76 research outputs found

    Analisis Kemampuan Daya Dukung Lahan Menggunakan Carring Capacity Ratio (CCR) di Kabupaten Dompu

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    Penelitian daya dukung lahan ini diilakukan bertujuan untuk mengetahui kemampuan daya dukung pertanian terhadap lingkungannya. Jenis penelitina ini adalah penelitian deskriptif kuntitatif dengan menggunakan analisis carrying capacity ratio. Hasil penelitian ini menunjukan bahwa sector pertanian mampu mendukung pertumbuhan daerah serta memenuhi kebutuhan pokok penduduk di Kabupaten Dompu. Empat kecamatan mempunyai nilai CCR mendekati anggka = 1, yaitu Kecamatan Woja, Kecamatan Kilo, Kecamaan Kempo dan Kecamatan Pekat yang artinnya bahwa lahan pertanian yang ada di setiap kecamatan tersebut memiliki daya dukung yang cukup tinggi terhadap aktifitas pembangunan seperti Kecamaan dengan nilai rasio daya dukung 1,7 yang berarti bahwa di setiap rumah tangga biasa memiliki lahan seluas 1,7 ha, artinya lebih besar 0,83 ha dari luas lahan rata-rata yang dimiliki oleh setiap rumah tangga petani. Kecamatan manggelewa memiliki rasio daya dukung sama dengan 1 (=1), yang berarti kecamatan tersebut masih memiliki keseimbangan antara kemampuan lahan dari  jumlah pendudukny

    Les transformations d’un faubourg de Blois : les terrasses de l’Évêché (ve-xixe siècle)

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    La fouille réalisée en 2011 aux “ Terrasses de l’évêché ” à l’arrière de la cathédrale Saint-Louis à Blois (Loir-et-Cher) a permis la mise au jour de vestiges dont les datations s’échelonnent du ve au xixe s. La découverte d’une aire funéraire dense, dont les premières sépultures remontent aux environs des ve-viie s., témoigne de l’installation d’un important cimetière dont le rattachement à l’église Saint-Solenne, future cathédrale Saint-Louis, ne fait aucun doute. Parallèlement, plusieurs vestiges des xie-xiiie s., associés à un habitat (silos et trous de poteau), ont été observés aux abords du cimetière, leur localisation glissant progressivement vers l’ouest à la faveur sans doute d’une rétractation du cimetière en direction de l’église et de l’abandon progressif de l’aire funéraire.Le sondage d’une partie du fossé de l’enceinte urbaine confirme le terminus ante quem du xive s. déjà établi pour sa construction et montre un entretien régulier au moyen de curages successifs durant les xive et xve s. À la fin du xvie s., il est en grande partie comblé et n’assure plus son rôle défensif.L’aménagement des terrasses par l’apport d’un important remblai intervient dès le xve s. comme en témoigne l’installation d’un bâtiment construit en partie sur le fossé d’enceinte. Celui-ci devait composer une partie du faubourg Saint-Jean dont les sources écrites font état dès la fin du xive s.Enfin, deux latrines maçonnées sont associées à l’aménagement des terrasses et des jardins en lien avec la création du palais épiscopal au milieu du xviiie s.The excavation carried out in 2011 at the “Terrasses de l’Évêché” behind the Saint-Louis Cathedral in Blois (Loir-et-Cher) brought to light remains dating from the 5th to the 19th century. The discovery of a dense funerary area, whose first burials date back to around the 5th-7th c., reveals that an important cemetery was linked to the Saint-Solenne church, future Saint-Louis cathedral. Furthermore, domestic remains from the 11th-13th c. (silos and post holes) were first in the vicinity of the cemetery before gradually shifting westwards, probably in relation with the cemetery’s retraction towards the church and the progressive abandonment of the burial area.The survey of part of the urban enclosure ditch confirms its digging before the 14th century while regularly maintained by successive cleanings during the 14th and 15th centuries. At the end of the 16th century, the ditch was largely backfilled and no longer fulfilled its defensive role.The development of the terraces by the addition of a large embankment took place as early as the 15th century, as evidenced by the remains of a building built partly over the ditch. This area was part of the Faubourg Saint-Jean, which, according to written sources, was settled at the end of the 14th century.Finally, two masonry latrines are linked to the development of the terraces and gardens in relation with the creation of the episcopal palace in the mid-18th century

    L’évaluation et l’étude des ensembles funéraires villageois : présentation d’études de cas du diocèse de Tours (Indre-et-Loire)

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    National audienceSi les occasions d’aborder extensivement les grands ensembles funéraires médiévaux sont rares, en revanche, près d’une quarantaine d'interventions ponctuelles autours des églises ont eu lieu depuis 2010 en Centre-Val-de-Loire. Nous proposons ici un premier bilan de leur intérêt et apports à partir d’une série d’études de cas choisies en Touraine

    Deux cimetières inédits documentés par les archives de l’hôpital général de Tours

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    National audienceThe study of archives carried out during the excavation of the Beaumont barracks in Tours allowed the identification of a cemetery of 72 individuals, some of whom had amputated limbs, which was not catalogued, lacked furniture and was dated by C14 from the beginning of the 16th to the 19th century. The site corresponds to an abbey founded in the 11th century and dismantled during the Revolution. The domain was then rented to private individuals, then bought by the general hospital and finally transformed into barracks in 1913. A first archival study was carried out during the diagnostic, concerning the Benedictine abbey, where several burial areas had been identified; this new cemetery, off-center at the edge of the enclosure, remained undetermined. The study then turned to 19th century archives, in particular the general hospital collection, classified since 2011, and that of the medical school. These sources allowed us to propose hypotheses for identifying the site. The deliberation registers show that although the estate was acquired by the hospital in 1866 to be cultivated, its size and isolation made it possible to consider using it as an ambulance, or temporary annex of the hospital. Minutes and correspondence attest that the Beaumont ambulance was opened in 1870 during a smallpox epidemic and to receive wounded soldiers. In 1884, it was because of the risk of a cholera epidemic. Reports and letters from the hospital administrators recommend burying the victims in Beaumont to avoid the risk of contagion, which could correspond to some of the burials discovered during the excavation. Estimates and invoices indicate that renovation work was carried out in order to make it permanent; it remained active until 1894. The discovery in the cemetery of dissected individuals and excess limbs in the graves led to the excavation of the collection of the hospital chaplaincy and the medical school, created in 1841. Circulars concerning the organization of the courses testify to a practical teaching, each pathology studied being the subject of a dissection on a deceased person whose body was not claimed by the family. A contract with an undertaker indicates that bodies and fragments from the medical school can be buried in a box or coffin, but no place of burial is indicated. The opening of the Beaumont cemetery corresponds to a specific event because mortality at the hospital greatly exceeds the population discovered at the site. It could be linked to the closing of the hospital cemetery in 1871. The deceased from the hospices had to be buried in the city’s general cemetery, which was far away.L’étude d’archives réalisée lors de la fouille des casernes Beaumont, à Tours, a permis l’identification d’un cimetière de 72 individus dont certains présentent des membres amputés, non répertorié, dépourvu de mobilier et daté par C14 du début du XVIe au XIXe s. Le site correspond à une abbaye fondée au XIe s. et démantelée à la Révolution. Le domaine est ensuite loué à des particuliers, puis acheté par l’hôpital général et finalement transformé en caserne en 1913. Une première étude d’archives avait été réalisée lors du diagnostic, concernant l’abbaye bénédictine, où plusieurs zones funéraires avaient été identifiées ; ce nouveau cimetière, excentré à la limite de l’enclos, demeurait indéterminé. L’étude s’est alors orientée vers les archives du XIXe s., notamment le fonds de l’hôpital général, classé depuis 2011 et celui de l’école de médecine. Ces sources ont permis de proposer des hypothèses pour identifier le site. Les registres de délibérations montrent que si le domaine est acquis par l’hôpital en 1866 pour être cultivé, son étendue et son isolement permettent d’envisager de l’aménager en ambulance, ou annexe provisoire de l’hôpital. Des procès-verbaux et des correspondances attestent que l’ambulance de Beaumont est ouverte en 1870 lors d’une épidémie de variole et pour l’accueil de militaires blessés. En 1884, c’est à cause du risque d’épidémie de choléra. Des rapports et des lettres des administrateurs de l’hôpital préconisent d’inhumer les victimes à Beaumont pour éviter les risques de contagion, ce qui pourrait correspondre à une partie des sépultures découvertes en fouille. Des devis et factures indiquent des travaux de rénovation réalisés afin de la rendre permanente ; elle reste active jusqu’en 1894. La découverte dans le cimetière d’individus disséqués et de membres en surnombre dans les fosses a conduit au dépouillement du fonds de l’aumônerie de l’hôpital et de l’école de médecine, créée en 1841. Des circulaires concernant l’organisation des cours témoignent d’un enseignement pratique, chaque pathologie étudiée faisant l’objet d’une dissection sur un défunt dont le corps n’est pas réclamé par la famille. Un contrat avec une entreprise de pompes funèbres indique que les corps et fragments provenant de l’école de médecine peuvent être enterrés à plusieurs dans une boîte ou un cercueil, mais aucun lieu d’inhumation n’est indiqué. L’ouverture du cimetière de Beaumont correspond à un événement spécifique car la mortalité à l’hôpital excède largement la population découverte sur le site. Elle pourrait être liée à la fermeture du cimetière de l’hôpital en 1871. Les défunts des hospices doivent alors être inhumés au cimetière général de la ville, nettement éloigné

    153. L’enceinte urbaine du 14e siècle : construction et entretien

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    Yvernault Françoise. 153. L’enceinte urbaine du 14e siècle : construction et entretien. In: Tours antique et médiéval. Lieux de vie, temps de la ville. Tours : Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 2007. pp. 400-403. (Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 30

    153. L’enceinte urbaine du 14e siècle : construction et entretien

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    Yvernault Françoise. 153. L’enceinte urbaine du 14e siècle : construction et entretien. In: Tours antique et médiéval. Lieux de vie, temps de la ville. Tours : Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France, 2007. pp. 400-403. (Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, 30

    Déols, places Carnot et La Fayette : mutation fonctionnelle d’un espace, entre cimetière paroissial et place, du Xe au XIXe siècle (Indre)

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    International audienceLes observations archéologiques réalisées en 2010 en amont du réaménagement des places Carnot et La Fayette à Déols (Indre) ont permis d’explorer près de 13 000 m² au cœur de la ville. Les informations recueillies concernent les mutations d’un espace périphérique à l’église Saint-Etienne dont la fonction alterne entre cimetière paroissial et place au cours des périodes médiévale et moderne. Des maçonneries ont également été mises au jour, parmi lesquelles un massif pourrait se rapporter à un second édifice religieux aujourd’hui disparu, la chapelle Sainte-Marie. La confrontation des données avec celles acquises dans la seconde moitié du XXe s. affine la compréhension de l’évolution de l’organisation spatiale de cet espace central de Déols entre le Xe et le XIXe

    Déols, places Carnot et La Fayette : mutation fonctionnelle d’un espace, entre cimetière paroissial et place, du Xe au XIXe siècle (Indre)

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    International audienceLes observations archéologiques réalisées en 2010 en amont du réaménagement des places Carnot et La Fayette à Déols (Indre) ont permis d’explorer près de 13 000 m² au cœur de la ville. Les informations recueillies concernent les mutations d’un espace périphérique à l’église Saint-Etienne dont la fonction alterne entre cimetière paroissial et place au cours des périodes médiévale et moderne. Des maçonneries ont également été mises au jour, parmi lesquelles un massif pourrait se rapporter à un second édifice religieux aujourd’hui disparu, la chapelle Sainte-Marie. La confrontation des données avec celles acquises dans la seconde moitié du XXe s. affine la compréhension de l’évolution de l’organisation spatiale de cet espace central de Déols entre le Xe et le XIXe

    Les plans cadastraux anciens comme source documentaire pour le diagnostic d’archéologie préventive : l’exemple de la ville de Buzançais (Indre)

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    International audienceLes documents cartographiques anciens constituent une source qui peut être étudiée dans le cadre des opérations archéologiques, en appui des données de terrain, au même titre que le reste de la documentation (textes, architecture, etc.).À l’occasion d’un diagnostic d’archéologie préventive, leur étude peut être mise en œuvre à deux échelles. Dans le périmètre prescrit, elle permet d’appréhender l’espace non concerné par les ouvertures ; dans le cadre d’une approche globale l’échelle de la ville, elle contribue à contextualiser la documentation de terrain.Un diagnostic d’archéologie préventive a été réalisé par l’Inrap au printemps 201 9, sur prescription du service régional de l’Archéologie de la DRAC Centre-Val de Loire, pour l’opération « Cœur de Ville » à Buzançais (36). L’emprise à évaluer se situe intra-muros, autour de la principale église médiévale et au pied des fortifications urbaines. Ces dernières sont attestées et globalement localisées mais restent mal identifiées. Le cadastre ancien constitue le principal document cartographique ancien. Son étude, sans constituer une analyse de la morphologie du parcellaire, a été mise en œuvre en deux temps. Elle a d’abord permis de définir la problématique scientifique et la stratégie d’intervention, elle a ensuite pris place au sein de l’étude générale pour la réalisation du rapport de diagnostic.Cette méthode employée pour l’étude partielle d’une petite ville rejoint celle régulièrement mise en œuvre à l’occasion de diagnostics au cœur de villages historiques, mêlant diversité des sources et approche multiscalaire
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