14 research outputs found

    L’ostéomyélite drépanocytaire de l’enfant en milieu camerounais : particularités épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques

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    L’ostéomyélite aigue versus chronique drépanocytaire de l’enfant est un sujet préoccupant dans notre pratique chirurgicale pédiatrique. D’avril 2004 à novembre 2009, 15 cas d’ostéomyélite aigue versus chronique diagnostiqués cliniquement ont été colligés dans le service de chirurgie pédiatrique de l’Hôpital Gynéco Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé chez des enfants âgés de 0 à 15 ans porteurs d’une hémoglobine anormale S. L’âge moyen des enfants a été de 7, 24 ans avec des extrêmes allant de 9 mois à 15 ans et la tranche d’âge de 1 à 5 ans a été la plus touchée. La prédominance masculine était discrète avec un sex ratio de 1,2. La porte d’entrée n’était retrouvée que dans 30% des cas. La prédilection d’atteinte des os longs, la fréquence des formes non fistulisées, de l’homozygotie SS et de l’isolement des salmonelles comme étiologie ont été considérés comme faits caractéristiques. Le traitement médical préventif toujours de mise était suivi d’un traitement orthopédique, la chirurgie étant d’indication plus ciblée. La guérison était obtenue dans 79,73% des cas. Les auteurs dégagent les particularités pidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques de l’ostéomyélite aigue versus chronique drépanocytaire de l’enfant en milieu camerounais, afin d’en améliorer la prise en charge

    Prise en charge des fractures fermées supra-condyliennes déplacées de l’humérus de l’enfant vues tardivement

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    De Janvier 2004 à Décembre 2009, dix cas de fractures fermées supra-condyliennes déplacées de l’humérus de l’enfant vues tardivement (J2-J12), ont été colligées et traitées chez des enfants âgés de 0 à 15 ans dans le Service de Chirurgie Pédiatrique de l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique deYaoundé (HGOPY). L’âge moyen des patients était de 5,2 ans avec des extrêmes allant de 3 à 9 ans. Les types lésionnels étaient dominés par le stade IV de Lagrange-Rigault (ou type III de Gartland et Wilkins) avec 7 cas. L’abord chirurgical était au premier plan dans 6 cas utilisant une voie postérieure. Les résultats thérapeutiques évalués selon les critères de Flynn avec un recul de 12 mois étaient satisfaisants dans 9 cas parmi lesquels 6 résultats excellents. Les auteurs préconisent un abord chirurgical d’emblée dans ces formes vues tardivement et recommandent la voie postérieure et une ostéosynthèse adaptée à l’âge de l’enfant, en particulier l’embrochage en croix

    Prise en charge des fractures fermées supra-condyliennes déplacées de l’humérus de l’enfant vues tardivement

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    De Janvier 2004 à Décembre 2009, dix cas de fractures fermées supra-condyliennes déplacées de l’humérus de l’enfant vues tardivement (J2-J12), ont été colligées et traitées chez des enfants âgés de 0 à 15 ans dans le Service de Chirurgie Pédiatrique de l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique deYaoundé (HGOPY). L’âge moyen des patients était de 5,2 ans avec des extrêmes allant de 3 à 9 ans. Les types lésionnels étaient dominés par le stade IV de Lagrange-Rigault (ou type III de Gartland et Wilkins) avec 7 cas. L’abord chirurgical était au premier plan dans 6 cas utilisant une voie postérieure. Les résultats thérapeutiques évalués selon les critères de Flynn avec un recul de 12 mois étaient satisfaisants dans 9 cas parmi lesquels 6 résultats excellents. Les auteurs préconisent un abord chirurgical d’emblée dans ces formes vues tardivement et recommandent la voie postérieure et une ostéosynthèse adaptée à l’âge de l’enfant, en particulier l’embrochage en croix

    Bilan d'une annee d'activite chirurgicale au service de chirurgie pediatrique Generale du Chu de Grenoble: un modèle exemplaire de coopération Nord-Sud

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    Notre Ă©tude a Ă©tĂ© rĂ©trospective portant sur 356 malades opĂ©rĂ©s dans le service de chirurgie pĂ©diatrique du CHU de Grenoble dans la pĂ©riode de Novembre 2003 Ă  Novembre 2004. L'objectif de cette Ă©tude Ă©tait d'Ă©tablir un bilan prĂ©liminaire de cette coopĂ©ration mĂ©dicale Nord-Sud et de proposer un canevas pratique pour en optimiser les bĂ©nĂ©fices. Ce bilan d'activitĂ© chirurgicale met en relief : √la prĂ©dominance de la tranche d'âge de J28 – 3 ans notĂ©e lors des admissions dans le service. √la richesse de la pathologie chirurgicale pĂ©diatrique au CHU de Grenoble au premier rang de laquelle on peut citer : √ la pathologie du canal pĂ©ritonĂ©o-vaginal en chirurgie viscĂ©rale pĂ©diatrique, √ les cryptorchidies idiopathiques en urologie pĂ©diatrique, √ les pleuropneumopathies cloisonnĂ©es en chirurgie thoracique pĂ©diatrique. √ la nĂ©cessitĂ© aujourd'hui de promouvoir de tels Ă©changes rĂ©guliers entre praticiens du Nord et ceux du Sud par le biais de stages spĂ©cialisĂ©s en Occident, Ă  l'effet d'offrir une meilleure prise en charge chirurgicale aux enfants africains porteurs des mĂŞmes affections. Clinics in Mother and Child Health Vol. 2(2) 2005: 379-38

    Traitement des fractures diaphysaires fémorales de l'enfant à Yaoundé : à propos de 22 cas.

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    Vingt deux fractures diaphysaires fémorales ont été colligées et traitées en 7 ans et 9 mois chez 21 enfants âgés de 0 à 15 ans. La prédominance masculine, la primauté du siège au1/3 moyen diaphysaire et du chevauchement comme déplacement ont été remarquables. Le traitement orthopédique a constitué l'essentiel du geste thérapeutique prenant en compte l'âge, le type de fracture, les lésions associées et le coût. Le traitement chirurgical chez un patient a été compliqué d’une pseudarthrose septique à distance. Quelque soit la méthode thérapeutique, 27,2% des patients ont présenté une inégalité de longueur des membres inférieurs d’au moins 10mm. Les auteurs soulignent les aspects thérapeutiques de ces affections.Mots clés : fractures diaphysaires, fémur, enfant

    Particularités épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques de la hernie ombilicale de l’enfant noir africain.

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    D’avril 2004 à février 2011 une étude rétrospective et prospective portant sur 75 cas de hernies ombilicales a été menée dans le service de chirurgie pédiatrique de l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé (HGOPY). L’âge moyen des patients était de 3 ans et la prédominance masculine était remarquée avec un sex ratio de 1,5. La présentation clinique était dominée par les engouements et étranglements herniaires, représentant respectivement 58,6% et 14,6% des cas. Les auteurssoulignent les particularités épidémio-cliniques des hernies ombilicales de l’enfant noir africain et font un plaidoyer pour la chirurgie systématique dans ce contexte, devant toute hernie ombilicale même non compliquée, surtout devant un diamètre du collet réduit (≤1,5 cm) chez le nourrisson de sexe masculin.Mots clés : Hernie ombilicale, épidémiologie, diagnostic, traitement, Afrique

    Aspects anatomocliniques et thérapeutiques des accidents de la circoncision à l’hôpital Gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé (HGopY) : à propos de 15 cas

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    La pratique rituelle de la circoncision fait partie des us et coutumes dans notre  milieu. Les accidents générés par sa pratique sont nombreux et ils posent des difficultés thérapeutiques majeures mettant en jeu le pronostic fonctionnel,  esthétique et parfois vital des patients. L’objectif de ce travail était de préciser les aspects anatomocliniques et thérapeutiques des  accidents de circoncision à l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé. Notre étude a été  rétrospective et descriptive, portant sur 15 accidents de circoncision colligés et traités sur une période de 10 ans (septembre 2005- septembre 2015) dans le  service de chirurgie Pédiatrique de l’Hôpital Gynécoobstétrique et Pédiatrique de Yaoundé. Nous avons inclus dans cette étude tous les patients âgés de 10 à 15 ans ayant présenté un accident de circoncision traité dans le service. Quinze  accidents de circoncision ont été colligés et traités en 10 ans, soit une fréquence hospitalière de 1,5 cas/an. L’âge moyen des patients était de 5,57 ans avec des extrêmes allant de 7 mois à 14 ans. Le délai moyen de consultation était 41 semaines (environ 10 mois) avec des extrêmes allant de 3 heures à 2 ans.  L’indication de la circoncision était  rituelle dans tous les cas. Le niveau de qualification du personnel soignant était paramédical dans 100% des cas. Le lieude circoncision était le domicile dans 53,3% des cas, une formation sanitaire dans 26,7% des cas et non précisée dans 20% des cas. La sérologie VIH n’avait été demandée que chez 03 patients (20%) de notre série. Les aspects lésionnels   rencontrés étaient les suivants : fistules urétro-cutanée (53,3%), amputation totale du gland (n = 1 soit 6,66%), amputation partielle de la verge (6,7%), hémorragie pénienne (6,7%), suppuration de la jonction cutanéo-muqueuse (6,7%), sténose du méat et rétention aigue d’urine (6,7%), enlisement de verge (6,7%), déficit de peau pénienne (6,7%). Les gestes  thérapeutiques réalisés ont été :  fermeture de fistule urétro-cutanée (46,7%), méatoplastie (13,3%), pansement humide + antibiothérapie ( 6,7%), urétroplastie par lambeau de muqueuse buccale (6,7%), désenlisement de verge (6,7%),  vésicostomie ( 6,7%) et hémostase de  l’artère du frein (6,7%). Les accidents générés par la pratique intempestive de la circoncision dans notre milieu sont nombreux et suffisamment graves pour que la circoncision soit considérée comme un acte chirurgical à part entière. Les gestes chirurgicaux lourds indiqués pour leur correction justifient que la circoncision, à défaut d’être réservée à des mains expertes, soit encadrée lorsqu’elle est pratiquée par des tradithérapeutes et/ou le personnel paramédical.Mots clés : Accidents de circoncision, anatomoclinique, traitement, Yaoundé-Cameroun. Complications arising from the practice of circumcision in our environment are  several and pose major therapeutic difficulties involving the functional prognosis, aesthetic and sometimes vital prognosis of patients. The aim of this study was to  describe the anatomical, clinical and therapeutical aspects of circumcision complications in the Yaounde Gynaecology, Obstetrics and Paediatrics Hospital. It was a retrospective and descriptive study, of 15 cases of circumcision  complications collected and treated over a period of 10 years in patients from day 0 to 15 years in the Yaounde Gynaecology, Obstetrics and Pediatrics Hospital. We  collected 15 treated cases of circumcision complications over a period of 10 years. The average age of the patients was 5.57 years (7 months - 14 years). The mean interval between circumcision and complication was 10 months (3 hours - 2 years). The reason of the circumcision was ritual in all cases. Lesional aspects were  dominated by urethral fistulas (53.3%), followed by total amputation of the glans (6.7%) and or the penis (6.7%). We realized various therapeutic  procedures: urethral fistula closure (46.7%), meatoplasty (13.3%), wet dressing + antibiotic (6.7%), buccal mucosal  uretroplasty (6.7%), buried penis repair (6.7%),  vesicostomy (6.7%) and hemostasis (6.7%). Complications generated by the practice of circumcision in our environment are severe and surgical procedures needed for their correction are heavy  enough.Keys words: Complications of circumcision, anatomic clinical aspects,  management, Yaoundé, Cameroun

    La déformation de Sprengel en Afrique sub-saharienne à propos d’un cas et revue de la littérature

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    Les auteurs rapportent l’observation originale d’un garçon de 5 ans présentant une surélévation congénitale de la scapula de grade 3 de Cavendish. Le patient a été traité avec succès selon la procédure chirurgicale décrite par Woodward en 1961, dans le service de chirurgie pédiatrique de l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé (HGOPY). Les auteurs soulignent la rareté de l’affection qui a été peu décrite en Afrique sub-saharienne et font une revue de la littérature sur la question. Mots clés : surélévation congénitale de la scapula, enfant, traitement chirurgical, Cameroun.We report a case of congenital undescended scapula Cavendish grade 3 in a 5 year old child. The patient was successfully treated at the Woodward surgical procedure, in the pediatric surgical unit of the Yaounde, Gyneco-Obstetric and Pediatric Hospital. The authors stress on the rarity of this disorder in sub-saharan Africa, and literature review is done.Key words: Undescended scapula, children, surgical treatment, Cameroon

    Facteurs de mortalité des occlusions néonatales à l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé

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    Dans les pays en voie de développement, le pronostic des occlusions néonatales reste réservé, avec une mortalité comprise entre 20 et 70% alors que le chiffre est inférieur à 15% dans les pays développés. Le but de ce travail était de déterminer les facteurs de mortalité des occlusions néonatales dans le contexte d’un pays sous-médicalisé. Notre étude a été rétrospective, descriptive et analytique sur une période de 7 ans, allant du 1er janvier 2007 au 31 décembre 2014, dans le service de chirurgie pédiatrique de l’HGOPY. Ont été inclus tous les dossiers de nouveau-nés âgés de J0 à J21 présentant un tableau clinique d’occlusion néonatale confirmé radiologiquement et pris en charge à l’HGOPY. Soixante-quatre dossiers de nouveau-nés occlus ont été retenus. Quarante-sept nouveau-nés sont décédés, soit un taux de mortalité de 73,4%. Le délai moyen de consultation était de 6,4 jours avec des extrêmes de J0 et J21. La période néonatale précoce (J0-J8) était la plus concernée par la mortalité. Aucun patient n’avait été l’objet de transport médicalisé et le diagnostic anténatal était quasi inexistant. Le délai moyen du diagnostic était de 1,46 jour avec des extrêmes de J0 et J7 de vie et la maladie de Hirschsprung était la cause la plus fréquente des occlusions néonatales (43,3%). Le délai moyen de prise en charge chirurgicale était de 3,3 jours avec des extrêmes de J1 et J7 de vie. Moins de 20% des nouveau-nés avaient bénéficié d’un traitement chirurgical. Le retard à la consultation, l’absence de transport médicalisé et de diagnostic anténatal, l’insuffisance du plateau technique en unités de soins intensifs néonatals, la faiblesse du pouvoir d’achat des populations et le déficit organisationnel semblent être au premier plan des facteurs de mortalité des occlusions néonatales dans notre milieu.Mots clés : facteurs de mortalité, occlusions néonatales, Yaoundé, Cameroun. Recent advances in neaonatal surgery especially in developed countries has greatly improved the outcome of neonates with intestinal obstruction, whereas in most developping countries the mortality still remains as high as 20-70%. This study was designed to determine the causes of mortality in patients with neonatal intestinal obstruction at the YGOPH. Records of all cases of neonates aged 0-21 days presenting with an intestinal obstruction confirmed radiologically and managed at the peadiatric surgery unit of the YGOPY between 1st January 2007 to 31s December 2014, were retrospectically reviewed. Sixty-four cases of neonatal intestinal obstruction were managed representing 0.86% of the neonatal admissions during the study period. Overall mortality was 37.3%. Average duration of symptoms before consultation was 7.9 days. The most common cause of intestinal obstruction in our series was Hirschsprung’s disease(43.3%). Less than 25% of our study population survived till the operation. Late presentation, absence of antenatal diagnosis and lack of adequate transport, the non-availability of neonatal intensive care units, resource deficiency and ignorance et lack of fundamental organization all appear to be contributive factors to poor outcome in our setting. Key words: determinants, mortality, neonatal obstruction, Yaoundé, Cameroon

    Difficultés diagnostiques et thérapeutiques des sténoses urétrales acquises non traumatiques du garçon l’hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé (HGOPY)

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    Les sténoses urétrales du garçon désignent des rétrécissements de la lumière de  l’urètre masculin qui peuvent revêtir un aspect congénital ou acquis. Le but de ce travail était de souligner les difficultés diagnostiques et thérapeutiques des   sténoses urétrales acquises non-traumatiques du garçon à l’HGOPY. Les auteurs rapportent cinq observations cliniques de sténoses urétrales acquises  non-traumatiques du garçon, colligées dans le service de chirurgie pédiatrique de l’HGOPY sur une période de deux ans (novembre 2012 –novembre 2014). Le  diagnostic de sténose urétrale a été porté par le couple urétrocystographie – urétrocystoscopie dans tous les cas rapportés. Il s’agissait soit d’un urètre inflammatoire, soit d’une sténose unique ou multiple. Les gestes pratiqués ont été : urétrotomie interne (n=1), dilatation urétrale (n=1), vésicostomie (n=2) et sondageurétral (n=3). Avec un recul moyen de 8,2 mois ; tous les patients étaient  asymptomatiques. Les auteurs rendent compte de leurs difficultés dans la prise en charge diagnostique et thérapeutique des sténoses urétrales acquises   non-traumatiques du garçon à l’HGOPY. L’existence d’une étiologie inflammatoire des sténoses urétrales acquises non-traumatiques du garçon mérite d’être  envisagée.Mots-clés : Sténose urétrale non traumatique, diagnostic, traitement.The authors report their experience in the management of five consecutive cases of acquired non-traumatic urethral stricture in African boys. They highlight the diagnostic difficulties, challenges in the management and suggest the existence of an  inflammatory cause of this pathology in an African milieu. Highlight the   diagnostic and therapeutic difficulties in the  management of non-traumatic urethral strictures in boys at the YGOPH. The authors report five cases of non-traumatic urethral strictures managed at the paediatric surgery department of the YGOPH over a twoyear period (november 2012-november 2014). In order to confirm the diagnosis of urethral stricture, all patients were assessed both with cystuoretrographyandurethrocystoscopy. The findings were; either an inflammatory urethra(n=2), either a single or multiple stenosis. The actions were performed included: internal urethrotomy (N=1), urethral dilatation (n = 1), vesicostomy (n= 2) and urethral catheterization (n = 3). With a median follow-up of 8.2 months, all patients remained symptoms free. The authors report the difficulties encountered in the diagnosis and management of non-traumatic urethral strictures in boys at the YGOPH. The existence of an inflammatory aetiology of urethral strictures in boys deserves to be considered.Keys words: Urethral stricture, inflammatory, boy, Africa
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