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    Cardiovascular disease and diabetes in patients with severe mental disease. 1st part : Epidemiology and influence of psychotropic medications.

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    peer reviewedLes personnes atteintes de maladies mentales sévères telles que la schizophrénie, la dépression ou le trouble bipolaire sont en moins bonne santé physique et ont une espérance de vie moindre que la population générale. La surmortalité cardiovasculaire associée à la schizophrénie et au trouble bipolaire est en partie attribuée à une majoration des facteurs de risque coronarien modifiables : obésité, tabagisme, diabète, hypertension et dyslipidémie. Les antipsychotiques et peut-être d'autres psychotropes, les antidépresseurs par exemple, peuvent induire une prise de poids ou aggraver divers facteurs métaboliques de risque cardiovasculaire. Les patients présentant une maladie mentale sévère peuvent avoir un accès restreint à la médecine générale, avec des opportunités de dépistage et de prévention du risque cardiovasculaire inférieures à celles mises en place dans une population non-psychiatrique. L'European Psychiatric Association (EPA), soutenue par l'European Association for the Study of Diabetes (EASD) et l'European Society of Cardiology (ESC), a publié récemment une déclaration de position dans le but d'améliorer la prise en charge des patients souffrant de maladies mentales sévères. Ce premier article résume les données épidémiologiques concernant les maladies coronariennes et cérébro-vasculaires et le diabète dans cette population particulière ainsi que les conséquences cardio-métaboliques potentielles des psychotropes.Un second article décrira comment évaluer le risque de maladies cardiovasculaires et donnera des conseils quant à la prise en charge des facteurs de risque et du diabète dans la population psychiatrique.People with severe mental illnesses, such as schizophrenia, depression or bipolar disorder, have worse physical health and reduced life expectancy compared to the general population. The excess cardiovascular mortality associated with schizophrenia and bipolar disorder is attributed in part to an increased risk of the modifiable coronary heart disease risk factors : obesity, smoking, diabetes, hypertension and dyslipidaemia. Antipsychotic medication and possibly other psychotropic medication like antidepressants can induce weight gain or worsen other metabolic cardiovascular risk factors. Patients may have limited access to general healthcare with less opportunity for cardiovascular risk screening and prevention than would be expected in a non-psychiatric population. The European Psychiatric Association (EPA), supported by the European Association for the Study of Diabetes (EASD) and the European Society of Cardiology (ESC) recently published a statement with the aim of improving the care of patients suffering from severe mental illness. This first paper summarizes the epidemiological data of coronary heart disease and stroke in this special population as well as the potential cardiometabolic consequences of psychotropic medications. A second article will explain how to evaluate the cardiovascular risk and give recommendations concerning the appropriate management of risk factors and diabetes in the psychiatric population

    Cardiovascular disease and diabetes in patients with severe mental disease. 2nd part : Risk assessment and management strategy.

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    peer reviewedNous avons insisté, dans un premier article, sur le fait que les personnes souffrant de maladies mentales sévères telles que la schizophrénie, la dépression ou le trouble bipolaire sont en moins bonne santé physique et ont une espérance de vie moindre que la population générale. Ils sont notamment exposés à de multiples facteurs de risque métabolique et cardiovasculaire conduisant à une surmortalité coronarienne et cérébrovasculaire. Ces patients peuvent avoir un accès restreint à la médecine générale, avec des opportunités de dépistage et de prévention du risque cardiovasculaire inférieures à celles que l'on est en droit d’attendre dans une population non-psychiatrique. L'European Psychiatric Association (EPA), soutenue par l'European Association for the Study of Diabetes (EASD) et l'European Society of Cardiology (ESC), a publié récemment une déclaration de position dans le but d'améliorer la prise en charge des patients atteints de maladies mentales sévères. L'intention est d'amorcer une coopération et une prise en charge partagée entre les différents professionnels de la santé et de sensibiliser les psychiatres et les médecins de première ligne qui s'occupent de patients souffrant de maladies mentales sévères au dépistage et au traitement des facteurs de risque cardiovasculaire et du diabète. Après avoir décrit l’épidémiologie des maladies cardiovasculaires et du diabète dans la population atteinte de maladies mentales sévères et analysé l’impact des médicaments psychotropes en termes de risques métabolique et cardiovasculaire dans une première publication, le présent article décrit comment évaluer le risque de maladies cardiovasculaires et donne des conseils quant à la prise en charge des facteurs de risque cardiovasculaire et du diabète dans cette population psychiatrique

    An overview of therapeutic education skills for patientsd and healthcar professionals

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    peer reviewedProposition d'une représentation schématique, un mlodèle simplifié permettant une vue d'ensemble pour aider à structurer et mettre en oeuvre les actrions d'ETP et les formations à l'ETP.Proposition of a schematic simplified model for an overview to help conceive the TPE actions and training.EDUDORA

    Weight loss expectations and determinants in a large community-based sample

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    While weight-loss expectations have primarily been studied in people enrolled in weight-loss programs, the present study explores patient expectations about weight-loss and identifies related determinants in a large, non-clinical population.3916 volunteers (age > 18 years) participated in 2012 in a community-based survey in the French-speaking region of Belgium. Participants were asked to define “dream”, “goal”, “happy”, “acceptable”, and “disappointed” weights. Other self-reported measures were used to determine each participant's body mass index (BMI), body image discrepancy (BID), subjective norm (SN), weight loss activity, weight history, quality of life (QoL), and demographic and socioeconomic characteristics. The study focused on the determinants of unrealistic weight-loss “goal” (≥10% of initial weight).Results showed median weight loss targets ranged from 5 kg (“disappointed” weight loss) to 21 kg (“dreamed” weight loss). Respondents considered the recommended weight-loss target (5–10%) disappointing. Severe and morbid obesity categories are at high risk of unrealistic weight loss goal. Unrealistic weight-loss goals was associated with female gender, weight loss activity, overweight history and lower QoL in overweight and moderate obesity respondents.These findings confirm the urgent need to help patients accept more modest weight loss outcomes and the need for personalized care that considers the patient's specific profile and both weight loss expectations and determinants. Keywords: Overweight, Obesity, Population studies, Weight loss expectation
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