100 research outputs found

    Marsoulas, une grotte ornée dans son contexte culturel

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    International audiencePremière grotte ornée découverte dans les Pyrénées en 1897, la grotte de Marsoulas fut l'objet de travaux importants qui portèrent aussi bien sur le gisement archéologique que sur les parois. Depuis la reprise de nos travaux en 1998, un inventaire provisoire a considérablement augmenté le corpus figuratif connu d'après les publications. En 2001, il atteignait 193 individus. Pour illustrer cet apport nouveau, le relevé pariétal d'un secteur, entre 13 et 19 m de l'entrée, a permis la restitution d'un grand panneau peint et gravé, riche en figurations de bisons et en signes, pour la plupart inédits. Dans les profondeurs de la caverne, la découverte de deux signes rares dans les grottes pyrénéennes, un tectiforme associé à deux bisons et un quadrilatère oblitéré par deux chevaux, nous a conduits à analyser systématiquement les indices de contacts ou d'influences dont pouvait témoigner l'art pariétal de Marsoulas. En effet, ces signes ne sont pas sans rappeler des exemplaires analogues du Périgord (tectiforme) ou des Cantabres (quadrangulaire). De même, dans l'iconographie figurative, des caractères stylistiques ou thématiques suggèrent des liens avec ces deux ensembles régionaux. Progressivement, nous tenterons de mieux cerner l'originalité du site, en essayant notamment de préciser son insertion chronologique dans le Magdalénien moyen pyrénéen

    Gourdan, grotte

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    Le siteLa grotte de Gourdan, aussi connue sous le nom de grotte de l’Éléphant ou grotte murée, se situe en amont de la confluence de la Neste et de la Garonne, sur la commune de Gourdan-Polignan en Haute-Garonne. Dominant la Garonne de 50 m, elle s’ouvre vers l’ouest dans la colline du Bouchet par un vaste porche (6 m de haut par 10 m de large) encombré de blocs (fig. 1a). Elle comprend une vaste salle principale (Grande Salle) et des galeries inférieures.La grotte de Gourdan est signalée pa..

    L'horizontal et le vertical - L'âge du Bronze de la grotte des Fraux (Saint-Martin-de-Fressengeas - Dordogne)

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    articleDécouverte accidentellement en 1989, la grotte des Fraux (Dordogne) constitue un rare exemple de site de l'âge du Bronze qui regroupe en son sein des vestiges archéologiques et des manifestations pariétales. Les conditions exceptionnelles de la fossilisation du site à la fin de l'âge du Bronze, suite à l'effondrement de son principal accès, ont permis aux vestiges de nous parvenir dans un exceptionnel état de conservation. Sols de circulation, structures de combustion, structures architecturales, mobiliers mis en scène et œuvres pariétales forment un tout indissociable. L'étude interdisciplinaire qui s'engage se doit ainsi d'appréhender la cavité comme un système complexe, non plus réduit aux deux dimensions verticales et horizontales. Les combinaisons de l'Espace et du Temps requièrent de mettre en œuvre des méthodes susceptibles de retranscrire et d'interpréter l'écheveau des données archéologiques

    Saint-Martin-de-Fressengeas – Grotte des Fraux

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    Identifiant de l'opération archéologique : 025203 Date de l'opération : 2007 (FP) La première campagne d’étude la grotte des Fraux, par une équipe pluridisciplinaire, a été initiée en 2007. Découverte accidentellement en 1989, la grotte des Fraux constitue un rare exemple de site de l’âge du Bronze qui regroupe en son sein des vestiges archéologiques et des manifestations pariétales. Les conditions exceptionnelles de la fossilisation du site à la fin de l’âge du Bronze suite à l’effondrement ..

    Saint-Martin-de-Fressengeas – Grotte des Fraux

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    Identifiant de l'opération archéologique : 025203 Date de l'opération : 2007 (FP) La première campagne d’étude la grotte des Fraux, par une équipe pluridisciplinaire, a été initiée en 2007. Découverte accidentellement en 1989, la grotte des Fraux constitue un rare exemple de site de l’âge du Bronze qui regroupe en son sein des vestiges archéologiques et des manifestations pariétales. Les conditions exceptionnelles de la fossilisation du site à la fin de l’âge du Bronze suite à l’effondrement ..

    Pierres gravées du Périgord magdalénien. Art, symboles, territoires

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    Tosello Gilles. Pierres gravées du Périgord magdalénien. Art, symboles, territoires. In: Gallia préhistoire. Suppléments, supplément 36, 2003. Pierres gravées du Périgord magdalénien. Art, symboles, territoires. pp. 3-580

    Une lampe ornée à La Madeleine

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    The study of the paleolithic decorated lamp, broken in two parts, from La Madeleine (Tursac, Dordogne) brings to a reflexion about the steps of this complexe object's shaping. After a bibliographical recall, the lamp is morphologically and artistically described. The hypothesis on its elaboration and its employment are methodically examined.L'étude de la lampe ornée paléolithique, cassée en deux parties, de La Madeleine (Tursac, Dordogne) conduit à une réflexion sur les étapes du façonnage de cet objet complexe. Après un rappel bibliographique, la lampe est décrite tant sur le plan morphologique qu'artistique. Les hypothèses sur son élaboration et son réemploi sont examinées méthodiquement.Tosello Gilles. Une lampe ornée à La Madeleine. In: Paléo, n°1,1989. pp. 117-124

    Pierres gravées du Périgord magdalénien. Art, symboles, territoires

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    Gallia préhistoire. Suppléments, supplément 36, 2003. Pierres gravées du Périgord magdalénien. Art, symboles, territoires

    From Gesture to Myth: Artists’ techniques on the walls of Chauvet Cave

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    The walls of the Chauvet-Pont d’Arc Cave are decorated with charcoal drawings dated to an average of 36000 cal BP, red paintings, engravings, and finger-traced designs, all grouped in distinct panels. Examination of the 14C dates, which are increasingly revealed to be of great antiquity, dating to the Early Aurignacian, allows for more precise modeling of human use of the cave. The attribution of certain components of the parietal art to the Gravettian, based on directly dated torch-marks on the walls and charcoal on the cave floors, remains secure. A survey of the techniques employed, organized around the three colors used (white, black, red), reveals formal diversity in the site, and at the same time confirms multiple points of convergence and commonality in terms of the themes and composition of the panels, which underline the homogeneity of the works as an ensemble. Ethology and the theme of cave lions on the hunt hold a central place in the inspiration of the artists at Chauvet; through their spectacular frescos, these artists have provided us a point of access to their symbolic vision of the world and an element of their myths
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