27 research outputs found

    Chronicle of an urban metamorphosis (the case of the Petite Ceinture de Paris) : partitioning of micro-resonances for an ecology of the hypersensitive

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    Cette thĂšse a pour point de dĂ©part le constat de l’émergence de dĂ©marches d’amĂ©nagement qui revendiquent des approches et mĂ©thodes plus immersives, collectives, processuelles convoquant la matiĂšre « sensible » dans le champ de l’architecture et de l’urbanisme. Ces formes de processus expĂ©rimentaux sont de plus en plus soutenues par les institutions pour rĂ©pondre Ă  des besoins urbains non satisfaits et enjeux complexes (politiques, sociales, Ă©cologiques) Ă©manant des Ă©volutions continuelles de nos sociĂ©tĂ©s actuelles. Depuis les annĂ©es 1990, artistes, architectes, urbanistes, paysagistes, etc. prĂŽnent un « droit Ă  l’expĂ©rimentation » qui questionne en profondeur les degrĂ©s d’implication et rĂŽle des diffĂ©rents acteurs dans la production et la mĂ©tamorphose de nos milieux de vie. Ceci engendre de nouvelles coexistences disciplinaires et professionnelles. Ces maniĂšres de faire « ensemble » et faire « avec le dĂ©jĂ  lĂ  » reconnaissent l’expertise des usagers-habitants comme prĂ©pondĂ©rante. On parle d’attitude qui interroge en profondeur les normes, savoirs, connaissances, reprĂ©sentations et actions collectives. Dans ce sens, de nouveaux dispositifs mĂ©thodologiques souvent empruntĂ©es aux sciences sociales Ă©mergent au sein de la recherche urbaine. Ainsi, cette thĂšse nous situe dans une forme de recherche « embarquĂ©e » entraĂźnĂ©e au sein d’un processus Ă  l’Ɠuvre concernant la transformation et l’ouverture au public du territoire de la Petite Ceinture de Paris (processus d’un grand chantier ouvert collectif de 2015-2020). Ancienne ligne de chemin de fer ferroviaire entourant Paris, la Petite Ceinture est depuis son silence progressif un territoire de toutes les convoitises, expĂ©rimentations, dĂ©bats et initiatives inusuels. Des mĂ©thodes d’observations participantes et d’implication « hybride » ont permis de rĂ©vĂ©ler l’existence de « micro-rĂ©sonances » opĂ©ratoires (caractĂ©ristiques, typologies, potentialitĂ©s). Des infra-relations affectives, corporelles, et sociales que les individus entretiennent avec les milieux ambiants. Ces « micro-rĂ©sonances » surgissent grĂące Ă  un travail d’écoute fine in situ et de restitution polyphonique. Ceci ouvre de nouvelles perspectives sur les maniĂšres de concevoir par la matiĂšre sensible en produisant une puissante Ă©nergie affective qui suscite des valeurs partagĂ©es. Ces micro-relations montrent par leur mise en partition des leviers capables d’Ɠuvrer en commun en faveur d’une Ă©cologie de « l’hypersensible ».This thesis is the observation of the emergence of development approaches that claim more immersive, collective, process-based approaches and methods calling on "sensitive" matter in the field of architecture and town planning. These forms of experimental process are increasingly supported by institutions to respond to unmet urban needs and complex issues (political, social, ecological) emanating from the continual changes in our current societies. Since the 1990s, artists, architects, town planners, landscapers, etc. advocate a "right to experimentation" which questions in depth the degrees of involvement and role of the different actors in the production and metamorphosis of our living environments. This generates new disciplinary and professional coexistences. These ways of doing things "together" and doing "with what is already there" recognize the expertise of user-residents as predominant. We are talking about an attitude that questions in depth the norms, knowledge, knowledge, representations and collective actions. In this sense, new methodological devices often borrowed from the social sciences are emerging within urban research. Thus, this thesis places us in a form of "embedded" research carried out within a process at work concerning the transformation and opening to the public of the territory of the Little Belt of Paris (process of a large open construction site). 2015-2020 collective). A former railway line surrounding Paris, the Petite Ceinture has since its gradual silence been a territory of all kinds of covetousness, experiments, debates and unusual initiatives. Participatory observation methods and "hybrid" involvement have revealed the existence of operational "micro-resonances" (characteristics, typologies, potentialities). Affective, bodily, and social infra-relationships that individuals maintain with surrounding environments. These "micro-resonances" arise thanks to fine listening work in situ and polyphonic reproduction. This opens up new perspectives on the ways of conceiving by the sensitive matter by producing a powerful affective energy which gives rise to shared values. These micro-relationships show by their partitioning levers capable of working together in favor of an ecology of the "hypersensitive"

    Chronique d’une mĂ©tamorphose urbaine (le cas de la Petite Ceinture de Paris) : mise en partition des micro-rĂ©sonances pour une Ă©cologie de l’hypersensible

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    This thesis is the observation of the emergence of development approaches that claim more immersive, collective, process-based approaches and methods calling on "sensitive" matter in the field of architecture and town planning. These forms of experimental process are increasingly supported by institutions to respond to unmet urban needs and complex issues (political, social, ecological) emanating from the continual changes in our current societies. Since the 1990s, artists, architects, town planners, landscapers, etc. advocate a "right to experimentation" which questions in depth the degrees of involvement and role of the different actors in the production and metamorphosis of our living environments. This generates new disciplinary and professional coexistences. These ways of doing things "together" and doing "with what is already there" recognize the expertise of user-residents as predominant. We are talking about an attitude that questions in depth the norms, knowledge, knowledge, representations and collective actions. In this sense, new methodological devices often borrowed from the social sciences are emerging within urban research. Thus, this thesis places us in a form of "embedded" research carried out within a process at work concerning the transformation and opening to the public of the territory of the Little Belt of Paris (process of a large open construction site). 2015-2020 collective). A former railway line surrounding Paris, the Petite Ceinture has since its gradual silence been a territory of all kinds of covetousness, experiments, debates and unusual initiatives. Participatory observation methods and "hybrid" involvement have revealed the existence of operational "micro-resonances" (characteristics, typologies, potentialities). Affective, bodily, and social infra-relationships that individuals maintain with surrounding environments. These "micro-resonances" arise thanks to fine listening work in situ and polyphonic reproduction. This opens up new perspectives on the ways of conceiving by the sensitive matter by producing a powerful affective energy which gives rise to shared values. These micro-relationships show by their partitioning levers capable of working together in favor of an ecology of the "hypersensitive".Cette thĂšse a pour point de dĂ©part le constat de l’émergence de dĂ©marches d’amĂ©nagement qui revendiquent des approches et mĂ©thodes plus immersives, collectives, processuelles convoquant la matiĂšre « sensible » dans le champ de l’architecture et de l’urbanisme. Ces formes de processus expĂ©rimentaux sont de plus en plus soutenues par les institutions pour rĂ©pondre Ă  des besoins urbains non satisfaits et enjeux complexes (politiques, sociales, Ă©cologiques) Ă©manant des Ă©volutions continuelles de nos sociĂ©tĂ©s actuelles. Depuis les annĂ©es 1990, artistes, architectes, urbanistes, paysagistes, etc. prĂŽnent un « droit Ă  l’expĂ©rimentation » qui questionne en profondeur les degrĂ©s d’implication et rĂŽle des diffĂ©rents acteurs dans la production et la mĂ©tamorphose de nos milieux de vie. Ceci engendre de nouvelles coexistences disciplinaires et professionnelles. Ces maniĂšres de faire « ensemble » et faire « avec le dĂ©jĂ  lĂ  » reconnaissent l’expertise des usagers-habitants comme prĂ©pondĂ©rante. On parle d’attitude qui interroge en profondeur les normes, savoirs, connaissances, reprĂ©sentations et actions collectives. Dans ce sens, de nouveaux dispositifs mĂ©thodologiques souvent empruntĂ©es aux sciences sociales Ă©mergent au sein de la recherche urbaine. Ainsi, cette thĂšse nous situe dans une forme de recherche « embarquĂ©e » entraĂźnĂ©e au sein d’un processus Ă  l’Ɠuvre concernant la transformation et l’ouverture au public du territoire de la Petite Ceinture de Paris (processus d’un grand chantier ouvert collectif de 2015-2020). Ancienne ligne de chemin de fer ferroviaire entourant Paris, la Petite Ceinture est depuis son silence progressif un territoire de toutes les convoitises, expĂ©rimentations, dĂ©bats et initiatives inusuels. Des mĂ©thodes d’observations participantes et d’implication « hybride » ont permis de rĂ©vĂ©ler l’existence de « micro-rĂ©sonances » opĂ©ratoires (caractĂ©ristiques, typologies, potentialitĂ©s). Des infra-relations affectives, corporelles, et sociales que les individus entretiennent avec les milieux ambiants. Ces « micro-rĂ©sonances » surgissent grĂące Ă  un travail d’écoute fine in situ et de restitution polyphonique. Ceci ouvre de nouvelles perspectives sur les maniĂšres de concevoir par la matiĂšre sensible en produisant une puissante Ă©nergie affective qui suscite des valeurs partagĂ©es. Ces micro-relations montrent par leur mise en partition des leviers capables d’Ɠuvrer en commun en faveur d’une Ă©cologie de « l’hypersensible »

    Pour une recherche urbaine embarquée: Des micro-résonances urbaines au coeur de la Petite Ceinture de Paris

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    International audienc

    Chronique d’une mĂ©tamorphose urbaine (le cas de la Petite Ceinture de Paris) : mise en partition des micro-rĂ©sonances pour une Ă©cologie de l’hypersensible

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    This thesis is the observation of the emergence of development approaches that claim more immersive, collective, process-based approaches and methods calling on "sensitive" matter in the field of architecture and town planning. These forms of experimental process are increasingly supported by institutions to respond to unmet urban needs and complex issues (political, social, ecological) emanating from the continual changes in our current societies. Since the 1990s, artists, architects, town planners, landscapers, etc. advocate a "right to experimentation" which questions in depth the degrees of involvement and role of the different actors in the production and metamorphosis of our living environments. This generates new disciplinary and professional coexistences. These ways of doing things "together" and doing "with what is already there" recognize the expertise of user-residents as predominant. We are talking about an attitude that questions in depth the norms, knowledge, knowledge, representations and collective actions. In this sense, new methodological devices often borrowed from the social sciences are emerging within urban research. Thus, this thesis places us in a form of "embedded" research carried out within a process at work concerning the transformation and opening to the public of the territory of the Little Belt of Paris (process of a large open construction site). 2015-2020 collective). A former railway line surrounding Paris, the Petite Ceinture has since its gradual silence been a territory of all kinds of covetousness, experiments, debates and unusual initiatives. Participatory observation methods and "hybrid" involvement have revealed the existence of operational "micro-resonances" (characteristics, typologies, potentialities). Affective, bodily, and social infra-relationships that individuals maintain with surrounding environments. These "micro-resonances" arise thanks to fine listening work in situ and polyphonic reproduction. This opens up new perspectives on the ways of conceiving by the sensitive matter by producing a powerful affective energy which gives rise to shared values. These micro-relationships show by their partitioning levers capable of working together in favor of an ecology of the "hypersensitive".Cette thĂšse a pour point de dĂ©part le constat de l’émergence de dĂ©marches d’amĂ©nagement qui revendiquent des approches et mĂ©thodes plus immersives, collectives, processuelles convoquant la matiĂšre « sensible » dans le champ de l’architecture et de l’urbanisme. Ces formes de processus expĂ©rimentaux sont de plus en plus soutenues par les institutions pour rĂ©pondre Ă  des besoins urbains non satisfaits et enjeux complexes (politiques, sociales, Ă©cologiques) Ă©manant des Ă©volutions continuelles de nos sociĂ©tĂ©s actuelles. Depuis les annĂ©es 1990, artistes, architectes, urbanistes, paysagistes, etc. prĂŽnent un « droit Ă  l’expĂ©rimentation » qui questionne en profondeur les degrĂ©s d’implication et rĂŽle des diffĂ©rents acteurs dans la production et la mĂ©tamorphose de nos milieux de vie. Ceci engendre de nouvelles coexistences disciplinaires et professionnelles. Ces maniĂšres de faire « ensemble » et faire « avec le dĂ©jĂ  lĂ  » reconnaissent l’expertise des usagers-habitants comme prĂ©pondĂ©rante. On parle d’attitude qui interroge en profondeur les normes, savoirs, connaissances, reprĂ©sentations et actions collectives. Dans ce sens, de nouveaux dispositifs mĂ©thodologiques souvent empruntĂ©es aux sciences sociales Ă©mergent au sein de la recherche urbaine. Ainsi, cette thĂšse nous situe dans une forme de recherche « embarquĂ©e » entraĂźnĂ©e au sein d’un processus Ă  l’Ɠuvre concernant la transformation et l’ouverture au public du territoire de la Petite Ceinture de Paris (processus d’un grand chantier ouvert collectif de 2015-2020). Ancienne ligne de chemin de fer ferroviaire entourant Paris, la Petite Ceinture est depuis son silence progressif un territoire de toutes les convoitises, expĂ©rimentations, dĂ©bats et initiatives inusuels. Des mĂ©thodes d’observations participantes et d’implication « hybride » ont permis de rĂ©vĂ©ler l’existence de « micro-rĂ©sonances » opĂ©ratoires (caractĂ©ristiques, typologies, potentialitĂ©s). Des infra-relations affectives, corporelles, et sociales que les individus entretiennent avec les milieux ambiants. Ces « micro-rĂ©sonances » surgissent grĂące Ă  un travail d’écoute fine in situ et de restitution polyphonique. Ceci ouvre de nouvelles perspectives sur les maniĂšres de concevoir par la matiĂšre sensible en produisant une puissante Ă©nergie affective qui suscite des valeurs partagĂ©es. Ces micro-relations montrent par leur mise en partition des leviers capables d’Ɠuvrer en commun en faveur d’une Ă©cologie de « l’hypersensible »

    3. Expérimenter, improviser. Vers de nouvelles pratiques de recherche urbaine

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    L’expĂ©rimentation est aujourd’hui une modalitĂ© de travail au cƓur de la recherche urbaine situĂ©e Ă  la confluence de trois champs convergents : l’amĂ©nagement, les sciences sociales et l’art. Elle est aussi bien mobilisĂ©e dans des projets soutenus par les institutions, par exemple Ă  travers des conceptions d’amĂ©nagement, que dans le cadre de recherches contestataires de projets en cours, ou encore comme forme de recherches exploratoires sur de nouveaux terrains urbains. Cette mĂ©thode immersive,..

    Pour la recherche urbaine

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    L’urbanisation Ă  l’échelle planĂ©taire et la conscience croissante des problĂšmes Ă©cologiques font de l’« urbain » un objet privilĂ©giĂ© pour l’action publique et la recherche. C’est en effet grĂące Ă  la perspective urbaine que nous parvenons aujourd’hui Ă  une meilleure comprĂ©hension des sociĂ©tĂ©s contemporaines et des milieux de vie. En articulant les dimensions sociales, Ă©cologiques, politiques et matĂ©rielles, les recherches actuelles apportent de nouvelles connaissances sur les thĂ©ories et dĂ©finitions de l’urbain, les populations urbaines et la production de leur cadre de vie. Les enjeux sont de taille. Ils touchent Ă  la qualitĂ© de vie des citadins et Ă  la forme de nos sociĂ©tĂ©s : diversification des populations, accroissement des inĂ©galitĂ©s, recompositions des flux, des Ă©chelles et des pouvoirs urbains, changements de l’environnement planĂ©taire, etc. Le prĂ©sent ouvrage, qui repose sur un important travail collectif sur les villes des Nords et des Suds, propose un panorama engagĂ© de ces enjeux prĂ©sents et, surtout, Ă  venir pour la recherche urbaine

    Combined fit of spectrum and composition data as measured by the Pierre Auger Observatory

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    The Pierre Auger Observatory: Contributions to the 35th International Cosmic Ray Conference (ICRC 2017)

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    Search for photons with energies above 1018 eV using the hybrid detector of the Pierre Auger Observatory

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    Erratum: Combined fit of spectrum and composition data as measured by the Pierre Auger Observatory

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    We present a combined fit of a simple astrophysical model of UHECR sources to both the energy spectrum and mass composition data measured by the Pierre Auger Observatory. The fit has been performed for energies above 5 ⋅ 10(18) eV, i.e. the region of the all-particle spectrum above the so-called ankle feature. The astrophysical model we adopted consists of identical sources uniformly distributed in a comoving volume, where nuclei are accelerated through a rigidity-dependent mechanism. The fit results suggest sources characterized by relatively low maximum injection energies, hard spectra and heavy chemical composition. We also show that uncertainties about physical quantities relevant to UHECR propagation and shower development have a non-negligible impact on the fit results
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