17 research outputs found

    Système et procédé de traitement phytosanitaire terrestre des bananiers

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    Système de traitement phytosanitaire des bananiers, composé d'un véhicule automoteur et d'un appareil de pulvérisation porté par le véhicule

    Mesure de la dérive lors d’application phytosanitaire par hélicoptère et avion sur bananeraies. Version : 2

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    [Departement_IRSTEA]Ecotechnologies [TR1_IRSTEA]INSPIREThe struggle in Guadeloupe and Martinique against yellow Sigatoka of banana is amandatory fight is essentially carried out by application of treatment product by air. In order to comply with an EU directive establishing a ban on aerial spraying except in special cases qualifying for exemption, the EB requested by the professional bodyof Union Group of banana producers told the Cemagref OPTIBAN the project. This project includes the completion of investigation to propose technical solutions from a reliable aerial application and also to provide alternative ground spraying solutions when the waiver cannot be implemented. This report presents the results in terms of drift and deposition on vegetation obtained during application by plane or helicopter of Banole or water on a banana plantation. Different configurations were tested for the type of nozzle, the boom length or the use of baffles. The results indicate that improvements are possible for helicopters by choosing certain types of nozzle. The use of baffle for aircraft can also provide room for improvementLa lutte en Guadeloupe et en Martinique contre la Cercosporiose jaune du bananier est une lutte rendue obligatoire qui est essentiellement menée par application de produit de traitement par voie aérienne. Afin de pouvoir respecter une directive européenne instituant l'interdiction de l'épandage aérien sauf cas particulier ouvrant droit à dérogation, la DGAL sollicitée par l'organisme professionnel Union des Groupement de Producteurs de BANanes a confié au Cemagref le projet OPTIBAN. Ce projet comprend la réalisation d’investigation pour proposer des solutions techniques permettant d'une part de fiabiliser le traitement aérien et d'autre part d’apporter une solution de remplacement terrestre lorsque la dérogation ne peut être mise en ½uvre. Ce rapport présente les résultats en termes de dérive et de dépôt sur la végétation obtenus lors d’application par avion ou par hélicoptère de banole ou d'eau sur une bananeraie. Différentes configurations ont été testées concernant le type de buse, la longueur des rampes ou le recours à des déflecteurs. Les résultats indiquent que des améliorations sont possibles avec les hélicoptères en choisissant certains types de buse. L’utilisation des déflecteurs pour les avions permet d’apporter aussi une marge d’amélioration

    Mesure de la dérive lors d’application phytosanitaire par avion sur bananeraies. Essais à l’eau complémentaires des essais de mai 2009

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    The struggle in Guadeloupe and Martinique against yellow Sigatoka of banana is amandatory fight is essentially carried out by application of treatment product by air. In order to comply with an EU directive establishing a ban on aerial spraying except in special cases qualifying for exemption, the EB requested by the professional bodyof Union Group of banana producers told the Cemagref OPTIBAN the project. This project includes the completion of investigation to propose technical solutions from areliable aerial application and also to provide alternative land when the waiver can not be implemented. This report presents additional results gained in terms of driftand deposition on vegetation in aerial spray of an aqueous mixture on a banana plantation. Different configurations were tested for the type of nozzle, the use of baffles. The results indicate that improvements are possible with the use of baffles.La lutte en Guadeloupe et en Martinique contre la Cercosporiose jaune du bananier est une lutte rendue obligatoire qui est essentiellement menée par application de produit de traitement par voie aérienne. Afin de pouvoir respecter une directive européenne instituant l'interdiction de l'épandage aérien sauf cas particulier ouvrant droit à dérogation, la DGAL sollicitée par l'organisme professionnel Union des Groupement de Producteurs de BANanes a confié au Cemagref le projet OPTIBAN. Ce projet comprend la réalisation d’investigation pour proposer des solutions techniques permettant d'une part de fiabiliser le traitement aérien et d'autre part d’apporter une solution de remplacement terrestre lorsque la dérogation ne peut être mise en oeuvre. Ce rapport présente les résultats complémentaires acquis en termes de dérive et de dépôt sur la végétation lors de pulvérisation par avion d’une bouillie aqueuse sur une bananeraie. Différentes configurations ont été testées concernant le type de buse, le recours à des déflecteurs. Les résultats indiquent que des améliorations sont possibles avec l’utilisation des déflecteurs

    Qualité d'application par canon de pulvérisation en vue de leur utilisation sur bananeraies

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    Dans le cadre du projet OPTIBAN, le Cemagref a été chargé de l'évaluation de quelques solutions terrestres au traitement des bananiers. Ainsi, quatre appareils (canons de pulvérisation) ont été testés en situation réelle hors végétation en Martinique du 4 au 10 Novembre 2009. Le présent rapport présente les protocoles utilisés ainsi que les résultats obtenus pour les différents appareils. Enfin, une synthèse des résultats traduits en recommandations et éléments de choix est donnée en fin de document

    Approche méthodologique pour évaluer la dérive au sol et dans l'air lors du traitement des bananiers par voie terrestre

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    National audienceLa dérive des brouillards de pesticides (sprays) en dehors de parcelle traitées, qui se produisent lors des épandages des produits de protection des cultures peut être estimée à l'aide de la norme [ISO 22866]. Cette norme propose un protocole expérimental et des conditions de mise en ½uvre. Deux aspects sont abordés : la perte dans l’air en bordure de parcelle (terme source de la dérive) et les dépôts au sol sur une cinquantaine de mètre à l’extérieur de la parcelle (par sédimentation des sprays). Pour une culture haute telle que les bananeraies, plusieurs phénomènes se combinent et viennent perturber les mesures: l’effet de dispersion du vent, le procédé de pulvérisation, les mouvements et la vitesse d’avancement du pulvérisateur, les effets de masquage et de rétention de la végétation, la topologie du site expérimental. Ces phénomènes génèrent des dérives latérales et arrières – cycliques et fortement corrélés – qui introduisent une importante dispersion des mesures. A cela se rajoute la dispersion intrinsèque du dispositif d’échantillonnage (boites de Pétri ou fils). En tant que laboratoire de référence, la plateforme technologique ReducPol d’Irstea Montpellier réalise des essais de dérive depuis de nombreuses années. Des campagnes de mesure en laboratoire ont permis d’appréhender la variabilité des mesures et des techniques d’échantillonnage des dépôts au sol. Ces expérimentations ont permis de valider le protocole d’échantillonnage et de mesure des essais de terrain. La compilation d’un ensemble de mesures de dérive (Douzals 2012 a et b) a aussi montré qu’il est possible de modéliser les profils de répartition. L’article présente les outils et les méthodes qui ont été menées dans le cadre du projet FEADER « Optiban, des solutions innovantes pour le traitement des bananiers » mené en Martinique et Guadeloupe. Les expérimentations de laboratoire et de terrains y sont décrites

    Bilan massique de pesticide en culture de banane : comment les protocoles de mesure peuvent influer sur l'impact environnemental

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    International audienceAerial applications of pesticides are promised to a mid-term ban according to the EC Directive sustainable use of pesticide. A 3 years R&D program "Optiban" lead to the definition of a ground-based application technique to be compared with traditional terrestrial equipment as used in orchard spraying. Due to the peculiar structure of the banana crop canopy (5 m height, tractor tracks every 12 m, slopes), existing standards used for crop deposit as well as drift measurements are to be adapted. Environmental impacts of banana crop spraying was evaluated through the quantity of mixture deposits including a dye tracer analyzed by spectrofluorometric method, qualitative results were given with oil sensitive papers. Drift was measured at 5 up to 90 m downwind from the field hedge. Three terrestrial spraying equipments were compared while taking into account crop deposits and drift values. As spraying protocols were different between those two equipments, raw values calculation issued from the field dose appeared relatively inappropriate to assess the spraying efficiency as well as global environmental impact. As shown in Table 1 - grey column, drift values issued from theoretical field dose applied are quite similar. A mass balance of pesticide distribution (crop deposit - drift - air) was then estimated on the same set of parameters for the 2 equipments. Table 1: Mass balance of 3 spraying equipments on banana crops Theoretical Field dose basisFlow Rate basis Equipment% on Drift Area% on Drift Area% on Target Crop% Losses Hardi (5 rep.)5.48 % (4.2 - 6.8)14 % (11 - 18 %)2 %* 84 % (80 - 87 %) Optiban 1 (10 rep.)6.93 % (3.8 - 9.8)18 % (14 - 20 %) 41 % (32 - 59 %)41 % (21 - 53 %) Optiban 2 (3 rep.)5.42 % (0.8 - 12.2)9% (1 - 20 %) 26 % (9 - 67 %)65 % (23 - 88 %) * due to weather conditions, 5 rep. were cumulated on the same collectors. As shown in Table 1, values are subjected to a high variability due to random wind and local topographic conditions. As a result, it was possible to compare and rank three different application systems with the same calculation methodology. Drift is appears to be only a minor part of pesticide losses, aerial dispersion might be favored when considering Mineral Oil (Banole®). Environmental evaluation of spraying equipments is based on the statistical distribution of the pesticide mixture upon several areas (crop target, drift area, others) and then to soil, water and the air compartments. This paper shows the limit of traditional protocols based on standards mainly used for field (low) crops and the necessity to adapt experimental settings as well as data post processing

    Evaluation de l'application des pesticides en culture bananière : une approche méthodologique

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    International audienceThe Optiban project was initiated by banana growers unions (UGPBAN, LPG, Banamart) and supported by Guadeloupe District (DGAL, MAAF, DAAF) through FEADER funding program. The project partners are the National Research Institute of Science and Technology for Environment and Agriculture (IRSTEA), the Advice Services (SICA TG, SICA LPG), The French research centre for developing countries (CIRAD), and the French agency for food and health security (ANSES). As regards to the "sustainable banana crop" program defined for the French Indies area, different purposes of the project were the optimization of aerial applications by using GPS tracking system and traceability and the use of recent spraying techniques to reduce aerial drift and finally to assess classical or innovative ground spraying application systems in order to fulfill European regulation requirements. The work consisted in the following leading items: - Technologies and practices assessment - Environmental and sanitary risk limitation - Operators and bystanders safety protection - Biological efficacy improvement - Guidance tools for treatment application technique

    Evaluation du système complet de traitement Prototype « Optiban I ». Mesures de la qualité de pulvérisation et de la dérive lors d’applications sur bananeraies. Comparaison avec une application par hélicoptère

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    The struggle in Guadeloupe and Martinique against yellow Sigatoka of banana is a mandatory fight. It is essentially carried out by aerial application of the treatment product. In order to comply with an EU directive establishing a ban on aerial spraying except in special cases qualifying for exemption, the DGAL requested by the Union Group of banana producers gave to the Cemagref the OPTIBAN project. This project includes the completion of investigation to propose technical solutions from a reliable aerial application and also to provide alternative ground-sprayer solutions when the aerial treatment cannot be implemented. The present report attempts to present the performance of the prototype called “OPTIBAN I” in terms of quality of application and evaluation of spray drift generation when product is sprayed on a banana plantation in Martinique. This report also presents a comparison with an aerial application by helicopter. The results indicate the application quality are quite similar for both types of application but reveal some significant differences.La lutte en Guadeloupe et en Martinique contre la Cercosporiose jaune du bananier est une lutte rendue obligatoire qui est essentiellement menée par application de produit de traitement par voie aérienne. Afin de pouvoir respecter une directive européenne instituant l'interdiction de l'épandage aérien sauf cas particulier ouvrant droit à dérogation, la DGAL sollicitée par l'organisme professionnel Union des Groupement de Producteurs de BANanes a confié au Cemagref le projet OPTIBAN. Ce projet comprend la réalisation d’investigation pour proposer des solutions techniques permettant d'une part de fiabiliser le traitement aérien et d'autre part d’apporter une solution de remplacement terrestre lorsque la dérogation ne peut être mise en ½uvre. Le rapport présent s’attache à présenter les performances du prototype terrestre dénommé OPTIBAN en terme de qualité d’application et d’évaluation de la dérive du produit lors d’’application sur une bananeraie martiniquaise. Ce rapport présente aussi une comparaison avec une application aérienne par hélicoptère. Les résultats indiquent des qualités d’application similaires mais différentes pour les deux types d’application

    Contribution of artificial tracing and geophysical methods to understanding flows in the non-saturated area of karst (St Ferron site, France)

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    peer reviewedGeophysical methods allow imaging the structure of the epikarst. However, studying groundwater transfer in a non-saturated zone is still a challenging task. Tracing is then used to remedy this problem and to relate water flow with geological structures. These studies are all the more important than the epikarst is a vulnerable area with important water reserve. In order to validate the hypotheses issued on the basis of the geophysical methods, a multi tracer experiment was realized on the St Ferron site (Larzac, France). The study showed the importance of using tracing in addition to geophysical methods to validate the hypotheses on the flows and thus better know the epikarst and its functioning.Les méthodes géophysiques permettent d’imager la structure de l’épikarst, mais l’étude des transferts dans la zone non saturée reste une tâche difficile. Les traçages sont dès lors utilisés pour remédier à ce problème et relier les écoulements aux structures géologiques. Ces études sont d’autant plus importantes que l’épikarst est une zone vulnérable, présentant d’importants stocks d’eau. Afin de valider les hypothèses émises sur la base des méthodes géophysiques, un multi-traçage a été réalisé sur le site de St Ferron (Larzac, France). L’étude montre l’importance d’utiliser des traçages en complément des méthodes géophysiques pour valider les hypothèses sur les écoulements et ainsi mieux connaître l’épikarst et son fonctionnement

    Lutte contre les cercosporioses du bananier aux Antilles françaises. Amélioration des techniques d'épandage par voie aérienne et recherche d'alternatives terrestres

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    En réponse à la sollicitation de la Direction Générale de l'Alimentation (DGAL), sur demande de l'Union des Groupements de Producteurs de Bananes de Martinique et de Guadeloupe (UGPBAN), le Cemagref a lancé depuis le 21 mars 2008 le projet OptiBan. L'objectif est d'améliorer les techniques d'applications des produits phytosanitaires contre la cercosporiose jaune aux Antilles tout en diminuant la contamination des milieux par voie aérienne. Ce projet répond à deux grands enjeux : -l'optimisation des traitements aériens, -la recherche et l'évaluation de solutions de traitement terrestre. L'optimisation des traitements aériens s'est faite à travers la cartographie des zones d'interdiction de traitement aérien, la mise en place d'équipement GPS au sein des aéronefs et l'élaboration d'une application informatique de programmation, enregistrement et suivi des traitements (BANATRACE). Des études ont également dégagé des moyens de réduction de la dérive de pulvérisation, à travers des modifications de l'équipement ou des techniques de pulvérisation par aéronefs (buses à injection d'air). En parallèle, d'autres travaux ont porté sur les différents moyens de traitement terrestre existants : pulvérisateur à dos, canons de pulvérisation grande portée, systèmes de pulvérisation plus faible portée (main à tuyères, mini-canons...). Les observations réalisées durant les traitements par atomiseur à dos ont montré qu'il existait un réel manque d'information des opérateurs quant aux risques encourus, ainsi qu'une absence de matériel de protection adapté aux milieux tropicaux et aux modes de traitement vers le haut. Un travail de formation est nécessaire auprès des opérateurs afin de les sensibiliser aux contaminations possibles. Des essais de performance de différents canons, dits « gros systèmes de traitement », ont été menés en Martinique mais ont montré que ces appareils ne donnaient pas satisfaction quant à la portée espérée, à l'homogénéité de la pulvérisation ou à la dose appliquée sur la végétation (taux de récupération). Une autre solution, dite « petit système de traitement », a été alors proposée : il s'agit de coupler un petit porteur à 8 roues motrices, capable de passer dans les rangs de bananiers et de franchir des pentes de 45 %, à un système de pulvérisation à la tête d'un mât, traitant de part et d'autre de ce mât, au-dessus de la canopée. Le petit porteur a tout d'abord été testé sur les parcelles afin de vérifier ses capacités ; certaines modifications se trouvent nécessaires afin d'atteindre les pourcentages de pentes franchies attendus. Quant au système de pulvérisation associé, après plusieurs mois de recherche, les expérimentations en métropole ont abouti à un système innovant, composé de deux mini-canons dont la portée permet de traiter tous les 4 grands rangs de bananiers. Ce système a été testé seul, en version tracté, en septembre 2010 et a été bien accueilli par la profession. L'assemblage de ce système de pulvérisation sur le petit porteur 8x8 a fait l'objet d'un cahier des charges technique établi par le Cemagref et la société Tecnoma s'est chargée de fournir le prototype complet de traitement. Une pré-série d'un appareil en "système trainé" est attendue pour Juin 2011. Ainsi, des changements vont s'opérer dans les modes de traitement et il sera sans doute nécessaire de coupler plusieurs solutions, terrestres ou aériennes. Des adaptations seront à faire au sein des plantations, des formations à organiser au sein des opérateurs, des conversions à envisager pour certaines exploitations. Par ailleurs, un investissement matériel sera nécessaire aussi bien pour les pulvérisateurs proprement dit que pour les équipements réglementaires connexes affairant aux recommandations des bonnes pratiques. La lutte contre la cercosporiose, obligatoire d'un point de vue réglementaire, est aujourd'hui collective et déléguée à un prestataire unique pour chaque ile. Il apparaît essentiel d'étudier les différents scenarii d'organisation future afin qu'elle ne perde pas son efficacité
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