22 research outputs found
FACTEURS DE RISQUES ASSOCIES A LA MORTALITE DES TUBERCULEUX FREQUENTANT LE CENTRE DE DEPISTAGE ET DE TRAITEMENT DE LA TUBERCULOSE MULTI RESTISTENTE DE LA ZONE DE SANTE LA POLICE DU CAMP LUFUNGULA EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
La tuberculose multi résistante demeure une crise de santé publique et une menace pour la sécurité sanitaire. L’objectif général de ce travail était d’étudier les facteurs de risque qui contribuent à la mortalité juvénile liée de la tuberculose multi résistante chez les malades ayant fréquenté le Centre de Santé de dépistage et traitement du camp Lufungula de la Zone de Santé de Police Nationale Congolaise de 2010 à 2019 dans la Division Provinciale de la Santé de Kinshasa en République Démocratique du Congo. Nous pensions que Les facteurs sociodémographiques, culturels et environnementaux y seraient responsables. Nous avons opté pour de faire l'analyse de survie à l'aide de Kaplan-Meier et la méthode de cox afin en identifier les facteurs de risque. Nous avons réalisé cette étude sur les données collectées de façon transversale en utilisant les données rétrospectives à travers la base des données du Centre bien identifié dont le nombre total de malades atteint de tuberculose multi résistante était de 404. Comme nous avons utilisé l’échantillonnage exhaustif, nous avons inclus tous les malades. Ces données ont été analysées et traitées à l’aide des logiciels SPSS Version 25, R et Stata12. Les résultats obtenus expliquent la tuberculose multi résistante est plus observée chez les malades ayant des antécédents de traitement antituberculeux. Les autres facteurs d'occurrence y afférents étaient : l’âge, cas d’échec thérapeutique, cas de rechute, Il sied de noter que l’émergence de la tuberculose multi résistante peut être évitée par la mise en place des stratégies de diagnostic et de traitement appropriées.La tuberculose multi résistante demeure une crise de santé publique et une menace pour la sécurité sanitaire. L’objectif général de ce travail était d’étudier les facteurs de risque qui contribuent à la mortalité juvénile liée de la tuberculose multi résistante chez les malades ayant fréquenté le Centre de Santé de dépistage et traitement du camp Lufungula de la Zone de Santé de Police Nationale Congolaise de 2010 à 2019 dans la Division Provinciale de la Santé de Kinshasa en République Démocratique du Congo. Nous pensions que Les facteurs sociodémographiques, culturels et environnementaux y seraient responsables. Nous avons opté pour de faire l'analyse de survie à l'aide de Kaplan-Meier et la méthode de cox afin en identifier les facteurs de risque. Nous avons réalisé cette étude sur les données collectées de façon transversale en utilisant les données rétrospectives à travers la base des données du Centre bien identifié dont le nombre total de malades atteint de tuberculose multi résistante était de 404. Comme nous avons utilisé l’échantillonnage exhaustif, nous avons inclus tous les malades. Ces données ont été analysées et traitées à l’aide des logiciels SPSS Version 25, R et Stata12. Les résultats obtenus expliquent la tuberculose multi résistante est plus observée chez les malades ayant des antécédents de traitement antituberculeux. Les autres facteurs d'occurrence y afférents étaient : l’âge, cas d’échec thérapeutique, cas de rechute, Il sied de noter que l’émergence de la tuberculose multi résistante peut être évitée par la mise en place des stratégies de diagnostic et de traitement appropriées
VALIDITE DE TEST DE DIAGNOSTIC RAPIDE DES ARBOVIROSES LORS DES FIEVRES INDIFFERENCIEES DANS LA VILLE DE KINSHASA CAS DU VIRUS DE LA DENGUE
Avec la réduction de la charge du paludisme parmi les causes de la fièvre, il est indispensable d'identifier les autres étiologies afin d'améliorer la prise en charge des patients. Pour ce diagnostic, il faut un plateau technique simple pour des pays à faible revenu. Parmi les causes des fièvres d'origine indéterminées figurent les causes virales notamment la dengue. Un test de diagnostic rapide, le NS1, a été mis au point. Une étude de validation du NS1 a été menée parmi les patients fébriles qui ont consulté le centre hospitalier Lisungi de la zone de santé de Mont Ngafula 1 à Kinshasa en République démocratique du Congo. Le test de référence a été la PCR/Dengue réalisée à l'Institut de médecine tropicale d'Anvers tandis que le NS1 a été réalisé sur place à Lisungi.
Au total 342 patients ont été inclus. La prévalence de la dengue a été estimée à 6.1% en considérant les résultats de la PCR. La sensibilité et la spécificité de NS1 ont été estimées respectivement à 90.0% et à 100.0% en considérant la PCR comme le Gold standard. La Valeur Prédictive Positive et la Valeur Prédictive Négative ont été estimées respectivement à 100.0% et 99.4%.
Le virus de la dengue est en circulation à Kinshasa en RDC. Le test de diagnostic rapide NS1 devra être introduit dans les structures sanitaires de la RDC afin d'accroître le plateau technique pour élucider les causes de fièvre et mettre le clinicien en confiance. Cette confiance permettra d'éviter une prescription inutile des antipaludiques et des antibiotiques.Avec la réduction de la charge du paludisme parmi les causes de la fièvre, il est indispensable d'identifier les autres étiologies afin d'améliorer la prise en charge des patients. Pour ce diagnostic, il faut un plateau technique simple pour des pays à faible revenu. Parmi les causes des fièvres d'origine indéterminées figurent les causes virales notamment la dengue. Un test de diagnostic rapide, le NS1, a été mis au point. Une étude de validation du NS1 a été menée parmi les patients fébriles qui ont consulté le centre hospitalier Lisungi de la zone de santé de Mont Ngafula 1 à Kinshasa en République démocratique du Congo. Le test de référence a été la PCR/Dengue réalisée à l'Institut de médecine tropicale d'Anvers tandis que le NS1 a été réalisé sur place à Lisungi.
Au total 342 patients ont été inclus. La prévalence de la dengue a été estimée à 6.1% en considérant les résultats de la PCR. La sensibilité et la spécificité de NS1 ont été estimées respectivement à 90.0% et à 100.0% en considérant la PCR comme le Gold standard. La Valeur Prédictive Positive et la Valeur Prédictive Négative ont été estimées respectivement à 100.0% et 99.4%.
Le virus de la dengue est en circulation à Kinshasa en RDC. Le test de diagnostic rapide NS1 devra être introduit dans les structures sanitaires de la RDC afin d'accroître le plateau technique pour élucider les causes de fièvre et mettre le clinicien en confiance. Cette confiance permettra d'éviter une prescription inutile des antipaludiques et des antibiotiques
DIAGNOSTIC ET PRESCRIPTION MEDICALE EN CAS DES FIEVRES INDIFERENCIEES DANS DES INSTITUTIONS SANITAIRES DE KINSHASA AVEC EMPHASE SUR LE VIRUS DE LA DENGUE
Lorsque les patients se présentent à la clinique pour le cas des fièvres, les cliniciens ont tendances à demandés un lot des examens para cliniques dont certains ne servent pas et font des prescriptions médicales hors les lignes budgétaires du patient et les normes de l’économie de la santé qui exigent de l’efficience, l’efficacité et l’économie dans les prescriptions qui se résument par l’attention accordée au patient. Avec la réduction de la charge du paludisme parmi les causes de la fièvre, il est indispensable d'identifier les autres étiologies afin d'améliorer la prise en charge des patients. Pour ce diagnostic, il faut des outils simples utilisables dans les milieux endémiques surtout pour les pays en développement. Parmi les causes des fièvres d'origine indéterminées figurent les causes virales notamment la dengue. Au total 600 patients ont été inclus. Les résultats de notre recherche témoignent que la prévalence de la dengue a été estimée à 6.1% en considérant les résultats de la PCR. La sensibilité et la spécificité de NS1 ont été estimées respectivement à 90.0% et à 100.0% en considérant la PCR comme le Gold standard. La Valeur Prédictive Positive et la Valeur Prédictive Négative ont été estimées respectivement à 100.0% et 99.4%. Le virus de la dengue est en circulation à Kinshasa en RDC. Le test de diagnostic rapide NS1 devra être introduit dans les structures sanitaires de la RDC afin d'accroître le plateau technique pour élucider les causes de fièvre et mettre le clinicien en confiance. Cette confiance permettra d'éviter une prescription inutile des antipaludiques et des antibiotiques.Lorsque les patients se présentent à la clinique pour le cas des fièvres, les cliniciens ont tendances à demandés un lot des examens para cliniques dont certains ne servent pas et font des prescriptions médicales hors les lignes budgétaires du patient et les normes de l’économie de la santé qui exigent de l’efficience, l’efficacité et l’économie dans les prescriptions qui se résument par l’attention accordée au patient. Avec la réduction de la charge du paludisme parmi les causes de la fièvre, il est indispensable d'identifier les autres étiologies afin d'améliorer la prise en charge des patients. Pour ce diagnostic, il faut des outils simples utilisables dans les milieux endémiques surtout pour les pays en développement. Parmi les causes des fièvres d'origine indéterminées figurent les causes virales notamment la dengue. Au total 600 patients ont été inclus. Les résultats de notre recherche témoignent que la prévalence de la dengue a été estimée à 6.1% en considérant les résultats de la PCR. La sensibilité et la spécificité de NS1 ont été estimées respectivement à 90.0% et à 100.0% en considérant la PCR comme le Gold standard. La Valeur Prédictive Positive et la Valeur Prédictive Négative ont été estimées respectivement à 100.0% et 99.4%. Le virus de la dengue est en circulation à Kinshasa en RDC. Le test de diagnostic rapide NS1 devra être introduit dans les structures sanitaires de la RDC afin d'accroître le plateau technique pour élucider les causes de fièvre et mettre le clinicien en confiance. Cette confiance permettra d'éviter une prescription inutile des antipaludiques et des antibiotiques
Contribution to strategic decision making in human African trypanosomiasis control
RESUME<p>La Trypanosomiase Humain Africaine (THA) demeure un problème de santé publique pour plusieurs pays en Afrique subsaharienne. Le contrôle de la THA est basé essentiellement sur la stratégie de dépistage actif suivi du traitement des personnes infectées. Le dépistage actif est réalisé par des unités mobiles spécialisées, bien que les services de santé fixes jouent un rôle important en détectant « passivement » des cas. Le dépistage reposait jadis sur la palpation ganglionnaire mais, depuis le développement du test d’agglutination sur carte (CATT), trois possibilités se sont offertes aux programmes de contrôle à savoir: i) continuer avec la palpation ganglionnaire ii) combiner la palpation ganglionnaire avec le CATT iii) recourir au CATT seul. Certains programmes comme celui de la République Démocratique du Congo (RDC) ont opté pour la combinaison en parallèle de la palpation ganglionnaire avec le CATT. Toute personne ayant une hypertrophie ganglionnaire cervicale et/ou un CATT positif est considéré comme suspecte de la THA. Elle sera soumise aux tests parasitologiques de confirmation à cause de la toxicité des médicaments anti-THA. Les tests parasitologiques classiques sont l’examen du suc ganglionnaire (PG), l’examen du sang à l’état frais (SF), la goutte épaisse colorée (GE). La sensibilité de cette séquence a été estimée insuffisante par plusieurs auteurs et serait à la base d’une grande perte de l’efficacité de la stratégie dépistage-traitement. D’autres techniques de concentration ont été développées comme la mini-Anion Exchange Concentration Technique (mAECT), la Centrifugation en Tube Capillaire (CTC) et le Quantitative Buffy Coat (QBC), mais ces techniques de concentration ne sont pas utilisées en routine. <p>En RDC, une interruption des activités de contrôle en 1990 a eu comme conséquence une réémergence importante de la maladie du sommeil. Depuis 1998 les activités de contrôle ont été refinancées de manière structurée. <p>Ce travail vise deux buts à savoir le plaidoyer pour la continuité des activités de contrôle et la rationalisation des stratégies de contrôle. Nous avons évalué l’évolution de la maladie du sommeil en rapport avec le financement, son impact sur les ménages ainsi que la communauté. L’exercice de rationalisation a porté sur les outils de dépistage et de confirmation. Nous avons d’abord évalué la validité des tests, leur faisabilité ainsi que les coûts et ensuite nous avons effectué une analyse décisionnelle formelle pour comparer les algorithmes de dépistage et pour les tests de confirmation.<p>Pendant la période de refinancement structurel de la lutte contre la THA en RDC (1998-2003), le budget alloué aux activités a été doublé lorsqu’on le compare à la période précédente (1993-1997). Le nombre des personnes examinées a aussi doublé mais par contre le nombre des nouveaux cas de THA est passé d’un pic de 26 000 cas en 1998 à 11 000 en 2003. Le coût par personne examinée a été de 1,5 US. Pendant cette période, les activités ont été financées par l’aide extérieure à plus de 95%. Cette subvention pourrait laisser supposer que l’impact de la THA au niveau des ménages et des communautés est réduit mais lorsque nous avons abordé cet aspect, il s’est avéré que le coût de la THA au niveau des ménages équivaut à un mois de leur revenu et que la THA fait perdre 2145 DALYs dans la communauté. L’intervention par la stratégie de dépistage-traitement a permis de sauver 1408 DALYs à un coût de 17 US and per case detected and saved was 300 US per DALY, putting the intervention in the class of “good value for money”. <p>The use of CATT alone as screening test emerged as the most efficient strategy for active case finding. The marginal gain when neck gland palpation is added is minor and is not compensated by the high cost of doing the parasitological confirmation test on a high number of suspected cases. The concentration methods have a good sensitivity and acceptable feasibility. Adding them to the classical tree improves its sensitivity with 29 % for CTC and with 42 % for mAECT. The cost of CTC was 0.76 US. Sensitivity of fresh blood examination was poor. The algorithm LNP-TBF-CTC-mAECT was the most efficient costing 277 Euro per life saved and a marginal cost effectiveness ratio of 125 Euro per supplementary life saved. The algorithm LNP-TBF-CATT titration with treatment of persons with a negative parasitology but a CATT positive at a dilution of 1/8 and more becomes competitive when HAT prevalence is high. <p>We conclude that it is possible in the current RDC context to reduce HAT prevalence on condition that control activities are not interrupted. Using an algorithm that includes CATT in active case finding and the combination LNP-TBF-CTC-mAECT is the most efficient with an efficacy of 80 %. Feasibility and efficacy may differ from one place to another because HAT is very focalized, so it is necessary to test this novel algorithm in another HAT focus on a pilot basis, before deciding on a policy change. Implementation of this algorithm will require additional financial resources and political commitment.<p><p>Doctorat en Sciences de la santé publiqueinfo:eu-repo/semantics/nonPublishe
Parasitémie asymptomatique chez les enfants de moins de 5 ans, enfants en âge scolaire et prise en charge des épisodes fébriles dans les ménages de Lubumbashi, République Démocratique du Congo
Introduction: longtemps négligé, le paludisme asymptomatique est actuellement reconnu comme potentielle menace et frein au contrôle du paludisme. En RD Congo, la prévalence de cette parasitémie est peu documentée. L'objectif de cette étude était de déterminer la prévalence de la parasitémie asymptomatique aussi bien chez les enfants de moins de 5 ans que ceux âgés de plus de cinq ans aux regards des interventions de masse en cours (MILDS). Méthodes: il s'agit d'une étude transversale menée chez les écoliers et chez les enfants de moins de cinq ans dans les ménages de Lubumbashi. Les écoles, les écoliers et les enfants de moins de 5 ans avaient été sélectionnés aléatoirement. Les frottis, gouttes épaisses et les tests rapides avaient été prélevés et lues. Résultats: sur 350 écoliers examinés, 43 soit une prévalence de 12,3%, IC 95% (9,14-16,04) avaient une goutte épaisse positive. Dans tous les 43 cas, seul le Plasmodium falciparum a été identifié.314 ménages, soit 90,5 % ont déclaré avoir recouru aux antipaludéens pour soigner la fièvre de leurs enfants à domicile. Plus d'1/3 des enfants dans les ménages, soit 39,9% des interviewés avait avoué avoir recouru aux antipyrétiques pour soulager la fièvre de leurs enfants, 19,7 % à la quinine et seulement moins de 2% aux ACT à base de Lumefantrine. En considérant l'utilisation des TDR, la prévalence due à la parasitémie asymptomatique est de 3% IC 95% (2,075-4,44), mais quand on considère la microscopie comme le gold standard, cette prévalence est de 1,9%, IC 95% (1,13-3,01). Conclusion: le paludisme asymptomatique n'est pas exempt de toute conséquence sur la santé, il est donc important de mener des enquêtes pareilles pour identifier les nouvelles stratégies de contrôle du paludisme.The Pan African Medical Journal 2016;2
Effect of a control project on clinical profiles and outcomes in buruli ulcer: a before/after study in Bas-Congo, Democratic Republic of Congo.
BACKGROUND: Buruli ulcer (BU) is a necrotizing bacterial infection of skin, subcutaneous tissue and bone caused by Mycobacterium ulcerans. Although the functional impairment caused by BU results in severe suffering and in socio-economic problems, the disease remains largely neglected in Africa. The province of Bas-Congo in Democratic Republic of Congo contains one of the most important BU foci of the country, i.e. the Songololo Territory in the District of Cataractes. This study aims to assess the impact of a BU control project launched in 2004 in the Songololo Territory. METHODS: We used a comparative non-randomized study design, comparing clinical profiles and outcomes of the group of patients admitted at the General Reference Hospital (GRH) of the "Institut Médical Evangélique" (IME) of Kimpese 3 years before the start of the project (2002-2004) with those admitted during the 3 years after the start of the project (2005-2007). RESULTS: The BU control project was associated with a strong increase in the number of admitted BU cases at the GRH of IME/Kimpese and a fundamental change in the profile of those patients; more female patients presented with BU, the proportion of relapse cases amongst all admissions reduced, the proportion of early lesions and simple ulcerative forms increased, more patients healed without complications and the case fatality rate decreased substantially. The median duration since the onset of first symptoms however remained high, as well as the proportion of patients with osteomyelitis or limitations of joint movement, suggesting that the diagnostic delay remains substantial. CONCLUSION: Implementing a specialized program for BU may be effective in improving clinical profiles and outcomes in BU. Despite these encouraging results, our study highlights the need of considering new strategies to better improve BU control in a low resources setting
CONNAISSANCE ET CROYANCE DE LA POPULATION DE MALUKU I SUR L’ORIGINE ET PREVENTION DE LA TRYPANOSOMIASE HUMAINE AFRICAINE Cas de L’A.S MONACO, VILLE PROVINCE DE KINSHASA, RDCONGO
Cette étude voudrait apporter des nouvelles connaissances à la population sur les moyens de lutte contre la THA, elle permettra aux décideurs politiques de planifier et de mettre en place une stratégie efficace et efficiente pour l’information de la population sur les méthodes de lutte contre cette grave maladie qui est la THA ; elle servira d’un outil important pour les générations futures en vue d’appréhender les différents problèmes qui se posent dans la lutte contre la THA et d’apporter des solutions possibles.Cette étude voudrait apporter des nouvelles connaissances à la population sur les moyens de lutte contre la THA, elle permettra aux décideurs politiques de planifier et de mettre en place une stratégie efficace et efficiente pour l’information de la population sur les méthodes de lutte contre cette grave maladie qui est la THA ; elle servira d’un outil important pour les générations futures en vue d’appréhender les différents problèmes qui se posent dans la lutte contre la THA et d’apporter des solutions possibles
Onchocerciasis control in the Democratic Republic of Congo (DRC): challenges in a post-war environment
0info:eu-repo/semantics/nonPublishe
The clinico-epidemiological features of BU patients at admission in IME/Kimpese Hospital.
<p>*Fisher exact test (An expected cell value is less than 5).</p
Results of the management of BU patients in IME/Kimpese Hospital.
*<p>Fisher exact test (An expected cell value is less than 5).</p