6 research outputs found

    Association between mode of delivery and maternal complications in a public hospital in Greater Metropolitan São Paulo, Brazil

    Get PDF
    O estudo objetivou avaliar associação entre via de parto e complicações maternas. Realizou-se coorte retrospectiva com partos ocorridos durante o ano de 2003, em um hospital público. As complicações avaliadas foram: infecção, hemorragia, histerectomia, rotura uterina, lesão de órgão contíguo, trombose venosa profunda e embolia pulmonar. Utilizou-se a odds ratio (OR) e os testes de qui-quadrado de Pearson e de Fisher, além da regressão logística. Estabeleceu-se o nível de 0,05 como significante. Foram encontradas 15 complicações. Tomando-se o parto vaginal como referência, encontrou-se associação entre cesárea e as complicações tomadas em conjunto. Analisando-se variáveis confundidoras, encontrou-se associação das complicações com hipertensão, soropositividade para HIV, placenta prévia e descolamento prematuro de placenta. Após controle para estas quatro variáveis, manteve-se a associação entre cesárea e complicações (OR = 9,7; p = 0,04). Encontrou-se também associação entre complicações e cesárea eletiva comparada ao parto vaginal (OR = 4,7; p = 0,02), e maior proporção de complicações, no limite da significância estatística, nas cesáreas eletivas comparadas à "tentativa de parto vaginal" (OR = 3; p = 0,058). Conclui-se que a cesárea associa-se a complicações maternas, mesmo após a realização de vários ajustes.The purpose of this study was to assess the relationship between mode of delivery and maternal complications, based on a retrospective cohort of all births at a public hospital in 2003. Complications included: infection, hemorrhage, hysterectomy, uterine rupture, lesions in adjacent organs, deep venous thrombosis, and pulmonary embolism. The analysis used odds ratio (OR), chi-squared test, and Fisher's exact test, besides logistic regression. Fifteen complications were identified. Taking vaginal delivery as the reference, an association was found between cesarean section and overall complications. Analysis of confounding showed an association between hypertension, HIV, placenta previa, and abruptio placentae. After controlling for these variables, an association remained between overall complications and cesarean section (OR = 9.7; p = 0.04). Another analysis comparing elective cesareans and vaginal deliveries also showed an increased risk for cesarean (OR = 4.7; p = 0.02). Finally, comparing elective cesareans with trial of labor, we found an increased proportion of complications in elective cesareans, with borderline significance (OR = 3; p = 0.058). We concluded that cesarean section is associated with maternal morbidity, even after controlling for confounders

    Control of microcarrier feed time by quantitative determination of bead-to-bead transfer during hMSC cultures

    Full text link
    Mesenchymal stem cells extracted from the Wharton’s jelly of human umbilical cords (hWJ-MSC) show increasing interest for cell therapies due to their reduced immunogenicity, high expansion capabilities, fast growth kinetics and various growth factors synthesis capabilities. hWJ-MSC are adherent-dependent cells meaning their expansion requires colonization of available adherence surfaces. However, when confluence is almost reached, it was previously shown that MSC begin to form aggregates that can detach from the microcarriers leading to a negative impact on cell growth and functionality [1]. To solve this problem an already assessed strategy consists in the addition of fresh microcarriers during the expansion phase. Until now, no quantitative study describing this phenomenon have been reported in literature. Besides, addition of fresh new microcarriers should allow to maintain growing cell, allowing to reach a higher cell density than in a system without microcarriers feed. The aim of this study is to better control fresh microcarriers addition by quantitatively characterize bead-to-bead transfer process during MSC cultures. Aiming at this, MSC were cultivated on Cytodex-1 microcarrier in HPLsupplemented culture medium, in mixed Erlenmeyer flasks. To quantify bead-to-bead transfer homemade fluorescent Cytodex-1 were used as available adherence surfaces. DAPI nuclei and Live/Dead cell staining were performed to determine total viable cell number and number of cells per microcarrier. Cell counting was obtained from computerized analysis of fluorescent microscopy images. Using these methods, microcarrier addition time was established to maintain constant cell number per microcarrier, avoiding to reach the confluence state. Our results showed both qualitatively and quantitatively bead-to-bead transfer during microcarrier cultures. By controlling the addition of fresh microcarriers cell aggregation has been completely prevented. This procedure allowed an increase of the maximal total cell number by a factor 1.5 in comparison with a culture with only medium feed addition. [1]. Ferrari, C., et al., (2012). Limiting cell aggregation during mesenchymal stem cell expansion on microcarriers. Biotechnology progress, 28(3), 780-787Optimisation de surface des microporteurs destinés à l'ingénierie tissulair

    Adaptation de la sylviculture du pin laricio en France dans le contexte de la maladie des bandes rouges : Quels sont les déterminants de la vulnérabilité du pin laricio à la maladie des bandes rouges ? Rapport final

    No full text
    La maladie des bandes rouges, d’envergure internationale et causée en France par les deux agents pathogènes du genre Dothistroma, provoque des dégâts sévères dans les houppiers des pins laricio. Le projet Dolar visait à identifier les facteurs pédoclimatiques favorisant l’expression de la maladie des bandes rouges, à étudier la sensibilité à la maladie de matériels d’origines génétiques différentes, et à quantifier l’impact de la maladie des bandes rouges sur la croissance et la production des peuplements en lien avec les scénarios de sylviculture appliqués. Ce travail a été mené principalement dans les régions Centre-Val de Loire et Pays de la Loire. Il s’est appuyé sur des réseaux existants de placettes d’observation et de dispositifs d’expérimentation sylvicole ou génétique, créés et gérés par les différents organismes intervenant dans le projet (CNPF, IGN, INRA, Irstea et ONF).Les principaux résultats obtenus sont les suivants : (1) Les facteurs climatiques, en particulier les variables liées au régime pluviométrique, sont les principaux déterminants de l’expression des dégâts de la maladie des bandes rouges. Au niveau pédologique, seul un léger effet de la richesse trophique a pu être mis en évidence. Ainsi, les précipitations et la fréquence des épisodes pluvieux au printemps augmentent les dégâts, la fréquence des épisodes secs en été les réduit, et les dégâts sont plus sévères dans les stations de faible niveau trophique.(2) Les conjonctions de facteurs stressants ou contraignants pour le pin laricio sont plus favorables à la maladie des bandes rouges.(3) La variabilité de l’intensité des dégâts se trouve essentiellement au niveau de l’individu, quel que soit le domaine étudié : contexte pédoclimatique, gestion sylvicole ou origine génétique.(4) L’intensité des symptômes de la maladie des bandes rouges au niveau de l’arbre est négativement corrélée au statut social de l’arbre au sein du peuplement : les arbres les plus gros sont en moyenne moins affectés.(5) La mortalité causée par la maladie des bandes rouges reste négligeable mais la sévérité des dégâts augmente la probabilité de mortalité des arbres dominés au sein des peuplements de densité élevée.(6) L’accroissement radial des arbres est très lourdement impacté par la maladie, l’intensité des dégâts s’imposant comme le facteur expliquant la plus grande part de variabilité de l’accroissement. En moyenne, l’accroissement individuel est réduit de 50 % pour une intensité de dégâts de 50%. Une sylviculture avec des densités plus faibles permet de maintenir un niveau d’accroissement plus satisfaisant.(7) A l’échelle du peuplement, la maladie des bandes rouges provoquent des pertes de production en surface terrière proportionnelles et équivalentes à la proportion des dégâts, mais la croissance des peuplements reste positive dans la plupart des cas. L’application d’une sylviculture avec des densités plus faibles permet de réduire les pertes d’accroissement, et ce d’autant plus que le niveau de sévérité de la maladie est important.(8) A l’échelle du peuplement, l’intensité des dégâts de la maladie est d’autant plus importante que la densité du peuplement est élevée : une sylviculture en peuplement plus clair permet donc de réduire les dégâts. L’application d’une sylviculture dynamique présente donc le double avantage de réduire et l’intensité de la maladie et les pertes de production (à niveau de maladie constant).(9) Malgré la diversité des matériels génétiques évalués (variété, massif d’origine dans l’aire naturelle, provenance, descendance, clone), l’unité génétique explique peu la variabilité des dégâts observés. Des différences significatives sont mises en évidence, mais également dans certains cas, des interactions entre les effets site et les effets unité génétique. Les différentes analyses menées conduisent parfois à des résultats contradictoires.(10) C’est notamment le cas concernant la variété. Dans les dispositifs génétiques, les deux variétés, Corse et Calabre, se distinguent peu, alors que l’analyse de 17 dispositifs d’expérimentation sylvicole montre que le pin laricio de Calabre est moins atteint par la maladie des bandes rouges que le pin laricio de Corse. L’origine génétique précise des 17 peuplements en question n’est pas connue. Ce résultat est l’illustration de l’importante variabilité existant au sein de chacune des deux variétés de pin laricio.(11) Néanmoins, les Matériels Forestiers de Reproduction (MFR) issus du verger de Pin laricio de Calabre de Sivens sont classés moins sensibles à la maladie des bandes rouges que les MFR produits dans les deux vergers à graines de pin laricio de Corse. L’hybridation des clones composant le verger de Sivens a été génétiquement établie, les clones appartenant à quatre provenances distinctes, une Corse, une Calabre et deux provenances non référencées génétiquement. Les analyses conduites dans le cadre du projet révèlent également que 25% des clones sont des hybrides entre le pin laricio et trois autres sous-espèces de pins noirs.Bien que des analyses complémentaires soient encore envisagées, des recommandations peuvent être formulées à partir des résultats acquis et des enseignements tirés de la littérature internationale. Dans le contexte actuel d’aggravation des épisodes de sécheresse et de risques sanitaires liés à Diplodia pinea, le 2e pathogène foliaire d’importance concernant le pin laricio, et malgré leur sensibilité avérée à la maladie des bandes rouges, nous conseillons de conserver les deux variétés de pin laricio dans le panel des essences de boisement et reboisement utilisables en France. Nous formulons des propositions de gestion sylvicole visant en particulier à réduire l’impact de la maladie sur les peuplements. Les recommandations concernant la gestion des vergers à graines ou plus généralement l’utilisation des Matériels Forestiers de Reproduction visent également à lutter contre l’extension de la maladie ou de son potentiel d’évolution génétique

    Adaptation de la sylviculture du pin laricio en France dans le contexte de la maladie des bandes rouges : Quels sont les déterminants de la vulnérabilité du pin laricio à la maladie des bandes rouges ? Rapport final

    No full text
    La maladie des bandes rouges, d’envergure internationale et causée en France par les deux agents pathogènes du genre Dothistroma, provoque des dégâts sévères dans les houppiers des pins laricio. Le projet Dolar visait à identifier les facteurs pédoclimatiques favorisant l’expression de la maladie des bandes rouges, à étudier la sensibilité à la maladie de matériels d’origines génétiques différentes, et à quantifier l’impact de la maladie des bandes rouges sur la croissance et la production des peuplements en lien avec les scénarios de sylviculture appliqués. Ce travail a été mené principalement dans les régions Centre-Val de Loire et Pays de la Loire. Il s’est appuyé sur des réseaux existants de placettes d’observation et de dispositifs d’expérimentation sylvicole ou génétique, créés et gérés par les différents organismes intervenant dans le projet (CNPF, IGN, INRA, Irstea et ONF).Les principaux résultats obtenus sont les suivants : (1) Les facteurs climatiques, en particulier les variables liées au régime pluviométrique, sont les principaux déterminants de l’expression des dégâts de la maladie des bandes rouges. Au niveau pédologique, seul un léger effet de la richesse trophique a pu être mis en évidence. Ainsi, les précipitations et la fréquence des épisodes pluvieux au printemps augmentent les dégâts, la fréquence des épisodes secs en été les réduit, et les dégâts sont plus sévères dans les stations de faible niveau trophique.(2) Les conjonctions de facteurs stressants ou contraignants pour le pin laricio sont plus favorables à la maladie des bandes rouges.(3) La variabilité de l’intensité des dégâts se trouve essentiellement au niveau de l’individu, quel que soit le domaine étudié : contexte pédoclimatique, gestion sylvicole ou origine génétique.(4) L’intensité des symptômes de la maladie des bandes rouges au niveau de l’arbre est négativement corrélée au statut social de l’arbre au sein du peuplement : les arbres les plus gros sont en moyenne moins affectés.(5) La mortalité causée par la maladie des bandes rouges reste négligeable mais la sévérité des dégâts augmente la probabilité de mortalité des arbres dominés au sein des peuplements de densité élevée.(6) L’accroissement radial des arbres est très lourdement impacté par la maladie, l’intensité des dégâts s’imposant comme le facteur expliquant la plus grande part de variabilité de l’accroissement. En moyenne, l’accroissement individuel est réduit de 50 % pour une intensité de dégâts de 50%. Une sylviculture avec des densités plus faibles permet de maintenir un niveau d’accroissement plus satisfaisant.(7) A l’échelle du peuplement, la maladie des bandes rouges provoquent des pertes de production en surface terrière proportionnelles et équivalentes à la proportion des dégâts, mais la croissance des peuplements reste positive dans la plupart des cas. L’application d’une sylviculture avec des densités plus faibles permet de réduire les pertes d’accroissement, et ce d’autant plus que le niveau de sévérité de la maladie est important.(8) A l’échelle du peuplement, l’intensité des dégâts de la maladie est d’autant plus importante que la densité du peuplement est élevée : une sylviculture en peuplement plus clair permet donc de réduire les dégâts. L’application d’une sylviculture dynamique présente donc le double avantage de réduire et l’intensité de la maladie et les pertes de production (à niveau de maladie constant).(9) Malgré la diversité des matériels génétiques évalués (variété, massif d’origine dans l’aire naturelle, provenance, descendance, clone), l’unité génétique explique peu la variabilité des dégâts observés. Des différences significatives sont mises en évidence, mais également dans certains cas, des interactions entre les effets site et les effets unité génétique. Les différentes analyses menées conduisent parfois à des résultats contradictoires.(10) C’est notamment le cas concernant la variété. Dans les dispositifs génétiques, les deux variétés, Corse et Calabre, se distinguent peu, alors que l’analyse de 17 dispositifs d’expérimentation sylvicole montre que le pin laricio de Calabre est moins atteint par la maladie des bandes rouges que le pin laricio de Corse. L’origine génétique précise des 17 peuplements en question n’est pas connue. Ce résultat est l’illustration de l’importante variabilité existant au sein de chacune des deux variétés de pin laricio.(11) Néanmoins, les Matériels Forestiers de Reproduction (MFR) issus du verger de Pin laricio de Calabre de Sivens sont classés moins sensibles à la maladie des bandes rouges que les MFR produits dans les deux vergers à graines de pin laricio de Corse. L’hybridation des clones composant le verger de Sivens a été génétiquement établie, les clones appartenant à quatre provenances distinctes, une Corse, une Calabre et deux provenances non référencées génétiquement. Les analyses conduites dans le cadre du projet révèlent également que 25% des clones sont des hybrides entre le pin laricio et trois autres sous-espèces de pins noirs.Bien que des analyses complémentaires soient encore envisagées, des recommandations peuvent être formulées à partir des résultats acquis et des enseignements tirés de la littérature internationale. Dans le contexte actuel d’aggravation des épisodes de sécheresse et de risques sanitaires liés à Diplodia pinea, le 2e pathogène foliaire d’importance concernant le pin laricio, et malgré leur sensibilité avérée à la maladie des bandes rouges, nous conseillons de conserver les deux variétés de pin laricio dans le panel des essences de boisement et reboisement utilisables en France. Nous formulons des propositions de gestion sylvicole visant en particulier à réduire l’impact de la maladie sur les peuplements. Les recommandations concernant la gestion des vergers à graines ou plus généralement l’utilisation des Matériels Forestiers de Reproduction visent également à lutter contre l’extension de la maladie ou de son potentiel d’évolution génétique
    corecore