12 research outputs found

    VERDICT MRI for Prostate Cancer: Intracellular Volume Fraction versus Apparent Diffusion Coefficient

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    BACKGROUND: Biologic specificity of diffusion MRI in relation to prostate cancer aggressiveness may improve by examining separate components of the diffusion MRI signal. The Vascular, Extracellular, and Restricted Diffusion for Cytometry in Tumors (VERDICT) model estimates three distinct signal components and associates them to (a) intracellular water, (b) water in the extracellular extravascular space, and (c) water in the microvasculature. PURPOSE: To evaluate the repeatability, image quality, and diagnostic utility of intracellular volume fraction (FIC) maps obtained with VERDICT prostate MRI and to compare those maps with apparent diffusion coefficient (ADC) maps for Gleason grade differentiation. MATERIALS AND METHODS: Seventy men (median age, 62.2 years; range, 49.5–82.0 years) suspected of having prostate cancer or undergoing active surveillance were recruited to a prospective study between April 2016 and October 2017. All men underwent multiparametric prostate and VERDICT MRI. Forty-two of the 70 men (median age, 67.7 years; range, 50.0–82.0 years) underwent two VERDICT MRI acquisitions to assess repeatability of FIC measurements obtained with VERDICT MRI. Repeatability was measured with use of intraclass correlation coefficients (ICCs). The image quality of FIC and ADC maps was independently evaluated by two board-certified radiologists. Forty-two men (median age, 64.8 years; range, 49.5–79.6 years) underwent targeted biopsy, which enabled comparison of FIC and ADC metrics in the differentiation between Gleason grades. RESULTS: VERDICT MRI FIC demonstrated ICCs of 0.87–0.95. There was no significant difference between image quality of ADC and FIC maps (score, 3.1 vs 3.3, respectively; P = .90). FIC was higher in lesions with a Gleason grade of at least 3+4 compared with benign and/or Gleason grade 3+3 lesions (mean, 0.49 ± 0.17 vs 0.31 ± 0.12, respectively; P = .002). The difference in ADC between these groups did not reach statistical significance (mean, 1.42 vs 1.16 × 10^{-3} mm^{2}/sec; P = .26). CONCLUSION: Fractional intracellular volume demonstrates high repeatability and image quality and enables better differentiation of a Gleason 4 component cancer from benign and/or Gleason 3+3 histology than apparent diffusion coefficient

    Right Fronto-Subcortical White Matter Microstructure Predicts Cognitive Control Ability on the Go/No-go Task in a Community Sample

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    Go/no-go tasks are widely used to index cognitive control. This construct has been linked to white matter microstructure in a circuit connecting the right inferior frontal gyrus (IFG), subthalamic nucleus (STN), and pre-supplementary motor area. However, the specificity of this association has not been tested. A general factor of white matter has been identified that is related to processing speed. Given the strong processing speed component in successful performance on the go/no-go task, this general factor could contribute to task performance, but the general factor has often not been accounted for in past studies of cognitive control. Further, studies on cognitive control have generally employed small unrepresentative case-control designs. The present study examined the relationship between go/no-go performance and white matter microstructure in a large community sample of 378 subjects that included participants with a range of both clinical and subclinical nonpsychotic psychopathology. We found that white matter microstructure properties in the right IFG-STN tract significantly predicted task performance, and remained significant after controlling for dimensional psychopathology. The general factor of white matter only reached statistical significance when controlling for dimensional psychopathology. Although the IFG-STN and general factor tracts were highly correlated, when both were included in the model, only the IFG-STN remained a significant predictor of performance. Overall, these findings suggest that while a general factor of white matter can be identified in a young community sample, white matter microstructure properties in the right IFG-STN tract show a specific relationship to cognitive control. The findings highlight the importance of examining both specific and general correlates of cognition, especially in tasks with a speeded component

    Les occupations protohistoriques, antiques et médiévales du site de Vaugourdon à Veigné : Centre-Val de Loire, Indre-et-Loire

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    La fouille du site de Vaugourdon à Veigné (Indre-et-Loire) fait suiteau diagnostic archéologique réalisé par Dorothée Lusson en 2018. Al’issue de la fouille, trois principales périodes chronologiques ont pu êtreindividualisées : La Tène finale, l’Antiquité et le haut Moyen Âge - MoyenÂge central.Si quelques indices sporadiques et ténus de la Protohistoire ancienne ontbien été mis en évidence sur la fouille, il faut attendre la période de LaTène finale pour que le site commence à se structurer sous la forme d’unhabitat enclos fossoyé. Celui-ci n’est plus matérialisé que par deux fossésformant un angle droit enserrant les probables vestiges d’un petit bâtiment ;le reste de cette occupation, c’est-à-dire sans doute sa majeure partie, sedéveloppe en dehors de l’emprise explorée. L'occupation du site perdure auIer s. (continuum ?), mais c'est seulement à la fin de ce siècle ou au début dusuivant qu'il devient une villa, sans doute perçue dans la presque totalité deson emprise. La pars urbana est délimitée par un enclos maçonné enserrantla résidence principale et une dépendance abritant un balnéaire. La parsrustica se développe à l’est ; elle est caractérisée par quatre autres bâtimentsmaçonnés. Parmi ceux-ci, le bâtiment 2, dont la fonction est liée à l’activitévinicole, a fait l’objet de toutes les attentions. En effet, l’édifice est munid’une cuve étanche à fosse de vidange, sans doute associée à un fouloir.Aucune trace de pressoir à raisin n’a été mise en évidence dans le reste dubâtiment qui pouvait alors être destiné au stockage du vin dans des foudres(chais), certainement en bois, et dont il ne subsisterait aucune trace.Quelques vestiges mobiliers et immobiliers montrent que l’occupationcontinue au Bas-Empire/Antiquité tardive. Il n’a pas été possible decaractériser la forme de cet habitat tardif, ni même d’établir précisémentl’état des bâtiments maçonnés de l’établissement initial.L’occupation reprend plus densément à l’époque mérovingienne où elleest matérialisée par une trentaine de creusements (fosses, trous de poteau,sépultures…), mais la forme de cette installation, sans doute assez lâche, n’apas non plus pu être clairement saisie.Il faut attendre l'époque carolingienne pour que l’organisation spatiale del’habitat apparaisse à nouveau structurée en différents pôles d'occupation.Différentes zones à vocations spécifiques ont pu être individualisées pourcette période comprise entre 750 et 1100 ap. J.-C. : aire funéraire, batteriesde silos, souterrain refuge, bâtiment excavé. Des concentrations de trousde poteau permettent de localiser assez précisément l’emplacement de troisbâtiments, mais ces ensembles de creusements sont trop diffus pour qu'ilsoit possible de définir les plans de ces entités architecturales.Les vestiges archéologiques postérieurs au XIIe siècle sont rares et épars.Au regard des faibles ensembles céramiques fournis au cours du secondMoyen Âge, un transfert de l’épicentre de l’occupation en dehors deslimites investies est à considérer, peut-être au profit de l'actuel hameau deVaugourdon

    Les occupations protohistoriques, antiques et médiévales du site de Vaugourdon à Veigné : Centre-Val de Loire, Indre-et-Loire

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    La fouille du site de Vaugourdon à Veigné (Indre-et-Loire) fait suiteau diagnostic archéologique réalisé par Dorothée Lusson en 2018. Al’issue de la fouille, trois principales périodes chronologiques ont pu êtreindividualisées : La Tène finale, l’Antiquité et le haut Moyen Âge - MoyenÂge central.Si quelques indices sporadiques et ténus de la Protohistoire ancienne ontbien été mis en évidence sur la fouille, il faut attendre la période de LaTène finale pour que le site commence à se structurer sous la forme d’unhabitat enclos fossoyé. Celui-ci n’est plus matérialisé que par deux fossésformant un angle droit enserrant les probables vestiges d’un petit bâtiment ;le reste de cette occupation, c’est-à-dire sans doute sa majeure partie, sedéveloppe en dehors de l’emprise explorée. L'occupation du site perdure auIer s. (continuum ?), mais c'est seulement à la fin de ce siècle ou au début dusuivant qu'il devient une villa, sans doute perçue dans la presque totalité deson emprise. La pars urbana est délimitée par un enclos maçonné enserrantla résidence principale et une dépendance abritant un balnéaire. La parsrustica se développe à l’est ; elle est caractérisée par quatre autres bâtimentsmaçonnés. Parmi ceux-ci, le bâtiment 2, dont la fonction est liée à l’activitévinicole, a fait l’objet de toutes les attentions. En effet, l’édifice est munid’une cuve étanche à fosse de vidange, sans doute associée à un fouloir.Aucune trace de pressoir à raisin n’a été mise en évidence dans le reste dubâtiment qui pouvait alors être destiné au stockage du vin dans des foudres(chais), certainement en bois, et dont il ne subsisterait aucune trace.Quelques vestiges mobiliers et immobiliers montrent que l’occupationcontinue au Bas-Empire/Antiquité tardive. Il n’a pas été possible decaractériser la forme de cet habitat tardif, ni même d’établir précisémentl’état des bâtiments maçonnés de l’établissement initial.L’occupation reprend plus densément à l’époque mérovingienne où elleest matérialisée par une trentaine de creusements (fosses, trous de poteau,sépultures…), mais la forme de cette installation, sans doute assez lâche, n’apas non plus pu être clairement saisie.Il faut attendre l'époque carolingienne pour que l’organisation spatiale del’habitat apparaisse à nouveau structurée en différents pôles d'occupation.Différentes zones à vocations spécifiques ont pu être individualisées pourcette période comprise entre 750 et 1100 ap. J.-C. : aire funéraire, batteriesde silos, souterrain refuge, bâtiment excavé. Des concentrations de trousde poteau permettent de localiser assez précisément l’emplacement de troisbâtiments, mais ces ensembles de creusements sont trop diffus pour qu'ilsoit possible de définir les plans de ces entités architecturales.Les vestiges archéologiques postérieurs au XIIe siècle sont rares et épars.Au regard des faibles ensembles céramiques fournis au cours du secondMoyen Âge, un transfert de l’épicentre de l’occupation en dehors deslimites investies est à considérer, peut-être au profit de l'actuel hameau deVaugourdon

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    La fouille du site de Vaugourdon à Veigné (Indre-et-Loire) fait suiteau diagnostic archéologique réalisé par Dorothée Lusson en 2018. Al’issue de la fouille, trois principales périodes chronologiques ont pu êtreindividualisées : La Tène finale, l’Antiquité et le haut Moyen Âge - MoyenÂge central.Si quelques indices sporadiques et ténus de la Protohistoire ancienne ontbien été mis en évidence sur la fouille, il faut attendre la période de LaTène finale pour que le site commence à se structurer sous la forme d’unhabitat enclos fossoyé. Celui-ci n’est plus matérialisé que par deux fossésformant un angle droit enserrant les probables vestiges d’un petit bâtiment ;le reste de cette occupation, c’est-à-dire sans doute sa majeure partie, sedéveloppe en dehors de l’emprise explorée. L'occupation du site perdure auIer s. (continuum ?), mais c'est seulement à la fin de ce siècle ou au début dusuivant qu'il devient une villa, sans doute perçue dans la presque totalité deson emprise. La pars urbana est délimitée par un enclos maçonné enserrantla résidence principale et une dépendance abritant un balnéaire. La parsrustica se développe à l’est ; elle est caractérisée par quatre autres bâtimentsmaçonnés. Parmi ceux-ci, le bâtiment 2, dont la fonction est liée à l’activitévinicole, a fait l’objet de toutes les attentions. En effet, l’édifice est munid’une cuve étanche à fosse de vidange, sans doute associée à un fouloir.Aucune trace de pressoir à raisin n’a été mise en évidence dans le reste dubâtiment qui pouvait alors être destiné au stockage du vin dans des foudres(chais), certainement en bois, et dont il ne subsisterait aucune trace.Quelques vestiges mobiliers et immobiliers montrent que l’occupationcontinue au Bas-Empire/Antiquité tardive. Il n’a pas été possible decaractériser la forme de cet habitat tardif, ni même d’établir précisémentl’état des bâtiments maçonnés de l’établissement initial.L’occupation reprend plus densément à l’époque mérovingienne où elleest matérialisée par une trentaine de creusements (fosses, trous de poteau,sépultures…), mais la forme de cette installation, sans doute assez lâche, n’apas non plus pu être clairement saisie.Il faut attendre l'époque carolingienne pour que l’organisation spatiale del’habitat apparaisse à nouveau structurée en différents pôles d'occupation.Différentes zones à vocations spécifiques ont pu être individualisées pourcette période comprise entre 750 et 1100 ap. J.-C. : aire funéraire, batteriesde silos, souterrain refuge, bâtiment excavé. Des concentrations de trousde poteau permettent de localiser assez précisément l’emplacement de troisbâtiments, mais ces ensembles de creusements sont trop diffus pour qu'ilsoit possible de définir les plans de ces entités architecturales.Les vestiges archéologiques postérieurs au XIIe siècle sont rares et épars.Au regard des faibles ensembles céramiques fournis au cours du secondMoyen Âge, un transfert de l’épicentre de l’occupation en dehors deslimites investies est à considérer, peut-être au profit de l'actuel hameau deVaugourdon

    VERDICT MRI for prostate cancer: intracellular volume fraction versus apparent diffusion coefficient

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    Background Biologic specificity of diffusion MRI in relation to prostate cancer aggressiveness may improve by examining separate components of the diffusion MRI signal. The Vascular, Extracellular, and Restricted Diffusion for Cytometry in Tumors (VERDICT) model estimates three distinct signal components and associates them to (a) intracellular water, (b) water in the extracellular extravascular space, and (c) water in the microvasculature. Purpose To evaluate the repeatability, image quality, and diagnostic utility of intracellular volume fraction (FIC) maps obtained with VERDICT prostate MRI and to compare those maps with apparent diffusion coefficient (ADC) maps for Gleason grade differentiation. Materials and Methods Seventy men (median age, 62.2 years; range, 49.5-82.0 years) suspected of having prostate cancer or undergoing active surveillance were recruited to a prospective study between April 2016 and October 2017. All men underwent multiparametric prostate and VERDICT MRI. Forty-two of the 70 men (median age, 67.7 years; range, 50.0-82.0 years) underwent two VERDICT MRI acquisitions to assess repeatability of FIC measurements obtained with VERDICT MRI. Repeatability was measured with use of intraclass correlation coefficients (ICCs). The image quality of FIC and ADC maps was independently evaluated by two board-certified radiologists. Forty-two men (median age, 64.8 years; range, 49.5-79.6 years) underwent targeted biopsy, which enabled comparison of FIC and ADC metrics in the differentiation between Gleason grades. Results VERDICT MRI FIC demonstrated ICCs of 0.87-0.95. There was no significant difference between image quality of ADC and FIC maps (score, 3.1 vs 3.3, respectively; P = .90). FIC was higher in lesions with a Gleason grade of at least 3+4 compared with benign and/or Gleason grade 3+3 lesions (mean, 0.49 ± 0.17 vs 0.31 ± 0.12, respectively; P = .002). The difference in ADC between these groups did not reach statistical significance (mean, 1.42 vs 1.16 × 10-3 mm2/sec; P = .26). Conclusion Fractional intracellular volume demonstrates high repeatability and image quality and enables better differentiation of a Gleason 4 component cancer from benign and/or Gleason 3+3 histology than apparent diffusion coefficient. Online supplemental material is available for this article. See also the editorial by Sigmund and Rosenkrantz in this issue
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