798 research outputs found

    First mention of Agathidium (Neoceble) ibericum Angelini & De Marzo, 1981 since its description (Coleoptera, Leiodidae, Agathidiini)

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    Se relata la primera captura de Agathidium ibericum desde su descripción original y la manera de distinguirlo de la especie más cercana Agathidium convexum Sharp.The first capture of Agathidium ibericum since its original description and how to distinguish it from the nearest species Agathidium convexum Sharp is showed.Los muestreos fueron financiados por el proyecto del Ministerio de Ciencia e Innovación, Spain (CGL2011-23658) dirigido por la Dr. Micó

    L'existence d'unités fonctionnelles démontrée chez les sarcelles d'hiver en Camargue par la biotélémétrie

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    In order to check the validity of the "functional units" previously described from visual observations, sixteen teals were equipped with radio-tracking equipment. The movements of each bird were followed for about one month, giving rise to a total of 384 day-time and 374 night-time contacts. Eighty to 90 % of contacts demonstrate the validity of the functional unit concept : the winter quarter is divided into separate geographical sectors (the F.U.) exploited by distincts groups. Individuals of a group use the same diurnal roost, fly out at night to exploit feeding grounds which are exclusive to the group and return to the same roost the following day at dawn. Exceptional changes of roost (2 %) are accompanied by a change in feeding grounds. In addition, several new aspects of teal behaviour are described : birds are remarquably immobile during the night ; individuals transferred artificially to another roost return rapidly (0.5 to 5 days) to their original roost ; the precise position of each individual within the roost is very constant, in 84 % of cases within a radius of 500 m of the center of the roost ; each individual regularly uses the same feeding grounds (to within about 200 m) ; and finally, the position of the individual in the roost usually faces the direction of the feeding grounds. Thus the strong social organisation of teal leads to the division of the population into several groups, each one exploiting exclusively a distinct sector (the F.U.) within which new detailed patterns of spatial distribution appear. This telemetric demonstration on teal can probably be applied to those species of ducks where the same kind of social organisation and spatial distribution have already been observed, and which are probably characteristic of the majority of ducks in winte

    Dispersion crépusculaire des Sarcelles d’hiver Anas Crecca crecca L. en recherche de nourriture

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    Une petite population de Sarcelles d’hiver Anas crecca crecca L. (effectifs sur la figure 1). stationnée pendant la journée sur le marais du St-Seren, en Camargue, France, est suivie dans ses déplacements crépusculaires vers les lieux de nourriture afin d’analyser le déterminisme de l’horaire et de la direction de ces vols, et de connaître l’emplacement de ces lieux de nourriture. Les vols de l’aube, partiellement observés, permettent de contrôler les observations du soir. L’heure du passage des vols crépusculaires les plus fréquents et les plus abondants (figure 2, bande noire), est fonction : de l’heure du coucher du soleil considérée comme temps zéro, de la saison et des conditions météorologiques. La figure 3 relate les heures du passage des vols de l’aube les plus importants (l’heure du lever du soleil est ici considérée comme temps zéro). Ces vols crépusculaires sont motivés par un facteur ultime, le besoin de nourriture. Ils sont généralement déclenchés par des facteurs proximaux, essentiellement un certain seuil lumineux au- delà duquel les sarcelles ne restent plus sur les lieux de repos diurnes. Dans certains cas, l’intensité de ces facteurs proximaux diminue ou s’annule. C’est alors le facteur ultime qui déclenche directement l’envol vers les lieux de nourriture. Les directions prises au départ du marais varient légèrement selon la période (septembre et octobre, figure 4, et novembre à mars, figure 5). Les vols de retour, de novembre à mars, (figure 6) se font sur les mêmes axes principaux que les vols du soir. Les zones atteintes le soir par les Sarcelles sont situées à l’intérieur du périmètre tracé sur la figure 7 (large trait noir). Le choix de la direction est dicté par 3 conditions que requièrent les sarcelles en recherche de nourriture : faible pro fondeur d’eau, présence de nourriture, et couvert végétal

    Signification du grégarisme diurne et de l’alimentation nocturne des Sarcelles d’hiver Anas crecca crecca L.

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    Le grégarisme diurne et l’alimentation essentiellement noc turne des Sarcelles d’hiver pendant leur période d’hivernage sont considérés ici comme totalement indépendants des activités de l’homme ou des dérangements (en particulier chasse) occasionnés par lui. Deux facteurs (pression exercée par les prédateurs et conditions physiologiques) sont, selon l’auteur, à l’origine de ces aspects comportementaux. Les prédateurs camarguais de la Sarcelle d’hiver sont le Busard des Roseaux Circus aeroginosus et le Goéland argenté Larus argentus. Ces deux espèces recherchent avant tout les indi vidus isolés saisis par surprise, et les individus handicapés qui seront capturés après avoir été isolés du groupe par des survols systématiques de la concentration. Ces prospections ont lieu pen dant toutes les heures de jour de la saison hivernale (août à mars) et sont maximales d’octobre à décembre. Les Busards s’avèrent, sauf en novembre, plus efficaces que les Goélands en provoquant des dérangements plus nombreux, plus longs et sur des effectifs plus élevés de Sarcelles. La prédation réelle effectuée par le Laridé est par contre beaucoup plus forte. La réaction défensive des Sarcelles consiste en un regroupement permanent sur les lieux de concentration choisis à cet effet. La vue d’un prédateur en vol constitue un stimulus-signal perçu par un certain nombre de Sarcelles qui transmettent l’information aux autres individus par le moyen de plusieurs déclencheurs sociaux : recrudescence des cris des mâles, attitude figée, déplacements en groupe à la nage (ces deux derniers comportements sont des mouvements d’inten tion), envol avec apparition des miroirs alaires. Finalement toute la concentration s’envole et reste sur l’aile aussi longtemps que dure la prospection du prédateur. Pour être efficace, ce regroupement implique que les Sar celles ne se nourrissent pas : en effet, leur alimentation se fait la tête à moitié ou totalement sous l’eau et empêche chaque individu de voir venir un éventuel prédateur. Les Sarcelles satisfont donc à leurs différentes activités de maintenance (toilette, repos...) de façon asynchrone pendant les heures de la journée et leurs exi gences à cet égard diffèrent radicalement des exigences requises pour leur alimentation. De sorte que lieux de repos — qui doivent permettre de grands rassemblements — et lieux de nourriture seront distincts. Ne pouvant s’alimenter de jour, les Sarcelles s’envolent vers les terrains de gagnage le soir après le départ des derniers prédateurs. La nuit, la pression de prédation est nulle. Ainsi les prédateurs exercent sur les Sarcelles une pression de sélection qui favorise les individus les plus réceptifs aux sti- muli-signaux et aux déclencheurs sociaux permettant la recon naissance de l’ennemi et la réaction de fuite devant lui. Le gréga risme est un comportement adaptatif en réponse à cette pression de sélection et il a valeur de survie. Les conditions physiologiques permettent ce comportement. En effet, la période de repos sexuel s’accompagne d’une phase de tolérance sociale qui favorise la formation de concentrations dès le mois de juillet et a fortiori pendant les mois d’hiver, Mais dès le début de l’activité sexuelle (janvier), l’intolérance sociale crois sante provoque la désintégration des groupes et mène à l’isolement des couples. Ces aspects comportementaux se retrouvent de façon iden tique dans les autres quartiers d’hiver (en particulier Vendée, Pays- Bas et mer Caspienne) en dépit de changements dans la nature des prédateurs, et ils peuvent être considérés comme caractéristiques de leurs conditions d’hivernage. Ils se traduisent par des exigences écologiques — diurnes et nocturnes tout à fait fondamentales. Egalement la plupart des espèces d’ Anatidés sont grégaires pen dant l’hiver et il est très vraisemblable que la signification pre mière de ce grégarisme soit la même, bien que les modalités par lesquelles il se manifeste puissent différer sensiblement d’une espèce à l’autre.The diurnal gregarious habit and the mainly nocturnal feeding of Teal during the time spent in winter quarters are considered as being totally independent of the activities of man or disturbance (particularly hunting) caused by him. Two factors (pressure by predators and physiological conditions) form the basis of these behavioural patterns. Pressure by predation in the Camargue is caused by Marsh Harriers and Herring Gulls. These two species search, in particular, for any solitary birds which are taken by surprise, and weak or injured ones, which are caught after sepa ration from the main group. Predatory foragings occur during all daylight hours in the winter season (August to March) and are maximal from October to December. Except in November, Marsh Harriers cause a greater amount of disturbance, of longer duration and effecting a larger number of birds, than Herring gulls, through predation by the latter is heavier. The defensive reaction of the teals comprises the formation of permanent flocks at parti cular sites. Sighting of the predator in flight by individual teals constitutes a sign-stimulus which is communicated to other birds by means of several social releaser mechanisms : outbreak of calling (males), freezing attitude, group swimming (these latter two are intention movements), springing into flight showing the wing mirrors. Finally, the whole flock takes wing and stays in flight as long as the foraging by the predator lasts. To be efficient, flocking requires that the Teals do not feed ; in fact their feeding behaviour entails the head being partially or wholly submerged. This would prevent an individual from seeing an eventual predator. Activities such as preening and spleeping take place at different times during the day. Resting places — which must support large concentrations — are distinct from and different to, feeding places. Unable to feed by day, the Teal fly towards their feeding grounds in the evening, after the departure of the last predators. There is no predation at night. Physiological factors are at the root of this pattern of beha viour. The period of sexual inactivity is accompanied by a phase of social tolerance favouring flock formation from the end of July onwards, and, more particularly, during the winter months. From the start of sexual activity in January, increasing social intolerance stimulates the breaking lip of the groups and the isolation of pairs. Exactly the same behavioural patterns can be found amongst Teal in other wintering areas (in particular Vendée, Dutch Coast, Caspian Sea) in spite of differences in predator species. They can be considered as characteristic of the over-wintering period of these birds, and can be related to the birds fundamental ecolo gical requirements — both diurnal and nocturnal. The majority of species of Anatidae are similarly gregarious during the winter, and it is quite probable that this gregarious habit has the same prime significance throughout the group, though its manifestation might differ considerably from one species to another

    La mémoire et la photographie

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    Marc Tamisier développe ici la question de la mémoire de la photographie et de ses rapports avec le savoir historique, face à l’exposition « Mémoire des camps » organisée par le Patrimoine Photographique à l’Hôtel de Sully du 12 janvier au 25 mars 2001, sous la responsabilité de Pierre Bonhomme et Clément Chéroux. Ce questionnement naît des utilisations très diverses de la photographie depuis les clichés d’identification produits par les nazis, jusqu’à l’utilisation des photo reportages après la découverte des camps. La photographie n’atteste-t-elle pas le discours que l’on tient, quel qu’il soit ? Devant les nations alliées ou dans la presse idéologue allemande ? Au contraire, Marc Tamisier conclut que la mémoire photographique et le discours des historiens se complètent comme l’origine et le fondement de notre mémoire historique. Dés lors, la photographie, en tant que présence d’une absence, pourrait être utilisée par l’historien comme une « origine » de sa recherche.This text is about photography’s memory and its relations to historical knowledge, in the context of the exhibition “Mémoire des camps” ; an exhibition organised by the Patrimoine Photographique, Hôtel de Sully (Paris), jan.12th-mar.25th 2001, and supervised by Pierre Bonhomme and Clément Chéroux. Some questions are born out of the various uses of photography ; from the ID pictures made by the nazis to the documentary photographs made after the discovery of concentration camps. Doesn’t photography bear witness to discourses, whatever the discourse ? In front of the allied nations, as well as in German ideological press ? On the contrary, Marc Tamisier points out that photographic memory and historians’ discourses are related inasmuch they are the origin and the foundation of our historical memory. Hence, photography understood as “presence of an absence”, could be used by historians as a foundation of their research

    Les futurs médecins généralistes pratiqueront-ils les sutures en cabinet de ville ?

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    Background: Stitches are part of the practice of GPs. However, there is a decrease in the practice of this technical gesture. The objective of this study is to identify obstacles to the practice of stitches by the future GPs. Methods: This is an epidemiological, descriptive and analytical study by numerical Internet questionnaire conducted among interns of general medicine in Ile-de-France registered in TCEM 3 during June 2015. Results: 227 interns responded, 104 (45.8%) had completed an additional education (DESC, DU, ...), 109 (48%) felt the training received in the DES of general medicine insufficient to learn sutures and 192 (84.6% ) were satisfied with the learning received during the internship. 169 (74.5%) wanted to have a GP practice in the future and 183 (80.6%) had the will to practice stitches, while 166 (73.1%) actually thought that they will really do stitches in their future practice. The main obstacles identified were too much time gesture (59.6%; p<0.01), difficulty of compliance with the rules of asepsis (18.7%; p=0.02) and the lack of training (7.2%; p=0.03). Conclusion: Despite the willingness to make stitches in their future practice, general medicine interns face barriers such as lack of training and time consuming aspect of the gesture, which tend to reduce this practice in town. Solutions can be proposed: theoretical lessons, continuing education, and patients information.Introduction : Les sutures font partie intégrante de la pratique des médecins généralistes. Cependant, on constate une diminution de la pratique de ce geste technique. L’objectif de cette étude est d’identifier les obstacles à la pratique des sutures par les internes de médecine générale. Matériel et méthodes : C’est une étude épidémiologique, descriptive et analytique par questionnaire numérique sur internet réalisée auprès des internes de médecine générale d’Ile-de-France inscrits en TCEM 3 en juin 2015. Résultats : 227 internes ont répondu : 104 (45.8%) avaient suivi un enseignement supplémentaire (DESC, DU, …), 109 (48%) trouvaient la formation reçue au cours du DES de médecine générale insuffisante à l’apprentissage des sutures et 192 (84.6%) la trouvaient suffisante au cours des stages réalisés. 169 (74.5%) s’orientaient vers une activité en cabinet de médecine générale et 183 (80.6%) avaient la volonté d’en pratiquer alors que 166 (73.1%) pensaient réellement en réaliser dans leur future pratique. Les principaux obstacles identifiés étaient le temps trop important du geste (59.6%; p<0.01), la difficulté de respect des règles d’asepsie (18.7%; p=0.02) et le manque de formation (7.2%; p=0.03). Conclusion : Malgré la volonté de réaliser des sutures dans leur future pratique, les internes de médecine générale font face à des obstacles, tel que le manque de formation et l’aspect chronophage du geste, qui tendent à diminuer cette pratique en ville. Des pistes d’aménagement peuvent être proposées: cours théoriques, formation continue, information des patients

    Le temps de l’Europe, l’art et la photographie

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    On considère généralement l’Europe comme un ensemble, mais elle se révèle en fait être – au delà de la diversité – un agglomérat d’altérités sans cesse en confrontation avec l’étrangeté. La photographie est alors l’occasion de l’affirmation de la valeur de l’art et de la problématisation d’identités singulières. S’appuyant sur la phénoménologie de Merleau-Ponty, nous nous demanderons dans quelle mesure la photographie constitue-t-elle l’autre comme altérité radicale dans l’espace européen.One usually considers Europe as a whole, but it reveals itself in fact – without even mentioning diversity – as an aggregation of othernesses constantly confronting strangeness. Photography gives then the opportunity to assert the value of Art and a reflection on singular identities. Relying on Merleau-Ponty’s phenomenology, we shall ask ourselves in what proportion photography constitutes the other as radical otherness in the European space

    Le monde de Descartes et le corps de l'internaute

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