506 research outputs found

    Adapted Primary Literature (APL): An Effective Authentic Text Option for the Science Classroom

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    The intention of this literature review is to advocate for the incorporation of Adapted Primary Literature (APL) into secondary science classroom instruction in order to aid such science curriculum in achieving balanced authenticity. APL is a valuable instructional text option due to its novel design, an optimal compromise between authenticity and accessibility. APL is a superior reflection of authentic science as it is for professionals of science and in representation of the nature of science (NOS) than Secondary Literature (SL) and textbooks, the dominating scientific text genres of most secondary science classroom instruction. Yet, APL is more accessible in text sophistication and structure than arguably the most authentic genre, Primary Scientific Literature (PSL). In other words, due to such negotiated design, APL could prove invaluable at addressing a multitude of science education objectives associated with authenticity, such as those pertaining to the following common categorical headings: literacy, argumentation, inquiry, concept competence, and the nature of science, to name a few. In addition, APL may address the contemporary science education goals of increased student interest, motivation, and pursuit of scientific endeavors. After all, the current and likely future direction of the global economy, professional atmosphere, consumer decision-making, technological advancements, and environmental threats has required that science education be concerned with far more than just student memorization of content within an isolated, singular disciplinary year. Suggested remedies for potential incorporation challenges, areas in need of further research, and common contrary research positions will be included to provide a comprehensive and supportive examination of APL implementation. No instructive technique is without tradeoffs. Like any other educative method, the success of APL implementation is greatly influenced by the quality of surrounding instruction. Possessing scientific authenticity “in some defined way is never sufficient justification by itself for engaging in an educational practice. Authenticity is no guarantee of effectiveness” (Norris et al., 2009, p. 407)

    Biomagnification and Bioaccumulation

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    This computational model is intended to demonstrate how micropollutants effect ecology via the living environment concepts of biomagnification and bioaccumulation. Specifically, this model shows how concentrations of a micropollutant change throughout an aquatic food chain

    L'avenir de la phytovirologie en Afrique

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    L'avenir de la phytovirologie en Afrique Les cultures africaines sont affectĂ©es par de nombreuses viroses, dont certaines causent de lourdes pertes et menacent la sĂ©curitĂ© alimentaire. Compte tenu de cette situation, on peut se demander Ă  juste titre s'il y a suffisamment de virologues en Afrique, si les Ă©quipements et les ressources disponibles sont adĂ©quats et si la phytovirologie africaine reçoit un soutien suffisant de la communautĂ© scientifique. La rĂ©ponse Ă  ces questions est un non retentissant. Que peut-on donc faire pour amĂ©liorer la situation ? Le nombre de phytovirologues en Afrique est faible par rapport Ă  la large gamme des cultures, aux immenses surfaces cultivĂ©es et Ă  l'importance des problèmes rencontrĂ©s. La phytovirologie en Afrique n'a pas toujours Ă©tĂ© dans un Ă©tat aussi alarmant. Pendant les premières dĂ©cennies de notre siècle, alors que cette discipline Ă©tait Ă  un stade prĂ©coce de son dĂ©veloppement, la virologie, dans diffĂ©rentes rĂ©gions d'Afrique, Ă©tait comparable Ă  celle existante en Europe et en AmĂ©rique du Nord. La striure du maĂŻs, la rosette de l'arachide, l'enroulure des feuilles du tabac et du coton et plusieurs autres viroses importantes ont Ă©tĂ© dĂ©crites pendant cette pĂ©riode, et un progrès considĂ©rable a Ă©tĂ© accompli dans l'Ă©tude de la transmission des maladies et dans le dĂ©veloppement de variĂ©tĂ©s rĂ©sistantes. L'Ă©cart s'est creusĂ© après la Seconde Guerre mondiale, lorsque le microscope Ă©lectronique, l'ultracentrifugation et la sĂ©rologie devinrent d'accès courant dans les pays dĂ©veloppĂ©s. Parallèlement, la recherche agricole se dĂ©veloppait de manière importante. Le tout a abouti Ă  des progrès rapides dans la purification, la caractĂ©risation, l'identification des virus, et a facilitĂ© la mise au point de mesures de contrĂ´le. Depuis, le progrès s'est maintenu, tandis qu'une approche plus fondamentale se manifestait. On a assistĂ© ainsi Ă  des dĂ©veloppements spectaculaires dans les domaines de la chimie des acides nuclĂ©iques et de la biologie molĂ©culaire. Pendant ces dix dernières annĂ©es, des progrès ont Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s en Afrique, mais l'effort global est restĂ© limitĂ© par manque de ressources et de continuitĂ©. Une collaboration liant des laboratoires africains et certains instituts basĂ©s en Europe ou en AmĂ©rique du Nord a permis de trouver des solutions pour surmonter ces problèmes. Elle a fortement contribuĂ© Ă  l'Ă©tude des propriĂ©tĂ©s des virus africains, Ă  la formation, et Ă  la mise Ă  disposition de consultants. Le projet de virologie au Kenya, financĂ© par le Royaume-Uni, et le projet français de l'Orstom en CĂ´te d'Ivoire ont eu une influence et un succès particuliers en tirant parti de telles relations. Tous deux ont dĂ©butĂ© dans les annĂ©es 70 par l'identification des principaux virus prĂ©sents dans les deux pays et se sont poursuivis par une Ă©tude approfondie de la mosaĂŻque du manioc. Un important travail a Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© Ă  l'unitĂ© de virologie de l'Institut international d'agriculture tropicale (IITA) Ă  Ibadan. Le progrès peut continuer grâce, par exemple, Ă  une intensification des relations avec l'Afrique du Sud, oĂą la recherche en virologie est de longue date et oĂą se sont implantĂ©s des laboratoires bien Ă©quipĂ©s. L'utilisation de mĂ©thodes modernes de dĂ©tection des virus qui peuvent ĂŞtre appliquĂ©es Ă  des extraits ou Ă  des Ă©chantillons secs, ne prĂ©sentant aucun risque de quarantaine, offre de grandes perspectives. Cependant, les problèmes ne se limitent pas Ă  la dĂ©tection et Ă  l'identification. Il est essentiel d'utiliser les rĂ©sultats obtenus en Ă©pidĂ©miologie et de dĂ©velopper des variĂ©tĂ©s rĂ©sistantes ou d'autres mesures de contrĂ´le. De telles Ă©tudes se heurtent Ă  quelques obstacles en raison des variations saisonnières et des caprices de l'expĂ©rimentation de terrain. De plus, il est indispensable de disposer de la compĂ©tence de spĂ©cialistes et du soutien des sĂ©lectionneurs et des personnes travaillant sur les vecteurs. D'oĂą le bien-fondĂ© d'une approche multidisciplinaire, comme dans le cas du projet financĂ© par le Royaume-Uni dans les annĂ©es 70 au Ghana, portant sur la sĂ©lection d'un cacaoyer rĂ©sistant Ă  la maladie du swollen shoot. Plus rĂ©cemment, des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques ont Ă©tĂ© menĂ©es sur la mosaĂŻque du manioc, la striure du maĂŻs et d'autres maladies, organisĂ©es par le personnel de l'Institut pour les ressources naturelles du Royaume-Uni. DiffĂ©rentes approches ont Ă©tĂ© adoptĂ©es par les bailleurs de fonds et les agences internationales pour le soutien de la phytovirologie en Afrique, et il existe des bases solides sur lesquelles s'appuyer. Cependant, les dĂ©cideurs, les administrateurs et les bailleurs de fonds doivent ĂŞtre conscients des besoins spĂ©cifiques de la phytovirologie. Ils sont plus importants que dans d'autres disciplines intĂ©ressant les plantes cultivĂ©es, en raison du nombre relativement faible de personnel compĂ©tent et disponible. Il faut que soient reconnus les besoins en Ă©quipements et en formation en Afrique, plutĂ´t que de maintenir sa lourde dĂ©pendance vis-Ă -vis des ressources des pays dĂ©veloppĂ©s. En effet, il devient de plus en plus difficile de dispenser des cours de formation adaptĂ©s Ă  l'Ă©tranger, car les prioritĂ©s en recherche des pays dĂ©veloppĂ©s diffèrent beaucoup de celles des pays africains, oĂą il existe encore un rĂ©el besoin en Ă©tudes « biologiques », avec des programmes du type de ceux Ă©laborĂ©s dans d'autres rĂ©gions dans les annĂ©es 50 et 60. Il est essentiel de multiplier les Ă©changes de connaissances. Par exemple, une confĂ©rence faisant suite au sĂ©minaire du CTA tenu sur la mosaĂŻque du manioc en CĂ´te d'Ivoire en 1987 serait nĂ©cessaire. Il est surtout important de rĂ©unir des phytovirologues des pays dĂ©veloppĂ©s et en voie de dĂ©veloppement, des bailleurs de fonds et des reprĂ©sentants d'organismes de financement, afin de mettre au point des plans d'action assurant l'efficacitĂ© et l'avenir de la phytovirologie en Afrique. Dr Michael Thresh, Natural Resources Institute, University of Greenwich, Central Avenue, Chatham Maritime, Kent ME4 4TB - Royaume-Uni Fax : + 44 1634 883379 E-mail : c/o [email protected] Les opinions exprimĂ©es dans ce Point de vue sont celles de l'auteur, et ne reflètent pas nĂ©cessairement les idĂ©es du CTA.Les cultures africaines sont affectĂ©es par de nombreuses viroses, dont certaines causent de lourdes pertes et menacent la sĂ©curitĂ© alimentaire. Compte tenu de cette situation, on peut se demande
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