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The ecology of tropical plant viruses
In recent decades ecology has become one of the dominant themes of the biological sciences. However, this has not always been so as the subject emerged from the specialist study of plant and animal communities in natural habitats that were often remote and sometimes exotic. It has since become a unifying all-embracing discipline that is of great importance, not only in botany, zoology and microbiology, but also in international affairs in relation to current issues concerning the environment, conservation, pollution, sustainability and the constraints to the growth of human populations and economies. The current prominence and status of ecology is reflected in the series of Inaugural Lectures of which this is a part. It is concerned with the ecology of tropical plant viruses and Professor Cheke also adopted an ecological approach in his presentation on river blindness. Moreover, Professor Grant dealt with eco-toxicology and Professor Hall has adopted the title of Professor of Chemical Ecology. My presentation is in four parts. A brief section on the history of tropical plant virology and the prominent role that has been and continues to be played by UK scientists is followed by general comments on tropical environments, crops, viruses and vectors. Six important virus diseases are then considered in some detail as a basis for a more general discussion of some of the main issues raised
Adapted Primary Literature (APL): An Effective Authentic Text Option for the Science Classroom
The intention of this literature review is to advocate for the incorporation of Adapted Primary Literature (APL) into secondary science classroom instruction in order to aid such science curriculum in achieving balanced authenticity. APL is a valuable instructional text option due to its novel design, an optimal compromise between authenticity and accessibility. APL is a superior reflection of authentic science as it is for professionals of science and in representation of the nature of science (NOS) than Secondary Literature (SL) and textbooks, the dominating scientific text genres of most secondary science classroom instruction. Yet, APL is more accessible in text sophistication and structure than arguably the most authentic genre, Primary Scientific Literature (PSL).
In other words, due to such negotiated design, APL could prove invaluable at addressing a multitude of science education objectives associated with authenticity, such as those pertaining to the following common categorical headings: literacy, argumentation, inquiry, concept competence, and the nature of science, to name a few. In addition, APL may address the contemporary science education goals of increased student interest, motivation, and pursuit of scientific endeavors. After all, the current and likely future direction of the global economy, professional atmosphere, consumer decision-making, technological advancements, and environmental threats has required that science education be concerned with far more than just student memorization of content within an isolated, singular disciplinary year.
Suggested remedies for potential incorporation challenges, areas in need of further research, and common contrary research positions will be included to provide a comprehensive and supportive examination of APL implementation. No instructive technique is without tradeoffs. Like any other educative method, the success of APL implementation is greatly influenced by the quality of surrounding instruction. Possessing scientific authenticity “in some defined way is never sufficient justification by itself for engaging in an educational practice. Authenticity is no guarantee of effectiveness” (Norris et al., 2009, p. 407)
Biomagnification and Bioaccumulation
This computational model is intended to demonstrate how micropollutants effect ecology via the living environment concepts of biomagnification and bioaccumulation. Specifically, this model shows how concentrations of a micropollutant change throughout an aquatic food chain
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Epidemiology and management of rice tungro disease
Since the mid 1960s, rice tungro virus disease has had a serious economic impact on rice production in South-East Asia. Although the frequency and intensity of outbreaks have declined since their peak in the late 1960s and early 1970s, occasional major epidemics do sill occur, often associated with changes in agronomic practices. Epidemiology and Management of Rice Tungro Disease is the outcome of a workshop held in Malaysia where researchers including representatives from five major rice producing countries met to discuss the present status of the disease and the progress of research into its management. The publication outlines current options for integrated management of tungro and critically reassesses vector control strategies. The book will be of interest to scientists and officials from national agricultural departments who have to make decisions on the management of this important disease
L'avenir de la phytovirologie en Afrique
L'avenir de la phytovirologie en Afrique
Les cultures africaines sont affectées par de nombreuses viroses, dont certaines causent de lourdes pertes et menacent la sécurité alimentaire. Compte tenu de cette situation, on peut se demander à juste titre s'il y a suffisamment de virologues en Afrique, si les équipements et les ressources disponibles sont adéquats et si la phytovirologie africaine reçoit un soutien suffisant de la communauté scientifique. La réponse à ces questions est un non retentissant. Que peut-on donc faire pour améliorer la situation ?
Le nombre de phytovirologues en Afrique est faible par rapport à la large gamme des cultures, aux immenses surfaces cultivées et à l'importance des problèmes rencontrés. La phytovirologie en Afrique n'a pas toujours été dans un état aussi alarmant. Pendant les premières décennies de notre siècle, alors que cette discipline était à un stade précoce de son développement, la virologie, dans différentes régions d'Afrique, était comparable à celle existante en Europe et en Amérique du Nord. La striure du maïs, la rosette de l'arachide, l'enroulure des feuilles du tabac et du coton et plusieurs autres viroses importantes ont été décrites pendant cette période, et un progrès considérable a été accompli dans l'étude de la transmission des maladies et dans le développement de variétés résistantes.
L'écart s'est creusé après la Seconde Guerre mondiale, lorsque le microscope électronique, l'ultracentrifugation et la sérologie devinrent d'accès courant dans les pays développés. Parallèlement, la recherche agricole se développait de manière importante. Le tout a abouti à des progrès rapides dans la purification, la caractérisation, l'identification des virus, et a facilité la mise au point de mesures de contrôle. Depuis, le progrès s'est maintenu, tandis qu'une approche plus fondamentale se manifestait. On a assisté ainsi à des développements spectaculaires dans les domaines de la chimie des acides nucléiques et de la biologie moléculaire.
Pendant ces dix dernières années, des progrès ont également été réalisés en Afrique, mais l'effort global est resté limité par manque de ressources et de continuité. Une collaboration liant des laboratoires africains et certains instituts basés en Europe ou en Amérique du Nord a permis de trouver des solutions pour surmonter ces problèmes. Elle a fortement contribué à l'étude des propriétés des virus africains, à la formation, et à la mise à disposition de consultants.
Le projet de virologie au Kenya, financé par le Royaume-Uni, et le projet français de l'Orstom en Côte d'Ivoire ont eu une influence et un succès particuliers en tirant parti de telles relations. Tous deux ont débuté dans les années 70 par l'identification des principaux virus présents dans les deux pays et se sont poursuivis par une étude approfondie de la mosaïque du manioc. Un important travail a également été réalisé à l'unité de virologie de l'Institut international d'agriculture tropicale (IITA) à Ibadan.
Le progrès peut continuer grâce, par exemple, à une intensification des relations avec l'Afrique du Sud, où la recherche en virologie est de longue date et où se sont implantés des laboratoires bien équipés. L'utilisation de méthodes modernes de détection des virus qui peuvent être appliquées à des extraits ou à des échantillons secs, ne présentant aucun risque de quarantaine, offre de grandes perspectives. Cependant, les problèmes ne se limitent pas à la détection et à l'identification. Il est essentiel d'utiliser les résultats obtenus en épidémiologie et de développer des variétés résistantes ou d'autres mesures de contrôle. De telles études se heurtent à quelques obstacles en raison des variations saisonnières et des caprices de l'expérimentation de terrain. De plus, il est indispensable de disposer de la compétence de spécialistes et du soutien des sélectionneurs et des personnes travaillant sur les vecteurs. D'où le bien-fondé d'une approche multidisciplinaire, comme dans le cas du projet financé par le Royaume-Uni dans les années 70 au Ghana, portant sur la sélection d'un cacaoyer résistant à la maladie du swollen shoot. Plus récemment, des études épidémiologiques ont été menées sur la mosaïque du manioc, la striure du maïs et d'autres maladies, organisées par le personnel de l'Institut pour les ressources naturelles du Royaume-Uni.
Différentes approches ont été adoptées par les bailleurs de fonds et les agences internationales pour le soutien de la phytovirologie en Afrique, et il existe des bases solides sur lesquelles s'appuyer. Cependant, les décideurs, les administrateurs et les bailleurs de fonds doivent être conscients des besoins spécifiques de la phytovirologie. Ils sont plus importants que dans d'autres disciplines intéressant les plantes cultivées, en raison du nombre relativement faible de personnel compétent et disponible. Il faut que soient reconnus les besoins en équipements et en formation en Afrique, plutôt que de maintenir sa lourde dépendance vis-à -vis des ressources des pays développés. En effet, il devient de plus en plus difficile de dispenser des cours de formation adaptés à l'étranger, car les priorités en recherche des pays développés diffèrent beaucoup de celles des pays africains, où il existe encore un réel besoin en études « biologiques », avec des programmes du type de ceux élaborés dans d'autres régions dans les années 50 et 60.
Il est essentiel de multiplier les échanges de connaissances. Par exemple, une conférence faisant suite au séminaire du CTA tenu sur la mosaïque du manioc en Côte d'Ivoire en 1987 serait nécessaire. Il est surtout important de réunir des phytovirologues des pays développés et en voie de développement, des bailleurs de fonds et des représentants d'organismes de financement, afin de mettre au point des plans d'action assurant l'efficacité et l'avenir de la phytovirologie en Afrique.
Dr Michael Thresh, Natural Resources Institute, University of Greenwich, Central Avenue, Chatham Maritime, Kent ME4 4TB - Royaume-Uni
Fax : + 44 1634 883379
E-mail : c/o [email protected]
Les opinions exprimées dans ce Point de vue sont celles de l'auteur, et ne reflètent pas nécessairement les idées du CTA.Les cultures africaines sont affectées par de nombreuses viroses, dont certaines causent de lourdes pertes et menacent la sécurité alimentaire. Compte tenu de cette situation, on peut se demande
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Progress in cassava technology transfer in Uganda
This publication contains the full text of papers presented at a Workshop held in Masindi, Uganda, 9-12 January 1996, and sponsored by the Gatsby Charitable Foundation. During the Workshop the need became evident for additional statistics on the multiplication, distribution and uptake of improved varieties of cassava in the six districts where activities are supported by The Gatsby Charitable Foundation and also elsewhere. The results of a subsequent survey in selected sub-counties of each of the six Gatsby districts are also presented here, together with estimates of the amount of improved material that has been distributed and the area now grown. These latest figures (Appendix 1) represent the best available estimates and in some instances differ substantially from those compiled and presented in the earlier district reports
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