36 research outputs found

    Sculptures de la Gaule Romaine. Bases NEsp et RBR : une gestion de la mémoire collective

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    International audienceSince the irreplaceable inventory of Émile Espérandieu, completed by Raymond Lantier, the sculptures collections of Roman Gaule have been rarely and insufficiently exposed. The publication of the Nouvel Espérandieu enables to reveal the discoveries since 1966 and - above all - to launch an exceptional documentary operation with old and new documents. Humble or spectacular objects are checked off, digitized and indexed. NEsp and RBR databases will really make available these data to a large spectrum of public, thank to an important effort of data enrichment and valorisation by developing very efficient technologies to perform the multimedia and multilingual indexing of the databases. For image data, shape based and texture based algorithms and face detection and recognition techniques will be used. The multilingual dimension of the data indexing enables an international valorisation of the data. The quality and richness of the data, the efficient structure and architecture of the global system could make NEsp-RBR a norm or standard for other databasesA la suite de l'inventaire irremplaçable de Émile Espérandieu, complété par Raymond Lantier, la publication du "Nouvel Espérandieu" donne accès aux collections de sculptures de la Gaule romaine. Il a permis la mise en place d'un vaste programme complémentaire d'inventaire, de numérisation et de documentation des objets sculptés, rassemblés dans les bases NEsp et RBR. S'appuyant sur l'enrichissement des données, une indexation multilingue et le respect des normes de description des objets archéologiques, ces bases offrent un outil de valorisation international

    Un portrait julio claudien près de Carthage

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    International audienceWith the discovery of a Roman portrait in South-West of Tunis, the authors analize the presence in Africa Proconsularis of such a new representation of a member of the imperial family.La découverte fortuite d'un portrait romain au sud-ouest de Tunis permet de s'interroger sur la présence en Proconsulaire d'une représentation nouvelle d'un membre de la domus impériale

    D’Émile Espérandieu au Nouvel Espérandieu : un patrimoine dans la tourmente de la technologie

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    Cette contribution constitue une extension de l’inventaire et de l’étude des sculptures romaines de la Gaule narbonnaise précédemment entrepris par l’auteur. Ici, l’ambitieuse opération documentaire examinée couvre l’ensemble de la Gaule romaine. Au-delà de l’hommage rendu au remarquable travail d’Émile Espérandieu dont la vie, la personnalité et l’œuvre, quasi-légendaires, sont retracés, l’auteur présente les trois opérations dont elle a pu bénéficier face aux problèmes de conservation ou de pérennité des œuvres et qui ont permis le sauvetage d’un patrimoine exceptionnel tout en restituant à travers la photographie le visage d’une époque oubliée. Tenter d’appliquer une technologie moderne à la sauvegarde de ces impressionnantes archives photographiques afin de réactualiser, gérer et rendre pérennes les données, telle est la visée de la présente communication

    Le cénotaphe de Clarensac : un somptueux décor autour de l’épitaphe de M. ATTIVS PATERNVS

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    Cet article est consacré à un autel de marbre blanc aux dimensions imposantes et à la riche décoration (CIL XII, 3200) provenant de Clarensac, situé sur le territoire antique de Nîmes. Cet autel ne signalait pas une sépulture, mais un cénotaphe dressé en l’honneur d’un personnage de haut rang, M. Attius Paternus, originaire de la cité de Riez.This article is devoted to a white marble altar of imposing dimensions and rich decoration (CIL XII, 3200) from Clarensac, located on the territory of Nimes during Roman times. This altar did not report a burial, but a cenotaph : it has been erected in honor of a person of high rank, M. Attius Paternus, borned in the city of Riez

    Les sculptures de la fouille du parking Jean-Jaurès à Nîmes

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    À l’occasion de la construction d’un nouveau parking à Nîmes, avenue Jean-Jaurès, des fouilles de l’INRAP sous la direction de Jean-Yves Breuil (automne 2006 – été 2007) ont révélé des éléments de sculpture qui viennent enrichir le corpus de Narbonnaise. Outre une série d’autels aniconiques et anépigraphes et un autel orné d’une triade divine, trois autres œuvres viennent s’ajouter aux découvertes déjà anciennes du quartier Jean-Jaurès. Un fragment, composé de la partie supérieure d’une tête, appartient à une représentation de jeune fille. Un fragment, constitué d’une jambe et de plis de tissu, pourrait être rattaché à une statue de Vénus. La statue la plus complète et la mieux documentée représente un Neptune, avec une base en proue de navire. L’intervention de Sandrine et Benoît Coignard et le recours à un scanner 3-D ont permis de révéler les traces de polychromie et de proposer une restitution qui permettra un remontage de la statue (en cours).On the occasion of the construction of a new parking lot in Nîmes, avenue Jean-Jaurès, excavations conducted by INRAP under the supervision of Jean-Yves Breuil (autumn, 2006 - summer, 2007) revealed elements of sculpture, which enrich the corpus of Narbonnaise. Besides a series of aniconic and anepigraphic altars and an altar decorated with a divine triad, three other works can be added to the former discoveries of the Jean-Jaurès district. A fragment consisting of the upper part of a head belongs to the representation of a young girl. A fragment consisting of a leg and folds of textile could be connected with a statue of Venus. The most complete and best-documented statue represents Neptune, with a base depicting a ship’s prow. The intervention of Sandrine and Benoît Coignard and the use of a 3D scanner revealed traces of polychromy and will allow a reconstruction of the statue

    Patrimoine photographié, patrimoine photographique

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    La photographie comme la notion de patrimoine sont des filles du XIXe siècle. Le procédé technique permettant de fixer une image obtenue par un procédé optique est inventé alors que se développe dans toute l’Europe une nouvelle conscience patrimoniale et que s’institutionnalisent des politiques de préservation de l’héritage du passé. Lors de la révélation du procédé photographique en 1839, le député François Arago, dans son discours à la Chambre des députés du 3 juillet, insistait sur les facultés documentaires du procédé qui intéressent l’archéologie et l’inventaire des richesses artistiques. L’image photographique devint ainsi dès l’origine un outil privilégié de représentation du patrimoine, qu’il soit architectural, sculptural, ou plus tard pictural. Entre les premières expériences romaines des photographes du Cafe Greco, ou la Mission héliographique de 1851, commandée par la Commission des Monuments Historiques, et les enquêtes photographiques de l’Inventaire Général du Patrimoine Culturel initié par André Malraux, d’innombrables campagnes de prise de vues ont ainsi contribué à reconnaître, identifier et répertorier les monuments historiques et les collections des musées. Mais la photographie n’a pas uniquement un intérêt documentaire, elle est aussi par elle-même une forme d’expression artistique. Des travaux d’Atget sur le vieux Paris aux typologies des Becher sur les structures industrielles, la photographie du patrimoine s’est affirmée depuis longtemps comme un domaine spécifique de la scène photographique. Ces dernières décennies, à mesure que la photographie comme art a gagné une reconnaissance institutionnelle, les collections photographiques anciennes ou plus récentes ont acquis une dimension patrimoniale. Cette mise en abîme de l’objet patrimonial dans l’œuvre photographique se retrouve au cœur du travail de photographes contemporains, comme par exemple Thomas Struth dans les Museums Photographs. Ce double statut de document et d’œuvre, ce double intérêt historique et pour l’histoire, incite à écrire une histoire croisée du medium et de ce qu’il représente. Cette journée d’étude organisée par l’École Pratique des Hautes Études (équipe Histara) et par l’Institut national d’histoire de l’art, se propose de croiser les différentes questions soulevées par la photographie du patrimoine, dans sa pratique et dans ses usages, à travers l’histoire de la photographie. Le programme est conçu autour de deux questions, « La mise en scène du patrimoine, la photographie comme outil de l’inventaire » et « La mise en abîme du patrimoine, la photographie comme objet de l’inventaire ». Les interventions se répartissent en deux sessions consacrées respectivement aux représentations du paysage monumental et de l’architecture et aux représentations de la sculpture

    Signa et tituli

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    La spécialisation de plus en plus grande et le cloisonnement de nos domaines de recherche (histoire, histoire de l’art, archéologie...) conduisent le plus souvent à étudier et à publier séparément, malgré leur complémentarité, les sources épigraphiques et les sources iconographiques. Des salles de nos musées aux rayons de nos bibliothèques, documents sculptés et documents inscrits forment des ensembles "disjoints". Or, statuaire et épigraphie, signa et tituli, étaient dans l’Antiquité des éléments conçus ensemble, comme les deux volets d’un même message, indissociables dès la première formulation. Cette conjonction d’un texte et d’une image définit précisément le monumentum si caractéristique de la pratique commémorative romaine. Cet ouvrage, centré sur la question du monumentum romain, regroupe les communications présentées lors du colloque "Signa et tituli. Monuments et espaces de représentation en Gaule méridionale sous le regard croisé de la sculpture et de l’épigraphie" (Aix-en-Provence, 26-27 novembre 2009). À la suite d’une approche méthodologique, l’ouvrage propose une série d’études sur différents lieux de la société romaine où se croisent données iconographiques et épigraphiques : les espaces civiques de représentation, les espaces et monuments funéraires, les espaces de la religion

    La sculpture romaine en Occident

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    Cet ouvrage réunit les résultats de deux manifestations complémentaires  : d’une part, la table ronde intitulée «  Rendre à César  », organisée le mercredi 20 juin 2012, à Paris, au Musée du Louvre et, d’autre part, les «  Rencontres autour de la sculpture romaine conservée en France  » qui ont eu lieu du 18 au 20 octobre 2012 au Musée départemental Arles antique. La richesse des interventions lors de ces deux manifestations permet de restituer un ouvrage composé de trente-huit articles, répartis en trois parties et une conclusion. La première partie, en écho et en développement de la table ronde du Louvre, porte sur le portrait du «  César du Rhône  », aussi bien que sur «  Le portrait romain en Gaule  ». La deuxième partie publie cinq études autour des «  nouvelles techniques d’investigations scientifiques  » et présente l’analyse des matériaux des sculptures en pierre et en bronze, découvertes dans le Rhône à Arles, ainsi qu’une étude ethnoarchéologique sur les techniques de production du portrait. Enfin une troisième partie présente les «  découvertes récentes et les nouvelles recherches  », déclinées en seize études qui sont consacrées à des études de cas (Autun, Vaison-la-Romaine, Nîmes, Metz-Divodurum, Apt), ainsi qu’à des relectures novatrices de sculptures méconnues (Plouarzel, Langres, Avignonet-Lauragais, Vernègues, vallée de l’Ubaye, Besançon, Lyon). Robert Turcan signe la conclusion. Ainsi, «  La sculpture romaine en Occident. Nouveaux regards   » reflète la variété et l’intérêt des questionnements actuels dans ce domaine

    Un portrait de Commode à Fréjus

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    A marble head which had been kept in a private collection until now was recently transfered to the Frejus Museum. The sculpture is poorly preserved but the features of the emperor Commodus can be recognized — and are in keeping with the tradition of the Antonian portrait —. It seemed useful to put the effigy of this emperor, which is quite rare in the Gaule Narbonnaise, to the researchers' disposal.Récemment, une tête en marbre conservée jusqu'alors dans une collection privée, a été rendue aux visiteurs du Musée de Fréjus. Il s'agit d'une sculpture mal conservée, mais où l'on retrouve, dans la tradition du portrait antonin, les traits de l'empereur Commode. Il a paru utile de mettre l'effigie de cet empereur, rare en Narbonnaise, à la disposition des chercheurs.Terrer Danièle. Un portrait de Commode à Fréjus. In: Revue archéologique de Narbonnaise, tome 23, 1990. pp. 235-236

    Tibère à Fréjus

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    Terrer Danièle. Tibère à Fréjus. In: Revue archéologique de Narbonnaise, tome 14, 1981. pp. 215-220
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