10 research outputs found

    Évaluation du coût de distribution des médicaments (analyse prospective au CHU de Grenoble)

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    Étude prospective menée au sein du CHU de Grenoble en Juillet 2012 afin de connaitre le coût de distribution de chaque ligne délivrée aux services selon leurs besoins et le type de spécialités pharmaceutiques réclamées. Cette étude a pour but, de mieux comprendre et appréhender les dépenses tout en valorisant l acte pharmaceutique et améliorer le pilotage des dépenses en respectant les contraintes budgétaires.A prospective study carried on in the University Hospital of Grenoble in July 2012 in order to assess the costs of distribution of each line of drugs delivered to the hospital services according to their needs and the type of pharmaceutical specialties asked for. This study is intended to enhance the understanding of the costs while valuing the pharmaceutical act and to improve management of expenses while respecting budgetary constraints.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge des patients sous AVK lors d une chirurgie au cabinet dentaire

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    Les AVK sont utilisés dans le traitement préventif ou curatif des accidents thromboemboliques artériels ou veineux. L utilisation d AVK est en constante augmentation, la complication principale étant l hémorragie. Le chirurgien dentiste doit tenir compte des recommandations de la SFMBCB pour réaliser des actes chirurgicaux chez ce type de patient et maintenir un état d hypocoagulabilité compatible avec l affection du patient. Il est établi que les chirurgiens dentistes en cabinet ne doivent pas procéder à des modifications du traitement AVK avant un acte chirurgical sans risque hémorragique ou à risque hémorragique modéré, si l INR est stable et inférieur à 3. Le pharmacien joue un rôle primordial dans la prise en charge des patients sous AVK aussi bien au niveau pré-opératoire en réalisant une bonne éducation AVK auprès du patient qu au niveau post-opératoire, en insistant sur la surveillance de l INR et ainsi réduire le risque iatrogènique.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Évaluation d une automatisation de l activité de distribution des médicaments aux unités de soins, à la pharmacie du CHU de Grenoble

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    Évaluation d un système automatisé de distribution de médicaments vers les unités de soins, au sein d une pharmacie hospitalière équipé d un robot et d un automate. Cette étude a pour objectif d évaluer l impact de la mise en place d un système automatisé et ainsi évaluer le gain de temps préparateurs générés pour le redéployer vers des tâches à plus forte valeur ajoutée. A été utilisé des indicateurs de performances pour la productivité et la qualité de distribution.Evaluation of an automated system in a hospital pharmacy dispensary, with one robot and one automate. This study was necessary to evaluate impact of implementation of automated system and evaluate benefits for pharmacy dispensary and staffs.We used to evalute this implementation some producitvity and quality indicators.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Mise en place et évaluation d une automatisation de l activité de distribution des médicaments aux unités de soins à la pharmacie du CHU de Grenoble

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    Le CHU, dans une démarche de sécurisation du circuit du médicament, s est équipé d un automate de stockage et de distribution des médicaments. L objectif de ce travail était d évaluer l impact de l automatisation sur l activité de distribution des médicaments. L étude prospective comparative entre 2 sites de distribution avec et sans automate a montré que l automatisation permet une augmentation de la productivité de l activité de distribution des médicaments associée à un gain de temps préparateur. Le nombre d erreurs de distribution par jour est augmenté par l automatisation, mais après analyse approfondie des étapes du processus automatisé, les erreurs sont identifiées au niveau de postes à intervention humaine. Ces erreurs ayant mis en évidence une problématique organisationnelle, des améliorations techniques et d encadrement d équipe autour de l automate ont été envisagées. Ces résultats permettent d envisager un redéploiement du personnel pharmaceutique vers les unités de soins.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    MULTAQ® (dronédarone) (enquête de pratique sur la place d un nouvel antiarythmique dans les stratégies thérapeutiques actuelles)

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    Pensée et développée afin de se positionner comme un antiarythmique possédant un bon profil de tolérance et d utilisation aisée, la dronédarone n est finalement pas le médicament qu il aurait dû être. Depuis sa mise sur le marché, les effets indésirables graves apparus et les nouvelles limites de son utilisation empêchent en effet son usage de façon aussi simple que prévue. Néanmoins, nous avons prouvé au cours de notre enquête que malgré cet état de fait, la dronédarone pouvait trouver son indication chez une part relativement importante de patients traités par amiodarone (13 patients sur 88 vus au cours de l enquête, soit 14,7%). Cela montre que, bien que son utilisation puisse se révéler contraignante et limitée à certains types de patients, la dronédarone pourrait éventuellement être une alternative intéressante aux autres antiarythmiques lorsque ceux-ci sont contre-indiqués ou mal tolérés. Cependant, ce travail ne trouvera pleinement son sens que lorsque le statut du MULTAQ® en tant que spécialité remboursable ou non sera clairement défini par les autorités de santé. De plus, la récente mise sur le marché du médicament peut toujours laisser craindre l apparition de nouveaux effets indésirables inattendus. Dans l expectative, il n est donc pas possible de prévoir l avenir de ce médicament et s il pourra s inscrire de façon pérenne au sein des recommandations comme une alternative sérieuse et maitrisée aux autres antiarythmiques dans le traitement des FA non permanentes.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Approvisionnement en médicaments du service d hospitalisation à domicile du CHU de Grenoble (évaluation du double système ville - hôpital)

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    Dans un contexte de contrainte économique, et devant le fréquent désir des patients de rester le plus longtemps possible dans un environnement familier, l hospitalisation à domicile représente une alternative à l hospitalisation traditionnelle. Dans cet esprit, le nombre de places en HAD augmente continuellement depuis plusieurs années. Mais l organisation relativement ancienne de ces structures n est pas toujours adaptée à une telle demande, notamment en ce qui concerne l approvisionnement en médicaments. Actuellement, la gestion des médicaments du service d HAD de Grenoble repose sur une répartition entre un approvisionnement en ville et un approvisionnement hospitalier, qui pose un certain nombre de problèmes. En particulier, les équipes soignantes du service ont de plus en plus de mal à gérer les ordonnances au domicile des patients ; les préparateurs de la pharmacie de l hôpital sont de plus en plus sollicités pour des ordonnances urgentes ou non valides. Ainsi, il apparaît nécessaire de faire évoluer ce fonctionnement. Pour cela, nous avons envisagé deux hypothèses : soit une délivrance essentiellement hospitalière, soit une délivrance essentiellement officinale. L objectif de notre travail était d étudier les trois aspects de la délivrance dans ces différentes situations : la sécurité du patient, l aspect économique, et les conditions de travail du personnel impliqué. En terme de méthodologie, nous avons rassemblé pendant une période de neuf semaines toutes les délivrances concernant les patients du service. D après ces données, témoins du volume de médicaments consommés, nous avons estimé le budget mensuel de l HAD pour son approvisionnement pharmaceutique. Nous avons relevé les erreurs de délivrance, certaines pouvant remettre en cause la sécurité du patient. Enfin, nous avons interrogé le personnel concerné par ce fonctionnement, c'est-à-dire les soignants et les préparateurs, afin de recueillir leurs points de vue. Les résultats principaux sont les suivants. La majorité des médicaments étant disponible à l hôpital comme à l officine (92%), les deux hypothèses sont envisageables. Nous avons relevé 33 erreurs de délivrance pendant cette période de neuf semaines; une seule a eu une conséquence notable chez un patient car elle concernait le dosage d'un médicament à marge thérapeutique étroite. Sur le plan économique, un passage à une délivrance essentiellement officinale augmenterait le coût mensuel pour la collectivité de près de 6 700 euros (52%) par rapport à la situation actuelle. En revanche, une délivrance essentiellement hospitalière permettrait d économiser un peu plus de 400 euros par mois (soit 3,3%). Enfin, les conditions de travail dans le système actuel ne satisfont ni les préparateurs, ni les soignants. La nomination d un préparateur référent pour l HAD semble être une solution appropriée pour améliorer cette organisation. Cette étude montre que finalement l hypothèse qui respecte le mieux la sécurité du patient, le souci financier, et les conditions de travail du personnel concerné, semble être celle d une délivrance essentiellement hospitalière. Il s agirait donc de créer un poste de préparateur au sein même du service d HAD. Sa connaissance du dossier patient et des traitements habituels sécuriserait la délivrance. Grâce au contact quotidien avec les soignants, il serait informé de l évolution des patients. Cette proximité permettrait alors une délivrance de qualité, au plus près des besoins. C est donc cette solution qui nous semble la plus adaptée pour faire face à l augmentation prévue du nombre de places en HAD.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Diffusion des opinions pharmaceutiques dans le cadre d'une activité de pharmacie clinique en unité de soins

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    Contexte : La prescription informatisée et la présence d'un pharmacien dans l'unité de soins permettent de prévenir les erreurs médicamenteuses. Objectifs : Les objectifs étaient de décrire les opinions pharmaceutiques (OP) du pharmacien présent dans l'unité de soins avec prescription informatisée, d'en estimer l'acceptation par les prescripteurs, et de décrire les facteurs associés à cette acceptation. Méthode : Une étude prospective de trois semaines a été menée dans cinq services d'un centre hospitalo-universitaire (CHU). Résultats : Au cours de la validation des prescriptions et de la participation aux visites médicales, 6 internes en pharmacie ont transmis 221 OP au prescripteur par voie orale (9 %), informatique (67 %), ou les deux (24 %). Elles concernaient une interaction médicamenteuse (27 %), le suivi thérapeutique (17 %) ou une erreur informatique (16 %). Les OP étaient une modification du choix ou de la dose de médicament (49 %), une augmentation de suivi thérapeutique (31 %), une optimisation de l'administration (14 %). Les prescripteurs ont accepté 47,1 % des OP. L'acceptation des OP était associée à la transmission orale (odds ratio [OR] = 6,46; intervalle de confiance à 95 % [IC 95 %] [1,65–25,24]; p < 0,01), aux recommandations de type "modification du choix ou de la dose de médicament" (OR = 3,81; IC 95 % [1,63–8,86]; p < 0,01) et "optimisation de l'administration" (OR = 9,51; IC 95 % [3,02–29,93]; p < 0,01). Conclusion : L'informatisation de la prescription doit être accompagnée de la présence du pharmacien dans l'unité de soins pour optimiser l'acceptation par le prescripteur des opinions pharmaceutiques

    “When did you decide to receive the Covid-19 vaccine?” Survey in a high-volume vaccination center

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    Highly efficient and safe Covid-19 vaccines are available in Europe in amounts that theoretically allow for a high immune coverage. However, a notable proportion of the population is reluctant toward immunization. We aimed to determine, among people who chose to be vaccinated, when they made the decision and whether they would have preferred an earlier vaccination. A survey was conducted in a high-volume Covid-19 vaccination center in France from 28 May to 9 July 2021 through an anonymous questionnaire. The 2519 participants (54.1% males; median age 39 years) attributed lower efficacy and safety to Covid-19 vaccines than to vaccines in general. When asked when they decided to receive the vaccine, 15.5% and 16.0% answered “less than one month ago” and “less than one week ago,” respectively; age <40 and female sex were independently associated with these responses. When asked whether they would have preferred to have been vaccinated earlier, 57.6% answered “definitely no,” “rather no,” or “neither yes nor no”; female sex (independently from age) was associated with these answers. When asked whether they would have preferred to receive the vaccine as early as January 2021, 65.2% answered “definitely no,” “rather no,” or “neither yes nor no”; age <40 and female sex were independently associated with these responses. In conclusion, one-third people had made the decision to be vaccinated only recently, while more than half would not have preferred an earlier vaccination, in particular women and those aged <40 years. Vaccine campaigns should take such short-term decision-making processes into account
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