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    Entre ce qu'ils pensent, ce qu'ils disent et ce qu'ils font, quelles articulations ?Analyse quantitative de l’articulation entre les croyances épistémologiques, les conceptions pédagogiques et les pratiques d’enseignants de deux domaines au secondaire

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    L’articulation entre les croyances épistémologiques, les conceptions de l’enseignement et de l’apprentissage et les pratiques pédagogiques déclarées des enseignants de sciences et de sciences humaines au secondaire a peu été étudiée, en particulier dans le monde francophone (Araújo Oliveira, 2012 ;Bartos et Lederman, 2014 ;Wanlin, Laflotte et Crahay, sous presse). Pourtant, si les enseignants affichent des croyances majoritairement constructivistes sur l’enseignement et l’apprentissage, leurs pratiques d’enseignement réelles demeurent plutôt passives (enquête internationale TALIS – OCDE, 2018. Cette communication propose d’explorer les relations entre ces trois construits théoriques auprès d’une population composée de 215 enseignants québécois (débutants, intermédiaires et expérimentés) du secondaire en Univers social et Sciences et technologies. Les résultats reposent sur l’analyse quantitative des réponses des enseignants à un questionnaire fermé en ligne comportant trois parties. Les analyses statistiques (analyses en composantes principales, ANOVA à plan factoriel et étude des corrélations) sont en cours. Les premiers résultats font apparaître des différences significatives dans le registre des croyances épistémologiques entre les enseignants en Univers social et Sciences et technologies.info:eu-repo/semantics/nonPublishe

    Recherches sur le rapport aux savoirs et les croyances épistémologiques auprès d’étudiants universitaires :quelles ouvertures possibles entre ces deux concepts ?

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    Cette communication entend explorer les rapprochements possibles entre deux concepts appartenant a priori à des contextes d’émergence ainsi qu’à des perspectives théoriques et méthodologiques distinctes. Il s’agit des concepts de rapport aux savoirs et de croyances épistémologiques. Le premier s’est développé d’abord en France puis dans le monde francophone dans le but de mieux comprendre les raisons pour lesquelles certains élèves réussissent moins bien que d’autres à l’école (Caillot, 2014; Charlot, 2017), selon des approches variées (sociologique, clinique, didactique). Le second a vu le jour aux États-Unis et s’est déployé par la suite à l’échelle internationale afin de cerner la manière dont des étudiants et des enseignants conçoivent la connaissance et la manière dont celle-ci est acquise (Crahay et Fagnant, 2007; Hofer et Pintrich, 1997). De prime abord, on pourrait considérer que ces deux construits théoriques ne présentent pas d’éléments de convergence, mais il en est autrement lorsque l’on tient compte des données de terrain. Ainsi, bien que le point de départ de ces concepts diverge, des ouvertures peuvent se créer si l’on s’attarde aux résultats qu’ont permis d’obtenir deux recherches en milieu universitaire, l’une auprès de futurs enseignants au Québec et l’autre auprès de futurs psychologues en Belgique.info:eu-repo/semantics/nonPublishe

    Mise en perspective des concepts de rapport aux savoirs et de croyances épistémologiques :une illustration à partir de recherches menées auprès d'étudiants universitaires

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    Cet article propose d’établir des ponts entre deux concepts appartenant a priori à des contextes d’émergence ainsi qu’à des perspectives théoriques et méthodologiques distinctes. Il s’agit des concepts de rapport aux savoirs et de croyances épistémologiques. Le premier s’est développé d’abord en France puis dans le monde francophone dans l’objectif de mieux comprendre les raisons pour lesquelles certains jeunes réussissent moins bien que d’autres à l’école, selon des approches variées. Le second a vu le jour aux États-Unis et s’est déployé par la suite à l’échelle internationale dans le but de cerner la manière dont des étudiants ainsi que des enseignants conçoivent la connaissance et la manière dont celle-ci est acquise. Au premier abord, on pourrait considérer que ces deux construits théoriques ne présentent pas d’éléments de convergence, mais il en est autrement lorsque l’on tient compte des données de terrain. En effet, bien que le point de départ de ces concepts soit différent, il apparaît que des parallèles peuvent être établis si l’on s’attarde aux résultats que nous ont permis d’obtenir deux recherches en milieu universitaire, l’une auprès de futurs enseignants au Québec (Canada) et l’autre auprès de futurs psychologues en Belgique.info:eu-repo/semantics/publishe

    Recherches sur le rapport au(x) savoir(s) et formation des enseignants. Un dialogue nécessaire et fructueux

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    Dans la continuité des deux derniers ouvrages qui questionnaient le rapport au(x) savoir(s) dans l’enseignement (Vincent & Carnus, 2015) et la rencontre plus ou moins énigmatique du rapport au(x) savoir(s) de l’apprenant et de l’enseignant (Therriault, Baillet, Carnus & Vincent, 2017), ce troisième ouvrage a pour focale les articulations possibles et les enjeux du dialogue entre les recherches sur le rapport au(x) savoir(s) et la formation initiale et continue des enseignants, tous ordres d’enseignement confondus. Ses neuf chapitres explorent un ensemble de pistes envisagées ou envisageables de nature à nourrir et à optimiser les dispositifs de formation initiale et continue des enseignants du point de vue du rapport au(x) savoir(s). Dans ces chapitres, la manière dont la dialectique s’opère entre ces deux entités diffère :certains partent de la formation des enseignants pour étudier le rapport au(x) savoir(s), tandis que d’autres s’appuient sur des recherches autour de ce concept pour élaborer ou enrichir des dispositifs de formation des enseignants. De plus, quels que soient les ancrages épistémologiques, théoriques ou méthodologiques retenus (approches sociologiques, cliniques, didactiques, etc.), les chapitres se situent à l’un ou plusieurs des trois niveaux d’articulation entre recherche et formation, à savoir :les articulations sur le plan des concepts, des méthodologies et des résultats de la recherche (Carnus, 2009). Bien souvent, plus d’un niveau d’articulation est sollicité dans les différentes contributions que compte cet ouvrage. À cet égard, il s’agit de s’interroger sur le caractère opérationnel de ces articulations et de considérer la rupture épistémologique entre recherche et formation, en tenant compte de leurs spécificités, leurs finalités et leurs temporalités respectives.info:eu-repo/semantics/publishe
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