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    La chronologie du palais des Archevêques par l'archéologie du bâti

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    Bayonne (64), Porte royale de la citadelle

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    Construite par Vauban à partir de 1680, entrée principale de la citadelle de Bayonne, est un ensemble fortifié que constitue une série de rampes, de portes, de ponts dormants et levis, de passages souterrains. Malgré plus de trois siècles d'adaptation aux besoins militaires, cet accès monumental et symbolique reste relativement bien conservé et documenté par de nombreuses sources d'archives

    Bayonne (64), 7-9 rue Frédéric-Bastiat

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    La muraille du Petit Bayonne avait pour objectif de protéger ce quartier créé au début du XIIIe siècle et de stabiliser ce secteur marécageux, à la confluence de la Nive et de l’Adour et sur lequel s’appuyaient les ponts de Saint-Esprit et de Mayou. La portion de muraille étudiée, dite courtine des Jacobins, appartenait au front septentrional établi le long de l’Adour. Dans les années 1850, le quartier Boufflers a été construit sur un ancien chantier naval situé entre la courtine et le fleuve. La muraille a alors été arasée au niveau actuel de la rue et sa base a servi de fondation aux immeubles bâtis sur le bord sud de la rue Frédéric Bastiat nouvellement tracée.L’opération archéologique a découvert la muraille sur une hauteur de 4,80 m, mais sa base n’a pas pu être atteinte. Le système de fondations, supposé sur éléments de bois (platelage et pieux), reste donc inconnu. D’après les techniques de construction, la muraille pourrait dater du XIIIe ou du XIVe siècle. Sous un épais remblai d’époque contemporaine, les sondages ont révélé un sédiment gorgé d’eau, caractéristique des barthes aturiennes, contenant des déchet

    Cécile Treffort et Pascale Brudy, (dir.) avec la collab. d’Anne Autissier, Monastères entre Loire et Charente, 2013

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    Foltran Julien. Cécile Treffort et Pascale Brudy, (dir.) avec la collab. d’Anne Autissier, Monastères entre Loire et Charente, 2013. In: Bulletin Monumental, tome 173, n°3, année 2015. La cathédrale de Chartres, Nouvelles découvertes. pp. 276-277

    Formation des villes abbatiales dans les piémonts audois avant le milieu du XIIIe siècle

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    International audienc

    Vivre en ville près d'une abbaye, les pays d'Aude du VIIIe au XVIe siècle : Alet, Caunes, Lagrasse

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    International audienceA l'époque carolingienne, ce qui est aujourd'hui le département de l'Aude est en marge du royaume et appartient à une région tout juste conquise où les monastères furent considérés comme des relais du pouvoir. Bénéficiant d'immunités et de privilèges, consignés dans de précieuses chartes de fondation, les abbayes bénédictines des pays d'Aude ont été de grands centres spirituels et religieux. A la tête d'importants domaines, elles sont bien souvent devenues très influentes, tant sur le plan économique que politique. Les somptueux bâtiments conservés à Alet, à Caunes, à Lagrasse, ou encore à Saint-Hilaire, à Saint-Polycarpe, représentent aujourd'hui les meilleurs témoignages de cette puissance passée et sont à classer parmi les plus beaux monuments languedociens.Ces abbayes ne sont pas restées isolées et, pour beaucoup d'entre elles, une agglomération existe encore près de leur enclos mais l'histoire de cette bourgade est souvent méconnue. C'est pourquoi Julien Foltran s'est intéressé à ces villes, révélant que l'abbé, à la tête des moines, exerçait un pouvoir civil sur les habitants et devait garantir leur sécurité, tout en ayant la charge d'assurer le salut de leur âme. En retour, c'est à l'abbaye que les habitants devaient s'acquitter de leurs taxes et redevances. Face à leur puissant seigneur et suivant un mouvement entamé en Languedoc dès le XIIe siècle, les laïcs formèrent des communautés afin de défendre leurs intérêts.Dès lors, deux communautés distinctes aux intérêts parfois divergents, mais en constante communication, cohabitaient sur un même territoire : celle des religieux et celle des laïcs. Si les premiers vivaient et menaient l'essentiel de leurs activités dans l'enclos monastique, les seconds construisaient leur maison et travaillaient le plus souvent dans la ville qui était théoriquement interdite aux moines. Pourtant, les clercs pouvaient y posséder quelque bien immobilier. Il existe aujourd'hui dans ces villes suffisamment de vestiges pour appréhender le mode de vie de leurs habitants entre les XIIIe et XVIe siècles, comprendre les transformations urbaines successives, mais aussi pour mettre en évidence les matériaux et les techniques de construction
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