34 research outputs found

    International Expert Opinions and Recommendations on the Use of Melatonin in the Treatment of Insomnia and Circadian Sleep Disturbances in Adult Neuropsychiatric Disorders

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    Introduction: Insomnia and circadian rhythm disorders, such as the delayed sleep phase syndrome, are frequent in psychiatric disorders and their evaluation and management in early stages should be a priority. The aim of this paper was to express recommendations on the use of exogenous melatonin, which exhibits both chronobiotic and sleep-promoting actions, for the treatment of these sleep disturbances in psychiatric disorders. Methods: To this aim, we conducted a systematic review according to PRISMA on the use of melatonin for the treatment of insomnia and circadian sleep disorders in neuropsychiatry. We expressed recommendations for the use of melatonin in psychiatric clinical practice for each disorder using the RAND/UCLA appropriateness method. Results: We selected 41 studies, which included mood disorders, schizophrenia, substance use disorders, attention deficit hyperactivity disorders, autism spectrum disorders, neurocognitive disorders, and delirium; no studies were found for both anxiety and eating disorders. Conclusion: The administration of prolonged release melatonin at 2–10 mg, 1–2 h before bedtime, might be used in the treatment of insomnia symptoms or comorbid insomnia in mood disorders, schizophrenia, in adults with autism spectrum disorders, neurocognitive disorders and during sedative-hypnotics discontinuation. Immediate release melatonin at <1 mg might be useful in the treatment of circadian sleep disturbances of neuropsychiatric disorders

    International Expert Opinions and Recommendations on the Use of Melatonin in the Treatment of Insomnia and Circadian Sleep Disturbances in Adult Neuropsychiatric Disorders

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    Introduction: Insomnia and circadian rhythm disorders, such as the delayed sleep phase syndrome, are frequent in psychiatric disorders and their evaluation and management in early stages should be a priority. The aim of this paper was to express recommendations on the use of exogenous melatonin, which exhibits both chronobiotic and sleep-promoting actions, for the treatment of these sleep disturbances in psychiatric disorders.Methods: To this aim, we conducted a systematic review according to PRISMA on the use of melatonin for the treatment of insomnia and circadian sleep disorders in neuropsychiatry. We expressed recommendations for the use of melatonin in psychiatric clinical practice for each disorder using the RAND/UCLA appropriateness method.Results: We selected 41 studies, which included mood disorders, schizophrenia, substance use disorders, attention deficit hyperactivity disorders, autism spectrum disorders, neurocognitive disorders, and delirium; no studies were found for both anxiety and eating disorders.Conclusion: The administration of prolonged release melatonin at 2–10 mg, 1–2 h before bedtime, might be used in the treatment of insomnia symptoms or comorbid insomnia in mood disorders, schizophrenia, in adults with autism spectrum disorders, neurocognitive disorders and during sedative-hypnotics discontinuation. Immediate release melatonin at <1 mg might be useful in the treatment of circadian sleep disturbances of neuropsychiatric disorders

    Les rapports complexes de l’adolescent avec son sommeil (habitudes de sommeil, utilisation des nouveaux médias, répercussion sur l’activité du lendemain)

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    À l’adolescence, le sommeil se modifie physiologiquement et biologiquement. C’est à cette période de vie que la personnalité se construit et que les apprentissages se mettent en place. Or se développent de nouveaux comportements de sommeil de l’adolescent. La diminution du temps de sommeil en semaine et un décalage horaire le week-end participent à la degradation du sommeil de l’adolescent. L’utilisation des nouveaux médias sociaux joue un rôle néfaste, avec une correlation négative forte entre le temps passé et le temps de sommeil. La privation de sommeil chez l’adolescent a des conséquences bien identifiées comme la fatigue diurne, le manque d’attention, plus d’anxiété, la mauvaise estime de soi, et aussi des risques d’obésité et de dépression. Le sommeil des adolescents est un veritable enjeu de santé publique

    L' observance au traitement par pression positive continue (dans le cadre du syndrome d apnées obstructives du sommeil est-elle influencée par un état dépressif pré existant ?)

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    2 à 5% de la population générale adulte souffrent d un syndrome des apnées obstructives du sommeil.Ces patients présentent souvent des co-morbidités cardio-vasculaires, métaboliques et psychiatriques.Un lien entre le SAHOS et la dépression a été mis en évidence dans de nombreuses études qui retrouvent, selon les auteurs, environ 20% de patients apnéiques déprimés. Mais la présence d une dépression pré-éxistente au traitement par PPC, considéré come le traitement de choix, n a pas été clairement identifié comme un facteur prédictif de compliance au traitement. Cette étude de cohorte prospective propose d évaluer l impact d un syndrome dépressif sur la compliance permettant au médecin généraliste d adapter la prise en charge afin d optimiser la compliance et éviter l abandon.191 patients apnéïques ont rempli un auto-questionnaire avant la mise en place de la PPC, et après 3 mois, incluant des données cliniques et le Beck Depression Inventory. Les patients furent séparés en deux groupes selon un seuil égual à 13. Les taux d observance furent recueillis tout au long des 5 ans. Aucune association statistique n a été retrouvée entre la dépression et la compliance mais un fort lien est apparu entre la dépression et l abandon. Parmi les 29 déprimés, deux tiers furent compliants et un tiers arrêtèrent le traitement pendant la première année. Conclusion : La dépression ne constitue pas un facteur statistique prédictif de bonne ou mauvaise compliance, cependant la dépression est étroitement liée à l abandon du traitement au cours de la première année. C est pourquoi l accompagnement et l éducation du patient en début de traitement sont fondamentaux pour obtenir la meilleure correction possibler2 to 5% of an adult generalPARIS12-CRETEIL BU Médecine (940282101) / SudocSudocFranceF

    Aspects théoriques et pratiques des traitements cognitifs et comportementaux de l'insomnie chronique (mise en place de thérapies de groupe au CHU de Clermont-Ferrand)

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    L'insomnie chronique est une pathologie fréquente, invalidante, retentissant sur de nombreux paramètres de la vie quotidienne. A ce jour, en France, la solution pharmacologique sera le plus souvent proposée. Or les traitements sédatifs et hypnotiques présentent des effets indésirables non négligeables entravant leurs bénéfices à long terme. Des réponses non médicamenteuses existent, parmi lesquelles les traitements cognitifs et comportementaux (TCC). Basées sur des techniques de restrictions de temps passé au lit, de contrôle du stimulus, d'hygiène du sommeil etc, elles ont prouvées leur efficacité dans de nombreuses études nationales et internationales tant dans l'insomnie primaire que secondaires à des troubles somatiques ou psychiatriques. Notre étude a consisté à mettre en place des groupes d'éducation thérapeutique à orientation TCC au CHU de Clermont-Ferrand. 16 patients insomniaques ont été inclus dans le protocole. Des évaluations ont été réalisées à la première et à la dernière séance à l'aide d'auto-questionnaires. Les résultats montrent une amélioration des échelles visuelles analogiques pourles critères suivants : "qualité du sommeil", "qualité de l'éveil", "intensité des troubles". Les scores de l'échelle ISI (index de sévérité de l'insomnie de Morin) mettent également en avant une diminution de la sévérité de l'insomnie avec un score moyen à 19,13 sur 28 à la première séance contre 14,56 sur 28 à la fin du programme. On note une répartition différente de la sévérité de l'insomnie avec une baisse des insomnies dites "sévère" et "modérée" et une augmentation de l'insomnie dite "légère". Nos résultats sont comparables à ceux retrouvés par l'équipe parisienne ayant utilisé le même protocole. Cette reproductibilité nous encourage à penser qu'il existerait un réel bénéfice à diffuser plus largement ce type de programme, et ainsi améliorer la prise en charge des patients souffrant d'insomnie chronique.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Complex relationships between adolescents and their sleep (sleep patterns, use of new media, and impact on next day’s activity)

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    During adolescence, sleep changes physiologically and biologically. It is during this period of life that development and learning takes place. However, new teenager sleep behaviors appear. A decrease in weekly sleep time and a jet lag during weekends contribute to the deterioration of teenager’s sleep. The use of new social media plays a detrimental role, with a strong negative correlation between time spent on those and sleep time. Teenagers suffering from sleep deprivation develop well-identified consequences such as diurnal fatigue, lack of attention, more anxiety, poor self-esteem, and also an increased risk of obesity and depression. Teenage sleep is a real public health issue
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