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    Vitalism and the Resistance to Experimentation on Life in the Eighteenth Century

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    There is a familiar opposition between a ‘Scientific Revolution’ ethos and practice of experimentation, including experimentation on life, and a ‘vitalist’ reaction to this outlook. The former is often allied with different forms of mechanism – if all of Nature obeys mechanical laws, including living bodies, ‘iatromechanism’ should encounter no obstructions in investigating the particularities of animal-machines – or with more chimiatric theories of life and matter, as in the ‘Oxford Physiologists’. The latter reaction also comes in different, perhaps irreducibly heterogeneous forms, ranging from metaphysical and ethical objections to the destruction of life, as in Margaret Cavendish, to more epistemological objections against the usage of instruments, the ‘anatomical’ outlook and experimentation, e.g. in Locke and Sydenham. But I will mainly focus on a third anti-interventionist argument, which I call ‘vitalist’ since it is often articulated in the writings of the so-called Montpellier Vitalists, including their medical articles for the Encyclopédie. The vitalist argument against experimentation on life is subtly different from the metaphysical, ethical and epistemological arguments, although at times it may borrow from any of them. It expresses a Hippocratic sensibility – understood as an artifact of early modernity, not as some atemporal trait of medical thought – in which Life resists the experimenter, or conversely, for the experimenter to grasp something about Life, it will have to be without torturing or radically intervening in it. I suggest that this view does not have to imply that Nature is something mysterious or sacred; nor does the vitalist have to attack experimentation on life in the name of some ‘vital force’ – which makes it less surprising to find a vivisectionist like Claude Bernard sounding so close to the vitalists

    Un préambule théorique à une Académie des Arts. Académie royale des Sciences (1693-1696). Présentation et textes.

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    Salomon Bayet Claire. Un préambule théorique à une Académie des Arts. Académie royale des Sciences (1693-1696). Présentation et textes.. In: Revue d'histoire des sciences et de leurs applications, tome 23, n°3, 1970. pp. 229-250

    La gloire de Pasteur

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    In 1906, the newspaper Le Petit Parisien launched a competition, richly endowed, « The game of the Great Men ». It was intended to designate the ten most illustrious Frenchmen of the 19th Century. Pasteur was top of the list, followed by Hugo, Gambetta and Napoleon the First. The Third Republic found in Pasteur the model of its lay-saint. This result, commented upon by the newspaper, created an "icon" of Pasteur, "the man who defeated death" (1885). This icon overshadows two previous images of this "great man". He was considered great within the world of chemistry and academia, "a professor who was not like the others", and for the nation as a whole, he was the "saviour of the French economy", acknowlegded by two national awards in 1874 and 1883. His work has crossed many frontiers.En 1906, Le Petit Parisien ouvre un concours, richement doté : le « Jeu des grands hommes », pour désigner les dix Français les plus illustres ayant vécu au XIXe siècle. Pasteur vient en tête, devançant Hugo, Gambetta et Napoléon Ier. La IIIe République a trouvé en Pasteur son saint laïque. Ce résultat, commenté dans l'article, dessine une « icône » de Pasteur, « l'homme qui a vaincu la mort » (1885). Cette icône occulte deux images précédentes du « grand homme » : un grand dans le monde de la chimie et de l'Université, « professeur pas comme les autres », et surtout, à l'échelle du pays, le « sauveur de l'économie française », reconnu par les deux récompenses nationales de 1874 et de 1883, et dont les procédés franchissent les frontières.Salomon-Bayet Claire. La gloire de Pasteur. In: Romantisme, 1998, n°100. Le Grand Homme. pp. 159-169

    L'institution de la science : un exemple au XVIIIe siècle

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    Salomon-Bayet Claire. L'institution de la science : un exemple au XVIIIe siècle. In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 30ᵉ année, N. 5, 1975. pp. 1028-1044

    Variations en guise de postface

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    Salomon-Bayet Claire. Variations en guise de postface. In: Raison présente, n°131, 3e trimestre 1999. Crises de la pensée scientifique. pp. 77-80

    Opiologia, imposture et célébration de l'opium.

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    Salomon Bayet Claire. Opiologia, imposture et célébration de l'opium.. In: Revue d'histoire des sciences, tome 25, n°2, 1972. pp. 125-150

    Présentation / Introduction

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    Salomon Bayet Claire. Présentation / Introduction. In: Revue d'histoire des sciences, tome 53, n°1, 2000. pp. 5-8

    Histoire des sciences et histoire de la médecine

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    Claire Salomon-Bayet Le primum moyens de l'œuvre de Jacques Léonard est le fruit, dit-il, d'une obstination née d'un constat : dans les années 60, la pauvreté historiographique des travaux sur les médecins français du xixe siècle, catégorie socioprofessionnelle mal connue, et la surabondance des figures médicales dans la littérature et l'iconographie du siècle. Entre pauvreté et pléthore, la démarche rigoureuse de l'historien qu'il était a inventé les sources et défini les méthodes pour dépas..

    Pour l'histoire de la médecine

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    En cette fin de siècle où la médecine, à la fois accomplit des progrès décisifs et se heurte aux dures réalités de la crise de la protection sociale, tandis que se déploie inexorablement une grande épidémie qui rappelle les peurs d'autrefois, le moment était sans doute venu de mesurer l'évolution accomplie par la recherche en histoire de la médecine durant ces dernières années. Mais aussi, à l'heure de la réforme des formations universitaires, de s'interroger sur le rôle, en France, de cette discipline dans la formation des futurs praticiens. Le 9 janvier 1993, le Groupe de recherche en épistémologie et histoire de la médecine organisait à Paris une journée dédiée au souvenir de Jacques Léonard. L'objectif de cette journée était double. D'abord rendre hommage à un chercheur réputé et à un enseignant de talent, trop tôt enlevé, en pleine activité, tant à l'histoire française des sciences qu'à ses étudiants et ses collègues. Il s'agissait ensuite de répondre à la question : où va l'histoire de la médecine ? Discipline à laquelle Jacques Léonard a apporté une contribution si essentielle. Pour l'histoire de la médecine se veut donc un premier bilan des travaux accomplis, mais aussi une réflexion prospective sur les chantiers ouverts
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