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    Der Niedergang von Rußlands Agrarproduktion: Zahlen und Ursachen

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    Der Produktionsrückgang der russischen Landwirtschaft betrug 1994 ein Viertel gegenüber dem Durchschnitt von 1986-1990, und für 1995 wird eine weitere Abnahme erwartet. Doch ist das weit geringer als in der Industrie, wo 1994 fast um die Hälfte weniger erzeugt wurde als 1990. Russische Agrarökonomen und -politiker sehen dafür vier Hauptursachen, von denen in der vorliegenden Analyse nur die Preissschere und der Mangel an Betriebsmitteln spezifiziert sowie die gesamtwirtschaftliche Depression und die reformerische Reorganisation erwähnt werden können. (BIOst-Mrk

    La rémunération du travail dans l'agriculture soviétique

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    The wage system in the Soviet agriculture. The article deals with the agricultural wage system in the Soviet Union as it has been developing in recent years ; for its earlier pecularities, such as the workday-unit (troudoden) and the payment in kind, the reader is referred to relevant earlier literature. It is pointed out that labor remuneration has become one of the crucial problems in Soviet agriculture, because labor is — on the whole — no more abundant. Especially for efficient use of recently increasing investment and machinery, a skilled workforce is needed who take interest in their work. The shortcomings not only of the older, but also of the present wage system are keenly felt by many Soviet economists and agricultural managers. Agricultural wages have greatly risen since Stalin's death, especially in 1953-1958 and again in 1964-1967. Wage differentials between unskilled and trained labor and the professional specialists and managers are preserved, indeed emphasized. But as the absolute oberall level has risen, they are not as great, percentagewise, as they used to be in kolkhozes ten or twenty years ago. The main disadvantage today for many of the unskilled labor in collective farms, as distinct from their state farm counterparts, is not low payment as such, but employment and payment during the agricultural season only. The underlying idea of the Soviet agricultural wage system is to pay a guaranteed minimum and make the rest dependent on productive performance. This is in part attained by special premia, but the main emphasis is on the so-called « akkordno-premial' naja sistema», which means that a fixed percentage of the basic (minimum) wage is added for each percent of output beyond a certain level (80 per cent of planned output in most cases). This applies to state farms (where the system was introduced in 1961/62) as well as to collective farms. Certain differences remain between the two kinds of enterprises, but on the whole they are very close to each other in their wage system by now. The so-called link system (zyeno or otrjad) is dwelt upon at some length, because it has received exaggerated and misleading attention by some Western observers. This system is not what had been advocated and then rejected under that name in Stalin's time. Its outlook inevitably is different under present conditions of mechanized crop production (in livestock production it never was a special issue). The idea of small groups of workers being paid for their output rather than for work norms performed, is inherent in the akkordno-premial'naja sistema when combined with vnutrennyi khozrasc'et ; it implies nothing essentially alien to the overall system. The crucial question today is the size of such groups and the degree of managerial independence they are given. This is being discussed in the Soviet Union. and not yet finally decided upon. The present agricultural wage system, remodelled in 1970, is not meant to be final Experiments are being conducted on a large scale, improved forms of remuneration are being investigated, but a radical change is not to be expected in the foreseeable future.L'article concerne l'évolution récente du système de rémunération du travail dans l'agriculture soviétique ; pour les caractéristiques antérieures de ce système (troudoden, paiement en nature), le lecteur est renvoyé aux ouvrages correspondants, précédemment publiés. On accentue ici le fait que la rémunération du travail est devenuel'un des problèmes cruciaux de l'agriculture soviétique car la main-d'œuvre n'est plus, dans l'ensemble, aussi abondante qu'elle l'était. En outre, c'est une main-d'œuvre qualifiée, intéressée par son travail, qui est nécessaire si l'on veut utiliser efficacement les investissements et les machines qui depuis peu s'accroissent. Nombreux sont les économistes et les dirigeants agricoles soviétiques qui sont conscients des insuffisances du système de rémunération, du système aussi bien antérieur qu'actuel. Les salaires agricoles ont beaucoup augmenté depuis la mort de Staline, notamment en 1953-1958 et 1964-1967. Les différences entre la rémunération des travailleurs non ou peu qualifiés et celle des spécialistes et des dirigeants agricoles ont et maintenues, voire accentuées. Mais, comme le niveau d'ensemble a augmenté dans l'absolu, les différences ne sont plus aussi importantes, en pourcentage, qu'elles l'étaient il y a dix ou vingt ans dans les kolkhoz. Pour une grande partie de la main-d'œuvre non qualifiée des kolkhoz, le principal désavantage par rapport à celle des sovkhoz n'est plus un salaire peu élevé mais le fait de n'être employée et rémunérée que pendant la saison agricole. Le principe de base du système de rémunération en vigueur dans l'agriculture soviétique est de verser un minimum garanti, le reste du revenu étant lié aux résultats de la production. On atteint en partie cet objectif par des primes mais l'accent est mis essentiellement sur le système dit de paiement aux pièces avec primes (akkordno-premialnaja sistemd) : on ajoute un pourcentage fixe du salaire de base (minimum) pour chaque pour cent de production au-delà d'un certain niveau (80 % de la production planifiée dans la plupart des cas). Ce système s'applique aussi bien aux fermes d'Etat, où il a été introduit en 1961-1962, qu'aux fermes collectives. Certaines différences subsistent entre les deux types d'entreprises mais, au total, elles sont très proches aujourd'hui en ce qui concerne leurs systèmes de rémunération. L'article accorde une place relativement importante au système dit du maillon (zveno, otrjad) car il a été l'objet d'une attention exagérée et d'incompréhension de la part de certains observateurs occidentaux. Ce système n'est pas celui qu'on 'avait encouragé puis rejeté sous ce nom à l'époque de Staline. Ses objectifs sont inévitablement différents dans les conditions actuelles d'une agriculture mécanisée (dans l'élevage il n'a jamais été considéré comme un problème spécial). L'idée d'organiser des petits groupes de travailleurs, rémunérés en fonction de leur production plutôt que de la réalisation de normes déterminées de travail, est inhérente au système de paiement aux pièces avec primes quand il est associé à l'autonomie financière interne (ynutrennyj khozrascet), ce qui n'implique rien d'essentiellement différent par rapport au système d'ensemble. Le problème aujourd'hui primordial est celui de la taille de ces groupes et du degré d'indépendance qu'on leur accorde pour la gestion de leur activité. Ce problème est actuellement discuté en Union Soviétique et aucune décision finale n'a encore été prise. Le système de rémunération aujourd'hui en vigueur, remanié en 1970, n'est pas supposé être définitif. On réalise des expériences sur une vaste échelle, on recherche des formes améliorées de rémunération mais il ne faut pas s'attendre à des changements radicaux dans un proche avenir.Wädekin Karl-Eugen. La rémunération du travail dans l'agriculture soviétique. In: Revue de l'Est, vol. 3, 1972, n°4. pp. 5-27

    Le secteur privé dans l'agriculture soviétique

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    of agricultural labour, except for some southern and southeastern regions, makes itself felt in both sectors. In the long run, Soviet policy makers continue to envisage the withering away of the private sector. Contrary to their assertions, some pressure is still being applied to speed up tis process. But as such pressure is mild in comparison to that of Krushchev's time, and as economic factors make the private sector indispensable for some time to come, the withering away is not a prospect for the immediate future.L'article décrit certains aspects fondamentaux du secteur privé dans l'agriculture et l'alimentation soviétiques. En valeur absolue, la production brute de ce secteur a augmenté de 17 °/o de 1964 à 1971 ; en quantités physiques, cependant, il convient de diminuer ce chiffre (on ignore de combien) pour tenir compte des accroissements de prix. La part du secteur privé dans l'ensemble de l'agriculture soviétique est tombée à 29% en raison d'une croissance plus élevée du secteur socialiste. Au total, la croissance du secteur privé a été moins importante que ne l'attendaient les planificateurs soviétiques. On ne peut considérer que ces données sont exactes statistiquement étant donné les problèmes qui se posent pour les rassembler et les comparer, mais elles indiquent de manière correcte les tendances du développement. Les troupeaux privés ont augmenté lentement jusqu'en 1967 puis repris leur tendance à la baisse comme avant 1964. Ce sont surtout les animaux appartenant aux kolkhoziens qui ont été affectés par cette diminution et non ceux des autres propriétaires privés qui possèdent moins de bétail par famille. Ceci résulte de la diminution et du vieillissement de la population kolkhozienne pendant que les autres propriétaires privés, dont les travailleurs des sovkhoz, augmentaient en nombre. Un tableau identique se dégage en ce qui concerne l'agriculture privée. Les non-kolkhoziens fournissent aujourd'hui près de la moitié de la production privée totale. De ce fait, il n'est plus possible de se concentrer essentiellement sur les lopins individuels et les animaux possédés par les kolkhoziens quand on étudie le secteur privé dans l'agriculture soviétique. Quant à l'influence du marché sur l'agriculture privée, on peut dire que 1/5 de sa production est vendue sur le marché. En réalité cette part n'est pas négligeable puisque les paysans ukrainiens n'en vendaient pas autant avant la collectivisation. En outre, le marché des produits alimentaires, ses prix et ses insuffisances, influencent les quantités que les ménages tendent à produire pour leur consommation propre. L'interdépendance et la division du travail entre les secteurs privé et socialisé sont très importants et indispensables à l'un et l'autre. Cet aspect a souvent été négligé par les observateurs occidentaux — et, jusqu'à récemment — par les auteurs soviétiques également. Les producteurs privés vendent des quantités appréciables de lait et de bétail à l'Etat (essentiellement à travers les kolkhoz et les sovkhoz aidant ainsi ces derniers à réaliser leur plan de livraisons) et d'autres produits (œufs, pommes de terre) aux coopératives de consomation semi-étatiques. En retour, ils achètent à l'Etat et aux fermes collectives de jeunes animaux, notamment des cochons de lait et des agneaux, et reçoivent du secteur public les deux-tiers des aliments dont ils ont besoin pour les animaux sous forme de paiement en nature ou de droit de ramasser du foin et de faire paître leur animaux dans les prés de l'Etat. Il y a aussi interdépendance en ce qui concerne la main-d'œuvre : si la main-d'œuvre agricole valide consacre un faible pourcentage de son temps de travail aux lopins privés, les personnes qui ne sont pas employées de manière permanente par le secteur étatique — encore qu'elles lui soient indispensables comme travailleurs saisonniers — trouvent une activité et des revenus dans le secteur agricole privé. Le revenu issu d'une heure de travail dans le secteur privé est à peu près égal à celui du secteur étatique; donc, il ne stimule pas les paysans à délaisser ce dernier secteur. Contrairement à ce qui a souvent été dit (mais la plupart des auteurs soviétiques compétents ne soutiennent plus cette opinion), la concurrence entre les deux secteurs est faible en ce qui concerne la main-d'œuvre. Cependant, le manque croissant de main-d'œuvre agricole, sauf dans certaines régions du Sud et du Sud-Est, se fait sentir dans les deux secteurs. A long terme, les dirigeants soviétiques continuent à envisager la disparition du secteur privé. Contrairement à leurs affirmations, certaines pressions sont encore exercées pour accélérer ce processus. Mais ces pressions sont légères par rapport à celles de l'époque de KhruScev et le secteur privé reste indispensable économiquement pour les années qui viennent. De ce fait, sa disparition ne saurait survenir dans un futur proche.Wădekin Karl-Eugen. Le secteur privé dans l'agriculture soviétique. In: Revue de l'Est, vol. 4, 1973, n°2. pp. 83-105

    The “Farmer Threat.” The Political Economy of Agrarian Reform in Post-Soviet Russia

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    The Role of Agriculture in Soviet Industrialization

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    Merl S. The Role of Agriculture in Soviet Industrialization. In: Wädekin K-E, ed. Communist Agriculture: Farming in the Soviet Union and Eastern Europe. London/New York; 1990: 3-22

    Le secteur privé dans l'agriculture soviétique, de la déposition de Khrouchtchev au Congrès des Kolkhoziens

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    Wädekin Karl-Eugen, Xifaras Marie-Elisabeth. Le secteur privé dans l'agriculture soviétique, de la déposition de Khrouchtchev au Congrès des Kolkhoziens. In: Cahiers du monde russe et soviétique, vol. 11, n°1, Janvier-mars 1970. pp. 5-23
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