12 research outputs found

    Phylogenetic Reconstruction and DNA Barcoding for Closely Related Pine Moth Species (Dendrolimus) in China with Multiple Gene Markers

    Get PDF
    Unlike distinct species, closely related species offer a great challenge for phylogeny reconstruction and species identification with DNA barcoding due to their often overlapping genetic variation. We tested a sibling species group of pine moth pests in China with a standard cytochrome c oxidase subunit I (COI) gene and two alternative internal transcribed spacer (ITS) genes (ITS1 and ITS2). Five different phylogenetic/DNA barcoding analysis methods (Maximum likelihood (ML)/Neighbor-joining (NJ), “best close match” (BCM), Minimum distance (MD), and BP-based method (BP)), representing commonly used methodology (tree-based and non-tree based) in the field, were applied to both single-gene and multiple-gene analyses. Our results demonstrated clear reciprocal species monophyly for three relatively distant related species, Dendrolimus superans, D. houi, D. kikuchii, as recovered by both single and multiple genes while the phylogenetic relationship of three closely related species, D. punctatus, D. tabulaeformis, D. spectabilis, could not be resolved with the traditional tree-building methods. Additionally, we find the standard COI barcode outperforms two nuclear ITS genes, whatever the methods used. On average, the COI barcode achieved a success rate of 94.10–97.40%, while ITS1 and ITS2 obtained a success rate of 64.70–81.60%, indicating ITS genes are less suitable for species identification in this case. We propose the use of an overall success rate of species identification that takes both sequencing success and assignation success into account, since species identification success rates with multiple-gene barcoding system were generally overestimated, especially by tree-based methods, where only successfully sequenced DNA sequences were used to construct a phylogenetic tree. Non-tree based methods, such as MD, BCM, and BP approaches, presented advantages over tree-based methods by reporting the overall success rates with statistical significance. In addition, our results indicate that the most closely related species D. punctatus, D. tabulaeformis, and D. spectabilis, may be still in the process of incomplete lineage sorting, with occasional hybridizations occurring among them

    Compte rendu de l'exécution des travaux de l'action 3 "Formation: gestion durable des associations d'irrigants". Convention 2007 MAP EAHER - Cemagref

    No full text
    Compte rendu de l'exécution des travaux de l'action 3 "Formation: gestion durable des associations d'irrigants". Convention 2007 MAP EAHER - Cemagre

    Efficience et obligation de résultats : quelles leçons tirer de la politique points noirs de l'agence Seine Normandie menée de 1987 à 1991 ?

    No full text
    During the period 1987-1991, the French Water Agency of Seine-Normandy basin experimented with a "black spots" strategy in order to restore aquatic sites of very poor quality and of great interest for usages by identifying needed investments and by concentrating funds and communication efforts there. We tried to draw lessons from this policy with an ex-post appraisal of its results. Data collection was an important part of our work given the absence of a Geographical Information System in the Agency. We overcome such constraints with a logical diagram for screening "black spots" out of 8,000 agreements of funding and by digitizing needed data from maps. We built a database of 58 "black spots" which can be considered as well informed case studies with comprehensive financial data and water quality monitoring. We propose indicators to assess the black-spots strategy. We show that, given the general basin-wide quality getting worse, the strategy was effective and efficient. Without any data concerning usage recovery, the weight of the different criteria such as length of restored river or number of restored spots remains subjective. Different variables likely to explain success and failure are tested. Variability of discharges explains partly differences of results. We also enlighten a regional office effect. Such a site-oriented approach illustrates how different causes combine with each other to impact the environment. Therefore the relevance of an overall appraisal remains limited. To assess consistency and effectiveness of any strategy, one should previously list all possible causes of degradation and possible remediation site by site to make them comparable and to understand properly their evolution. Moreover monitoring options may deeply affect scoring results

    De l'intĂ©rĂȘt du concept de gestion intĂ©grĂ©e pour les services d'eau : illustration pour deux communes de la moyenne vallĂ©e de L'HĂ©rault

    No full text
    National audienceLes outils de gestion intĂ©grĂ©e des ressources en eau (GIRE) sont de plus en plus utilisĂ©s pour Ă©laborer des plans de gestion Ă  l'Ă©chelle de bassins hydrographiques. Mais ce concept a encore peu diffusĂ© dans le secteur de l'eau domestique, sauf pour dĂ©velopper des outils de maĂźtrise des flux de d'eau et de polluants en l'hydrologie urbaine. Nous illustrons dans cette communication que la planification des services d'eau domestique gagnerait aussi Ă  ĂȘtre coordonnĂ©e avec celle des autres acteurs de l'eau (rĂ©seau d'eau brute, gestionnaire de la ressource) pour intĂ©grer la diversitĂ© des attentes de la population. L'illustration repose sur l'analyse comparĂ©e de 2 zones voisines, en utilisant des critĂšres d'Ă©valuation Ă©conomique du bien ĂȘtre individuel et collectif. Dans l'une les gestionnaires des rĂ©seaux d'eau potable et d'eau brute coordonnent leurs projets pour offrir deux services d'eau complĂ©mentaires aux mĂ©nages rurbains. Dans l'autre, ces deux services ne se coordonnent pas, avec un dĂ©veloppement massif de forages individuels, prĂ©judiciables aux deux rĂ©seaux et Ă  la collectivitĂ©. Les limites de cette coordination entre services sont discutĂ©es dans une perspective d'Ă©quitĂ© entre tous les usages sur le bassin et de gestion durable de l'hydrosystĂšm

    Comment appréhender la question des effets induits de l'irrigation gravitaire et de leur éventuelle rétribution ? (Plan Durance, Action 36, fiche 1/3)

    No full text
    L'irrigation gĂ©nĂšre des effets induits non voulus, appelĂ©s « externalitĂ©s » , qui ont pour autant des rĂ©percutions fortes sur les bĂ©nĂ©ficiaires de ces effets, en premier lieu les collectivitĂ©s locales et territoriales. Les rĂ©seaux de canaux des associations d'irrigation gravitaire font ainsi partie intĂ©grante de l'amĂ©nagement du territoire, remplissant des fonctions collectives d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, qu'il faudrait financer par ailleurs s'ils n'existaient pas (assainissement pluvial). Mais l'Ă©volution du contexte socio-Ă©conomique du monde agricole, alliĂ© aux contraintes de l'urbanisation sur les pĂ©rimĂštres irriguĂ©s, remettent aujourd'hui en cause la capacitĂ© des associations d'irrigants Ă  maintenir durablement ces rĂ©seaux d'irrigation gravitaire. Compte tenu de l'importance que peuvent revĂȘtir ces externalitĂ©s pour certains acteurs du territoire, des collaborations autour de ces effets positifs tendent Ă  Ă©merger et la question de leur rĂ©tribution est aujourd'hui posĂ©e. Cela nĂ©cessite nĂ©anmoins que tout le monde partage au prĂ©alable une reprĂ©sentation commune des externalitĂ©s dont il est question, de la façon dont elles sont gĂ©nĂ©rĂ©es, et de ce que suppose leur maintien, leur dĂ©veloppement ou leur abandon. Ce document vise donc Ă  poser un certain nombre de questions, en apparence triviales, pour y apporter des rĂ©ponses claires, permettant de constituer un socle commun de connaissances dans le cadre de discussions ou de nĂ©gociations portant sur le maintien de ces externalitĂ©s. Quels types de services directs et indirects gĂ©nĂšrent les rĂ©seaux d'irrigation gravitaire ? Quelles contributions apportent-ils au territoire ? Pourquoi est-il aujourd'hui question de financer le maintien des externalitĂ©s, alors que ces services indirects ont toujours existĂ©, et ont toujours Ă©tĂ© rendus gratuitement ? Quelles sont les principales externalitĂ©s de l'irrigation gravitaire, et Ă  quoi sont-elles dues ? Les externalitĂ©s s'observent-elles toutes systĂ©matiquement dans les pĂ©rimĂštres irriguĂ©s gravitaires ? Sont-elles les mĂȘmes d'un pĂ©rimĂštre irriguĂ© Ă  l'autre, ou se dĂ©clinent-elles diffĂ©remment ? En fonction de quels critĂšres ? C'est prĂ©cisĂ©ment pour apporter un appui mĂ©thodologique Ă  ceux qui sont aujourd'hui confrontĂ©s Ă  ces questions, collectivitĂ©s locales et territoriales en tĂȘte, que la Direction rĂ©gionale de l'agriculture et de la forĂȘt de la rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur a sollicitĂ© le Cemagref

    Comment juger de la pertinence du maintien des effets induits de l'irrigation gravitaire ? Comment s'assurer de ce maintien dans le cadre d'Ă©ventuels accords entre parties prenantes ? (Plan Durance, Action 36, fiche 2/3)

    No full text
    L'irrigation gĂ©nĂšre des effets induits non voulus, qui ont pourtant des rĂ©percutions fortes sur les bĂ©nĂ©ficiaires de ces effets, en premier lieu les collectivitĂ©s locales et territoriales. Les rĂ©seaux de canaux des associations d'irrigation gravitaire font ainsi partie intĂ©grante de l'amĂ©nagement du territoire, remplissant des fonctions collectives d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, qu'il faudrait financer par ailleurs s'ils n'existaient pas (assainissement pluvial). Mais l'Ă©volution du contexte socio-Ă©conomique du monde agricole, alliĂ© aux contraintes de l'urbanisation sur les pĂ©rimĂštres irriguĂ©s, remettent aujourd'hui en cause la capacitĂ© des associations d'irrigants Ă  maintenir durablement ces rĂ©seaux d'irrigation gravitaire. Compte tenu de l'importance que peuvent revĂȘtir ces externalitĂ©s pour certains acteurs du territoire, des collaborations autour de ces effets positifs tendent Ă  Ă©merger et la question de leur rĂ©tribution est aujourd'hui posĂ©e. Le financement de ces effets induits amĂšnent cependant un certain nombre de questionnements prĂ©alables quant Ă  la pertinence rĂ©elle du maintien des externalitĂ©s, aux moyens aujourd'hui disponibles pour juger de cette pertinence, ainsi qu'aux moyens de contrĂŽler la rĂ©alisation d'externalitĂ©s dont le maintien aurait fait l'objet d'un accord voire d'un accord entre parties prenantes : les externalitĂ©s de l'irrigation gravitaire sont-elles toujours Ă  pĂ©renniser ? Quel raisonnement doit fonder la dĂ©cision de maintenir ou non une externalitĂ© ? Est-il possible de mener une Analyse CoĂ»ts-BĂ©nĂ©fices (ACB) pour juger de la pertinence du maintien ou du dĂ©veloppement d'une externalitĂ© ? Est-il possible d'identifier les coĂ»ts propres au maintien d'une externalitĂ© ? Est-il possible de dĂ©finir les bĂ©nĂ©fices retirĂ©s du maintien d'une externalitĂ© ? Dans le cadre d'un accord entre parties prenantes s'Ă©tant entendues sur le maintien d'une externalitĂ©, comment s'assurer de la bonne rĂ©alisation de cet accord, c'est-Ă -dire du maintien effectif de l'externalitĂ© ? Est-il possible de mesurer le rĂ©sultat de ce maintien, c'est-Ă -dire de quantifier les externalitĂ©s ? Quelles consĂ©quences cela a-t-il sur les obligations Ă  attacher aux accords entre parties prenantes pour le maintien d'une externalitĂ© ? C'est prĂ©cisĂ©ment pour apporter un appui mĂ©thodologique Ă  ceux qui sont aujourd'hui confrontĂ©s Ă  ces questions, collectivitĂ©s locales et territoriales en tĂȘte, que la Direction rĂ©gionale de l'agriculture et de la forĂȘt de la rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur a sollicitĂ© le Cemagref

    Comment concevoir le financement des effets induits de l'irrigation gravitaire ? (Plan Durance, Action 36, fiche 3/3)

    No full text
    L'irrigation gĂ©nĂšre des effets induits non voulus, qui ont pourtant des rĂ©percutions fortes sur les bĂ©nĂ©ficiaires de ces effets, en premier lieu les collectivitĂ©s locales et territoriales. Les rĂ©seaux de canaux des associations d'irrigation gravitaire font ainsi partie intĂ©grante de l'amĂ©nagement du territoire, remplissant des fonctions collectives d'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, qu'il faudrait financer par ailleurs s'ils n'existaient pas (assainissement pluvial). Mais l'Ă©volution du contexte socio-Ă©conomique du monde agricole, alliĂ© aux contraintes de l'urbanisation sur les pĂ©rimĂštres irriguĂ©s, remettent aujourd'hui en cause la capacitĂ© des associations d'irrigants Ă  maintenir durablement ces rĂ©seaux d'irrigation gravitaire. Compte tenu de l'importance que peuvent revĂȘtir ces externalitĂ©s pour certains acteurs du territoire, des collaborations autour de ces effets positifs tendent Ă  Ă©merger et la question de leur rĂ©tribution est aujourd'hui posĂ©e. Le financement de ces effets induits amĂšne cependant un certain nombre de questionnements prĂ©alables quant Ă  leur mise en place, Ă  leur lĂ©gitimitĂ© et Ă  ce que les financeurs sont en mesure d'en attendre : Quelle caractĂ©risation Ă©conomique peut-on faire des principaux effets induits observĂ©s sur les territoires d'irrigation gravitaire ? Quels types de financement sont nĂ©cessaires, et pourquoi ? Quelle lĂ©gitimitĂ© il y a-t-il Ă  ce que ces effets induits fassent l'objet de financements publics ? A quelle Ă©chelle locale ou territoriale doivent se faire ces financements ? Que finance-t-on concrĂštement lorsque l'on rĂ©tribue un effet induit ? Un bien, ou un service rendu par les associations d'irrigants ? Le maintien d'un patrimoine hydraulique, ou une prestation fournie ? Doit-on faire une distinction entre les diffĂ©rents types d'effets induits dans la façon de concevoir la rĂ©tribution financiĂšre ? Selon quels critĂšres et pourquoi ? Quelles rĂ©percutions cela a-t-il dans la façon de concevoir les arrangements, ou les contrats, qui peuvent accompagner cette rĂ©tribution ? Quel type de relations entre parties prenantes associer Ă  la rĂ©tribution des effets induits ? C'est prĂ©cisĂ©ment pour apporter un appui mĂ©thodologique Ă  ceux qui sont aujourd'hui confrontĂ©s Ă  ces questions, collectivitĂ©s locales et territoriales en tĂȘte, que la Direction rĂ©gionale de l'agriculture et de la forĂȘt de la rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur a sollicitĂ© le Cemagre

    De l'intĂ©rĂȘt du concept de gestion intĂ©grĂ©e pour les services d'eau : illustration pour 2 communes de la moyenne vallĂ©e de l'HĂ©rault

    No full text
    Les outils de Gestion IntĂ©grĂ©e des Ressources en Eau (GIRE) sont de plus en plus utilisĂ©s pour Ă©laborer des plans de gestion Ă  l`Ă©chelle de bassins hydrographiques. Mais ce concept a encore peu diffusĂ© dans le secteur de l`eau domestique, sauf pour dĂ©velopper des outils de maĂźtrise des flux de d`eau et de polluants en l`hydrologie urbaine. Nous illustrons dans cette communication que la planification des services d`eau domestique gagnerait aussi Ă  ĂȘtre coordonnĂ©e avec celle des autres acteurs de l`eau (rĂ©seau d`eau brute, gestionnaire de la ressource) pour intĂ©grer la diversitĂ© des attentes de la population. L`illustration repose sur l`analyse comparĂ©e de 2 zones voisines, en utilisant des critĂšres d`Ă©valuation Ă©conomique du bien ĂȘtre individuel et collectif. Dans l`une les gestionnaires des rĂ©seaux d`eau potable et d`eau brute coordonnent leurs projets pour offrir deux services d`eau complĂ©mentaires aux mĂ©nages rurbains. Dans l`autre, ces deux services ne se coordonnent pas, avec un dĂ©veloppement massif de forages individuels, prĂ©judiciables aux deux rĂ©seaux et Ă  la collectivitĂ©. Les limites de cette coordination entre services sont discutĂ©es dans une perspective d`Ă©quitĂ© entre tous les usages sur le bassin et de gestion durable de l`hydrosystĂšme

    Simulation de l'impact d'une tarification de l'eau sur le comportement des ménages : la tentation d'utiliser de l'eau non traitée

    No full text
    International audienceRecent studies on urban water demand have suggested that the water price increase observed during the last ten years in France has led to a reduction in the consumption of urban water by households. Whereas certain households have reduced their water consumption, others have turned to substitute water resources (collection of rainwater, borehole drilling, wells supplied with untreated mains water, grey water recycling systems, etc.). This article presents the results of a case study, which describes and analyses the phenomenon of resorting to untreated groundwater as a complement to or a substitute for the urban water supply. After highlighting the risks associated with uncontrolled development of private boreholes, the paper presents a survey conducted in Southern France to understand the motivations of households drilling boreholes. The results of this survey are utilised to develop a micro-economic model of households` behaviour, which is then used to assess the probability of development of private boreholes on a regional scale. The impact of various economic and regulatory scenarios on borehole development and the related impact on urban water demand and financial sustainability of water and wastewater management utilities are assessed
    corecore