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    Du réalisme et de son illusion : la Méditerranée de Guy de Maupassant entre représentation réaliste et penchants surnaturels.

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    Les catégories de réalisme et de fantastique, loin de pouvoir être lues de manière univoque et distincte, acquièrent, dans l’œuvre de Maupassant, un caractère muable du fait qu’elles entrent en communication l’une par rapport à l’autre. La représentation réaliste, en prenant les distances du dogme naturaliste, de cet assujettissement fidèle donc vis-à-vis d’un principe de vérité cru et inflexible, tend plutôt à opérer dans la voie d’une reformulation artistique de la matière visant à transmettre le fruit d’une vision, sorte d’impression particulière ou de mirage conçu par le pouvoir créateur. Au lieu de reproduire photographiquement le réel, il en traduit un effet, une atmosphère, une sensation. Quant au mode fantastique – un fantastique tout intérieur comme on le verra – il abandonne la route de l’impossible et du magique pour rester constamment accroché au domaine du possible et du vraisemblable. Le point d’ancrage avec le contingent est tout le temps maintenu, et la condition d’hésitation propre à ce genre ne disparait jamais chez le personnage comme chez le lecteur. À partir de cette double contamination, l’œuvre de Maupassant serait censée occuper une zone d’intermédiation à l’intérieur de laquelle la peinture réaliste n’exclurait pas totalement une portée illusionniste ou visionnaire, alors que la manifestation fantastique reconduirait à un encadrement factuel précis relevant d’une réalité claire et définie. Dans cette perspective, même des concepts incontournables auxquels l’œuvre de Maupassant est désormais liée de manière inextricable – je me réfère aux notions de "vague", de "pire" et d’"inévitable", par exemple – se prêtent bien à devenir l’objet d’une double interprétation visant à les éclaircir sous la lumière changeante du modèle déterministe d’une part, de la dimension psychique de l’autre. La description des espaces dans les textes inspirés au voyage en Méditerranée chez Guy de Maupassant met en jeu des procédés de représentation antithétiques mais qui constituent le noyau fondamental autour duquel se fonde non seulement l’œuvre de l’écrivain normand mais aussi l’esthétique d’une certaine époque "fin de siècle". Dans les récits de voyage – Au Soleil (1884), Sur l’eau (1888) et La Vie errante (1890) – ainsi que dans les nombreuses chroniques qui les précèdent et dans les contes et nouvelles dont l’intrigue se situe dans les soi-disant « Pays du soleil », il semble que la désignation du paysage est soumise à une double instance : d’un côté une écriture "réaliste" nous présente l’espace tel qu’il est, ou mieux encore, tel que l’œil du narrateur le voit, de l’autre côté, c’est le "réalisme" même, cette pure et fidèle adhérence au monde extérieur, qui engendre une sorte d’échappatoire vers le fantastique, un fantastique qui demeure pourtant tout le temps ancré à cette même réalité d’où il sort. Certes, il s’agit de deux instances opposées, antinomiques, relevant théoriquement la première d’une totale adhésion à la réalité contingente, la seconde d’un univers qui, tout en partant de cette réalité, acquiert des caractères irrationnels échappant à toute logique. Mais il est néanmoins nécessaire de reconnaître à sa juste mesure jusqu’à quel point ces deux procédés sont loin d’être inconciliables, bien au contraire, leur relation se basant sur une interaction réciproque

    Influencia de la relación fuente/sumidero en el síndrome del tallo verde en soja

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    La soja (Glycine max (L.) Merr.) está considerada como el cultivo proteico de mayor importancia a nivel mundial. El Síndrome del Tallo Verde (STV) ha afectado por décadas este cultivo. Esta anomalía se manifiesta por la presencia de tallos verdes y en ocasiones con retención foliar. No existen registros de la intensidad y frecuencia con que se presenta dicho síndrome, ni de los daños económicos que ocasiona. Se han señalado diversas causas que producirían el STV, entre las que se reconocen factores bióticos y abióticos, no existiendo acuerdo en la etiología del síndrome. En éste trabajo se han evaluado los efectos de modificar la relación fuente / sumidero sobre la manifestación del STV. Los ensayos se realizaron en la EEA Paraná del INTA, Argentina. La variedad de soja sembrada fue A 6445 RG y se delimitaron 3 parcelas experimentales, a modo de repeticiones. El tratamiento consistía en aplicar a las plantas de un metro lineal de surco, en forma manual cuando las semillas superaban los 3 mm de diámetro, distintos niveles de desvainados (33, 66, 100%), dejando un control sin desvainar. Además se realizaron muestreos semanales para distintos grupo de artrópodos, agrupados en dos categorías: consumidores de destinos (chinches fitófagas) y consumidores de fuente (orugas defoliadoras, trips, mosca blanca y arañuelas). Los síntomas del STV se desarrollaron desde el primer nivel de extracción de vainas (remoción del 33 %), pero la sintomatología fue más profunda con los niveles más altos de extracción de vainas (remoción del 66 y 100 %). A medida que aumentó la relación fuente/sumidero se produjo un incremento de la retención foliar y de la incidencia y severidad con que se manifestó el STV. La dinámica de aparición de estructuras vegetativas verdes al aumentar la relación fuente / sumidero, indica que los tallos comienzan a actuar como órganos de almacenamiento de fotoasimilados antes que las hojas, cuando se ve reducida la capacidad de las estructuras reproductivas para actuar como sumideros. La evolución de la incidencia del STV en función del desvainado describió una curva sigmoidal. Los resultados de severidad y retención foliar manifiestan un comportamiento distinto a los de incidencia, siendo exponencial. La incidencia y severidad del STV estuvieron positivamente correlacionadas entre sí. Independientemente de que los tallos permanezcan verdes o se tornen marrones, las vainas y semillas maduraron correctamente. Frente al aumento de la relación fuente/sumidero el cultivo produjo nuevas vainas y aumentó el peso de las semillas, compensando en parte el exceso de fotoasimilados. Las nuevas vainas fijadas poseían un menor número de granos. La manifestación del STV en soja está asociada a una disminución del rendimiento del cultivo. En este trabajo se pudo demostrarse que el STV se produce como consecuencia de un aumento en la relación fuente/sumidero, lo cual ocurre cuando el número de vainas no está balanceado con la producción de fotoasimilados, transformándose los tallos y las hojas en sumideros alternativos.Ingeniería AgronómicaNekazaritza Ingeniaritz

    Contributions Historical Documentaries on the Barcellona Area

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