Concerning Barbarians and Romans, and RomanDiscourse on Music and Civilization

Während der römischen Expansionszeit wurden barbarische Instrumente – Trompete und Trommel – in den Quellen als ,eigenartig‘ oder ,primitiv‘ und ihr Klang als unmusikalisch verstanden. Sowohl in der griechischen als auch in der lateinischen Literatur wird die Welt der Barbaren – vor allem im Westen – als ein von Krach erfüllter Raum beschrieben. Ihre Ignoranz gegenüber Musik wurde zum Zeichen ihrer Unmenschlichkeit, da nur musikalisches Wissen zu einer harmonischen Gesellschaft führte. Nur die östlichen Barbaren schie-nen wahrhaft musikalisch, da sie in größerer Nähe zur griechischen Gesellschaft lebten. Dennoch galt ihre Musik als verweichlicht und wollüstig – wie der Orient selbst. Dieser Gegensatz nährte den römischen Diskurs über Akkulturation und legitimierte die moralische Überlegenheit der Römer über andere. Dies erlaubt auch Rückschlüsse auf die Wahrnehmung ihrer eigenen Musik

Masculin et féminin dans la musique de la Rome antique

Dans l’Antiquité romaine, la musique participe à sa façon à la construction du genre en introduisant une division sexuée des notes et des instruments de musique dans la théorie musicale et un partage des sexes lors de la pratique musicale. La question du costume du musicien et du travestissement offre aussi une autre occasion d’explorer le thème du genre. Êtres ambivalents par excellence, le musicien et le danseur se situent parfois en marge du monde masculin à cause de leur allure, de leur habit et de la nature même de leur métier. L’histoire emblématique d’Achille caché dans le gynécée à Skyros ou celle, réelle, du noble Clodius travesti en femme utilisant tous deux les apparences de la musicienne en sont les manifestations les plus abouties qui servent d’exempla pour les Anciens dans la définition des frontières entre féminité et virilité.In Roman society, music can be interpreted in gendered terms. In music one finds a sexual division of notes, musical instruments, musical theory and musical practice.The musician’s clothing and transvesticism can also be studied through the lens of gender. The musician and the dancer are ambivalent by nature because of their appearance, and are often positioned on the fringe of masculinity. In the emblematic story of Achilles, hiding in the gynaeceum of Skyros, or the true story of Claudius in Rome disguised as a woman, both men use the appearance of a woman musician. For the Romans, their stories are considered exempla, defining the borders between femininity and virility

Le statut culturel de la grue : le témoignage des gemmes romaines

Journées d’étude organisées par Nikolina Kei et Stéphanie WylerNational audienc

Harpistes, Luthistes et Citharôdes dans l'Egypte romaine. Remarques sur certaines singularités musicales

Vendries Christophe. Harpistes, Luthistes et Citharôdes dans l'Egypte romaine. Remarques sur certaines singularités musicales. In: Revue belge de philologie et d'histoire, tome 80, fasc. 1, 2002. Antiquite - Oudheid. pp. 171-198

Plectrum, cithara et fistula. Des fragments d’instruments de musique dans le statuaire en marbre de Chiragan (Martres-Tolosane)

Among the remains of marble sculptures from the villa of Chiragan some of them, deposited in the museum of Antiquities in Toulouse, are described as pieces of musical instruments. There are mainly citharae and syrinx who belong to mythological characters, production of three-dimensional sculpture or reliefs. This study is based on an analysis of this material and would propose an identification, a date and some parallels in roman art at the same period.Parmi les nombreux éléments de sculptures en marbre provenant de la villa de Chiragan quelques-uns, conservés dans les réserves du Musée des Antiques de Toulouse, ont pu être identifiés comme des fragments d’instruments de musique. Ce sont essentiellement des cithares et des flûtes de Pan appartenant à des personnages mythologiques sculptés en ronde-bosse ou en bas-relief. L’étude propose d’examiner ces fragments et d’établir des parallèles avec des sculptures de Rome et de l’Empire afin de les replacer en série.Vendries Christophe. Plectrum, cithara et fistula. Des fragments d’instruments de musique dans le statuaire en marbre de Chiragan (Martres-Tolosane). In: Aquitania : une revue inter-régionale d'archéologie, tome 30, 2014. pp. 263-284

Du bruit dans la cité : l’invention du paysage sonore et l’Antiquité romaine

International audienc

À l’écoute de la nature : l’environnement sonore des jardins d’agrément dans la civilisation romaine

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Un objet sonore méconnu : le sistre de Vermand (Aisne) et les « sistres tiges » gallo-romains

Christophe Vendries, An ill-known sound instrument : the Vermand (Aisne) sistrum and the Gallo-Roman « stem sistra ». There have been discovered since the XIXth century in the provinces of Belgian Gaul and of the Germanies several remnants of small bronze cymbalettes accompanied with wood elements deposited in the later period burial sites. Different reconstitutions have been proposed without ever being satisfactory. The cross-examination of archaeological documents allows to demonstrate that they are not remnants of cymbalettes belonging to tambourines or Egyptian- style sistra. They are « stem sistra » (according to the modern organologie terminology) mounted in pairs but whose exact musical function is not known as both texts and iconography have never dealt with them.Dans les provinces de Gaule Belgique et des Germanies ont été découverts depuis le XIXe s. plusieurs vestiges de petites cymbalettes en bronze accompagnées d'éléments de bois déposés dans des sépultures d'époque tardive. Différentes reconstitutions ont été proposées sans jamais être satisfaisantes. Le recoupement des informations archéologiques permet de démontrer qu'il ne s'agit pas de vestiges de cymbalettes appartenant à des tambourins ou à des sistres égyptisants. Ce sont des « sistres tiges » (selon la terminologie organolo- gique moderne) montés par paires mais dont on ignore la fonction musicale exacte car les textes comme l'iconographie n'en font jamais état.Christophe Vendries, Een miskend geluidsinstrument : het sistrum van Vermand (Aisne) en de galloromeinse « schachtsistra ». In de provincies Belgisch Gallie en Germanie werden sedert de negentiende eeuw fragmenten van bronzen cimbaaltjes ontdekt naast stukjes hout in graven uit het late rijk. Men is er nooit in geslaagd die op een overtui- gende manier samen, te stellen. Uit vergelijking van archeologische informatie blijkt dat het niet om cimbaaltjes gaat die gelijken op tamboerijnen of egyptise- rende sistra. Het gaat om schachtsistra (volgens de moderne organologische terminologie), die paarsgewijze gemonteerd zijn. Men weet nog niets over hun juiste muzikale functie omdat zij niet voorkomen in teksten of iconografie.Vendries Christophe. Un objet sonore méconnu : le sistre de Vermand (Aisne) et les « sistres tiges » gallo-romains. In: Revue du Nord, tome 91, n°333,1999. Archéologie de la Picardie et du Nord de la France. pp. 187-195

Rome au cinéma. La musique à l’antique dans le péplum hollywoodien

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Harpes druidiques et trompettes guerrières : la musique des Gaulois dans l’art et l’imagerie populaire du XVIIIe siècle à nos jours

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