138 research outputs found

    Saint-Jean-d’Arvey – Le Trou de la FĂ©claz

    Get PDF
    L’expression schĂ©matique pariĂ©tale dite post-glaciaire attribuĂ©e au NĂ©olithique est prĂ©sente de la pĂ©ninsule ibĂ©rique au Piémont italien. Le site du Trou de la FĂ©claz à Saint-Jean-d’Arvey (Savoie) est l’un des 136 sites à peintures schĂ©matiques documentĂ©s en France mĂ©ridionale et dans les Alpes occidentales, et parmi les plus septentrionaux. DĂ©couvert en 1970 (Ayroles, Porte 1972 et 1984), nous y dĂ©veloppons depuis 2017 une approche intĂ©grĂ©e de l’acte graphique conjuguant analyse iconograp..

    Saint-Jean-d’Arvey: Le Trou de la FĂ©claz

    No full text
    International audienc

    Structural Analysis and the Anthropology of Nature. A New Approach to Chalcolithic Alpine Stelae.

    No full text
    Lecture in the Material Culture Research Strand at the School of History, Classics and Archaeology, Newcastle University (UK)

    From stone bodies to tamed environment

    No full text
    International audienc

    Des vestiges idéels en montagne

    No full text
    SĂ©minaire EDYTEM - UMR 5204Les reliefs alpins ont livrĂ© un nombre important d’images rupestres, majoritairement des gravures, datĂ©es du NĂ©olithique Ă  l’époque contemporaine. Les peintures rupestres sont beaucoup plus rares mais nĂ©anmoins prĂ©sentes. Des peintures figuratives de l’Age du Fer ont Ă©tĂ© signalĂ©es en Valcamonica (BS, Italie). Mais la plupart d’entre elles, attribuĂ©es au NĂ©olithique, sont schĂ©matiques et exclusivement situĂ©es dans les Alpes occidentales. Elles ne sont pas sans Ă©voquer le corpus schĂ©matique provençal composĂ© aujourd’hui d’une centaine de sites rĂ©partis sur les dĂ©partements des Bouches-du-RhĂŽne, du Var, du Vaucluse, des Alpes-de-Haute-Provence et de la DrĂŽme. Ces vestiges exceptionnels, dont les plus hauts se situent Ă  2390 m d’altitude, sont peu Ă©tudiĂ©s. Ils constituent pourtant un aspect essentiel de la frĂ©quentation prĂ©historique des reliefs alpins.Plusieurs problĂ©matiques sont Ă  dĂ©velopper Ă  leur sujet. L’attribution chronologique doit ĂȘtre prĂ©cisĂ©e. Un seul site fournit un indice chronologique fiable tandis que les autres sites sont attribuĂ©s au NĂ©olithique par comparaison typologique des images au corpus provençal. L’étude physico-chimique des pigments, et des sources d’approvisionnement, doit ĂȘtre dĂ©veloppĂ©e. Nous devons Ă©galement nous interroger sur la nature des sites peints et plus particuliĂšrement encore sur l’éventualitĂ© d’un lien entre les types de sites et leur iconographie. Les Ă©tudes palĂ©o-environnementales, qui sont Ă  dĂ©velopper, permettraient de reconstituer l’environnement de sites peints. Nous devons Ă©galement interroger d’une maniĂšre approfondie le lien au corpus ibĂ©rique et provençal dont font probablement partie les peintures schĂ©matiques alpines. Finalement, il s’agira Ă  terme de comprendre l’articulation de ces sites Ă  la frĂ©quentation nĂ©olithique des milieux d’altitude et aux diffĂ©rentes activitĂ©s qui y Ă©taient pratiquĂ©es. Trois abris en cours d’étude seront prĂ©sentĂ©s : l’abri des Oullas (Saint-Paul-sur-Ubaye, Alpes-de-Haute-Provence), l’abri Faravel (FreissiniĂšres, Hautes-Alpes, Parc National des Ecrins) et le Rocher du ChĂąteau (Bessans, Savoie)

    Pratique cynégétique et identités masculines. L'iconographie des stÚles centre-alpines du IIIe millénaire av.n.Ú.

    No full text
    Communication présentée dans le cadre du séminaire "La chasse à travers les ùges" au CEPAM - UMR 726
    • 

    corecore