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    Candidose buccale et invagination intestinale chez le babouin en captivité Papio papio

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    Sur 128 babouins, Papio papio (Desm.), de la collection du Parc zoologique de Paris, il a été enregistré: 9 candidoses buccales à Candida albicans et 3 invaginations intestinales, avec une coexistence de ces affections chez deux sujets. La glossite candidosique, forme la plus fréquente, coïncide souvent avec une prolifération bactérienne buccale et apparaît surtout en hiver (77,8 p. 100 des cas), chez les plus vieux sujets (21 p. 100) malades de surcroît (trichuriose, tuberculose). Les facteurs locaux semblent devoir jouer un rôle plus important dans les invagination

    Geotrichum loubieri Morenz 1964,un champignon arthrospore, formant également des endospores

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    Saëz Henri. Geotrichum loubieri Morenz 1964,un champignon arthrospore, formant également des endospores. In: Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, 39ᵉ année, n°9, novembre 1970. pp. 283-288

    Recherche du Candida albicans et du Geotrichum candidum dans les feces de quelques animaux sauvages en captivité

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    Le Geotrichum candidum peut être l'hôte du Fourmilier, de la Girafe, de l'Okapi, du cerf pseudaxis et du Manchot royal. Seuls le Fourmilier et le Manchot royal hébergeaient le Candida albicans.Saëz Henri. Recherche du Candida albicans et du Geotrichum candidum dans les feces de quelques animaux sauvages en captivité. In: Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, 28ᵉ année, n°6, juin 1959. pp. 191-194

    [Sans titre]

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    Aspergillus nidulans (Eidam) Winter, une espèce thermophile commune chez l'animal

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    Saëz Henri. Aspergillus nidulans (Eidam) Winter, une espèce thermophile commune chez l'animal. In: Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, 35ᵉ année, n°10, décembre 1966. pp. 467-472

    La vie associative et les cultures populaires : idéologie ou renouveau ?

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    Le « renouveau » associatif est lié en France à un discours sur la « perte de sens », la crise des valeurs. La politique d’action culturelle a été marquée par cette crise : dans un monde sans âme, seule la culture « supplément d’âme » permettait de survivre. Ces idées ont guidé les politiques culturelles jusqu’à une période récente. Pourquoi accorde-t-on aujourd’hui une si grande place à la « vie associative » et aux « cultures populaires » comme fondements de nouvelles politiques ?L’association semble répondre à toutes les attentes dont ne peuvent se charger des institutions politiques classiques trop massives et complexes. Mais célébrer les associations c’est mettre un terme aux politiques consistant à couvrir le territoire d’équipements culturels trop coûteux et aussi trouver dans une population de nouvelles ressources de sociabilité, appuyées davantage sur la vie communautaire au plan local.L’insistance sur les phénomènes de normalisation et de quadrillage social qu’installent les politiques socio-culturelles ont entraîné un intérêt accru pour les « résistances » à ce nouvel ordre, et donc pour les « cultures populaires ». Ainsi le combat de l’après-guerre pour l’Éducation populaire s’est-il transformé en volonté de sauvegarder les cultures populaires.Comment les animateurs culturels vont-ils pouvoir revivifier ces « cultures populaires » dont ils affirment la spécificité et les prendre pour objet d’une politique culturelle ?The resurgence of the theme "associative life" in France is related to concern about a "loss of identity", a "crisis in values". The cultural action policies have been affected by this crisis. In a world that has lost its soul, the reasoning goes, only culture, in the broad sense, as a kind of earthly soul, can enable us to survive. These ideas have oriented cultural policy until recently. Why is so much attention now being paid to "associative life" and "popular culture" as a basis for new policies.Face-to-face associative life seems to be able to meet the needs that the complexity and immensity of traditional political institutions leave unanswered. At the same time, this new theme could be a way to put an end to policies that seek to endow all regions with an expensive cultural infrastructure. Perhaps it can discover new resources of sociability that will flourish on the community level.The emphasis on normalisation and supervision that socio-cultural policy engenders has stimulated interest in the forms of "resistance" to this new order and thus for "popular cultures". The post-war struggle for popular education for example, now expresses itself as a desire to preserve and protect popular culture.How will cultural animators be able to reinfuse new life into these popular cultures which they claim to be specific and how can they be made into goals of cultural policy?El renacimiento asociativo en Francia está unido a un discurso sobre "la perdida de sentido", la crisis de los valores. La política de acción cultural ha sido hondamente marcada por esta crisis: en un mundo sin alma, solo la cultura "suplemento anímico" permitía el sobrevivir. Son estas ideas las que han guiado las políticas culturales hasta hace poco. ¿Porqué se le da hoy tanta importancia a la "vida asociativa" y a las "culturas populares" como fundamentos de nuevas políticas?La asociación parece responder a todas las esperanzas de las que no pueden encargarse las instituciones políticas clásicas, demasiado masivas y complejas; sin embargo, celebrar las asociaciones significa poner término a las políticas que han buscado el cubrir el territorio con equipos culturales costosos, y significa también encontrar en la población nuevos recursos de sociabilidad, más directamente apoyados en la vida comunitaria a nivel local.La insistencia en los fenómenos de normalisación y de encuadramiento sociales que instauran las políticas socio-culturales ha traído un aumento de interés en las "resistencias" a este nuevo orden, y por lo tanto en las "culturas populares". Así, el combate de la post-guerra por la educación popular se ha transformado en una voluntad de salvaguardar las culturas populares. ¿Cámo conseguirán los animadores culturales revitalizar estas culturas populares, de las que defienden la especificidad, para poder hacer de ellas el objeto de una política cultural
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