 mol/g [-3,5 à -2] une fois l'algorithme adapté. La mesure de la FGH par la méthode Dixon 2 points sans correction du T2* produit des valeurs négatives, anormales se majorant en présence de fer. La correction par le calcul du T2* ou l'utilisation de 3 points permettent de réduire ces erreurs. Mais, quelle que soit la méthode, le calcul de la FGH ne paraît pas fiable en cas de surchage en fer supérieure à 80 mol/g. Conclusion: La quantification de CHF et de la FGH apparaît possible avec une séquence unique multiécho et cette quantification simultanée devrait permettre d'éviter les erreurs de calculs de FGH en cas de forte surcharge en fer.Objectives: To compare on a wide range of patients the quantification of iron and fat in the liver with monoecho, IPOP and multiecho sequences. Patients and Methods: 534 patients were analyzed in this retrospective study. The protocol consisted of 6 sequences at 1,5T: 4 monoecho sequences with growing TE, an IPOP sequence and a multiecho sequence with 10 echoes, multiples of 2,38 ms. Several liver iron concentrations (LIC) were computed from liver to muscle ratio ant T2* measurement. Similarly several fat fractions (FF) of the liver were estimated by Dixon method with 2 points, with 3 points and with correction of the signal with T2* value. Results: The mean difference between estimated LIC reference, based on the four sequences method, and LIC from multiecho sequence was of -2.8 micromol/g [-3.5 to -2] once the appropriate algorithm established. Measuring FF with 2 point-Dixon method without T2* correction resulted in negative values, that were many more in presence of iron overload. Three-point method and correction of the signal with T2* value can reduce these errors, but whatever the method, FF did not seem to be reliably estimate in case of iron overload that is greater than 80 mol/g. Conclusion: Quantification of LIC and FF should be reliable with a single multiécho sequence and this simultaneous quantification can avoid FGH miscalculations in case of high iron overload.RENNES1-BU Santé (352382103) / SudocSudocFranceF

    GENETIQUE DE L'HEMOCHROMATOSE (DE LA STRATEGIE DE CLONAGE POSITIONNEL AUX QUESTIONS D'ACTUALITE)

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    RENNES1-BU Sciences Philo (352382102) / SudocSudocFranceF

    Dysmetabolic iron overload syndrome: a mild but unquestionable iron overload is identified by MRI

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    International audienceCastiella et al. claim that liver iron concentration (LIC) is not increased in patients with hyperferritinemia and metabolic syndrome on the basis of a study[1] in which LIC was measured using magnetic resonance imaging (MRI) in 54 patients referred for hyperferritinemia. However, this study has a major limitation, because 5% of patients had viral hepatitis and 35% were excessive drinkers (>40 g/day), two conditions that can induce hyperferritinemia without iron overload

    Practical guide to quantification of hepatic iron with MRI

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    International audienceOur intention is to demystify the MR quantification of hepatic iron (i.e., the liver iron concentration) and give you a step-by-step approach by answering the most pertinent questions. The following article should be more of a manual or guide for every radiologist than a classic review article, which just summarizes the literature. Furthermore, we provide important background information for professional communication with clinicians. The information regarding the physical background is reduced to a minimum. After reading this article, you should be able to perform adequate MR measurements of the LIC with 1.5-T or 3.0-T scanners. KEY POINTS • MRI is widely accepted as the primary approach to non-invasively determine liver iron concentration (LIC). • This article is a guide for every radiologist to perform adequate MR measurements of the LIC. • When using R2* relaxometry, some points have to be considered to obtain correct measurements-all explained in this article

    Le lotus naît dans la boue : histoires exotiques / Yves Gandon

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    Comment quantifier la stéatose hépatique ?

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    International audienceThe frequency of hepatic steatosis in the population and its potential complications require knowing how to diagnose and quantify this lesion in clinical practice. Ultrasound allows semi-quantification based on the liver/kidney signal ratio. The CT scanner has a marginal rule, mainly before surgery of resection and before transplantation. MRI is the technique of choice for quantification, using simple multi-echo techniques and manufacturer or free softwares like MRQuantif. The quantification of steatosis in MRI should always be associated with iron quantification to avoid errors. The discovery of steatosis must systematically lead to the search for hepatic fibrosis, at best at the same time using ultrasonore elastometry. Incidental finding of steatosis must be semi-quantified and noted in the report. The indications to look after hepatic steatosis are the existence of liver biological abnormalities, obesity, type 2 diabetes, metabolic syndrome or the existence of cardiovascular risks. In this situation, ultrasound technic is recommended for the evaluation of steatosis. When accurate quantification of steatosis is required, the currently recommended tool is MRI with the multi-echo technique.La fréquence de la stéatose hépatique et ses complications potentielles imposent de savoir diagnostiquer et quantifier cette lésion au quotidien. L’échographie permet une semi-quantification en se basant sur le rapport de signal foie/rein. Le scanner à une place marginale principalement avant chirurgie et avant transplantation dans les bilans des donneurs potentiels. L’IRM est l’examen de quantification, par le biais des techniques simples multiéchos et les logiciels constructeurs ou publics type MRQuantif. La quantification de la stéatose en IRM doit toujours être associée à celle du fer pour éviter les erreurs de quantification. La découverte d’une stéatose doit entraîner systématiquement la recherche d’une fibrose hépatique, au mieux dans le même temps en utilisant les outils d’élastométrie ultrasonore. Outre, la découverte fortuite qui doit être semi-quantifiée et notée dans le compte rendu, les indications de diagnostic de stéatose hépatique sont l’existence de perturbations du bilan biologique hépatique, d’une obésité, d’un diabète de type 2, d’un syndrome métabolique ou de risques cardiovasculaires. Dans cette situation, l’échographie est l’examen recommandé pour l’évaluation de la stéatose. Lorsqu’une quantification précise de la stéatose est nécessaire, l’outil actuellement recommandé est l’IRM avec la technique multiéchos
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