80 research outputs found

    Unexpectedly high pressure for molecular dissociation in liquid hydrogen by electronic simulation

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    The study of the high pressure phase diagram of hydrogen has continued with renewed effort for about one century as it remains a fundamental challenge for experimental and theoretical techniques. Here we employ an efficient molecular dynamics based on the quantum Monte Carlo method, which can describe accurately the electronic correlation and treat a large number of hydrogen atoms, allowing a realistic and reliable prediction of thermodynamic properties. We find that the molecular liquid phase is unexpectedly stable, and the transition towards a fully atomic liquid phase occurs at much higher pressure than previously believed. The old standing problem of low-temperature atomization is, therefore, still far from experimental reach

    Quantum simulation of low-temperature metallic liquid hydrogen

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    The melting temperature of solid hydrogen drops with pressure above ~65 GPa, suggesting that a liquid state might exist at low temperatures. It has also been suggested that this low-temperature liquid state might be non-molecular and metallic, although evidence for such behaviour is lacking. Here we report results for hydrogen at high pressures using ab initio methods, which include a description of the quantum motion of the protons. We determine the melting temperature as a function of pressure and find an atomic solid phase from 500 to 800 GPa, which melts at <200 K. Beyond this and up to 1,200 GPa, a metallic atomic liquid is stable at temperatures as low as 50 K. The quantum motion of the protons is critical to the low melting temperature reported, as simulations with classical nuclei lead to considerably higher melting temperatures of ~300 K across the entire pressure range considered

    Analyses multi-élémentaires par XRF, ICP-AES et ICP-MS dans le cadre de l’étude du colmatage au niveau des plaques entretoises des tubes de générateurs de vapeur pour les centrales nucléaires de type REP.

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    National audienceMalgré des progrès considérables depuis plus de trente ans dans les générateurs de vapeur des centrales nucléaires, lephénomène de corrosion du circuit secondaire, bien que maîtrisé, est inéluctable. Récemment, un nouveau phénomène estapparu : le colmatage au niveau des passages foliés des plaques entretoises, qui maintiennent les tubes de générateurs devapeur. Ce phénomène de dépôt de matières solides est dommageable vis-à-vis des performances du générateur de vapeur.Afin de comprendre et de remédier à ces bouchages progressifs, le CEA Cadarache et EDF ont lancé un programmeexpérimental, dont l'objectif est de reproduire les premiers stades de développement du phénomène de colmatage,d'identifier les mécanismes de formation de ces dépôts colmatants, ainsi que les paramètres clés de leur développement.C’est pourquoi un grand nombre d'échantillons de ces expériences ont été analysés au LARC (Laboratoire d’AnalyseRadiochimique et Chimique) par XRF, ICP-AES et ICP-MS. L’utilisation de la XRF a permis l’analyse multi-élémentaire desfiltres concernés par cette étude. L'avantage de l’analyse panoramique par ICP-AES sur un appareil simultané sera mis enévidence pour l’analyse des filtrats. L'importance du mode CRI (Collision Reaction Interface) pour le dosage du fer en ICPMS sera soulignée.Cette étude met l'accent sur la complémentarité de ces trois techniques dans la caractérisation de fluide secondaire pourexaminer le colmatage au niveau des plaques entretoises des tubes de générateurs de vapeur de réacteur nucléaire à eaupressurisée

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