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    Toxicite des extraits aqueux de azadirachta indica a. juss et de Jatropha curcas L. sur Plutella xylostella (L.) (lepidoptera : plutellidae) par contact

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    La teigne du chou Plutella xylostella (LinnĂ©) (Lepidoptera : Plutellidae) est le principal insecte nuisible des crucifères dans les rĂ©gions  tropicales et subtropicales. Les larves de ce LĂ©pidoptère sont dĂ©foliatrices et peuvent causer des pertes importantes de production malgrĂ© l’application des  pesticides. L’objectif de cette Ă©tude est d’évaluer l’effet toxique par contact des extraits aqueux de neem (Azadirachta indica) et de Jatropha (Jatropha curcas) sur les larves de Plutella xylostella au stade L2 au laboratoire. Cette toxicitĂ© des extraits aqueux de poudres de grains de neem (41,5 g/L ; 25,9 g/L ; 10,3 g/L) et de jatropha (59,1 g/L ; 36,9 g/L ; 14,7 g/L) et de pâtes de feuilles neem et de jatropha Ă  diffĂ©rents concentrations a Ă©tĂ© Ă©valuĂ©e par la dĂ©termination des CL50 en 24 heures et par la toxicitĂ© de chaque traitement au bout de 72 heures. Les rĂ©sultats ont montrĂ© que les extraits aqueux de poudres de grains, de Azadirachta indica 41,5 g/L et de Jatropha curcas 59,1 g/L ont Ă©tĂ© plus toxiques que les insecticides DĂ©cis et Cypercal. Par ailleurs, les extraits aqueux, de pâtes de feuilles de jatropha 67 g/L et de feuilles de Azadirachta indica 67 g/L ont une toxicitĂ© similaire au DĂ©cis et au Cypercal. Ces extraits aqueux de Azadirachta indica et de Jatropha curcas peuvent donc substituer les pesticides DĂ©cis et Cypercal dans la lutte contre Plutella xylostella. Mots clĂ©s : Azadirhacta indica, Jatropha curcas, extraits aqueux, Plutella xylostella, toxicitĂ©   English Title: Contact toxicity of aqueous extracts of Azadirachta Indica A. Juss and Jatropha Curcas L. on Plutella Xylostella (L.) (Lepidoptera: Plutellidae) Cabbage moth Plutella xylostella (Linnaeus) (Lepidoptera: Plutellidae) is a major pest of crucifers in the tropics and subtropics. Their larvae feed on cabbage and reduced cabbage yield despite the application of pesticides. The objective of this study was to determine the contact toxicity effect of aqueous extracts of Azadirachta indica and Jatropha curcas on the second instar larvae of P. xylostella. The toxicity of the various treatments of Azadirachta indica and Jatropha curcas seeds and leaves powders aqueous extracts were evaluated by determining the LC50 on 24 hours and by the toxicity effect of each treatment after 72 hours. The results showed that the seeds  powders aqueous extracts of Azadirachta indica 41.5 g/L and of Jatropha curcas 59.1 g / L were more toxic than the pesticides Decis and Cypercal on Plutella xylostella. Moreover, Jatropha curcas and Azadirachta indica leaves aqueous extracts 67 g / L have similar toxicity with Decis and Cypercal. The aqueous extracts of Azadirachta indica and Jatropha curcas can be used against Plutella xylostella. Keywords: Azadirhacta indica, Jatropha curcas, aqueous extracts, Plutella xylostella, toxicity

    Influence du braconnage sur le comportement de fuite du bubale (Alcelaphus buselaphus major Pallas, 1766) dans la zone de Warigué en Côte d\'Ivoire: implication pour l\'organisation d\'une chasse sportive

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    Le bubale Alcelaphus buselaphus major est une grande antilope fréquemment rencontrée dans la zone de Warigué, au nord de la Côte d\'Ivoire. Le comportement de fuite, un indicateur de l\'état de frayeur des animaux a été décrit dans différentes zones à intensités de braconnage variables.. Il en ressort que les bubales ont une plus grande distance de fuite dans les zones de forte pression de braconnage que dans les zones non braconnées ou de faible pression de braconnage. Par contre dans les zones d\'intense activité de braconnage les bubales sont observables beaucoup plus près (120 mètres) que dans les zones de faible pression de braconnage (plus de 240 mètres). Pour échapper au braconnage, les bubales se laissent plus facilement découvrir en zones très braconnées, mais fuient très loin à la vue des observateurs. Dans ce contexte, la pratique de la chasse sportive sur le site requiert un équipement approprié, notamment des armes de longue portée et une approche de chasse à l\'affût.Hartebeest (Alcelaphus buselaphus major) is a big antelope frequently met in the zone of Warigué in the north of Ivory Coast. Flight behaviour an indicator of fear in animals, was described in various zones with variable poaching intensity. Our results reveal that hartebeests have a longer flight distance in areas with huge poaching pressure than areas without or with low pressure. On the other hand in areas with intense poaching activity, these animals are observed much closer (120 meters) that in areas of low pressure (more than 240 meters). To avoid poaching, hartebeests are more easily let discover in poaching areas but flee very far human presence is detected. That is why practice of hunting game on the site will require suitable equipments in particular weapons with long range, and an approach of hunting by shooting from hides. Keywords: Hartebeest, flight behaviour, poaching, safary game, Warigué.Sciences & Nature Vol. 5 (2) 2008: pp. 145-15

    Insectes ravageurs du piment Capsicum chinense Jacq. (Solanaceae) à Port-Bouët (Abidjan-Côte d’Ivoire) : Pratiques de lutte par les pesticides chimiques

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    Objectifs : il s’agit de faire l’état des lieux de l’utilisation des produits phytosanitaires dans la lutte contre les insectes ravageurs du piment dans la zone de Port-Bouët.Méthodologie et résultats : Une enquête a été menée auprès de 20 producteurs de piment dans la zone de Port-Bouët (Abidjan sud) pour recenser les différents pesticides qu’ils utilisent, les fréquences et les doses d’utilisation. Il a été enregistré très peu d’insectes ravageurs. Ce sont des larves de Diptères Ceratitis capitata et de Lépidoptères Agrotis ipsilon qui attaquent les jeunes fruits et provoquent leurs chûtes. Quant aux Homoptères, ils sont vecteurs de plusieurs viroses provoquant le flétrissement des feuilles et la chute prématurée des fruits. L’enquête révèle que les producteurs utilisent treize pesticides chimiques (K-optimal 35 EC, Adwuma wura, Cignogne 336 EC, Gramoquat super, CypalmT 286 EC, Lambda super 2,5 EC, CotalmP 318 EC, Furadan 50 g, Pyrical 480 EC, Vertimec 18 EC, Kart 500 SP, Cypercal 50 EC, Curacron 500 EC) appartenant à huit (8) familles différentes (Pyréthrinoïdes, Organophosphorés, Carbamates, Néonicotinoïdes, Strobilurines, Néréistoxines, Bipyridylimm, Phosphonoglycines). Parmi ces produits utilisés, trois d’entre eux ne sont pas recommandés pour les cultures maraichères mais plutôt pour la culture du coton. Les doses et les fréquences utilisées sont deux à trois fois plus élevées que celles recommandées par les fabricants. Le port d’équipement de protection par les producteurs n’est pas respecté.Conclusions et applications : Cette étude contribue à la connaissance des pratiques d’utilisation des pesticides dans la lutte contre les nombreux préjudices causés par les insectes ravageurs. Face à l’ampleur de ces pratiques, cette étude devrait permettre aux autorités et aux producteurs l’adoption de mesure pour préserver l’environnement et les populations.Mots clés : Pesticides chimiques, Fréquences, Doses, Capsicum chinense, insectes ravageursInsect pests of chili Capsicum chinense (Solanaceae) in Port-Bouët (Abidjan-Côte d'Ivoire) : struggle practices by chemical pesticides.ABSTRACTObjectives: this is to make an inventory of the use of pesticides in the fight against pests of Pepper in the Port-Bouet.Methodology and Results: A survey was conducted among 20 chilli producers in the area of Port-Bouët (south Abidjan) to identify different pesticides that are used, frequency of use and doses. Very few insect pests were recorded. Those are of larvae of Diptera (Ceratitis capitata) and Lepidoptera (Agrotis ipsilon) which attack young fruits and causing them to fall. The Homoptera, are vectors of several viruses causing withering and premature fruit drop. The survey reveals that producers use thirteen chemical pesticides (Koptimal 35 EC, Adwuma wura, Cignogne 336 EC, Gramoquat super, CypalmT 286 EC, Lambda super 2,5 EC, CotalmP 318 EC, Furadan 50 g, Pyrical 480 EC, Vertimec 18 EC, Kart 500 SP, Cypercal 50 EC, Curacron 500 EC.) from eight families (organophosphates, carbamates, pyrethroids, neonicotinoids, strobilurins, nereitoxins, bipyridylimm, phosphonoglycines). Among the products used, three of these are not recommended for market gardening but rather to growing cotton. The doses and the frequencies used are two to three times higher than those recommended by the manufacturers. The use of protective equipment and clothing by producers is not respected.Conclusion and applications : This study contributes to the knowledge of pesticide use practices in the fight against the harm caused by insect pests. Given the extent of these practices, this study should enable the authorities and producers adopting measures to protect the environment and people.Keywords: Chemical pesticides, Frequencies, Doses, Capsicum chinense, Insect pest

    Réponse des nématodes à la perturbation des forêts dans la région d\'Oumé, Côte d\'Ivoire.

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    La sensibilité des nématodes aux perturbations des forêts a été étudiée à l\'échelle du paysage dans la région d\'Oumé. L\'échantillonnage a été réalisé le long d\'un gradient de perturbations du milieu, partant des forêts vers le domaine rural, en raison de six répétitions par habitat. Les résultats ont montré que les nématodes libres représentent 68 % du peuplement de nématodes. Neuf genres de nématodes phytoparasites (Criconemella, Helicotylenchus, Heterodera, Hoplolaimus, Meloidogyne, Pratylenchus, Radopholus, Rotylenchulus et Xiphinema) ont été identifiés. Parmi ces nématodes, Rotylenchulus sp et Xiphinema sp peuvent être considérés comme bioindicateurs à cause de la tendance à la réduction de leurs populations le long du gradient d\'utilisation de sol. (r = -0,74 ; P = 0,03 et r = -0,77 ; P = 0,03).The sensitivity of nematode communities to forest perturbations has been studied in the region of Oumé at the landscape level. Six samples were collected along a gradient of perturbations from forests to lands crops areas. The results showed that the free-living nematodes accounted for 68 % of the nematode community. The plant-parasitic nematode community was composed by nine genera (Criconemella, Helicotylenchus, Heterodera, Hoplolaimus, Meloidogyne, Pratylenchus, Radopholus, Rotylenchulus and Xiphinema). Rotylenchulus sp and Xiphinema sp are likely to be considered as bio-indicators of forest degradation as their populations are significantly reduced along the gradient of land use change (r = -0.74, P = 0.03 and r = -0.77, P = 0.03). Keywords: bioindicateur, diversité, indice d'utilisation de sol, nématodes, paysage./bio-indicator, diversity, land use index, landscape, nematodes.Sciences & Nature Vol. 4 (2) 2007: pp. 189-19

    The effect of pesticides and aqueous extracts of Azadirachta indica (A. Juss) and Jatropha carcus L. on Bemisia tabaci (Gennadius) (Homoptera: Aleyrididae) and Helicoverpa armigera (Hübner)(Lepidoptera: Noctuidae) found on tomato plants in Côte d’Ivoire.

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    Objective: The objective was to evaluate the effects of foliar application of Jatropha and neem aqueous extracts compared to a conventional insecticide treatment on the number of whitefly Bemisia tabaci (Gennadius) and bollworm Helicoverpa armigera (Hübner), yield of tomatoes in plots and the potentials of using any of these aqueous extracts to control these insect pests.Methodology and results: the study was conducted in the region of Moronou (Bongouanou, Koffikro, CBC Kangandissou). The insecticides Décis 12 EC® and Cypercal 50 EC®, and neem and jatropha aqueous extract were used for tomato foliar treatment (neem and jatropha seeds 80 and 50g/L, neem leaves 67 g/L). The treatments of tomato plant plots with pesticides Decis® and Cypercal® showed similar yields of biopestcide made of neem and jatropha in Ahorosso (P=0.00), Bongouanou (P=0.07) and CBC Kangandissou (P=0.01) plots. All of these treatments reduced the number of Bemisia tabaci adults, reduced the number of Helicoverpa armigera larvae on tomato plants and increased number of fruits per plant, the fruit weight per plant and the yield.Conclusion and application of findings: Statistical analysis shows that aqueous extract of jatropha and neem seed 80 g/L and 50 g/L, and of neem leaves 67 g/L are as effective as pesticides Décis® and Cypercal® on Bemisia tabaci and Helicoverpa armigera. Consequently, these biopesticides increased the number of fruits per plant and yield. This result should enable use of aqueous extract of neem and jatropha seed and of neem leaves to protect tomato plants against Bemisia tabaci and  Helicoverpa armigera at farm.Keywords: Bemisia tabaci; Helicoverpa armigera; tomato crop; aqueous extract; biocontro

    Impact des termites dans les champs paysans de riz et de mais en savane sub-soudanienne (Booro-Borotou, CĂ´te-d\'Ivoire)

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    Les termites appartiennent au groupe des arthropodes et jouent un rôle prépondérant dans les régions tropicales et sub-tropicales. L\'objectif de la présente étude est d\'évaluer les dégâts causés par les termites dans les cultures paysannes de riz (Oryza sativa L.) et de maïs (Zea mays L.). Pour se faire, un échantillonnage préliminaire a été entrepris dans le milieu naturel (savane arbustive) en vue d\'inventorier les espèces de termites présentes dans le milieu afin de les utiliser comme témoin durant cette étude. Six espèces de termites ont été recensées dans le milieu naturel contre respectivement 7 et 4 dans les champs de riz et de maïs. Les ouvriers de termites champignonnistes (Microtermes sp, Ancistrotermes sp) et les xylophages (Amitermes sp.) ont été fréquemment rencontrés dans le système racinaire et à l\'intérieur des tiges des deux cultures et sont considérés comme responsables des dégâts. Certains termites souterrains (Microtermes sp, Ancistrotermes sp et Amitermes sp) endommagent les racines et les tiges de maïs. Ils sont par conséquent responsables de la verse des plantes après sénescence. D\'autres termites comme Pseudacanthotermes sp et Macrotermes sp construisent des placages sur les plants qu\'ils utilisent pour les attaquer. Aucun dégât n\'a été attribué aux termites humivores Cubitermes sp .Termites belong to the athropod group and play a tremendous role in tropical and sub-tropical regions. The aim of this study was to assess the damages caused by termites to the rice (Oryza sativa L) and corn (Zea mays L.) in farmer fields. To reach this goal, a preliminary sampling was undertaken from the natural environment (shrub savannah) in a view of inventorying termites species to be used in this investigation. Six species of termites were identified in the shrub savannah and 7 and 4 while were collected in the rice and corn farms, respectively. The fungus-growing worker termites (Microtermes sp, Ancistrotermes sp) and wood-feeders ones (Amitermes sp) were frequently met in the root system and in the stems of the two crops and they were identified as those responsible for damages. Some subterranean termites (Microtermes sp, Ancistrotermes sp and Amitermes sp) damage the roots and stems of corn. They are subsequently responsible for the fall of crops after senescence. Other termites such as Pseudacanthotermes sp and Macrotermes sp build up outside layers on crop that they use to infest it. No soil-feeding termite (Cubitermes sp) was held responsible for any damage. Keywords: Termites, damage, peasant, rice,corn. Sciences & Nature Vol. 5 (2) 2008: pp. 121-13

    Effet de trois légumineuses de couverture sur l’assemblage des termites (Isoptera : Termitidae) dans les jachères au Centre Ouest de Côte d’Ivoire (Oumé)

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    Les termites contribuent pour beaucoup dans le recyclage de la matière organique des sols. Toutefois, avec le raccourcissement des cycles de jachère, on assiste à une diminution des espèces sur ces milieux. L’objectif de cette étude était d’apprécier l’effet de trois (3) plantes de couverture (Cajanus cajan, Mucuna pruriens et Pueraria phaseoloides) sur le mode d’assemblage des termites dans des jachères de 2 ans dans la région d’Oumé. Des mesures de la biodiversité des termites ont été effectuées sur des jachères non traitées en plantes légumineuses (témoin) et des jachères qui contiennent des légumineuses (traitée) selon la méthode d’estimation rapide des termites. Les résultats, obtenus montrent l’effet de la variabilité des plantes de couverture (P. phaseoloides et C. cajan) sur la richesse spécifique et l’abondance des termites. Aussi, la qualité de la litière en relation avec la composition du groupe trophique des termites a-t-elle été mise en évidence. Ceci par la présence de l’espèce Astalotermes sp1 fortement liée à la matière organique du sol. Ces observations révèlent que les jachères peuvent constituer des milieux de conservation de la biodiversité selon la durée de la mise en repos de ces sols.Mots clés: Plante de couverture, termite, jachèreEnglish Title:  Effect of tree land cover plants on termites (isoptera : termitidae) assembling in fallow : case of Cajanus cajan, Mucuna pruriens and Pueraria phaseoloides (fabaceae)English AbstractTermites contribute significantly in the recycling of organic matter in soils. However, with shorter of fallow cycles there is a decrease in the number of their species. The objective of this study was to evaluate the effect of three (3) land cover plants (Cajanus cajan, Mucuna pruriens and Pueraria phaseoloides) on the assembling of termites in 2 years fallow area in the region of Oumé. Measures of biodiversity for termites were performed on untreated fallows with land cover plants (control) and fallow which were also treated with land cover plants (processed) by the rapid method of termites’ estimation. The results obtained show the effect of the variability of the land cover plants (P. phaseoloides and C. cajan) on species richness and abundance of termites. Besides the quality of the litter in connection with the composition of the food group of termites has been demonstrated by the presence of the species of Astalotermes sp1 strongly related to soil organic matter. In sum, these observations show that fallow land may consist of shelter areas for the conservation of biodiversity depending on the time of the rest of these soils.Keywords: Land cover plant, termite, Fallo

    Radiotelemetry monitored measurements of the effects of medetomidine-midazolam-fentanyl, isoflurane or ketamine-xylazine anaesthesia on physiological parameters in guinea pigs

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    Anaesthesia in guinea pigs (GPs) has often been described as difficult and risky. Therefore, the included publications invested the effect of the mostly used anaesthesias MMF (medetomidine-midazolam-fentanyl), isoflurane (Iso) and ketamine-xylazine (KX) on physiological parameters in GPs. Throughout the anaesthesia, the GPs’ cardiovascular parameters were monitored, using abdominally implanted radiotelemetry devices to obtain optimal data quality. The surgical approach used for the implantation of the radiotelemetry transmitter is presented in detail in the first publication. For surgery, the GPs were anaesthetised with MMF (medetomi-dine-midazolam-fentanyl) and they were antagonised with AFN (atipamezole-flumazenil-nalxone) at the end of the surgery. For pain medication, the GPs were started on meloxicam (0.4 mg/kg) and metamizole (80 mg/kg) 30 min before the surgery. Metamizole was continued for 24 h after surgery and meloxicam for 2 more days. During the implantation, they were additionally covered with the fentanyl component in MMF. Prior to the surgery, enrofloxacin (10 mg/kg) was applied for antibiotic coverage which was continued for 2 more days. Using the implanted system, arterial blood pressure (BP), heart rate (HR) and core body temperature (BT) were measured throughout the first 24 h after the end of the implantation. The implantation approach led to the highest long-term survival rate reported to date, with 13 of 16 GPs (81 %) surviving. The GPs lost body weight (BW) until 2 d after surgery (-11.9 %, -53.6 g) but steadily increased their weight thereafter. The GPs had returned to physiological values in BP and BT at 8 h after abdominal surgery and at 24 h regarding HR. As GPs are stress-prone, recommendations for stress reduced handling were given for before, during and after the implantation. The findings on the effects of the implantation can be used as a model for other abdominal operations in the GP. The second publication described the investigation of the effects of one-time Iso, MMF and KX anaesthesia on the physiological parameters using the 13 implanted GPs. Each animal was anesthetised once with MMF, Iso and KX at an interval of 7 d. The entire anaesthesia pass was recorded radiotelemetrically and supplemented by manual measurements of respiratory rate (ReR), reflexes and blood glucose (BG). One anaesthesia pass included 120 min acclimatization time, of which the last 15 min were averaged as individual baseline values. The GPs were then premedicated; with Iso with atropine and with MMF and KX with sodium chloride as placebo. Ten minutes later, anaesthesia was initiated, for Iso anaesthesia using a pre-filled whole body chamber and for MMF and KX with intramuscular injections into the hind limbs. Anaesthesia was discontinued after 40 min by Iso supply stop, AFN antagonisation for MMF or partial antagonisation with atipamezole for KX anaesthesia. The MAP, HR, BT were measured continuously until at least 240 min after anaesthesia induction. Respiratory rate (ReR) was measured until at least 55 min and reflexes were tested until the GPs showed a positive righting reflex again. BG values were measured at 7.5, 20 and 40 min during anaesthesia. With Iso use, all GPs reached a surgical tolerance, 11 did so with MMF anaesthesia and only 7 reached an operable state with KX. The induction, non-surgical tolerance and surgical tolerance phase durations did not differ considerably between the 3 anaesthetics. Following MMF and Iso there were short wake-up times (7.6 & 12.2 min), whereas it required 59.7 min until the GPs regained their RR after KX. MMF anaesthesia led to a marked transient MAP decrease after antagonisation, otherwise the MAP and the HR were only mildly altered. Iso exposure led to a marked hypotension during anaesthesia maintenance (approx. 20 mmHg) and the HR was only mildly increased at the beginning of the anaesthesia. KX caused mild deviations from the normal physiology for MAP and HR during maintenance. However, after partial antagonisation, the MAP dropped and the GPs recovered only slowly. The HR was also reduced and increased only gradually during the wake-up following KX anaesthesia. All anaesthetics induced hypothermia, but the animals lost the most BT with Iso anaesthesia. Immediately after the end of the MMF and Iso anaesthesia, the GPs were able to quickly lift their BT back to the starting level through shivering. After KX anaesthesia only 3 of the 7 GPs had returned to 38.8°C after 5 h, the other 4 still had not reached pre-anaesthetic BT values after 8 h. Respiratory depression occurred with all 3 anaesthetics, with KX leading to a moderate (-52%) and Iso to a severe (-71%) hypoventilation. There was also a strong irritation of the mucous membranes of the respiratory tract through the respiratory gas. Subsequent mucosal secretion could only be alleviated by atropine pre-medication in the short term. BG increases were observed during KX (moderate) and strongly during MMF anaesthesia. The reflex responses varied considerably between the anaesthetics. They were strong and quick during MMF anaesthesia and slightly less so with KX use. Iso exposure led to weak and slow reflex responses. Overall, MMF was determined to be the anaesthesia of choice; Iso can only be advised for short and non-painful procedures and we advise against the use of KX anaesthesia in GPs. After investigating the effects of single anaesthesia with Iso, MMF and KX, the third paper de-scribed the impact of repeated MMF and Iso anaesthesia. KX was not tested for anaesthesia repetition because of its highly unfavourable effects in the recovery phase. Twelve instrumented MS were anesthetised in 2 anaesthesia sets, 6 times over 3 weeks with either only Iso or only MMF. Each anaesthesia repetition was performed as described for the single anaesthesia. All GPs reached a surgical tolerance and this could be maintained for the desired 40 min. Overall, the anaesthetic profiles of MMF and Iso did not change greatly with anaesthesia repetition. During Iso exposure, the repeated atropine premedication caused the HR to increase, and this increase remained longer with progressing repetitions. During MMF the wake-up phase short-ened from the 1st to the 2nd repetition and the MAP and the HR decreased from the first to all following anaesthesias. During the MMF maintenance, there was a large individual variation in the BP between the GPs, but the single animal always exhibited similar MAP values during all of the repetitions. At 40 min of the MMF anaesthesia, the BG had increased particularly strongly in those anaesthesias that were performed with an interval of 2 d. The BT decrease and the BW increase were not altered. Both anaesthetics can therefore be used repeatedly in the GP with very little change in the anaesthesia profile compared to the single anaesthesias. The GPs developed increasingly stronger defensive reactions which were particularly pronounced with Iso. They reduced the reliability with which the injections of MMF and atropine could be performed and with that the induction of anaesthesia. Although repeated Iso anaesthesia led to lesser repetition-related effects, the highly disadvantageous effects of hypotension, mucous production and hypoventilation with Iso anaesthesia remained and were further worsened by the strong defensive reactions. MMF led to a much more beneficial anaesthesia with the only drawback of altering the BG and the occurring hypothermia. In conclusion, MMF is superior for both single and repeated anaesthesia use in the GP. Iso is only preferable to MMF, if multiple anaesthesias need to be performed on the same day.Die Anästhesie an Meerschweinchen (MS) wurde schon oft als schwierig und risikoreich be-schrieben. Mit diesem Hintergrund wurden die drei häufigsten Narkosemittel, Medetomidin-Midazolam-Fentanyl (MMF), Isofluran (Iso) und Ketamin-Xylazin (KX), hinsichtlich ihres Einflusses auf die physiologischen Parameter im MS untersucht. Die Überwachung vor, während und nach den Anästhesien wurde durch einen abdominal implantierten Radiotelemetriesender durchgeführt. In der ersten Publikation wurde die Implantation des Telemetriesenders detailliert dargestellt. Für den Eingriff wurden die MS mit MMF anästhesiert und die Narkose wurde am Ende des Eingriffes mit AFN (Atipamezol- Flumazenil-Naloxon) wieder aufgehoben. Die Analgesie bestand aus Meloxicam (0,4 mg/kg) und Metamizol (80 mg/kg), womit 30 Minuten vor dem Start der Operation begonnen wurde. Während der Anästhesie wurde die Analgesie zusätzlich über die Fentanyl Komponente des MMFs erhalten. Nach der Implantation wurde Metamizol für 24 Stunden und Meloxicam für 48 h fortgesetzt. Zur antibiotischen Versorgung erhielten die MS Enrofloxacin (10 mg/kg) vor dem Beginn der Operation und in den zwei darauffolgenden Tagen. Unter Verwendung des implantierten Senders wurden der arterielle Blutdruck (BD), die Herzfrequenz (HF) und die Kernkörpertemperatur (KT) in den ersten 24 h nach dem Ende der Implantation gemessen. Die durchgeführte Implantationsherangehensweise führte zu der bisher höchsten publizierten Langzeitüberlebensrate mit 13 von 16 Tieren (81%). Bis 2 Tage nach der Operation verloren die Tiere an Körpergewicht (-11,9 %, -53,6 g). Danach stieg ihr Gewicht jedoch stetig wieder an. Die MS waren nach 8 h nach ihrer abdominalen Operation zu physiologischen Werten in Blutdruck und Körperkerntemperatur und nach 24 h zu normalen HF zurückgekehrt. Aufgrund der hohen Stressanfälligkeit von MS, wurden Empfehlungen für stressarmes Handling, für vor, während und nach der Implantation gegeben. Die Erkenntnisse über die Auswirkungen der Implantation können modelhaft auf andere Bauchoperationen im MS angewendet werden. Die zweite Veröffentlichung beschrieb die Untersuchung der Wirkungen von einmaligen Iso, MMF und KX Anästhesien auf die physiologischen Parameter unter Verwendung der 13 implan-tierten MS. Jedes Tier wurde einmalig mit MMF, Iso und KX im Abstand von 7 d anästhesiert. Der gesamte Anästhesiedurchgang wurde radiotelemetrisch aufgezeichnet und durch manuelle Erhebungen für Atemfrequenz (AF), Reflexe und Blutglukose (BG) ergänzt. Ein Anästhesiedurch-gang beinhaltete 120 min Akklimatisierungszeit, wovon die letzten 15 min als individuelle Baselinewerte gemittelt wurden. Danach wurden die MS prämediziert; bei Iso mit Atropin und bei MMF und KX mit Natriumchlorid als Placebo. Zehn min später wurde die Anästhesie eingeleitet mit einer vorgefluteten Ganzkörperkammer für die Iso Anästhesie und für MMF und KX mit intramuskulären Injektionen in die Hintergliedmaßen. Die Anästhesie wurde für nach 40 min aufgehoben durch Iso-zufuhrstopp, AFN Antagonisierung oder Teilantagonisierung mit Atipamezol. Der BD, die HF, und die KT wurden kontinuierlich bis mindestens 240 min nach Anästhesieeinleitung gemessen. Die AF wurde bis mindestens 55 min gemessen, und die Reflexe wurden bis zum Erreichen eines positiven Stellreflexes getestet. Bei 7,5, 20 und 40 min während der Anästhesie wurden BG Werte erhoben. Mit der Anwendung von Iso erreichten alle MS eine chirurgische Toleranz, mit der MMF-Anästhesie waren es 11 MS und nur 7 erreichten einen operablen Zustand mit KX. Die Induktion, nicht-chirurgische Toleranz und chirurgische Toleranzphasendauer unterschieden sich nicht erheblich zwischen den 3 Anästhetika. Auf die Narkosen mit MMF und Iso folgten kurze Weckzeiten (7,6 & 12,2 min), während es 59,7 min benötigte, bis die MS ihren RR nach KX wiedererlangten. Die MMF-Anästhesie führte zu einer kurzen, deutlichen BD-Abnahme nach Antagonisierung, ansonsten wurden der BD und der HF nur geringfügig verändert. Die Iso-Exposition führte zu einer ausgeprägten Hypotonie während der Anästhesieerhaltung (ca. 20 mmHg) und die HF war zu Beginn der Anästhesie nur leicht erhöht. KX verursachte nur milde Abweichungen von der normalen Physiologie für BD und HF während der Anästhesieerhaltung. Nach der Teilantagonisierung fiel der BD die HF und die KT jedoch ab und die MS erholten sich nur langsam. Alle Anästhetika induzierten eine Hypothermie, aber unter der Iso Narkose verloren die MS am schnellsten und am meisten Körpertemperatur. Direkt nach dem Ende der MMF- und Iso-Narkose konnten sie ihre KT über Kältezittern schnell wieder auf das Ausgangslevel heben. Nach der KX-Anästhesie waren jedoch nur 3 der 7 GPs auf 38,8 ° C KT zurückgekehrt, die anderen 4 hatten auch nach 8 h noch nicht wieder ihre Ausgangskörperkerntemperatur erreicht. Eine Atemdepression trat bei allen 3 Narkosemitteln auf, am ausgeprägtesten jedoch unter der Iso-Narkose (-71%). Dort trat zusätzlich eine starke Reizung der Schleimhäute der Atemwege durch das Atemgas auf. Die nachfolgende Schleimsekretion konnte durch die Atropinprämedikation nur kurzfristig gelindert werden. Der BG-Spiegel stieg während der Anästhesie mit KX (mäßig) und während der MMF-Anästhesie stark an. Die Reflexantworten variierten erheblich zwischen den Anästhetika. Sie waren stark und schnell während der MMF Anästhesie und etwas weniger deutlich ausgeprägt unter der KX-Anwendung. Die Iso-Exposition führte hingegen zu schwachen und langsamen Reflexantworten. Insgesamt ist MMF die Anästhesie der Wahl beim MS; Iso sollte nur für kurze und nicht schmerzhafte Verfahren beraten werden und wir empfehlen die Verwendung von KX Anästhesie bei GPs. Nach der Untersuchung der Einzelanästhesieffekte mit Iso, MMF und KX, beschrieb die dritte Publikation die Auswirkungen der wiederholten MMF- und Iso-Anästhesie. Aufgrund der deutli-chen Nachtteile der KX-Narkose in der Aufwachphase wurde KX von der Wiederholungsstudie ausgeschlossen. Zwölf instrumentierte MS wurden in 2 Anästhesiesets jeweils 6 mal über 3 Wo-chen mit entweder nur Iso oder nur MMF anästhesiert. Der Aufbau der einzelnen Anästhesie-durchgänge war derselbe wie bei in Einzelanästhesien beschrieben. Alle GPs erreichten eine chirurgische Toleranz, und diese konnte für die gewünschten 40 min aufrechterhalten werden. Insgesamt änderten sich die Anästhesieprofile von MMF und Iso nur sehr gering im Verlauf der Anästhesiewiederholung. Durch die wiederholte Atropinprämedikation nahm die HF zu und dieser Anstieg blieb mit fortschreitenden Wiederholungen immer länger bestehen. Bei der MMF Anästhesie verkürzte sich die Aufwachzeit vor allem von der 1. auf die 2. Wiederholung. Der BP und die HF nahmen nach der ersten Wiederholung für die nachfolgenden Anästhesien ab. Während der MMF-Anästhesieerhaltung zeigten die MS große individuelle Variationen im BD. Jedes einzelne Tier blieb jedoch während allen Wiederholungen auf seinem eigenen Niveau. Die BG war bei den MMF-Anästhesien zwischen denen nur 2 Tage lagen 40 min nach der Anästhesieeinleitung besonders hoch. Die KT-Abnahme trat sowohl bei MMF, als auch bei Iso während der Anästhesie auf und die Körpergewichtsentwicklung veränderte sich durch die Wiederholungen nicht. Sowohl Iso als auch MMF können nach diesen Ergebnissen daher wiederholt in MS eingesetzt werden. Trotzdem entwickelten die MS zunehmend stärkere Abwehrreaktionen gegen die Anäs-thesieeinleitung, die bei Iso besonders ausgeprägt waren. Sie reduzierten die Zuverlässigkeit, mit der die Injektionen von MMF und Atropin durchgeführt werden konnten und damit die Induktion der Anästhesie. Die Iso-Anästhesie führte zwar zu geringeren Wiederholungswirkungen im Vergleich zu MMF, das Anästhesieprofil mit der starken Atemdepression und Schleimproduktion und der starken Hypotension bestand jedoch weiterhin. Insgesamt sind die Effekte der Wiederholungen bei der MMF Anästhesie weitgehend vernachlässigbar und das Anästhesieprofil ist wesentlich vorteilhafter für die MS. Daher ist MMF für die einfache und wiederholte Anästhesie im MS das Anästhetikum der Wahl, es sei denn am selben Tag müssen mehrere Anästhesien durchgeführt werden müssen. In dem Fall ist Iso vorzuziehen

    Spatio-temporal distribution of the infestations of Coelaenomenodera lameensis Berti and Mariau (Coleoptera, Chrysomelidae) an oil palm tree (Elaeis guineensis Jacq.) pest in Toumanguié (Côte d’Ivoire)

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    Spatio-temporal distribution of Coelaenomenodera lameensis Berti and Mariau, 1999, pest of palm oil tree (Elaeis guineensis Jacquin, 1963) was carried out on 1226 ha of an industrial plantation at Toumanguié (south-east of Côte d’Ivoire). Temporal distribution of population established the existence, according to the years, of favorable periods of Coelaenomenodera lameensis infestations. Eight peaks of infestation were observed during 24 months. Infestation cycles proceeds each 90 days. Spatial distribution of the infestations revealed experimental plots having recorded between 0 and 8 months of infestation during the 2 years of investigation. This distribution proved to be independent of the age of the plots. Infestations were also independent of abiotic factors (rainfall, temperature and relative humidity). Larvae at stages 1, 2, 3 and 4 are mostly responsible of the damages observed in the fields.Key words: Coelaenomenodera lameensis; Elaeis guineensis; spatio-temporal distribution; Côte d’Ivoir

    Effets des pratiques phytosanitaires sur l’entomofaune et le rendement du concombre Cucumis sativus (Cucurbitaceae) Linnaeus, 1753 en milieu paysan a Bonoua (Sud-Est de la Côte d’Ivoire)

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    La forte pression parasitaire en cultures maraichères amène les producteurs à utiliser abusivement les pesticides chimiques. En vue de connaitre leur impact sur l’entomofaune du concombre et le rendement, une étude a été menée d’Août à Novembre 2017 à Bonoua. Cinq parcelles paysannes ont été utilisées. L’une a servi de témoin sans traitement chimique. Deux ont été traitées au DECIS et deux au K-OPTIMAL. Les insectes ont été collectés par des pièges colorés et des filets fauchoirs et leurs dégâts identifiés. Au total, 4133 insectes appartenant à 9 ordres, 27 familles et 42 espèces ont été identifiés. 42,27 % des insectes ont été enregistré à la fructification. La fréquence d’occurrence a révélé que deux espèces prédatrices Solenopsis sp et Camponotus sp ont été omniprésentes. L’espèce défoliatrice Ootheca mutabilis a été la plus abondante au stade préfloraison et le foreur Diaphania hyalinata aux stades floraison et fructification. Les principaux dégâts se traduisent par les perforations de fruits et la chute des fleurs. Les producteurs utilisent onze pesticides chimiques dont le Thiodalm super 40 EC et la Polytrine 10 EC formulés pour culture cotonnière, le Gawa 30 SC pour le cacaoyer. Le meilleur rendement a été obtenu avec le K-OPTIMAL.Mots clés: concombre, insectes ravageurs, insectes utiles, pesticides chimiques, dégâtsEnglish Title: Effects of phytosanitary practices on entomofaune and cucumber yield Cucumis sativus (Cucurbitaceae) Linnaeus, 1753 in Bonoua (south-east of Cote d’Ivoire)English AbstractThe high parasitic pressure in vegetable crops leads producers to abuse chemical pesticides. In order to know their impact on cucumber entomofauna and yield, a study was conducted from August to November 2017 in Bonoua. Five farm plots were used. One served as a control without chemical treatment. Two were treated at DECIS and two at K-OPTIMAL. The insects were collected by colored traps and mowing nets and their damage were identified. A total of 4133 insects belonging to 9 orders, 27 families and 42 species were identified. 42.27 % of the insects were registered to fruiting. The frequency of occurrence revealed that two predatory species Solenopsis sp and Camponotus sp were ubiquitous. The defoliator Ootheca mutabilis was the most abundant species at the pre-flowering stage and the driller Diaphania hyalinata at the flowering and fruiting stages. The main damage is the perforation of fruits, and flowers falling. The producers use eleven (11) chemical pesticides of which Thiodalm super 40 EC and Polytrine 10 EC formulated for cotton culture, Gawa 30 SC for cocoa farming. The best yield was obtained with K-OPTIMAL.Keywords: cucumber, insect pests, useful insects, chemical pesticides, damag
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