58 research outputs found

    Long-term disease-free survival in advanced melanomas treated with nitrosoureas: mechanisms and new perspectives

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    BACKGROUND: Median survival of metastatic malignant melanoma is 6.0 to 7.5 months, with a 5-year survival of ~6.0%. Although long-term complete remissions are rare, few reports describe cases after chemotherapy. Fifty-three patients with metastatic melanoma were treated with Cystemustine, a chloroethyl nitrosourea (CENU) (60 or 90 mg/m(2)). CASE PRESENTATION: We describe 5 cases, presenting with complete response with long-term disease-free survival of long-term remission of 14, 12, 9, 7 and 6 years after Cystemustine therapy alone. CONCLUSION: Long-term survival has already been described in literature, but in all cases they have been obtained after chemotherapy associated with or followed by surgery. But despite these noteworthy and encouraging but also rare results, it appears essential to increase cystemustine efficiency

    Manifestations buccales et génitales de la réaction du greffon contre l'hôte (étude rétrospective chez 22 enfants traités par photochimiothérapie extracorporelle au CHU Clermont Ferrand)

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    L allogreffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH) est en plein développement. Un des facteurs limitants est la réaction du greffon contre l hôte. Contrairement aux manifestations cutanées, hépatiques et digestives, les atteintes buccales et surtout génitales sont peu rapportées, et, cela, tout particulièrement chez l enfant. Le but du travail est d évaluer la fréquence, les aspects cliniques et la prise en charge thérapeutique des manifestations de la GvHD orale et génitale grâce à l étude d une population pédiatrique traitée, pour une GvHD, par photochimiothérapie extracorporelle. Il s agit d une étude rétrospective descriptive monocentrique concernant 22 enfants traités par photochimiothérapie extracorporelle dans l unité bioclinique de thérapie cellulaire du CHU de Clermont Ferrand. L examen des muqueuses buccales et génitales a été réalisé par un seul dermatologue sur la base d une fiche de recueil remplie à chaque visite. Une analyse des manifestations muqueuses en fonction des caractéristiques générales des enfants et de leur GvHD a été réalisée (test de khi2/test exact de Fisher). Nos résultats ont été comparés aux données de la littérature. Onze enfants avaient une atteinte buccale, soit 50% de la population étudiée. La forme clinique la plus fréquente était un lichen réticulé/hypertrophique, atteignant prioritairement la muqueuse jugale et la langue. Les lésions persistaient chez 6 enfants comme seule manifestation de GvHD malgré un traitement général par immunosuppresseurs dans tous les cas et par immunosuppresseurs locaux dans 3 cas/11. Aucune transformation en carcinome épidermoïde n a été observée avec un suivi moyen de 5,5 ans. Huit enfants avaient une atteinte génitale, soit 36,4% de la population étudiée. Quatre filles avaient un lichen érosif vulvaire et 4 garçons un phimosis. Un lien statistique a été mis en évidence entre GvHD orale et génitale et entre GvHD orale et chronique. Cette étude montre que l atteinte des muqueuses orales et génitales est fréquente au cours de la GvHD de l enfant et qu elle évolue souvent de manière autonome une fois les manifestations cutanées et viscérales de la GvHD mises en rémission. Un dépistage bisannuel pendant les 5 premières années semble raisonnable. Un suivi à vie est nécessaire en raison du risque de transformation en carcinome épidermoïde à long terme. Les mesures préventives et thérapeutiques sont mal codifiées. En présence d une atteinte systémique, le recours aux immunosuppresseurs généraux est la règle ; en cas d atteinte muqueuse isolée ou résiduelle, l évaluation du rapport bénéfice/risque semble être en faveur d un traitement local à base de corticoïdes. L efficacité des immunosuppresseurs locaux est à démontrer. La prise en charge multidisciplinaire des enfants greffés doit inclure un examen stomatologique et génital avant, pendant et après la greffe de CSH. Avec l allongement de l espérance de vie de ces enfants, les conséquences des atteintes muqueuses sur la qualité de vie vont devenir problématiques. Un suivi de cohorte est nécessaire afin d évaluer le risque de transformation carcinomateuse et le bénéfice d un traitement. Nous avons établi une fiche de prise en charge des atteintes muqueuses des enfants d après notre expérience et les données de la littérature.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    SOLEIL ET PEAU

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    CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Traitement des lymphomes cutanés T érythrodermiques par un protocole simplifié de photochimiothérapie extracorporelle (12 ans d'expérience au Centre de Clermont-Ferrand)

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    L'objectif est d'étudier l'impact réel d'un protocole simplifié de photochimiothérapie extracorporelle (PCEC) dans le traitement des lymphomes cutanés T érythrodermiques (LCTE). Nous utilisons la PCEC depuis 1996 pour le traitement des LCTE avec un protocole simplifié : une session tous les 15 jours pendant 6 mois minimum. Les patients sans traitement antérieur reçoivent la PCEC seule (groupe A) ; pour les autres la PCEC est ajoutée à un traitement antérieur sans modification (groupe B). Un traitement systémique est ajouté (groupe A) ou modifié (groupe B) en cas d'échec de la PCEC. Etaient considérées comme réponse complète la guérison clinique et hématologique, comme progression l'aggravation clinique et comme réponse partielle les autres situations. 22 patients ont été inclus sur 12 ans. Dans le groupe A (n=11), 5 patients (45.5%) ont répondu à la PCEC en monothérapie. Le temps médian de réponse était 7,6 mois. Parmi 5 non-répondeurs, 4 ont alors reçu un traitement adjuvant systémique et 2 d'entre eux ont eu une réponse partielle. Dans le groupe B (n=11), 8 patients étaient répondeurs (72.7%). Un des 3 non-répondeurs a eu une réponse partielle après modification du traitement adjuvant. Le taux de rémission globale sur la totalité de la population étudiée est de 59% (13/22) ; après modification ou introduction d'un traitement associé il atteint 72.7% (16/22). L'appartenance à un stade B2 (classification TNMB) au début de la PCEC est un facteur pronostique de bonne réponse au traitement de manière statistiquement significative dans notre étude. Dans cette étude rétrospective, la PCEC a été utilisée en monothérapie ou sans modification d'un traitement associé antérieur pour tenter d'évaluer son rôle propre dans le traitement des LCTE. Le taux de réponse global dû uniquementà l'adjonction de la PCEC atteint 59%, ce qui confirme l'intérêt de la PCEC dans le traitement des LCTE. Le protocole simplifié utilisé ne modifie pas le taux de réponse globale (72.7%) qui est comparable aux précédentes études utilisant un protocole plus lourd. Ce protocole simplifié présente des avantages financiers, pour le confort des patients et l'organisation des sessions.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Données sur le suivi à long terme des pemphigus (étude rétrospective clermontoise)

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    Le penphigus est une maladie auto immune acquise et spécifique d'organe. Peu d'études sont disponibles dans la littérature concernant le suivi à long terme du traitement. Notre travail consistait en une étude rétrospective concernant 51 patients suivis au CHU de Clermont Ferrand pour un pemphigus confirmé histologiquement. Nous avons comparé notre série à une étude rouennaise similaire menée en 2009. Nos patients ont en moyenne été suivis 67 mois. L'objectif principal était le taux de rémission complète sans traitement, que l'on établissait à 54%. Par ailleurs, le suivi de ses patients en rémission complète sans traitement mettait en évidence un taux de récidives de 25%. Le taux de survie était estimé à 90% à un an et à 79% à 5 ans. L'originalité de notre étude reposait sur le choix préférentiel de la corticothérapie seule (> 1 mg/kg/j) en première intention. Nous obtenions de ce fait une consolidation plus rapide mais un taux de récidives plus important que l'équipe rouennaise.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Epidémiologie de la pemphigoïde bulleuse, en ville et à l'hôpital (étude prospective clermontoise)

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    La pemphigoïde bulleuse (PB) est la plus fréquente des dermatoses bulleuses auto-immunes. Les études concernant cette pathologie portent essentiellement sur des séries de patients d'origine purement hospitalière. L'objectif de notre étude, prospective, menée durant un an de mai 2009 à mai 2010, dans la région Auvergne et le département de la Loire, était de comparer les patients atteints de PB suivis exclusivement en ville, à ceux exclusivement suivis en milieu hospitalier. 44 patients ont été inclus, 22 à l'hôpital, 22 en ville. Des différences ont été mises en évidence entre les 2 populations (p<0.05) sur plusieurs critères : plus de formes atypiques et multibulleuses, majorité de femmes, plus de pathologies cardio-vasculaires, indice de Karnofski plus faible à l'hôpital. Nous n'avons pas retrouvé de différence en terme d'évaluation gériatrique (autonomie et évaluation cognitive), ni en terme de comorbidités neuropsychiatriques, même si la prévalence de la démence semblait plus importante dans la population hospitalière. Nos données suggèrent donc que les caractéristiques des patients atteint de PB diffèrent en ville et à l'hôpital, notamment en terme de sévérité de la maladie, d'état général global, et que les populations strictement hospitalières seraient peu représentatives, à fortiori dans ces régions où la prise en charge libérale de la PB est majoritaire.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Etude de la valeur prédictive de la régression tumorale du mélanome de stade I sur l'atteinte du ganglion sentinelle

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    CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Valeur pronostique de l'expression de l'annexine A1 et des formylpeptid receptors (FPR) par les melanomes primitifs (une étude pilote)

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    Notre équipe a montré que l'expression de l'annexine A1 (ANXA1) (ligand des FPR) est augmentée d'un facteur 2 dans la lignée murine B16/BL6, métastatique par rapport à la lignée B16F10 dont elle dérive. La diminution du taux d'ANXA1 par ARN interférence diminue in vitro les propriétés d'invasion de cette lignée B16/BL6. L'ANXA1 pourrait donc être impliquée dans le processus d'invasion du mélanome. L'objectif est d'estimer chez l'humain la valeur pronostique de l'expression de l'ANXA1 et des FPR dans les mélanomes primitifs. Les expressions de l'ANXA1 et des FPR ont été recherchées en immuno-histochimie sur 36 mélanomes primitifs et leurs métastases lorsqu'elles étaient disponibles. Une expression positive de l'ANXA1 était associée à un excès de risque de métastase à 6,0. L'expression de l'ANXA1 n'augmentait pas avec l'indice de Breslow. Les 2 mélanomes d'indice de Breslow inférieur à 1 mm qui ont été métastasé exprimaient l'ANXA1. En conclusion, l'ANXA1 semble particulièrement intéressante pour détecter les mélanomes à potentiel métastatique en particulier ceux de faible indice de Breslow.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Évaluation de l'apport du TEP-scan dans le bilan des lymphomes cutanés primitifs (étude multicentrique rétrospective portant sur 55 cas)

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    Le TEP-scan est une technique récente d'imagerie fonctionnelle qui a prouvé son intérêt dans de nombreuses indications d'oncologie, notamment dans le bilan des lymphomes systémiques. Peu d'études ont en revanche été menées pour évaluer son intérêt dans l'indication particulière des lymphomes cutanés primitifs. Notre étude, multicentrique et rétrospective, portant sur 55 cas, menée au sein du Groupe Français d'Etude des Lymphomes Cutanés (GFELC), avait pour but d'évaluer l'intérêt du TEP-scan par rapport à l'imagerie conventionnelle (échographie, scanner X), dans le bilan des lymphomes cutanés primitifs. NOus avons pu conclure, pour la détection des lésions extra-cutanées de lymphome cutané primitif, à une valeur prédictive négative de la TEP de 100%, une valeur prédictive positive de 69.2%, une sensibilité de 100%, et une spécificité de 74.2%. De plus, dans plus de la moitié des cas, les résultats de la TEP (en particulier si négatifs) ont influencé la prise en charge des patients, conduisant les cliniciens à la réalisation d'explorations supplémentaires, et/ou à modifier leur décision thérapeutique initiale. Ces résultats seront à confirmer par une étude prospective, qui doit être menée très prochainement au sein du GFELC.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Etude de 12 cas de lymphome intravasculaire à présentation cutanée

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    Le lymphome intravasculaire (LIV) est un lymphome non hodgkinien rare et agressif caractérisé par une prolifération de lymphocytes atypiques à l'intérieur des vaisseaux de petits et moyens calibres, responsable de phénomènes thrombotiques. Il s'agit d'une maladie au pronostic redoutable et plus de la moitié des cas n'est diagnostiquée qu'après autopsie. Les principales manifestations sont des symptômes généraux avec fièvre et altération de l'état général, des lésions cutanées ou neurologiques mais tous les organes peuvent être potentiellement touchés. Le but de ce travail est de décrire les caractéristiques cliniques, biologiques et histologiques de ce type de lymphome en se basant sur une série de 12 cas français originaux issus du Groupe Fraançais d'Etude des Lymphomes cutanés, en les comparant aux données de la littérature. Trois formes cliniques distinctes ont pu être mises en évidence conformément à la littérature : la forme dite classique que l'on retrouve dans les pays occidentaux avec une atteinte cutanée et neurologique fréquente, la forme asiatique caractérisée par un syndrome d'activation macrophagique avec moins d'atteinte cutanée et neurologique. Ces 2 formes ont un mauvais pronostic. Enfin, le variant cutané pur sans aucune atteinte extra cutanée qui est de meilleur pronostic. Sur le plan histologique, la prolifération lymphocytaire est majoritairement de type B, seul un cas de notre série était de phénotype T et associé à une sérologie HTLV1 positive. Le bilan d'extension minimum doit comporter un scanner cérébral et thoraco-abdomino-pelvien, une IRM cérébrale, une ponction lombaire, une biopsie de moelle tout en sachant que les techniques d'imagerie classiques sont bien souvent mise en défaut et que le TEP-scan peut alors constituer une option intéressante. Le traitement du LIV n'est pas codifié mais, cette maladie étant souvent disséminée, les patients reçoivent fréquemment des polychimiothérapies à base d'anthracyclines associées au rituximab (anti CD20) en cas de phénotype B. Seul le variant cutané pur pourrait faire l'objet de traitements locaux (incluant la radiothérapie) mieux supportés et avec de bons résultats en cas de lésion unique. Des études complémentaires immunohistochimiques sont nécessaires pour tenter d'élucider la physiopathologie de ce lymphome.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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