19 research outputs found

    Consommation d'alcool au cours de la grossesse (attention danger, diaporama)

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    L'alcoolisation féminine a considérablement augmenté au cours des 20 dernières années et ce phénomène n épargne pas les femmes enceintes. Pourtant, par sa tératogénicité et sa neurotoxicité, l alcool est responsable du Syndrome d alcoolisation fœtale (SAF), effet le plus grave de la consommation d alcool pendant la grossesse. Après avoir exposé l ensemble des troubles occasionnés par l alcoolisation du fœtus et les conséquences de l exposition depuis la naissance jusqu à l âge adulte, cette thèse examine les stratégies de prévention et de prise en charge ainsi que la gestion du risque en France et à l étranger. Ce document précise également le rôle du pharmacien. La présentation sous forme de diaporama a été choisie dans le but d être utilisée comme support d enseignement en Pharmacie.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Stevia rebaudiana, le nouvel or vert, alternative naturelle aux édulcorants artificiels ?

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    Le goût sucré sans les calories Telle est la promesse des édulcorants qui, depuis la fin des années 80, n ont cessé de remplacer progressivement le sucre traditionnel dans nombre d aliments. Récemment, un édulcorant naturel vient d être mis en avant : le rébaudioside A, un extrait purifié provenant de la plante Stevia rebaudiana (Bert.) Bertoni, plus couramment appelée Stévia . Cette petite plante herbacée originaire d Amérique du Sud est utilisée depuis des siècles pour ses propriétés édulcorantes, notamment par les Indiens Guarani du Paraguay, mais aussi comme plante médicinale. Le rébaudioside A a un pouvoir sucrant de 200 à 300 fois supérieur à celui du saccharose. Depuis son autorisation en France en 2009, cet éducorant prend progressivement la place de l aspartame dans les magasins et dans les produits allégés . Les pharmacies commencent aussi à le commercialiser. Mais que sait-on sur la Stévia ? Cet édulcorant présenté comme naturel, a-t-il démontré son innocuité ? Pourquoi les agences sanitaires de sécurité de l alimentation mettent-elles autant de temps pour autoriser la plantes et ses extraits dans l Union européenne ? Ce travail a permis d apporter certaines réponses à toutes ces interrogations. Cependant, Stevia rebaudiana reste encore une plante bien mystérieuse.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Registre des intoxications graves et mortelles du Centre Hospitalo-Universitaire de Grenoble (résultats à 18 mois et évaluation)

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    Les intoxications aiguës sont l objet de nombreuses hospitalisations dans les services d urgences et de réanimation des hôpitaux français. Peu de données épidémiologiques sont disponibles et il n existe à l heure actuelle aucun registre national sur ces intoxications en France. Le 1er janvier 2007, un registre des intoxications graves et mortelles a été mis en place sur le CHU de Grenoble. Les cas d intoxications graves (c est-à-dire nécessitant une prise en charge dans un service de réanimation) et mortelles sont déclarés au centre de toxicovigilance par les services de réanimation et d urgence du CHU, le SMUR et les laboratoires de pharmacologie-toxicologie et de médecine légale. Après dix-huit mois, 231 intoxications graves et 10 décès toxiques ont été documentés. Les résultats ont permis de mettre en avant certaines données épidémiologiques (fréquence et gravité des intoxications par méprobamate et cyamémazine, difficulté de prise en charge des intoxications par paracétamol, et un probable détournement de l usage du clonazépam) transmises au comité de coordination de la toxicovigilance. L évaluation du registre, effectué par comparaison des données avec celle du PMSI, montre un bon taux d exhaustivité (88%). Les intoxications inhabituelles sont cependant sous-déclarées et certaines structures adhérent plus au registre que d autres. Le CHU de Grenoble possède donc un système de surveillance des intoxications aiguës graves et mortelles qui fonctionne bien, avec des résultats importants en termes d épidémiologie.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Les conservateurs dans les produits cosmétiques (cas des parabens et du phénoxyéthanol)

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    Les conservateurs, bien que faisant l'objet de controverses, sont omniprésents dans les cosmétiques. Les parabens et le phénoxyéthanol sont les conservateurs les plus employés du fait de leur large spectre et de leur bonne tolérance, hormis une hypersensibilité induite par les parabens lors de l application sur une peau lésée ou atopique. Largement étudiés, les parabens sont toujours présents au cœur de polémiques concernant leur toxicité suspectée auparavant dans le cancer du sein et bien plus maintenant par leur potentiel reprotoxique. Quant au phénoxyéthanol, il bénéficie largement de l effet de classe des éthers de glycol mais ne représente pas forcément tous les risques de cette famille de molécules. Leur mauvaise réputation les précède et conduit certains consommateurs à se tourner vers les produits biologiques mais ces derniers, il faut le rappeler, peuvent aussi avoir recours à l utilisation de conservateurs.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Association between NMDAR antagonists, drug abuse and dependence: A disproportionality analysis from the WHO pharmacovigilance database

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    Ketamine and dextromethorphan are widely abused psychoactive substances. Inhibition of N‐methyl‐d‐aspartate receptors (NMDARs) results in neurobehavioural effects including hallucinations, “out of body” sensations and dissociative effects. However, little is known about a possible extended addictive class effect linked to pharmacologically‐related amino‐adamantane derivatives (e.g., amantadine and memantine). Using a quasi‐Bayesian analytic method, we investigated the potential association between the use of approved NMDAR antagonists (i.e., dextromethorphan, ketamine, amantadine and memantine) and the reporting of drug abuse and dependence in the WHO pharmacovigilance database (VigiBase®), which includes &gt;21 million individual case safety reports collected from &gt;130 countries. This disproportionality analysis identified a significant association for all investigated drugs: dextromethorphan (IC = 3.03 [2.97–3.09]), ketamine (IC = 1.70 [1.57–1.83]), amantadine (IC = 0.21 [0.06–0.35]) and memantine (IC = 0.27 [0.13–0.40]), suggesting a class effect for drug abuse and dependence. This first signal requires further investigations, but health professionals need to be alert to the potential of abuse of NMDAR antagonists, especially in the current “opioid epidemic” context, due to their growing interest as non‐opioid antinociceptive drugs.</jats:p

    The opioid epidemic: A worldwide exploratory study using the WHO pharmacovigilance database.

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    BACKGROUND AND AIMS: The current opioid epidemic in the United States began 20 years ago and has become the leading cause of accidental deaths in the country. This crisis prompted us to explore trends in opioid abuse and dependence worldwide. We sought to identify other countries at high-risk of opioid use disorders, using the World Health Organization's (WHO) pharmacovigilance database. METHODS: We performed a disproportionality analysis using VigiBase, the WHO Global Individual Case Safety Report (ICSR) database. Five opioids used worldwide were included: oxycodone, fentanyl, morphine, tramadol, and codeine. We extracted all ICSRs associated with the drugs of interest, considered as suspect medication and recorded up until 5 June 2021, using the narrow Standardised MedDRA Query (SMQ) for drug abuse and dependence. Countries with at least one ICSR for each of the five opioids were retained. The relationship between the use of a drug (i.e. an opioid) and the occurrence of an adverse drug reaction (i.e. drug abuse and dependence) for each country was assessed by calculating the information component (IC) and its 99.9% CI [IC ; IC ], using a quasi-Bayesian confidence propagation neural network (BCPNN). A hierarchical cluster analysis (Ward's method) of the IC value for each of the five opioids was performed to identify subgroups of countries with similar reported risks of opioid abuse and dependence. RESULTS: Among 21 countries, the optimal number of clusters was calculated to be four, each with a Jaccard index >0.5 (0.95, 0.78, 0.65 and 0.75, respectively). Six countries with the highest signals of drug abuse and dependence were identified in cluster 1, with significant CIs for the five opioids of interest (IC  > 0), ranging from 0.9 to 5.8 for the lower endpoint. CONCLUSIONS: There appear to be four distinct clusters of countries with similar opioid abuse and dependence profiles. The group with the highest reported risk for the opioids oxycodone, fentanyl, morphine, tramadol and codeine includes Australia, Canada, France, Germans, the United Kingdom and the United States
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