8 research outputs found

    Place De La Médecine Alternative Et Complémentaire Chez Les Patients Gonarthrosiques, À Propos De 105 Cas Au Congo Brazzaville

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    Objective: To describe characteristics of complementary and alternative medicine (CAM) in patients with knee osteoarthritis. Materials and Methods: A cross-sectional, descriptive, and analytical study was carried out on patients with knee osteoarthritis. This was followed by Rheumatology consultation at the University Hospital of Brazzaville from 2017 to 2018 within a period of one (1) year. The diagnosis of knee osteoarthritis was made European Scientific Journal, ESJ ISSN: 1857-7881 (Print) e - ISSN 1857-7431 January 2021 edition Vol.17, No.3 www.eujournal.org 53 on the basis of ACR 1986 criteria. The elements of the CAM were obtained by questioning the patients. Results: Out of the one hundred and five cases, 101 were female (96.2%) and 4 were male (3.8%). The sex ratio was 0.03. The mean age was 56, 44 +/- 10, 29 years (range 30-80 years). Knee osteoarthritis was bilateral (86.7%), unilateral right (9.5%) and left (3.8%). 68 patients (64.8%) used CAM, 97.1% women and 2.9% men. 77.5% of patients used CAM during the diagnosis, 15.5% before diagnosis, and 7% after. The type of CAM are: massages of essential oils (72%), scarifications (61%), thermal cures (51.5%), phytotherapy (22%), cupitherapy (17.6 %), and acupuncture in 10.3% of cases. 58.2% of patients used CAM to relieve pain, 18.4% to cure, 15.3% to improve function, and 7.1% of cases to reduce the side effects of treatment. Conclusion: Our study reports a great diversity of CAM types used in knee osteoarthritis, which is dominated by essential oils in topical application. Objectif : Rapporter les caractères de la médecine complémentaire et alternative (CAM) chez les patients gonarthrosiques. Matériels et Méthodes : Etude transversale, descriptive et analytique portant sur les patients présentant une gonarthrose et suivis en consultation de Rhumatologie au CHU de Brazzaville de 2017 à 2018, soit 1 an. Le diagnostic de gonarthrose était retenu sur la base des critères ACR 1986. Les éléments de la CAM ont été obtenus par l’interrogatoire des patients. Résultats : Nous avons inclus cent cinq cas, dont 101 de sexe féminin (96,2%) et 4 cas de sexe masculin (3,8%). Le sexe ratio était de 0,03. L’âge moyen était de 56 ,44+/-10 ,29 ans (extrêmes European Scientific Journal, ESJ ISSN: 1857-7881 (Print) e - ISSN 1857-7431 January 2021 edition Vol.17, No.3 www.eujournal.org 52 30-80 ans). Le siège de la gonarthrose était bilatéral (86,7%), unilatéral droit (9,5%) et gauche (3,8%).68 patients (64,8%) ont fait recours à la CAM dont 97,1% des femmes et 2,9% d’hommes. 77,5% des patients ont utilisé la CAM au cours de l’annonce du diagnostic, 15,5% avant le diagnostic et 7% après. Le type de la CAM était : les massages d’huiles essentielles (72%) des cas, les scarifications (61%), les cures thermales (51,5%), la phytothérapie (22%), la cupitherapie (17,6%) et l’acupuncture dans 10,3% des cas. 58,2% des patients utilisaient la CAM pour soulager la douleur, 18,4% pour guérir,15,3% pour améliorer la fonction et 7,1% des cas pour atténuer les effets secondaires des traitements. Conclusion : Notre étude rapporte la grande diversité des types de CAM utilisés dans la gonarthrose, dominés par les huiles essentielles en application topique

    Prévalence et Facteurs de Risque Associés à la Lombalgie Commune chez le Personnel Soignant au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville en 2021

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    Objectif: DĂ©terminer la prĂ©valence et les facteurs de risque  associĂ©s Ă  la lombalgie commune chez le personnel soignant au Centre Hospitalier Universitaire  de Brazzaville (CHU-B). Patients et mĂ©thodes: Il s’agit d’une Ă©tude transversale, descriptive et analytique menĂ©e au CHU-B, du 1er mars au 1er octobre 2021(8 mois). Elle concernait le personnel de santĂ© en poste depuis au moins 6 mois, ayant consenti de participer Ă  l’étude. L’instrument d’étude Ă©tait un questionnaire anonyme auto-administrĂ© et comprenant  les donnĂ©es sociodĂ©mographiques, les caractĂ©ristiques cliniques, les facteurs de risques et thĂ©rapeutiques de la lombalgie commune. La saisie et l’analyse des donnĂ©es ont Ă©tĂ© effectuĂ©es par les logiciels Excel version 2010 et Sphinx version 5.  RĂ©sultats: La prĂ©valence de la lombalgie commune chez le personnel soignant Ă©tait de 37,9%. Les femmes Ă©taient prĂ©dominantes dans 75,7% de cas (n=84)), avec un sex ratio de 0,3 en faveur des femmes. L’âge moyen Ă©tait de 42,69+-9,77 ans (extrĂŞmes de 20 et 65 ans). Les infirmiers Ă©taient majoritaires avec 72,1%(n=80), suivis des mĂ©decins chirurgiens (9,9%), des mĂ©decins (9%), des sages-femmes et des aides-soignants respectivement dans 8,1 et 0,9% des cas. Le principal facteur dĂ©clenchant Ă©tait un effort de soulèvement (51,4%). Les principaux facteurs de risques associĂ©s Ă  la lombalgie commune Ă©taient le sexe fĂ©minin, la surcharge pondĂ©rale, la profession infirmière, l’anciennetĂ© au travail, le geste et postures au travail, le sport apparaissait comme facteur protecteur. L’arrĂŞt de travail Ă©tait les principales mesures thĂ©rapeutiques professionnelles observĂ©es (44% des cas).  Conclusion: La lombalgie commune est un trouble musculo-squelettique très frĂ©quent chez les personnel soignant. Plusieurs facteurs de risque individuels et professionnels  peuvent ĂŞtre Ă  l’origine de la survenue et de la persistance de cette pathologie. Sa prĂ©vention repose sur une sensibilisation et une formation sur les gestes et postures.   Objective: Determining the prevalence and risk factors associated with common low back pain among nursing staff at the Brazzaville University Hospital Centre (CHU-B). Patients and methods: This was a cross-sectional, descriptive, and analytical study conducted at CHU-B from March 1 to October 1, 2021 (8 months). It concerned healthcare personnel who had been in post for at least 6 months and had consented to participate in the study. The study instrument was an anonymous self-administered questionnaire including socio-demographic data, clinical characteristics, risk, and therapeutic factors for common low back pain. Data entry and analysis were performed using Excel version 2010 and Sphinx version 5 software. Results: The prevalence of common low-back pain among nursing staff was 37.9%. Women predominated in 75.7% of cases (n=84), with a sex ratio of 0.3 in favor of women. The average age was 42.69+-9.77 (extremes 20 and 65). Nurses were in the majority with 72.1% (n=80), followed by surgical doctors (9.9%), physicians (9%), midwives, and orderlies in 8.1 and 0.9% of cases respectively. The main trigger was lifting effort (51.4%). The main risk factors associated with common low-back pain were female gender, overweight, nursing profession, seniority at work, gestures and postures at work, with sport appearing as a protective factor. The work stoppage was the main occupational therapeutic measure observed (44% of cases).  Conclusion: Common low-back pain is a very common musculoskeletal disorder among nursing staff. Several individual and occupational risk factors may be responsible for the onset and persistence of this pathology. Prevention is based on awareness-raising and training in gestures and postures

    Polyarthrite RhumatoĂŻde: Etude de 10 Observations vues en Consultation de Rhumatologie au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville

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    Objectif: DĂ©crire les aspects Ă©pidĂ©miologiques, cliniques, paracliniques, thĂ©rapeutiques et Ă©volutifs de la polyarthrite rhumatoĂŻde Ă  travers 10 cas  vus en consultation de Rhumatologie  au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville. Patients et MĂ©thodes: Etude descriptive, transversale, rĂ©trospective menĂ©e du janvier 2022 Ă   aout 2022 (8mois) en consultation de Rhumatologie au CHU de Brazzaville, Congo. Le diagnostic de la polyarthrite rhumatoĂŻde  a Ă©tĂ© retenu sur les critères de l’ACR 87 avec un score ≥ 4  ou ACR EULAR 2010 avec un score ≥ 6. RĂ©sultats: Il s’agissait de  10 cas (1,53%) de sexe fĂ©minin. L’âge moyen Ă©tait 51 ans (extrĂŞmes de 34 et 68 ans). La durĂ©e moyenne d’évolution Ă©tait de 27.7 mois (extrĂŞmes de 4 mois et 8 ans). Sept patientes (70 %) avaient une polyarthrite rhumatoĂŻde Ă©voluait   plus de 6 mois et 3 (30 %) une durĂ©e de moins de 6 mois. Dans notre sĂ©rie, 60 % (n=6) des cas  avaient une Polyarthrite RhumatoĂŻde  dĂ©formante. Les dĂ©formations prĂ©dominaient au de la main. La dĂ©formation en boutonnière et pouce en Z Ă©taient les plus retrouvĂ©es dans 4 cas (40%) chacune suivie de dos de chameau (20%). Les  facteurs rhumatoĂŻdes Ă©taient positifs dans 7 cas (70 %) et les anti-CCP dans 6 cas ( 60 %). Les anomalies radiographiques retrouvĂ©es chez 8 cas (80%) Ă©taient : la dĂ©minĂ©ralisation en bande des Ă©piphyses et l’érosion marginale (8cas), les gĂ©odes osseuses (7cas), le pincement radiocarpienne (5cas), pincement des IPP et MCP (5cas), la carpite rhumatoĂŻde  fusionnante (2cas), la tarsite et la coxite dans 1 cas. Cinq patientes (50%) Ă©taient  en forte activitĂ© (DAS 28 supĂ©rieur Ă  5,1). La corticothĂ©rapie par voie gĂ©nĂ©rale et  Les antiinflammatoires non stĂ©roĂŻdiens  Ă©taient prescrits respectivement dans  100 % et 50% des cas. Le mĂ©thotrexate Ă©tait prescrit chez dans 100% des cas. La rĂ©mission a Ă©tĂ© obtenue Ă  6 mois chez 5 patientes. Conclusion: la polyarthrite rhumatoĂŻde est de diagnostic tardif en phase d’état Le mĂ©thotrexate reste le traitement de fond classique le plus prescrit.   Objective: Describe the epidemiological, clinical, paraclinical, therapeutic and evolutionary aspects of rheumatoid arthritis through 10 cases seen in rheumatology consultation at the University Hospital Center of Brazzaville. Patients and Methods: Descriptive, cross-sectional, retrospective study conducted from January 2022 to August 2022 (8 months) in consultation of Rheumatology at the University Hospital of Brazzaville, Congo. The diagnosis of rheumatoid arthritis was retained on the criteria of ACR 87 with a score ≥ 4 or ACR EULAR 2010 with a score ≥ 6. Results: There were 10 cases (1.53%) of female sex. The average age was 51 years (range 34 and 68). The average duration of evolution was 27.7 months (extremes of 4 months and 8 years). Seven patients (70%) had rheumatoid arthritis progressing for more than 6 months and 3 (30%) lasting less than 6 months. In our series, 60% (n=6) of the cases had deforming rheumatoid arthritis. The deformities predominated in the hand. Buttonhole deformity and Z thumb were the most found in 4 cases (40%) each followed by camel back (20%). Rheumatoid factors were positive in 7 cases (70%) and anti-CCP in 6 cases (60%). The radiographic abnormalities found in 8 cases (80%) were: band demineralization of the epiphyses and marginal erosion (8 cases), bone geodes (7 cases), radiocarpal pinching (5 cases), PIP and MCP pinching (5 cases), fusion rheumatoid carpitis (2 cases), tarsitis and coxitis in 1 case. Five patients (50%) were in high activity (DAS 28 greater than 5.1). Systemic corticosteroid therapy and non-steroidal anti-inflammatory drugs were prescribed in 100% and 50% of cases respectively. Methotrexate was prescribed in 100% of cases. Remission was achieved at 6 months in 5 patients. Conclusion: rheumatoid arthritis is diagnosed late in the state phase. Methotrexate remains the most prescribed classic disease-modifying treatment

    Polyarthrite RhumatoĂŻde: Etude de 10 Observations vues en Consultation de Rhumatologie au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville

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    Objectif: DĂ©crire les aspects Ă©pidĂ©miologiques, cliniques, paracliniques, thĂ©rapeutiques et Ă©volutifs de la polyarthrite rhumatoĂŻde Ă  travers 10 cas  vus en consultation de Rhumatologie  au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville. Patients et MĂ©thodes: Etude descriptive, transversale, rĂ©trospective menĂ©e du janvier 2022 Ă   aout 2022 (8mois) en consultation de Rhumatologie au CHU de Brazzaville, Congo. Le diagnostic de la polyarthrite rhumatoĂŻde  a Ă©tĂ© retenu sur les critères de l’ACR 87 avec un score ≥ 4  ou ACR EULAR 2010 avec un score ≥ 6. RĂ©sultats: Il s’agissait de  10 cas (1,53%) de sexe fĂ©minin. L’âge moyen Ă©tait 51 ans (extrĂŞmes de 34 et 68 ans). La durĂ©e moyenne d’évolution Ă©tait de 27.7 mois (extrĂŞmes de 4 mois et 8 ans). Sept patientes (70 %) avaient une polyarthrite rhumatoĂŻde Ă©voluait   plus de 6 mois et 3 (30 %) une durĂ©e de moins de 6 mois. Dans notre sĂ©rie, 60 % (n=6) des cas  avaient une Polyarthrite RhumatoĂŻde  dĂ©formante. Les dĂ©formations prĂ©dominaient au de la main. La dĂ©formation en boutonnière et pouce en Z Ă©taient les plus retrouvĂ©es dans 4 cas (40%) chacune suivie de dos de chameau (20%). Les  facteurs rhumatoĂŻdes Ă©taient positifs dans 7 cas (70 %) et les anti-CCP dans 6 cas ( 60 %). Les anomalies radiographiques retrouvĂ©es chez 8 cas (80%) Ă©taient : la dĂ©minĂ©ralisation en bande des Ă©piphyses et l’érosion marginale (8cas), les gĂ©odes osseuses (7cas), le pincement radiocarpienne (5cas), pincement des IPP et MCP (5cas), la carpite rhumatoĂŻde  fusionnante (2cas), la tarsite et la coxite dans 1 cas. Cinq patientes (50%) Ă©taient  en forte activitĂ© (DAS 28 supĂ©rieur Ă  5,1). La corticothĂ©rapie par voie gĂ©nĂ©rale et  Les antiinflammatoires non stĂ©roĂŻdiens  Ă©taient prescrits respectivement dans  100 % et 50% des cas. Le mĂ©thotrexate Ă©tait prescrit chez dans 100% des cas. La rĂ©mission a Ă©tĂ© obtenue Ă  6 mois chez 5 patientes. Conclusion: la polyarthrite rhumatoĂŻde est de diagnostic tardif en phase d’état Le mĂ©thotrexate reste le traitement de fond classique le plus prescrit.   Objective: Describe the epidemiological, clinical, paraclinical, therapeutic and evolutionary aspects of rheumatoid arthritis through 10 cases seen in rheumatology consultation at the University Hospital Center of Brazzaville. Patients and Methods: Descriptive, cross-sectional, retrospective study conducted from January 2022 to August 2022 (8 months) in consultation of Rheumatology at the University Hospital of Brazzaville, Congo. The diagnosis of rheumatoid arthritis was retained on the criteria of ACR 87 with a score ≥ 4 or ACR EULAR 2010 with a score ≥ 6. Results: There were 10 cases (1.53%) of female sex. The average age was 51 years (range 34 and 68). The average duration of evolution was 27.7 months (extremes of 4 months and 8 years). Seven patients (70%) had rheumatoid arthritis progressing for more than 6 months and 3 (30%) lasting less than 6 months. In our series, 60% (n=6) of the cases had deforming rheumatoid arthritis. The deformities predominated in the hand. Buttonhole deformity and Z thumb were the most found in 4 cases (40%) each followed by camel back (20%). Rheumatoid factors were positive in 7 cases (70%) and anti-CCP in 6 cases (60%). The radiographic abnormalities found in 8 cases (80%) were: band demineralization of the epiphyses and marginal erosion (8 cases), bone geodes (7 cases), radiocarpal pinching (5 cases), PIP and MCP pinching (5 cases), fusion rheumatoid carpitis (2 cases), tarsitis and coxitis in 1 case. Five patients (50%) were in high activity (DAS 28 greater than 5.1). Systemic corticosteroid therapy and non-steroidal anti-inflammatory drugs were prescribed in 100% and 50% of cases respectively. Methotrexate was prescribed in 100% of cases. Remission was achieved at 6 months in 5 patients. Conclusion: rheumatoid arthritis is diagnosed late in the state phase. Methotrexate remains the most prescribed classic disease-modifying treatment

    Prévalence et Facteurs de Risque Associés à la Lombalgie Commune chez le Personnel Soignant au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville en 2021

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    Objectif: DĂ©terminer la prĂ©valence et les facteurs de risque  associĂ©s Ă  la lombalgie commune chez le personnel soignant au CHU de Brazzaville. Patients et mĂ©thodes: Il s’agit d’une Ă©tude transversale, descriptive et analytique menĂ©e au CHUB, du1er mars au 1er octobre 2021(8 mois). Elle concernait le personnel de santĂ© en poste depuis au moins 6 mois, ayant consenti de participer Ă  l’étude. L’instrument d’étude Ă©tait un questionnaire anonyme auto-administrĂ© comprenait  les donnĂ©es sociodĂ©mographiques, les caractĂ©ristiques cliniques, les facteurs de risques et thĂ©rapeutiques de la lombalgie commune. La saisie et l’analyse des donnĂ©es ont Ă©tĂ© effectuĂ©es par les logiciels Excel version 2010 et Sphinx version 5. RĂ©sultats: La prĂ©valence de la lombalgie commune chez le personnel soignant Ă©tait de 37,9%. Les femmes Ă©taient prĂ©dominantes dans 75,7% de cas (n=84)) et un sex ration de 0,3en faveur des femmes. L’âge moyen Ă©tait de 42,69+-9,77 ans (extrĂŞmes de 20 et 65 ans). Les infirmiers Ă©taient majoritaires avec 72,1%(n=80), suivis des chirurgiens (9,9%), des mĂ©decins (9%), des sages-femmes et des aides-soignants respectivement dans 8,1 et 0,9% des cas. Le principal facteur dĂ©clenchant Ă©tait un effort de soulèvement (51,4%). Les principaux facteurs de risques associĂ©s Ă  la lombalgie commune Ă©taient le sexe fĂ©minin, la surcharge pondĂ©rale, la profession infirmière, l’anciennetĂ© au travail, le geste et postures au travail, le sport apparaissait comme facteur protecteur. L’arrĂŞt de travail Ă©tait les principales mesures thĂ©rapeutiques professionnelles observĂ©es (44% des cas).  Conclusion: La lombalgie commune est un trouble musculo-squelettique très frĂ©quent chez les personnel soignant. Plusieurs facteurs de risque individuels et professionnels  peuvent ĂŞtre Ă  l’origine de la survenue et de la persistance de cette pathologie. Sa prĂ©vention repose sur une sensibilisation et une formation sur les gestes et postures.   Objective: To determine the prevalence and risk factors associated with common low back pain in nursing staff at the University Hospital of Brazzaville. Patients and methods: This was a cross-sectional, descriptive and analytical study conducted at the CHUB from March 1 to October 1, 2021 (8 months). It concerned health personnel who had been in post for at least 6 months and who had agreed to participate in the study. The study instrument was an anonymous self-administered questionnaire that included sociodemographic data, clinical characteristics, risk factors and treatments for common low back pain. Data entry and analysis were performed by Excel version 2010 and Sphinx version 5 software. Results: The prevalence of common low back pain among the nursing staff was 37.9%. Women were predominant in 75.7% of cases (n=84) and a sex ratio of 0.3 in favor of women. The mean age was 42.69+-9.77 years (extremes 20 and 65 years). Nurses were in the majority with 72.1% (n=80), followed by surgeons (9.9%), physicians (9%), midwives and orderlies in 8.1 and 0.9% of cases respectively. The main triggering factor was lifting effort (51.4%). The main risk factors associated with common low back pain were female gender, overweight, nursing profession, length of time at work, gestures and postures at work, and sport appeared to be a protective factor. Work stoppage was the main occupational therapeutic measure observed (44% of cases).  Conclusion : Common low back pain is a very frequent musculoskeletal disorder among healthcare workers. Several individual and professional risk factors may be responsible for the occurrence and persistence of this pathology. Its prevention is based on awareness and training on gestures and postures

    Prévalence et Facteurs de Risque Associés à la Lombalgie Commune chez le Personnel Soignant au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville en 2021

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    Objectif: DĂ©terminer la prĂ©valence et les facteurs de risque  associĂ©s Ă  la lombalgie commune chez le personnel soignant au CHU de Brazzaville. Patients et mĂ©thodes: Il s’agit d’une Ă©tude transversale, descriptive et analytique menĂ©e au CHUB, du1er mars au 1er octobre 2021(8 mois). Elle concernait le personnel de santĂ© en poste depuis au moins 6 mois, ayant consenti de participer Ă  l’étude. L’instrument d’étude Ă©tait un questionnaire anonyme auto-administrĂ© comprenait  les donnĂ©es sociodĂ©mographiques, les caractĂ©ristiques cliniques, les facteurs de risques et thĂ©rapeutiques de la lombalgie commune. La saisie et l’analyse des donnĂ©es ont Ă©tĂ© effectuĂ©es par les logiciels Excel version 2010 et Sphinx version 5. RĂ©sultats: La prĂ©valence de la lombalgie commune chez le personnel soignant Ă©tait de 37,9%. Les femmes Ă©taient prĂ©dominantes dans 75,7% de cas (n=84)) et un sex ration de 0,3en faveur des femmes. L’âge moyen Ă©tait de 42,69+-9,77 ans (extrĂŞmes de 20 et 65 ans). Les infirmiers Ă©taient majoritaires avec 72,1%(n=80), suivis des chirurgiens (9,9%), des mĂ©decins (9%), des sages-femmes et des aides-soignants respectivement dans 8,1 et 0,9% des cas. Le principal facteur dĂ©clenchant Ă©tait un effort de soulèvement (51,4%). Les principaux facteurs de risques associĂ©s Ă  la lombalgie commune Ă©taient le sexe fĂ©minin, la surcharge pondĂ©rale, la profession infirmière, l’anciennetĂ© au travail, le geste et postures au travail, le sport apparaissait comme facteur protecteur. L’arrĂŞt de travail Ă©tait les principales mesures thĂ©rapeutiques professionnelles observĂ©es (44% des cas).  Conclusion: La lombalgie commune est un trouble musculo-squelettique très frĂ©quent chez les personnel soignant. Plusieurs facteurs de risque individuels et professionnels  peuvent ĂŞtre Ă  l’origine de la survenue et de la persistance de cette pathologie. Sa prĂ©vention repose sur une sensibilisation et une formation sur les gestes et postures.   Objective: To determine the prevalence and risk factors associated with common low back pain in nursing staff at the University Hospital of Brazzaville. Patients and methods: This was a cross-sectional, descriptive and analytical study conducted at the CHUB from March 1 to October 1, 2021 (8 months). It concerned health personnel who had been in post for at least 6 months and who had agreed to participate in the study. The study instrument was an anonymous self-administered questionnaire that included sociodemographic data, clinical characteristics, risk factors and treatments for common low back pain. Data entry and analysis were performed by Excel version 2010 and Sphinx version 5 software. Results: The prevalence of common low back pain among the nursing staff was 37.9%. Women were predominant in 75.7% of cases (n=84) and a sex ratio of 0.3 in favor of women. The mean age was 42.69+-9.77 years (extremes 20 and 65 years). Nurses were in the majority with 72.1% (n=80), followed by surgeons (9.9%), physicians (9%), midwives and orderlies in 8.1 and 0.9% of cases respectively. The main triggering factor was lifting effort (51.4%). The main risk factors associated with common low back pain were female gender, overweight, nursing profession, length of time at work, gestures and postures at work, and sport appeared to be a protective factor. Work stoppage was the main occupational therapeutic measure observed (44% of cases).  Conclusion : Common low back pain is a very frequent musculoskeletal disorder among healthcare workers. Several individual and professional risk factors may be responsible for the occurrence and persistence of this pathology. Its prevention is based on awareness and training on gestures and postures

    Aspects Cliniques, Paracliniques, Thérapeutiques et Evolutifs de la Goutte au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville

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    Objectif : DĂ©crire les aspects cliniques, paracliniques, thĂ©rapeutiques et Ă©volutifs de la goutte vue en hospitalisation en Rhumatologie au Centre Hospitalier Universitaire de Brazzaville. Patients et MĂ©thodes : Etude descriptive, transversale, rĂ©trospective conduite du 1er janvier 2012 au 31 janvier 2017 soit 5 ans, dans le service de Rhumatologie du CHU de Brazzaville, Congo. Le diagnostic de la goutte a Ă©tĂ© retenu sur les critères de Rome 1963 et/ou de New York 1966 et/ou de l’ACR 1977. RĂ©sultats : Il s’agissait de  75 (71,43%) patients avec une prĂ©dominance masculine (80%).  L’âge moyen Ă©tait de 60+-11,47 ans (extrĂŞmes de 30 et 82 ans). La durĂ©e moyenne d’évolution de la goutte Ă©tait de 5+- 2,41 ans (extrĂŞmes de 1 et 15 ans). L’atteinte articulaire Ă©tait  poly articulaire dans 52% des cas (n=39), suivie d’oligoarticulaire et monaoarticualaire dans 24% des cas (n=18). L’uricĂ©mie Ă©tait Ă©levĂ©e chez 47 patients (67,62%) avec une moyenne de 80mg/l+- 21,34 et des extrĂŞmes de 54 et 136 mg /l. La radiographie standard Ă©tait anormale chez  26 patients (34,21%). Elle montrait un  pincement de l’interligne articulaire (29,40%) suivie du pincement de l’interligne articulaire plus gĂ©odes et du pincement de l’interligne articulaire plus image en Hallebarde dans (23,55%), de gĂ©odes et /ou Ă©rosions intra osseuses (17,60%) et de d’érosions  para articulaires excentrĂ©es plus tophus intra osseux (5,90%). la prise en charge mĂ©dicamenteuse Ă©tait dominĂ©e par l’association Colchicine –Allopurinol, avec une mauvaise observance thĂ©rapeutique dans 95% des cas chez les patients goutteux avec comorbiditĂ©s. Conclusion : Cette Ă©tude  montre que la goutte reste peu frĂ©quente en hospitalisation. Elle touche  prĂ©fĂ©rentiellement les adultes d’âge mur,  avec une nette prĂ©dominance masculine. Le diagnostic Ă©tait  tardif et associĂ© aux comorbiditĂ©s et la prise en charge mĂ©dicamenteuse Ă©tait dominĂ©e par l’association Colchicine –Allopurinol. Les Ă©tudes  antĂ©rieures Ă  grandes Ă©chelles seront nĂ©cessaires afin de ressortir les particularitĂ©s de cette maladie chez les sujets Noirs Africains.   Objective: To describe the clinical, paraclinical, therapeutic and evolutionary aspects of gout seen in hospitalization in Rheumatology at the Brazzaville University Hospital Centre. Patients and Methods: Descriptive, cross-sectional, retrospective study conducted from January 1, 2012 to January 31, 2017, i.e. 5 years, in the Rheumatology Department of the University Hospital of Brazzaville, Congo. The diagnosis of gout was based on the Rome 1963 and/or New York 1966 and/or ACR 1977 criteria. Results: There were 75 (71.43%) patients, predominantly male (80%).  The mean age was 60+-11.47 years (extremes 30 and 82 years). The mean duration of gout was 5+- 2.41 years (extremes 1 and 15 years). Joint involvement was polyarticular in 52% of cases (n=39), followed by oligoarticular and monaoarticular in 24% (n=18). Uricemia was elevated in 47 patients (67.62%), with a mean of 80mg/l+- 21.34 and extremes of 54 and 136 mg /l. Standard radiography was abnormal in 26 patients (34.21%). It showed a pinched joint space (29.40%), followed by pinched joint space plus geodes and pinched joint space plus halberd image (23.55%), geodes and/or intra-osseous erosions (17.60%) and eccentric para-articular erosions plus intra-osseous tophus (5.90%). Medication management was dominated by the Colchicine-Allopurinol combination, with poor compliance in 95% of gouty patients with comorbidities. Conclusion: This study shows that gout is still uncommon in hospitalized patients. It mainly affects middle-aged adults, with a clear male predominance. Diagnosis was late and associated with comorbidities, and drug management was dominated by the Colchicine-Allopurinol combination. Previous large-scale studies will be necessary to highlight the particularities of this disease in black African subjects

    Infections Musculosquelettiques De L’adulte AU Centre Hospitalier Universitaire De Brazzaville: Difficultés Diagnostiques Et De Prise En Charge

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    Objectif: Rapporter les difficultés diagnostiques et de prise en charge des infections musculosquelettiques. Patients et méthodes: Etude rétrospective menée dans les services de Rhumatologie et de Traumatologie/Orthopédie du CHU de Brazzaville du 1er Janvier 2017 au 30 Septembre 2020. Nous avons colligé et analysé les dossiers des patients hospitalisés pour infections musculosquelettiques. Le diagnostic d’infection musculosquelettique était retenu sur critères de Wald Vogel et al. Résultats: La fréquence hospitalière était de 1.9%. Les hommes prédominaient (54.8%) avec un sex-ratio de 1.2. L’âge moyen était de 41.7ans (extrêmes 17 et 77 ans). Treize de nos patients étaient les travailleurs indépendants , 12 sans-emploi, les salariés et les étudiants respectivement dans 9 et 8 cas. La majorité de nos patients provenait du milieu rural dans 29 cas (69.1%). Il s’agissait de 13 cas (30.9%) d’ostéomyélites/Ostéites, 12 cas (28.5%) d’arthrites infectieuses, 9 cas (21.4%) de spondylodiscites tuberculoses, 4 cas (9.6%) d’infections sur matériel d’ostéosynthèse et les myosites suppurées. Seuls 6 patients (14%) avaient réalisé une imagerie en coupes (l’IRM dans 4 cas ,la TDM dans 2 cas), avec un délai moyen de réalisation de 6,1 jours (extrêmes 4 et 10 jours) et l’échographie ostéoarticulaire dans 6 cas (14%). L’analyse bactériologique était effectuée dans 25 cas (59.5%), parmi eux, une Pyo culture dans 11 cas (44%), l’analyse du liquide articulaire dans 5 cas (20%), les hémocultures 2 cas et la biopsie osseuse dans 1 cas(4%), avec un délai moyen de réalisation de 5,8 jours (extrêmes 2 et 11 jours). La culture était positive dans 13 cas (52%). Les principaux germes isolés étaient : le streptocoque dans 5 cas (38.4%), le staphylocoque 3 cas (23.1%), l’entérobactérie et le Pseudomonas dans 2cas (15.4%), le bacteroides dans 1 cas (7.7%). Conclusion: Les infections musculosquelettiques sont une urgence diagnostique et thérapeutique et de diagnostic souvent tardif. Les principales difficultés sont le bas niveau socioéconomique et la faible accessibilité du plateau technique. Objective: This paper focuses on reporting the difficulties in diagnosing and managing musculoskeletal infections. Patients and Methods: Retrospective study was conducted in the Rheumatology and Traumatology/Orthopedics departments of the Brazzaville University Hospital from January 1st, 2017 to September 30th, 2020. The files of hospitalized patients were collected and analyzed for musculoskeletal infections. The diagnosis of musculoskeletal infection was made according to the criteria of Wald Vogel et al. Results: The hospital frequency was 1.9%. Men predominated (54.8%) with a sex ratio of 1.2. The average age was 41.7 years (range 17 and 77). Thirteen of the patients were self-employed, while 12 were unemployed. There were also 9 employees and 8 students. The majority of patients came from rural areas in 29 cases (69.1%). These were 13 cases (30.9%) of osteomyelitis/Osteitis, 12 cases (28.5%) of infectious arthritis, 9 cases (21.4%) of tuberculosis spondylodiscitis, 4 cases (9.6% ) of infections on osteosynthesis material and suppurative myositis. Only 6 patients (14%) had performed sectional imaging (MRI in 4 cases, CT in 2 cases), with an average completion time of 6.1 days (range 4 and 10 days). There were also 6 cases of ultrasound osteoarticular (14%). Bacteriological analysis was performed in 25 cases (59.5%): Pyo culture in 11 cases (44%), joint fluid analysis in 5 cases (20%), blood cultures in 2 cases and bone biopsy in 1 case (4%), with an average completion time of 5.8 days (range 2 and 11 days). Culture was positive in 13 cases (52%). The main germs isolated were streptococcus in 5 cases (38.4%), staphylococcus in 3 cases (23.1%), enterobacteria and Pseudomonas in 2 cases (15.4%), and bacteroides in 1 case ( 7.7%). Conclusion: Musculoskeletal infections are a diagnostic and therapeutic emergency which is often late in diagnosis. The main difficulties are the low socioeconomic level and the poor accessibility of the technical platform
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