201 research outputs found

    Mothers, Young People and Chronic Illness

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    Wildlife Management in Nunavik: Structures, Operations, and Perceptions Following the James Bay and Northern Quebec Agreement

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    Among the functions of the James Bay and Northern Quebec Agreement (JBNQA) was the establishment of a series of mechanisms to enable its Indigenous signatories to continue their subsistence practices. Central to these mechanisms were commitments to create a co-management regime for the area’s wildlife. In 1995, 20 years after the Agreement was signed, Lorraine Brooke published an analysis of Inuit experiences of the regime. This article extends her study, presenting the present structures of wildlife management in Nunavik, particularly as of the mid-2000s. It explores the extent to which the federal and provincial government commitments laid out in the JBNQA have been fulfilled and assesses the contemporary relevance of Brooke’s conclusions. Based on interviews with Inuit and non-Inuit stakeholders, including bureaucrats and individual hunters and fishers, the paper outlines the diverse perspectives of those who administer and who are subject to the enforcement of Nunavik’s wildlife management regime. It concludes that many of the findings from Brooke’s analysis persist. The region continues to be subject to complex bureaucratic and administrative structures that routinely make power sharing between Inuit and non-Inuit government agencies problematic.Parmi les modalités de la Convention de la Baie-James et du Nord québécois (CBJNQ), notons l’établissement d’une série de mécanismes permettant à ses signataires autochtones de continuer à exploiter les ressources à des fins de subsistance. Une série d’engagements visant à créer un régime de cogestion de la faune de la région était à la base même de ces mécanismes. En 1995, 20 ans après la signature de la convention, Lorraine Brooke a publié une analyse au sujet des expériences des Inuits par rapport à ce régime. Cet article se veut le prolongement de son étude et présente les structures actuelles de gestion de la faune du Nunavik, plus particulièrement depuis le milieu des années 2000. L’article explore la mesure dans laquelle les engagements du gouvernement fédéral et du gouvernement provincial énoncés dans la CBJNQ ont été respectés, et évalue la pertinence contemporaine des conclusions de Lorraine Brooke. En se fondant sur des entrevues réalisées auprès d’intervenants inuits et non inuits, y compris des bureaucrates ainsi que des chasseurs et des pêcheurs particuliers, l’article fait état des diverses perspectives de ceux qui administrent le régime et de ceux qui sont assujettis à l’application du régime de gestion de la faune du Nunavik. Il conclut que grand nombre des constatations découlant de l’analyse de Lorraine Brooke sont encore valables. La région continue de faire l’objet de structures bureaucratiques et administratives complexes qui rendent problé­matique le partage du pouvoir usuel entre les organismes gouvernementaux inuits et non inuits. &nbsp

    The Commoditization of Country Foods in Nunavik: A Comparative Assessment of its Development, Applications, and Significance

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    The article presents the historical roots of development policy vis-à-vis Canadian Inuit as it relates to the commoditization of country foods in the Canadian North, with particular reference to Nunavik. Although Inuit place an emphasis on sharing country foods, they have developed various mechanisms that allow them to be sold. Such sales are complicated for a number of reasons. Legislation at various levels of government either prohibits or severely restricts the commercial sale of country foods, particularly for an export market. Despite this, individual businesspeople, Makivik Corporation (the regional Inuit development agency), and the government-sponsored Hunter Support Program (HSP) have all, with varying degrees of success, started to commoditize country foods. The requirement to meet conservation measures and respect government processing standards has restricted the commercial development of these foods for export, which, in turn, has limited such development both by individuals and by Makivik Corporation. The HSP, which pays people to supply country foods that are then given away to beneficiaries under the James Bay and Northern Quebec Agreement, is the most accepted and successful form of commoditization. The reason for its success is twofold. First, regulations generally favour the development of a local market for country foods. Second, at an ethical level the HSP is tolerable to people because it both curbs the practice of selling country foods purely for individual self-interest and underscores sociality by replicating the Inuit tradition of sharing food with the community. Although Inuit are consumers of the commoditized country foods to some extent, the Inuit who produce those foods for sale insist that they do not sell them to other Inuit, but rather continue to share. They have made a teleological distinction between the sale of country foods to Inuit, which tradition inhibits, and the sale of country foods to institutions, which is acceptable. The latter removes country foods from the domestic sphere, thereby enabling Inuit to sell the foods without challenging the principle that they be shared.Dans cet article sont exposées les racines historiques de l’élaboration des politiques concernant les Inuit du Canada en ce qui a trait à la commercialisation de la nourriture traditionnelle dans le Nord canadien, en particulier au Nunavik. Bien que les Inuit mettent l’accent sur le partage de la nourriture traditionnelle, ils ont créé divers mécanismes qui leur permettent de la vendre. Ces transactions sont compliquées pour plusieurs raisons. La législation à divers paliers du gouvernement soit interdit la vente commerciale de nourriture traditionnelle, soit lui impose des restrictions très sévères, en particulier pour le marché d’exportation. Malgré cela, des gens d’affaires, la Société Makivik (l’agence de développement inuite régionale) et le Programme d’aide aux chasseurs parrainé par le gouvernement ont tous, à divers degrés de réussite, commencé à commercialiser les aliments du terroir. Le besoin de respecter les mesures de conservation et de se conformer aux normes de conditionnement a limité le développement commercial de ces aliments pour l’exportation, ce qui a eu pour conséquence de freiner ce développement de la part tant des individus que de la Société Makivik. Le Programme d’aide aux chasseurs, qui paie des individus pour fournir des aliments traditionnels qui sont ensuite donnés à des bénéficiaires en vertu de la Convention de la Baie James et du Nord québécois, représente la forme de commercialisation la mieux acceptée et celle qui a le plus de succès. Le succès de ce programme a deux raisons. Tout d’abord, les règlements favorisent généralement le développement d’un marché local pour les aliments du terroir. Deuxièmement, sur un plan éthique, le Programme est acceptable aux yeux des individus car il met un frein à la pratique consistant à vendre les aliments traditionnels pour son intérêt personnel et il souligne la sociabilité en répliquant la tradition inuite du partage de la nourriture avec la collectivité. Bien que les Inuit soient dans une certaine mesure des consommateurs de ces aliments commercialisés, ceux qui les produisent pour la vente insistent sur le fait qu’ils ne les vendent pas à d’autres Inuit, mais plutôt qu’ils continuent la pratique du partage. Ils ont établi une distinction téléologique entre la vente des aliments du terroir aux Inuit, ce que la tradition interdit, et la vente de ces aliments à des institutions, ce qui, à leurs yeux, est acceptable. Cette dernière modalité soustrait la nourriture traditionnelle de la sphère domestique, permettant ainsi aux Inuit de la vendre sans contrevenir au principe selon lequel il faut la partager

    Ăśber die Leitungsart der Gelatine-Farbstoffphosphore

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